[CLUB] - STADE DE REIMS

[babar051]

Stade de Reims / Fournier ne change rien
La dream team du PSG avant les retrouvailles avec les voisins troyens : les Stadistes ont du boulot.

FOOTBALL (L1). Une semaine spéciale a débuté hier pour les Rémois. Elle s'achèvera samedi, en fin d'après-midi, au Parc des Princes. Le compte à rebours est enclenché.

Vendredi, au sortir d'une opposition qui mettait un terme à une première semaine de trêve internationale sans vague, Hubert Fournier a demandé à ses joueurs de profiter du week-end complet de repos qu'il venait de leur accorder, pour récupérer physiquement et mentalement. « C'est important d'évacuer le stress de la compétition, d'autant que nous jouerons ensuite tous les week-ends jusqu'à la trêve hivernale. »

Entre le déplacement à Paris ce samedi et celui à Lorient le 22 décembre, ce sont onze matches qui attendent le promu stadiste, révélation de ce premier quart de championnat.

Hier, pour la reprise, une journée à deux séances de travail était au programme. « Après une première semaine sans appréhension et dénuée du stress de la compétition, nous allons aborder la préparation spécifique du match de samedi. »

En attendant le retour des internationaux africains (Agassa, Souaré, Balamandji) et de Krychowiak (retenu pour Pologne - Angleterre de ce soir, à Varsovie), le travail collectif a repris pour ce match de prestige au Parc des Princes, face à l'ogre parisien. « La semaine dernière était axée sur la récupération, tout en évitant un relâchement total néfaste à la reprise », a expliqué l'entraîneur.

Tous les pros à Paris
L'effervescence populaire (près de 2 000 supporters prendront la direction de la capitale) et médiatique engendrée par cet affrontement du haut de tableau, n'interférera pas sur la quiétude des Stadistes. Le staff y veille : « Nous ne changerons rien de nos habitudes, a tenu à préciser Hubert Fournier, si ce n'est que l'ensemble de l'effectif professionnel nous accompagnera à Paris. C'est un match de gala auquel tous les joueurs méritent d'être conviés. »

Le départ pour la capitale est fixé à samedi matin. « Le coup d'envoi est fixé à 17 heures et il n'y a pas deux heures de route, ce n'était pas la peine de partir la veille. »

Concernant l'effectif, sachant que Nicolas Fauvergue (3 cartons jaunes en moins de 10 matches) est suspendu, Hubert Fournier se réjouit de récupérer Julien Toudic, débarrassé des séquelles de son opération du genou droit.

Odaïr Fortes, rassuré par la qualification du Cap-Vert pour la phase finale de la CAN qu'il pourrait disputer entre le 19 janvier et le 10 février 2013, reprend l'entraînement collectif cette semaine.

« Ça risque d'être un peu juste pour samedi », admet Fournier. Au mieux, il pourra intégrer le groupe des dix-huit dans la perspective du derby contre Troyes, le samedi 27.

[babar051]

Mandi, Stadiste et fan du PSG
A l'image de ses coéquipiers, Aïssa Mandi ne tremble pas à l'idée d'affronter le PSG au Parc.


FOOTBALL (L1). Le Paris SG ne hante pas les nuits du jeune défenseur rémois. Pour lui, à quoi bon disserter, la vérité viendra du terrain.

En ville, en périphérie, supporters assidus ou occasionnels, tout le monde en parle. La 9e levée de la saison, pour le Stade de Reims, ne ressemble à aucune autre. Tellement de clichés - l'ogre contre le Petit Poucet, Paris contre la province, smicards contre Galactiques - accompagnent ce court déplacement dans la capitale, qu'il est difficile pour un jeune de 20 ans de contenir son excitation.

Pourtant, à en croire Aïssa Mandi, sans doute le plus jeune joueur sur la pelouse du Parc samedi, il n'y a pas de quoi stresser. « C'est un match comme les autres, expliquait hier le latéral droit stadiste, avec trois points en jeu. »

Et si ce n'était qu'une posture, une tentative de dissimulation du trac qui doit le ronger à l'intérieur ? Pour s'en sortir, il use de la langue de bois : « Je vous assure, poursuit le Rémois, on n'en fait pas une fixation, on n'en parle pas plus que d'un match habituel. D'ailleurs, notre préparation n'a rien de différent de celles précédant les déplacements à Toulouse et à Saint-Etienne. »


Supporter du PSG

Doit-on le croire ? En face, ce sera quand même le PSG, ses stars internationales et ses ambitions démesurées. « On sait que ce sera difficile, mais nous sommes des compétiteurs, nous jouons toujours pour gagner. On y va avec humilité, mais pour faire un résultat. »

