
[CLUB] - MONTPELLIER HSC
- Bubble90
- Entraîneur Equipe A
- Messages : 6899
- Enregistré le : 12 juin 2012 13:28
- Localisation : Nîmes
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Le match amical face à Figueiras annulé
La rencontre amicale Figueiras (D3 espagnole) - MHSC initialement prévue le 31 Juillet à Figueiras a été annulée.
La rencontre amicale Figueiras (D3 espagnole) - MHSC initialement prévue le 31 Juillet à Figueiras a été annulée.
- JJacq
- Administrateur
- Messages : 17809
- Enregistré le : 16 févr. 2011 14:36
- Localisation : Alès - Nîmes
- Contact :
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Oui... Finalement, ils vont la faire à la Jonquera, c'est mieux pour la 3ème mi-temps.Bubble90 a écrit :Le match amical face à Figueiras annulé
La rencontre amicale Figueiras (D3 espagnole) - MHSC initialement prévue le 31 Juillet à Figueiras a été annulée.

Important ! Il n'est pas fait de support en MP, veuillez poser votre question en Forum. Merci.
Important ! There is no support in MP, please submit your question in Forum. Thank you.
Important ! There is no support in MP, please submit your question in Forum. Thank you.
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
On voit le connaisseur ... :siflotte:
La Jonquera , capitale de l'alcool , des cigarettes et de la pipe pas cher ...
La Jonquera , capitale de l'alcool , des cigarettes et de la pipe pas cher ...

Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
C' est bien d' avoir le choix entre cigarette et pipe 

- spoucknick00
- Manager Général
- Messages : 39117
- Enregistré le : 12 juin 2012 08:33
- Localisation : Cul a Brest Coeur a Reims
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
quel genre de pipe ?PSGdu11 a écrit :On voit le connaisseur ... :siflotte:
La Jonquera , capitale de l'alcool , des cigarettes et de la pipe pas cher ...

une histoire , un mythe , un peuple
- JJacq
- Administrateur
- Messages : 17809
- Enregistré le : 16 févr. 2011 14:36
- Localisation : Alès - Nîmes
- Contact :
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Celle qui peut être mauvaise pour le coeur mais laisse les poumons intacts... 

Important ! Il n'est pas fait de support en MP, veuillez poser votre question en Forum. Merci.
Important ! There is no support in MP, please submit your question in Forum. Thank you.
Important ! There is no support in MP, please submit your question in Forum. Thank you.
- spoucknick00
- Manager Général
- Messages : 39117
- Enregistré le : 12 juin 2012 08:33
- Localisation : Cul a Brest Coeur a Reims
- Matrimoni
- Modérateur
- Messages : 9432
- Enregistré le : 12 juin 2012 23:06
- Localisation : Le beau Neuilly de SSD
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
c'est celle qui vide le mieux tes bourses aussi 

- spoucknick00
- Manager Général
- Messages : 39117
- Enregistré le : 12 juin 2012 08:33
- Localisation : Cul a Brest Coeur a Reims
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Ah? tu l'as testé ?Matrimoni a écrit :c'est celle qui vide le mieux tes bourses aussi

- Matrimoni
- Modérateur
- Messages : 9432
- Enregistré le : 12 juin 2012 23:06
- Localisation : Le beau Neuilly de SSD
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Bah oué, et ça vide bien mes bourses... si tu n'as jamais testé, tu loupes quelque chose 

Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Matrimoni a écrit :Bah oué, et ça vide bien mes bourses... si tu n'as jamais testé, tu loupes quelque chose
Tiens ... je ne savais pas que les hommes faisait le tapin à la Jonquera .... :siflotte: .....


- Bubble90
- Entraîneur Equipe A
- Messages : 6899
- Enregistré le : 12 juin 2012 13:28
- Localisation : Nîmes
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
[BBvideo 425,350]http://www.dailymotion.com/embed/video/x11crio"[/BBvideo]
- Bubble90
- Entraîneur Equipe A
- Messages : 6899
- Enregistré le : 12 juin 2012 13:28
- Localisation : Nîmes
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Selon Futbol Ecuador le club sport emelec 3ème du championnat équatorien verrait d'un bon oeil le renfort du pailladin Emanuel Herrera affaire à suivre
- Bubble90
- Entraîneur Equipe A
- Messages : 6899
- Enregistré le : 12 juin 2012 13:28
- Localisation : Nîmes
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Le président du club d’Evian Thonon Gaillard, Patrick Trotignon a déclaré sur les ondes de Mosaïque FM que plusieurs clubs ont manifesté leur intérêt pour l’attaquant tunisien, Saber Khelifa mais rien de concret n’a été fait pour l’heure.
Il a indiqué que seul le champion de France 2011-2012, Montpellier a contacté officiellement Evian mais aucun contact n’a eu lieu entre les deux parties depuis deux jours.
Il a indiqué que seul le champion de France 2011-2012, Montpellier a contacté officiellement Evian mais aucun contact n’a eu lieu entre les deux parties depuis deux jours.
- Bubble90
- Entraîneur Equipe A
- Messages : 6899
- Enregistré le : 12 juin 2012 13:28
- Localisation : Nîmes
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Loulou Nicollin : « Je reçois les vœux de Valderrama chaque année »
Été 1988, tout juste auréolé du titre de meilleur joueur sud-américain, Carlos Valderrama déboule à Montpellier. Avec femme et enfants, pour pratiquer un football qui n'existe plus aujourd'hui : un football de déviation, un football qui se joue en marchant. Un transfert complètement fou pour l'époque. Loulou Nicollin se souvient.
Valderrama à Montpellier, comment c'est possible ?
La date, je m'en souviens plus très bien, ça doit être l'année où on remonte (en fait, non, c'est un an plus tard, en 1988, ndlr). L'imprésario du défenseur brésilien Júlio César, Manuel Garcia, me parle d'un phénomène en Colombie. On regarde donc quelques cassettes, elles étaient bien. Mais on savait très bien que toutes les bonnes cassettes étaient données, et les mêmes pour tout le monde, donc on ne pouvait pas faire autrement que s'en procurer d'autres. Et finalement, on l'a recruté.
Comment vous parvenez à le faire signer ?
Ça n'a pas été difficile de le faire signer, parce qu'on a été les premiers à faire une offre ! Pourquoi ? Ah bah ça, j'en sais rien ! Juste après l'avoir fait signer, je le vois jouer pour la première fois, à Wembley avec la Colombie contre l'équipe d'Angleterre. Il est exceptionnel. Le lendemain, tout le monde titre alors qu'on a beaucoup de chance d'avoir pris un tel joueur.
Sa première année ne se passe pas très bien...
Parce que l'entraîneur, Pierre Mosca, ne l'avait pas du tout dans ses plans ! Il le trouvait lent, il le trouvait si... Enfin il avait tous les péchés du monde ! On a attendu sa fin de contrat. Pierre Mosca est parti et Carlos Valderrama est resté.
On raconte que les milieux de terrain de l'époque n'avaient pas vu son arrivée d'un très bon œil...
Les histoires avec Jean-Claude Lemoult et Gérard Bernardet ? C'est des plaisanteries ! Y en a même qui disent qu'ils faisaient exprès de payer des apéritifs à Nestor Combin, qui à ce moment-là faisait l'interprète et le guide de Carlos Valderrama... Mais c'est pour la rigolade, ça, il faut être sérieux deux minutes. Il a ensuite très bien joué sous les ordres de Michel Mezy, même s'il n'a malheureusement pas joué la finale de la Coupe de France qu'on remporte en 1990, alors qu'il avait fait un match exceptionnel en demi-finale à Geoffroy-Guichard, sous la flotte. Je me souviens qu'il nous avait qualifiés tout seul. Malheureusement, Joël Quiniou l'avait expulsé.
Pourquoi il part après trois années ?
Honnêtement, je ne m'en rappelle pas bien. Il part en Espagne, à Valladolid. En revanche, je sais qu'on n'a pas touché de sous !
Quel souvenir vous gardez de lui ?
C'est un garçon adorable à tout point de vue, chaque année je reçois ses vœux, et je trouve ça assez exceptionnel de la part d'un joueur qui se trouve de l'autre côté de l'Atlantique. Il est venu pour les 30 ans du club, j'espère qu'il viendra pour les 40 ans. J'en garde un souvenir extraordinaire.
On raconte qu'il avait eu quelques soucis pour s'acclimater...
Je sais qu'il était très croyant, point barre, il avait des bougies chez lui partout, ça c'est vrai, le reste et ce qu'on peut raconter... Il était proche de Jean-Louis Gasset, mais il s'est bien fait à nous, il était copain avec tout le monde, il n'y avait pas de souci. Il s'était mis au français et le parlait. C'était un profil assez calme, il restait souvent en famille. Par contre, lorsqu'il jouait, il avait les yeux derrière la tête, mais il fallait lui donner le ballon ! Enfin, moi je suis pas entraîneur, donc je peux que me taire.
Vous vous souvenez de son arrivée à Montpellier ?
Avec beaucoup de valises ! Et pas grand monde, on n'est pas à Naples ici.
Qu'est-ce qui vous a le plus marqué chez lui ?
Ah bah, c'est surtout ses cheveux, après c'était un joueur comme les autres. Ses cheveux, je reconnais que c'était spécial. On faisait les unes dans tous les déplacements qu'on faisait. C'était un peu un look d'icône.
Été 1988, tout juste auréolé du titre de meilleur joueur sud-américain, Carlos Valderrama déboule à Montpellier. Avec femme et enfants, pour pratiquer un football qui n'existe plus aujourd'hui : un football de déviation, un football qui se joue en marchant. Un transfert complètement fou pour l'époque. Loulou Nicollin se souvient.
Valderrama à Montpellier, comment c'est possible ?
La date, je m'en souviens plus très bien, ça doit être l'année où on remonte (en fait, non, c'est un an plus tard, en 1988, ndlr). L'imprésario du défenseur brésilien Júlio César, Manuel Garcia, me parle d'un phénomène en Colombie. On regarde donc quelques cassettes, elles étaient bien. Mais on savait très bien que toutes les bonnes cassettes étaient données, et les mêmes pour tout le monde, donc on ne pouvait pas faire autrement que s'en procurer d'autres. Et finalement, on l'a recruté.
Comment vous parvenez à le faire signer ?