Aïssa s'exprime comme un vieux qu'il n'est pas. Craint-il de se retrouver face au géant Zlatan Ibrahimovic ? « Non. On devient pro pour jouer ce genre de match face à de grands joueurs. »

Fan de foot, il a visionné tous les matches du Paris SG, son équipe de cœur : « Depuis tout petit, je supporte cette équipe qui était celle que je préférais en Ligue 1, mais je ne suis pas un fanatique. Le PSG de Ronaldinho m'a fait rêver… »

Comme Lorient (2-2) et Bordeaux (0-0), qui ont su résister à la furia offensive parisienne, il estime son équipe capable de rivaliser : « D'abord, il faudra bien défendre car le PSG attaque à tout va. On devra être solide dans ce secteur sans avoir peur de contre-attaquer. Lorient a été audacieux et a été récompensé. C'est l'exemple à suivre. »

Le Parc des Princes, qu'il va découvrir, peut-il l'impressionner ? « C'est un stade mythique, comme Geoffroy-Guichard. Une fois dans le match, on n'y pense plus. »

En début de saison, il avait évoqué Christophe Jallet et ses aptitudes à enchaîner les courses dans son couloir droit, afin de mesurer les progrès qu'il lui reste à accomplir. « Jallet, ce n'est pas mon idole, c'est un international dont je dois m'inspirer, c'est tout. »

Bref, rien ne semble troubler la sérénité du minot rouge et blanc. Même pas l'effervescence médiatique qui accompagne ce grand rendez-vous parisien. « Les gens m'en parlent, mais je ne me prends pas la tête. Sur le papier, l'affrontement semble si déséquilibré… Tant mieux si Paris nous prend de haut… »

[babar051]

PSG - Reims / Caillot : «Que du bonheur !»
Jean-Pierre Caillot et Didier Perrin retrouveront au Parc leur acolyte historique, Olivier Létang (au centre).


FOOTBALL (L1). Samedi après-midi, le petit Stade de Reims va être confronté au monde scintillant du Paris SG : une aubaine à savourer sans modération pour son président.

JEAN-PIERRE CAILLOT, votre Stade de Reims au Parc samedi face au Paris SG, il faudra y être pour le croire ?
« J'aurais pu avoir ce rêve secret enfoui au fond de moi, mais on m'aurait sans doute traité de fou si j'en avais parlé il y a quelques années. Aujourd'hui, grâce aux résultats de l'équipe, le rêve devient réalité. »
Dans quel état d'esprit le Stade se rend-il dans la capitale ?
« Depuis le début de la saison, je répète en boucle la même phrase : « Ce n'est que du bonheur ! ». Autant le championnat exige des résultats de façon à cultiver une dynamique positive, autant il existe une dizaine d'équipes de L1 qui donnent droit à des affiches de haut niveau pour le plus grand plaisir des joueurs, dirigeants et supporters. On s'investit dans des aventures de ce genre pour vivre de tels grands moments. »
Quel pourcentage de chances accordez-vous à votre équipe de s'imposer au Parc ?
« Le football a ceci de merveilleux qu'il offre, sur un match, la possibilité à n'importe quelle équipe de battre un adversaire supposé plus fort. On a vu à Toulouse et à Saint-Etienne que nous avions les moyens de rivaliser avec des formations qui ne disputent pas le même championnat que nous. Là, dans un stade à guichets fermés, la pression sera sur le Paris SG qui ne peut se permettre de gaspiller des points face à un promu. »
Vous y croyez ?
« J'avais dit qu'on allait, cette saison, devoir disputer des matches de coupe. Celui de samedi ressemblera à une finale de Coupe de France. »
La puissance économique du PSG ne vous effraie-t-elle pas ?
« Sur le plan économique, il n'y a aucune comparaison possible. Notre budget est 13 fois inférieur à celui de Paris. Encore heureux qu'un match se gagne sur le terrain. »
Ce puissant PSG, version qatarie, ne fausse-t-il pas le championnat ?
« C'est une grande chance pour le foot français de compter en son sein une équipe de ce niveau. Après, on peut toujours évoquer l'aspect philosophique de cette course à l'armement lourd. Il ne faut pas que la Ligue 1 devienne le terrain de jeu de richissimes financiers du Qatar, de la Chine ou de la Russie, au détriment de son ancrage national. Je pense néanmoins que notre football y gagne en intérêt et en exposition. Il suffit de voir les affluences enregistrées dans les stades qui accueillent le PSG pour s'en rendre compte. On peut découvrir de beaux matches et de grands joueurs ailleurs qu'à la télé dans le championnat anglais. »
Ibrahimovic ?
« Je connais l'objectif secret de mes défenseurs. Le mien sera de récupérer son maillot. »
Nasser Al-Khelaifi (1) ?
« Il s'exprime en anglais. Il vient d'arriver à l'UCPF (2). C'est quelqu'un de courtois, sympathique, pas méprisant. Il souhaite participer à la vie du foot national sans complexe de supériorité. »
Le PSG vous a piqué votre directeur général, c'est oublié ?
« Je le répète : le Stade de Reims est le seul club français au sein duquel le PSG a recruté un élément. Il faut prendre cela comme un honneur et la reconnaissance des qualités d'Olivier Létang et du club. Mais cela fait partie de la vie d'un club. Le Stade de Reims n'est ni Jean-Pierre Caillot, ni Didier Perrin, ni Olivier Létang, c'est une entité qui survivra aux hommes. »
Allez-vous parler aux joueurs ?
« Non. Pour leur dire quoi ? Qu'il faut être motivés ? Qu'il faut faire un bon match ? Mes interventions se réduisent aux moments plus délicats, comme après les deux premières défaites contre Marseille et Bastia. Le staff intervient efficacement au quotidien. »
2 000 supporters stadistes à Paris, formidable, non ?
« Je vous avais dit récemment que j'aurais aimé voir la moitié du Stade de France revêtue de rouge et blanc, et bien ce sera un quart du Parc des Princes. Quand je verrai les cars des supporters sur l'autoroute, ça me fera chaud au cœur. »
Ce sera votre premier PSG-Reims au Parc des Princes ?
« Oui. Le seul souvenir que j'ai du Paris SG remonte au fameux match à Delaune qui avait vu Carlos Bianchi, mon idole, marquer six buts (3). Je lui ai d'ailleurs souvent répété que c'est ce jour-là qu'est née ma vocation pour le football. »