Ça n'a pas été difficile de le faire signer, parce qu'on a été les premiers à faire une offre ! Pourquoi ? Ah bah ça, j'en sais rien ! Juste après l'avoir fait signer, je le vois jouer pour la première fois, à Wembley avec la Colombie contre l'équipe d'Angleterre. Il est exceptionnel. Le lendemain, tout le monde titre alors qu'on a beaucoup de chance d'avoir pris un tel joueur.
Sa première année ne se passe pas très bien...
Parce que l'entraîneur, Pierre Mosca, ne l'avait pas du tout dans ses plans ! Il le trouvait lent, il le trouvait si... Enfin il avait tous les péchés du monde ! On a attendu sa fin de contrat. Pierre Mosca est parti et Carlos Valderrama est resté.
On raconte que les milieux de terrain de l'époque n'avaient pas vu son arrivée d'un très bon œil...
Les histoires avec Jean-Claude Lemoult et Gérard Bernardet ? C'est des plaisanteries ! Y en a même qui disent qu'ils faisaient exprès de payer des apéritifs à Nestor Combin, qui à ce moment-là faisait l'interprète et le guide de Carlos Valderrama... Mais c'est pour la rigolade, ça, il faut être sérieux deux minutes. Il a ensuite très bien joué sous les ordres de Michel Mezy, même s'il n'a malheureusement pas joué la finale de la Coupe de France qu'on remporte en 1990, alors qu'il avait fait un match exceptionnel en demi-finale à Geoffroy-Guichard, sous la flotte. Je me souviens qu'il nous avait qualifiés tout seul. Malheureusement, Joël Quiniou l'avait expulsé.
Pourquoi il part après trois années ?
Honnêtement, je ne m'en rappelle pas bien. Il part en Espagne, à Valladolid. En revanche, je sais qu'on n'a pas touché de sous !
Quel souvenir vous gardez de lui ?
C'est un garçon adorable à tout point de vue, chaque année je reçois ses vœux, et je trouve ça assez exceptionnel de la part d'un joueur qui se trouve de l'autre côté de l'Atlantique. Il est venu pour les 30 ans du club, j'espère qu'il viendra pour les 40 ans. J'en garde un souvenir extraordinaire.
On raconte qu'il avait eu quelques soucis pour s'acclimater...
Je sais qu'il était très croyant, point barre, il avait des bougies chez lui partout, ça c'est vrai, le reste et ce qu'on peut raconter... Il était proche de Jean-Louis Gasset, mais il s'est bien fait à nous, il était copain avec tout le monde, il n'y avait pas de souci. Il s'était mis au français et le parlait. C'était un profil assez calme, il restait souvent en famille. Par contre, lorsqu'il jouait, il avait les yeux derrière la tête, mais il fallait lui donner le ballon ! Enfin, moi je suis pas entraîneur, donc je peux que me taire.
Vous vous souvenez de son arrivée à Montpellier ?
Avec beaucoup de valises ! Et pas grand monde, on n'est pas à Naples ici.
Qu'est-ce qui vous a le plus marqué chez lui ?
Ah bah, c'est surtout ses cheveux, après c'était un joueur comme les autres. Ses cheveux, je reconnais que c'était spécial. On faisait les unes dans tous les déplacements qu'on faisait. C'était un peu un look d'icône.
- Bubble90
- Entraîneur Equipe A
- Messages : 6899
- Enregistré le : 12 juin 2012 13:28
- Localisation : Nîmes
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Jean Fernandez : « On est bien dans le rythme »
Jean Fernandez, le nouveau coach du Montpellier Hérault depuis la reprise le 27 juin dernier, répondait aux médias ce jeudi matin en fin d’entraînement à Mende. La préparation, Mende, les matchs amicaux à venir, ses joueurs, les bobos, le mercato, ses plans de jeu, il passe tout en revue.
On a senti beaucoup d’implication et d’envie lors de la séance de ce matin ?
C’est une période où il faut beaucoup en quantité et je constate que l’état d’esprit est bon. Les joueurs sont concentrés et mettent en effet de l’intensité dans les entraînements. Depuis le 27 et la reprise, on a eu un premier bloc de travail le 27, 28 et 29 après on a fait une semaine à Grammont où on a bien travaillé, comme maintenant lors de ce stage. Ca fait pratiquement 18 jours de travail, pour la plupart entre 20 et 25 entraînements. On peut attaquer les matchs amicaux. C’est ce qu’on va faire la semaine prochaine. Là, au niveau des entraînements on est bien dans le rythme. Maintenant il faut rentrer dans le rythme de la compétition et ce sont les matchs amicaux qui vont nous le faire retrouver.
Il y a donc eu une bonne charge de travail en terme de préparation ?
Oui, en quantité. En préparation, c’est ce qu’un peu tous les clubs recherchent. Après, ce que je dis souvent c’est que, désormais, quand les joueurs reprennent, ils sont quasiment prêts physiquement. Sur un mois de vacances, les 15 premiers jours on les a laissés tranquilles et à partir de deux semaines de récupération ils commencent des séances d’entraînement. Nous, les nôtres, les 15 derniers jours ils ont fait 7 séances individuelles durant lesquelles ils ont travaillé le foncier, les abdos. Ils ont aussi travaillé en intermittent, comme on dit. Aujourd’hui, quand ils arrivent de vacances ils sont quasiment à leur poids de forme, ils sont affutés et on peut ainsi attaquer l’intensité des entraînements. Alors qu’il y a 20 ans ils arrivaient, pour certains, avec 7 ou 8 kg en trop. On avait alors 3 entraînements par jours, on se levait le matin à 7h, on faisait 1h de footing pour perdre le poids, on travaillait en fin de matinée puis le soir. Et on faisait 15 jours à 3 semaines parfois de stage ! Ce n’est plus le cas, nous on fait 6 jours ici à Mende et je dirais qu’on a quasiment terminé le gros de la préparation. Après, ce qui va être important, ce sont les matchs amicaux. Pour trouver le rythme de la compétition, comme je disais, mais aussi l’organisation qui correspond le mieux aux joueurs qu’on a aujourd’hui dans l’effectif.
Au début, surtout, comme les matchs sont très rapprochés, on suppose qu’il va falloir faire beaucoup tourner, non ?
Oui. Là, ce qu’on a souhaité après un gros travail qu’on n’a pas encore tout à fait terminé, c’est de faire deux matchs la première semaine. Mardi contre Arles-Avignon et le samedi contre Clermont. Puis la deuxième semaine on fait trois matchs, mardi, jeudi et samedi. En deux semaines on fait cinq matchs amicaux. Je pense que tout le monde aura alors joué au moins une rencontre comme titulaire, de façon de se faire une idée sur chacun d’entre eux durant ces matchs amicaux. Après ces cinq rencontres on part en Espagne, à la frontière, à la Peralada. Là, on va rentrer dans le dernier cycle de préparation et on dégagera une équipe type.
Le match contre Figueras n’est donc pas remplacé ?
Non. Après en avoir discuté avec le staff et la commission médicale, le souci avec ce match de Figueras c’était de le jouer en fin d’après-midi et ça nous aurait fait rentrer très tard vers 1h ou 2h du matin. On devait jouer l’Espanyol de Barcelone le samedi car on pensait qu’on disputerait la première journée de Championnat le samedi. Mais le fait qu’on soit les premiers à jouer le vendredi soir contre le Champion de France nous a fait avancer d’un jour le match contre l’Espanyol. Ceci afin de se mettre vraiment, derrière ce dernier match amical, dans les conditions de compétition et d’une semaine de préparation d’un match de championnat. Jouer le mercredi Figueiras et vendredi l’Espanyol, ça faisait beaucoup. On rentrera donc plus tôt le mercredi après-midi à la fin de notre mini stage en Espagne afin de préparer au mieux notre rencontre face à l’Espanyol. Parce que cela sera pratiquement l’équipe type qui va jouer Paris une semaine après.
Vous jouiez sur synthétique à Nancy. Là, c’est retour à le pelouse. Est-ce que cela modifie votre approche des entraînements ?
Non. A Nancy on ne jouait quasiment que les matchs sur synthétique. Ce n’est pas la surface que je préfère. Tous nos entraînements, je les faisais sur pelouse. Car selon moi, la répétition des séances sur synthétique crée des problèmes, au moins sur le plan musculaire et sur le plan articulaire. On m’a peut-être un peu reproché de ne pas faire d’entraînement sur cette surface mais quand on fait le bilan des blessés sur le synthétique et sur la pelouse, vous avez beaucoup plus de blessés sur le synthétique.
Au niveau des joueurs un petit peu ménagés justement, on a vu Sanson et Charbonnier notamment…
Sanson et Charbonnier, ce n’est pas méchant, ce sont des temps de récupération. Comme on va donner un temps de récupération à Souley Camara également. C’est un garçon qui a un super état d’esprit dans le jeu et dans le travail, il n’a quasiment pas loupé un entraînement depuis la reprise, c’est un garçon exemplaire mais en fonction de l’intensité qu’il met dans les entraînements, de son âge aussi, à un moment donné on prend la décision avec la commission médicale de laisser un jouer un petit peu récupérer. Donc voilà, c’est un protocole normal.
Hilton par contre c’est un peu plus grave ?
Oui mais bon, là, Vito aussi c’est un garçon exemplaire. Quand il est arrivé je disais qu’il n’avait besoin que de deux ou trois entraînements pour reprendre le rythme de la « compèt » tellement il était bien physiquement. C’est un garçon avec vraiment une grosse mentalité professionnelle, une grosse mentalité d’entraînement. Et puis il a fait toutes les séances à fond et il a ressenti une petite douleur par rapport à sa blessure de fin de saison dernière. Mais rien de bien méchant. C’est un repos de quatre ou cinq jours en ce qui le concerne. Là, on est plus dans la situation de le freiner que de le pousser car c’est un garçon vraiment exemplaire.