(1) Nasser Ghanim Al-Khelaïfi, 39 ans, ancien sportif de haut niveau qatari devenu homme d'affaires multimilliardaire, est le président du Paris Saint-Germain, du Paris Handball et celui de la Fédération qatarienne de tennis. Il est aussi directeur général de la chaîne de télévision Al Jazeera Sport.
(2) L'Union des Clubs Professionnels Français.
(3) Le 9 août 1974.

[spoucknick00]

hannnnnnnnnnnnnnn mandi fan du psg ...c est bon lui je l aime plus :siflotte:

[babar051]

Lyon-Stade de Reims, dimanche 18 novembre à 14h

La rencontre Olympique Lyonnais - Stade de Reims, comptant pour la 13e journée de championnat de L1, a été programmée le dimanche 18 novembre à 14h00.

Didier Perrin : Tirer notre épingle du jeu
Didier, quel chemin parcouru depuis quelques saisons... Prochain rendez-vous : le Parc !
Effectivement ! On était en National il y a trois saisons et on sera au Parc des Princes ce samedi. On a parcouru un long chemin en quelques mois qui nous mène à cette rencontre excitante. Elle va être très intéressante.
On va découvrir ce stade. J'y étais déjà allé mais pas de cette manière. J'espère qu'on va tirer notre épingle du jeu mais quoi qu'il arrive ce ne sera que du bonheur.

Beaucoup de supporters seront derrière nous, ce sera un moment exceptionnel !
C'est vrai. Ils sont formidables et rarement on aura vu autant de supporters adverses au Parc. On va tout faire pour les rendre heureux mais c'est sûr qu'on va avoir besoin d'eux.

C'est finalement presque un derby !
Quelque part, oui, vu la distance ! C'est un match de gala pour nous et j'espère que nos joueurs vont tout donner sans se soucier du résultat car on n'a absolument rien à perdre. Ce doit être un match plaisir pour tout le monde, avec l'envie de faire un résultat.

Comment se déroule ta semaine ? Penses-tu à ce match au quotidien ?
Oui, forcément, et c'est de plus en plus vrai à mesure que l'échéance approche. Mais on se fait bien à la Ligue 1. Les matches s'enchainent et on est relativement serein. C'est forcément lié à nos supers résultats et j'espère que ça va continuer dans ce sens.

[babar051]

Le groupe face au PSG !
Hubert Fournier a communiqué un groupe de 19 joueurs pour le déplacement au Paris Saint Germain, samedi à 17h00 (9e journée de Ligue 1).

Stade de Reims : Agassa, Liébus – Mandi, Signorino, Souaré, Tacalfred, Weber, Fofana, Glombard – Krychowiak, Ca, Devaux, Ramaré, Ghisolfi, Diego, Ayité – Ghilas, Courtet, Toudic.