Dans la façon dont peut encore évoluer le groupe au niveau du mercato, il y a notamment eu des bruits concernant un intérêt de votre part pour Sagbo l’attaquant d’Evian…
On a un intérêt pour un attaquant. Je crois que c’est la volonté du président d’en faire venir un mais on n’est pas dans l’urgence. On a du temps devant nous même si moi, en tant que coach, quand je regarde le côté sportif je me dis que plus vite il vient, le mieux cela sera pour travailler. Mais bon, je tiens compte aussi de la situation du club et c’est le président qui décide. Comme je le disais, on n’est pas dans l’urgence surtout qu’on a deux attaquants dans l’effectif, voire un troisième avec Camara qui peut aussi jouer dans l’axe. L’idée c’est de regarder un petit peu les opportunités du marché. Moi, personnellement, je connais le profil d’attaquant que je souhaite, les gens le savent, c’est un attaquant qui va vite, qui soit adroit devant le but et qui prenne la profondeur. Je pense qu’on a des attaquants chez nous qui sont très forts avec le ballon dans les pieds, dos au but mais on a aussi besoin de quelqu’un qui puisse prendre la profondeur. Pas de précipitation cependant, car souvent quand on agit dans l’urgence, c’est là qu’on peut faire des erreurs. Or, on n’est pas dans l’urgence. On est tranquille avec quand même la volonté de faire venir un attaquant. Vous parliez de Sagbo, mais il n’y a pas que Sagbo. Il y a d’autres pistes.
Quid de Koita et Tinhan qui étaient prêtés l’année dernière ?
Et bien on va continuer de les regarder lors des entraînements. Ce sont des garçons que je ne connaissais pas très bien. Je me fais une première idée sur les entraînements et je me ferai aussi une idée sur les matchs amicaux. Après, on prendra une décision.
Koita a l’air de s’être étoffé physiquement…
Oui, oui. Il est dans un bon état d’esprit et puis, bon, depuis le début de la saison il n’a pas raté un entraînement. Je le vois affuté devant le but même si au niveau technique il doit y avoir un petit peu plus de justesse dans son jeu et aussi devant le but. Après, c’est vrai que c’est une dimension athlétique, un jeu de tête intéressant, vous lui donnez le ballon dans les pieds et c’est difficile de lui prendre. Il manque un petit peu de vitesse pour la profondeur mais c’est un garçon qui travaille bien.
Est-ce que vous savez déjà dans quel système tactique vous allez évoluer la saison prochaine ?
Oui, oui. Je sais plus ou moins la façon dont on va jouer, oui. Il y a deux organisations. Il y aura un plan A et un plan B, vous avez quasiment toutes les équipes qui jouent dans ces organisations qui sont le 4-2-3-1 avec un soutien de l’attaquant et deux milieux récupérateurs. Ou le 4-3-3 où vous avez l’attaquant avec deux attaquants excentrés puis trois joueurs de milieu avec une pointe devant la défense. On va travailler sur ces deux organisations et les matchs amicaux nous diront quelle est la meilleure. Même s’il faut être capable de jouer dans les deux organisations et jouer aussi en fonction de l’adversaire. Vous ne jouez pas un promu ou une équipe qui joue le maintien de la même façon que si vous jouez Paris, Monaco ou les autres grosses écuries de notre championnat.
Pour les gros matchs le 4-3-3 sera peut-être plus adapté, c’est ça ?
Peut-être oui.
Le match de samedi contre Mende, cela sera une première revue d’effectif ?
Oui, on va essayer de faire deux fois 45 minutes avec deux équipes différente. Mais bon, on va se servir de ça comme d’un entraînement avec une opposition et le respect de l’adversaire. Il y aura du public et tout, donc on va essayer de se donner à fond. Mais il y a beaucoup de fatigue, les jambes sont lourdes, ce qui est logique par rapport au travail qui est fait. On va y aller crescendo au niveau des matchs amicaux. L’idée étant d’être prêt pour le dernier match amical contre l’Espanyol de Barcelone le 2 août, que, lui, on jouera dans les conditions de compétition puisqu’on reprend le championnat une semaine après.
Jean Fernandez, le nouveau coach du Montpellier Hérault depuis la reprise le 27 juin dernier, répondait aux médias ce jeudi matin en fin d’entraînement à Mende. La préparation, Mende, les matchs amicaux à venir, ses joueurs, les bobos, le mercato, ses plans de jeu, il passe tout en revue.
On a senti beaucoup d’implication et d’envie lors de la séance de ce matin ?
C’est une période où il faut beaucoup en quantité et je constate que l’état d’esprit est bon. Les joueurs sont concentrés et mettent en effet de l’intensité dans les entraînements. Depuis le 27 et la reprise, on a eu un premier bloc de travail le 27, 28 et 29 après on a fait une semaine à Grammont où on a bien travaillé, comme maintenant lors de ce stage. Ca fait pratiquement 18 jours de travail, pour la plupart entre 20 et 25 entraînements. On peut attaquer les matchs amicaux. C’est ce qu’on va faire la semaine prochaine. Là, au niveau des entraînements on est bien dans le rythme. Maintenant il faut rentrer dans le rythme de la compétition et ce sont les matchs amicaux qui vont nous le faire retrouver.
Il y a donc eu une bonne charge de travail en terme de préparation ?
Oui, en quantité. En préparation, c’est ce qu’un peu tous les clubs recherchent. Après, ce que je dis souvent c’est que, désormais, quand les joueurs reprennent, ils sont quasiment prêts physiquement. Sur un mois de vacances, les 15 premiers jours on les a laissés tranquilles et à partir de deux semaines de récupération ils commencent des séances d’entraînement. Nous, les nôtres, les 15 derniers jours ils ont fait 7 séances individuelles durant lesquelles ils ont travaillé le foncier, les abdos. Ils ont aussi travaillé en intermittent, comme on dit. Aujourd’hui, quand ils arrivent de vacances ils sont quasiment à leur poids de forme, ils sont affutés et on peut ainsi attaquer l’intensité des entraînements. Alors qu’il y a 20 ans ils arrivaient, pour certains, avec 7 ou 8 kg en trop. On avait alors 3 entraînements par jours, on se levait le matin à 7h, on faisait 1h de footing pour perdre le poids, on travaillait en fin de matinée puis le soir. Et on faisait 15 jours à 3 semaines parfois de stage ! Ce n’est plus le cas, nous on fait 6 jours ici à Mende et je dirais qu’on a quasiment terminé le gros de la préparation. Après, ce qui va être important, ce sont les matchs amicaux. Pour trouver le rythme de la compétition, comme je disais, mais aussi l’organisation qui correspond le mieux aux joueurs qu’on a aujourd’hui dans l’effectif.
Au début, surtout, comme les matchs sont très rapprochés, on suppose qu’il va falloir faire beaucoup tourner, non ?
Oui. Là, ce qu’on a souhaité après un gros travail qu’on n’a pas encore tout à fait terminé, c’est de faire deux matchs la première semaine. Mardi contre Arles-Avignon et le samedi contre Clermont. Puis la deuxième semaine on fait trois matchs, mardi, jeudi et samedi. En deux semaines on fait cinq matchs amicaux. Je pense que tout le monde aura alors joué au moins une rencontre comme titulaire, de façon de se faire une idée sur chacun d’entre eux durant ces matchs amicaux. Après ces cinq rencontres on part en Espagne, à la frontière, à la Peralada. Là, on va rentrer dans le dernier cycle de préparation et on dégagera une équipe type.
Le match contre Figueras n’est donc pas remplacé ?
Non. Après en avoir discuté avec le staff et la commission médicale, le souci avec ce match de Figueras c’était de le jouer en fin d’après-midi et ça nous aurait fait rentrer très tard vers 1h ou 2h du matin. On devait jouer l’Espanyol de Barcelone le samedi car on pensait qu’on disputerait la première journée de Championnat le samedi. Mais le fait qu’on soit les premiers à jouer le vendredi soir contre le Champion de France nous a fait avancer d’un jour le match contre l’Espanyol. Ceci afin de se mettre vraiment, derrière ce dernier match amical, dans les conditions de compétition et d’une semaine de préparation d’un match de championnat. Jouer le mercredi Figueiras et vendredi l’Espanyol, ça faisait beaucoup. On rentrera donc plus tôt le mercredi après-midi à la fin de notre mini stage en Espagne afin de préparer au mieux notre rencontre face à l’Espanyol. Parce que cela sera pratiquement l’équipe type qui va jouer Paris une semaine après.
Vous jouiez sur synthétique à Nancy. Là, c’est retour à le pelouse. Est-ce que cela modifie votre approche des entraînements ?
Non. A Nancy on ne jouait quasiment que les matchs sur synthétique. Ce n’est pas la surface que je préfère. Tous nos entraînements, je les faisais sur pelouse. Car selon moi, la répétition des séances sur synthétique crée des problèmes, au moins sur le plan musculaire et sur le plan articulaire. On m’a peut-être un peu reproché de ne pas faire d’entraînement sur cette surface mais quand on fait le bilan des blessés sur le synthétique et sur la pelouse, vous avez beaucoup plus de blessés sur le synthétique.
Au niveau des joueurs un petit peu ménagés justement, on a vu Sanson et Charbonnier notamment…
Sanson et Charbonnier, ce n’est pas méchant, ce sont des temps de récupération. Comme on va donner un temps de récupération à Souley Camara également. C’est un garçon qui a un super état d’esprit dans le jeu et dans le travail, il n’a quasiment pas loupé un entraînement depuis la reprise, c’est un garçon exemplaire mais en fonction de l’intensité qu’il met dans les entraînements, de son âge aussi, à un moment donné on prend la décision avec la commission médicale de laisser un jouer un petit peu récupérer. Donc voilà, c’est un protocole normal.
Hilton par contre c’est un peu plus grave ?
Oui mais bon, là, Vito aussi c’est un garçon exemplaire. Quand il est arrivé je disais qu’il n’avait besoin que de deux ou trois entraînements pour reprendre le rythme de la « compèt » tellement il était bien physiquement. C’est un garçon avec vraiment une grosse mentalité professionnelle, une grosse mentalité d’entraînement. Et puis il a fait toutes les séances à fond et il a ressenti une petite douleur par rapport à sa blessure de fin de saison dernière. Mais rien de bien méchant. C’est un repos de quatre ou cinq jours en ce qui le concerne. Là, on est plus dans la situation de le freiner que de le pousser car c’est un garçon vraiment exemplaire.
Dans la façon dont peut encore évoluer le groupe au niveau du mercato, il y a notamment eu des bruits concernant un intérêt de votre part pour Sagbo l’attaquant d’Evian…
On a un intérêt pour un attaquant. Je crois que c’est la volonté du président d’en faire venir un mais on n’est pas dans l’urgence. On a du temps devant nous même si moi, en tant que coach, quand je regarde le côté sportif je me dis que plus vite il vient, le mieux cela sera pour travailler. Mais bon, je tiens compte aussi de la situation du club et c’est le président qui décide. Comme je le disais, on n’est pas dans l’urgence surtout qu’on a deux attaquants dans l’effectif, voire un troisième avec Camara qui peut aussi jouer dans l’axe. L’idée c’est de regarder un petit peu les opportunités du marché. Moi, personnellement, je connais le profil d’attaquant que je souhaite, les gens le savent, c’est un attaquant qui va vite, qui soit adroit devant le but et qui prenne la profondeur. Je pense qu’on a des attaquants chez nous qui sont très forts avec le ballon dans les pieds, dos au but mais on a aussi besoin de quelqu’un qui puisse prendre la profondeur. Pas de précipitation cependant, car souvent quand on agit dans l’urgence, c’est là qu’on peut faire des erreurs. Or, on n’est pas dans l’urgence. On est tranquille avec quand même la volonté de faire venir un attaquant. Vous parliez de Sagbo, mais il n’y a pas que Sagbo. Il y a d’autres pistes.
Quid de Koita et Tinhan qui étaient prêtés l’année dernière ?
Et bien on va continuer de les regarder lors des entraînements. Ce sont des garçons que je ne connaissais pas très bien. Je me fais une première idée sur les entraînements et je me ferai aussi une idée sur les matchs amicaux. Après, on prendra une décision.
Koita a l’air de s’être étoffé physiquement…
Oui, oui. Il est dans un bon état d’esprit et puis, bon, depuis le début de la saison il n’a pas raté un entraînement. Je le vois affuté devant le but même si au niveau technique il doit y avoir un petit peu plus de justesse dans son jeu et aussi devant le but. Après, c’est vrai que c’est une dimension athlétique, un jeu de tête intéressant, vous lui donnez le ballon dans les pieds et c’est difficile de lui prendre. Il manque un petit peu de vitesse pour la profondeur mais c’est un garçon qui travaille bien.
Est-ce que vous savez déjà dans quel système tactique vous allez évoluer la saison prochaine ?
Oui, oui. Je sais plus ou moins la façon dont on va jouer, oui. Il y a deux organisations. Il y aura un plan A et un plan B, vous avez quasiment toutes les équipes qui jouent dans ces organisations qui sont le 4-2-3-1 avec un soutien de l’attaquant et deux milieux récupérateurs. Ou le 4-3-3 où vous avez l’attaquant avec deux attaquants excentrés puis trois joueurs de milieu avec une pointe devant la défense. On va travailler sur ces deux organisations et les matchs amicaux nous diront quelle est la meilleure. Même s’il faut être capable de jouer dans les deux organisations et jouer aussi en fonction de l’adversaire. Vous ne jouez pas un promu ou une équipe qui joue le maintien de la même façon que si vous jouez Paris, Monaco ou les autres grosses écuries de notre championnat.
Pour les gros matchs le 4-3-3 sera peut-être plus adapté, c’est ça ?
Peut-être oui.
Le match de samedi contre Mende, cela sera une première revue d’effectif ?
Oui, on va essayer de faire deux fois 45 minutes avec deux équipes différente. Mais bon, on va se servir de ça comme d’un entraînement avec une opposition et le respect de l’adversaire. Il y aura du public et tout, donc on va essayer de se donner à fond. Mais il y a beaucoup de fatigue, les jambes sont lourdes, ce qui est logique par rapport au travail qui est fait. On va y aller crescendo au niveau des matchs amicaux. L’idée étant d’être prêt pour le dernier match amical contre l’Espanyol de Barcelone le 2 août, que, lui, on jouera dans les conditions de compétition puisqu’on reprend le championnat une semaine après.
- Bubble90
- Entraîneur Equipe A
- Messages : 6899
- Enregistré le : 12 juin 2012 13:28
- Localisation : Nîmes
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Selon la Gazeta Sporturilor quotidien sportif Daniel Niculae (résiliation de son contrat) devrait s'engager avec le #MHSC dimanche et retrouver Jean Fernandez qui avait coaché le Roumain avec Auxerre et l'ASNL
- Bubble90
- Entraîneur Equipe A
- Messages : 6899
- Enregistré le : 12 juin 2012 13:28
- Localisation : Nîmes
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Sur l’herbe très verte du stade de Mende, les cris fusent aussi vite que le ballon : « Bien Rémy, vas y Bryan, allez on s’accroche ! ». Jean Fernandez, le nouvel entraîneur de Montpellier, donne de la voix et des décibels.
Comme si chaque intonation devait donner le ton de la saison qui débutera le 9 août, à La Mosson, contre le PSG. Sur le bord du terrain, Pascal Baills, l’indéboulonnable numéro deux, n’est pas en reste. Un peu plus en retrait, un troisième membre du staff observe et prépare minutieusement chaque exercice.
Carré/Fernandez : un binôme indissociable
On a encore peu parlé de David Carré, le bien nommé. Arrivé à Montpellier en même temps que Jean Fernandez, il forme avec lui un binôme devenu indissociable. À l’image de Laurent Blanc et Jean-Louis Gasset.
« Avec Pascal Baills, on forme un staff très complémentaire » Jean Fernandez
« Lorsque Jean est arrivé à Metz en 2002, je m’occupais des 17 ans nationaux, raconte le natif de Thionville, 38 ans. L’année suivante, je suis devenu son adjoint et il s’est tout de suite installé un grand respect mutuel entre lui et moi. On se retrouve sur les mêmes valeurs de passion, de travail et d’humilité. On est très complémentaires, je pense. Plus les années passent, moins on a besoin de se parler pour se comprendre. »
La répartition des rôles ?
Les deux hommes se sont “séparés” un an, quand Fernandez est revenu à Marseille (Carré fut alors adjoint de Joël Müller). Leur binôme a ensuite pris encore plus de corps à Auxerre puis à Nancy. La répartition des rôles ? « Jean me laisse une grande liberté pour préparer les ateliers techniques aux entraînements. Après, tout le côté tactique, c’est son domaine. Et puis il y a l’apport inestimable de Pascal Baills qui connaît parfaitement le club, les joueurs et nous fait gagner un temps énorme. »
Carré à la technique, Baills comme courroie de transmission auprès des joueurs : c’est sans doute moins simpliste que ça mais c’est la tendance confirmée par Jean Fernandez : « Si je travaille avec David c’est parce qu’il a de grosses qualités humaines et une belle faculté d’analyse. Il sait rester à sa place, dans son rôle de N.2 mais sait aussi dire les choses quand il le faut. Avec en prime Pascal Baills que je découvre avec un grand bonheur, on va former un staff très complémentaire. »
Un parcours atypique
Joueur amateur avant de devenir entraîneur de jeunes dès l’âge de 18 ans et de passer ses diplômes à 23 ans, David Carré a un parcours atypique, souligné en plus d’un diplôme en droit. « Mon expérience vient des dix ans passés comme adjoint en Ligue 1, précise-t-il. C’est déjà un plaisir de travailler avec ce groupe réceptif, qui assimile vite et est avide de progresser. » Avec lui, Montpellier va aussi découvrir un nouveau style d’adjoint.
Comme si chaque intonation devait donner le ton de la saison qui débutera le 9 août, à La Mosson, contre le PSG. Sur le bord du terrain, Pascal Baills, l’indéboulonnable numéro deux, n’est pas en reste. Un peu plus en retrait, un troisième membre du staff observe et prépare minutieusement chaque exercice.
Carré/Fernandez : un binôme indissociable
On a encore peu parlé de David Carré, le bien nommé. Arrivé à Montpellier en même temps que Jean Fernandez, il forme avec lui un binôme devenu indissociable. À l’image de Laurent Blanc et Jean-Louis Gasset.
« Avec Pascal Baills, on forme un staff très complémentaire » Jean Fernandez
« Lorsque Jean est arrivé à Metz en 2002, je m’occupais des 17 ans nationaux, raconte le natif de Thionville, 38 ans. L’année suivante, je suis devenu son adjoint et il s’est tout de suite installé un grand respect mutuel entre lui et moi. On se retrouve sur les mêmes valeurs de passion, de travail et d’humilité. On est très complémentaires, je pense. Plus les années passent, moins on a besoin de se parler pour se comprendre. »
La répartition des rôles ?
Les deux hommes se sont “séparés” un an, quand Fernandez est revenu à Marseille (Carré fut alors adjoint de Joël Müller). Leur binôme a ensuite pris encore plus de corps à Auxerre puis à Nancy. La répartition des rôles ? « Jean me laisse une grande liberté pour préparer les ateliers techniques aux entraînements. Après, tout le côté tactique, c’est son domaine. Et puis il y a l’apport inestimable de Pascal Baills qui connaît parfaitement le club, les joueurs et nous fait gagner un temps énorme. »
Carré à la technique, Baills comme courroie de transmission auprès des joueurs : c’est sans doute moins simpliste que ça mais c’est la tendance confirmée par Jean Fernandez : « Si je travaille avec David c’est parce qu’il a de grosses qualités humaines et une belle faculté d’analyse. Il sait rester à sa place, dans son rôle de N.2 mais sait aussi dire les choses quand il le faut. Avec en prime Pascal Baills que je découvre avec un grand bonheur, on va former un staff très complémentaire. »
Un parcours atypique
Joueur amateur avant de devenir entraîneur de jeunes dès l’âge de 18 ans et de passer ses diplômes à 23 ans, David Carré a un parcours atypique, souligné en plus d’un diplôme en droit. « Mon expérience vient des dix ans passés comme adjoint en Ligue 1, précise-t-il. C’est déjà un plaisir de travailler avec ce groupe réceptif, qui assimile vite et est avide de progresser. » Avec lui, Montpellier va aussi découvrir un nouveau style d’adjoint.
- spoucknick00
- Manager Général
- Messages : 39117
- Enregistré le : 12 juin 2012 08:33
- Localisation : Cul a Brest Coeur a Reims
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC





une histoire , un mythe , un peuple
- Bubble90
- Entraîneur Equipe A
- Messages : 6899
- Enregistré le : 12 juin 2012 13:28
- Localisation : Nîmes
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
[BBvideo 425,350]http://www.dailymotion.com/embed/video/x11uwyr[/BBvideo]
- Bubble90
- Entraîneur Equipe A
- Messages : 6899
- Enregistré le : 12 juin 2012 13:28
- Localisation : Nîmes
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
[BBvideo 425,350]http://www.dailymotion.com/embed/video/x11wqmd[/BBvideo]