Blessés : Peuget (adducteurs)

Reprise : Fortes

Suspendu : Fauvergue

Absents : Malherbe, Sekkat, Pereira, Bénédick, Balamandji (choix de l’entraîneur)

[spoucknick00]

bon groupe normal ...pas de surprise

[Vincent]

Les Rémois sont en train de payer cash les efforts qu'ils ont produits en 1ère mi-temps ...

[spoucknick00]

lol on a debute mal les 2eme mi temps ..les 20 minutes sont souvent capital ...mais bon on se demande qui etait galactique sur le terrain :siflotte:

[Vincent]

lol on a debute mal les 2eme mi temps ..les 20 minutes sont souvent capital ...mais bon on se demande qui etait galactique sur le terrain :siflotte:

Gameiro ? ....................................................... ok, je sors ..............................

[spoucknick00]

sa se voyait qu il lui manquait du ju et qu ils jouent pas souvent . Franchement sur le terrain c etait quasi le seul devant qui se bouger le cul . LEs autres statique , ils attendent le ballon ...Alors Ibra c est pire .µLe ballon passe a un metre de lui , bah pas moyen qu il se bouge le vul pour tendre la jambe ou autre ...non non Monsieur attends le ballon et il trouve le moyen de gueulé apres ses collegues . Gameiro devrait quitter le PSG ...il a un fort potentiel ce mec et il perd tout a cause de ce club de merde . C est franchement dommage pour la France

[Vincent]

" bah pas moyen qu il se bouge le vul pour tendre la jambe ou autre " : le vul , futur mot du petit robert ....

[Vincent]

je trouve que Menez a été bien en vu , même s'il a eu sa "menezite" habituel .... vu comment tu traites le PSG, ça risque d'être "hot" pour le match contre Brest ...

[spoucknick00]

cul rhooo ... l emotion

pour Menez oui il a ete en vu ... tout le monde a vu qu il etait une pinne d huitre remarque Deschamps la si il avait un doute , j espere qu il en aura plus :siflotte:

pour Brest t inquiete , j y serais (c est a 10 minutes en tram de chez moi ) Bon la , je doute qu il y aura 2000 supporteurs Remois ...si on est 50 sa serait merveilleux Pas grave meme a 10 on mettra plus d ambiance que les supporteurs Brestois

[babar051]

PSG - Stade de Reims : 1-0

Paris Saint Germain – Stade de Reims 1-0

Parc des Princes; Arbitre : Benoit Bastien

Paris SG : Sirigu – Van der Wiel, Alex, Sakho (cap.) (Sissoko 78e), Armand – T.Silva, Matuidi, Maxwell, Nené (Ménez 45e) – Ibrahimovic, Gameiro (Jallet 72e)

Stade de Reims : Agassa – Mandi, Tacalfred (cap.), Weber, Souaré – Krychowiak, Ca (Ghisolfi 60e), Devaux (Ghilas 67e)– Glombard (Toudic 71e), Diego – Courtet

Buts pour Paris : Gameiro (65e)

Avertissements pour Paris : Van der Wiel (39e), Matuidi (88e)

Avertissements pour Reims : Krychowiak (44e), Ghisolfi (90+2e)

La surprise n’a pas eu lieu malgré une très belle prestation. Le Stade de Reims s’est incliné ce samedi dans le cadre de la 9e journée de Ligue 1 face au Paris Saint Germain.
Après une coupure internationale de deux semaines, le championnat reprenait ses droits ce week-end. Le coup d’envoi de cette affiche de la 9e journée, qui se joue à guichets fermés au Parc des Princes est donné par la star du tennis Rafael Nadal, à quelques mètres de son jardin favori, Roland Garros. Le ton est donné !
D’entrée de jeu, les joueurs du Stade de Reims ne se laissent pas impressionner par leur adversaire du jour, après un centre venu de la gauche, Sirigu boxe le ballon devant Courtet puis réalise un arrêt réflexe suite à la frappe de Diego aux 20 mètres (3e).
Les Rouge et Blanc sont bien rentrés dans les débats, à la suite d’une récupération de Krychowiak, Gaetan Courtet, seul face aux défenseurs parisiens, tente sa chance à l’entrée de la surface mais le ballon passe au-dessus (15e).
Les Parisiens, poussés par leurs supporters, ont la possession de balle mais ne trouvent pas de solution.
La première grosse frayeur intervient à la 29e minute, Nené talonne le ballon pour Gameiro, sa frappe instantanée est freinée par Agassa et Mandi sauve in extremis le ballon sur la ligne. Les Rémois peuvent souffler.
La fin de la première période est intense côté Rémois. A la 39e minute, Van der Wiel commet une main dans la surface, M.Bastien n’hésite pas et désigne le point de pénalty pour le Stade de Reims, Diego s’élance, malheureusement Sirigu anticipe bien sur sa droite et détourne la tentative du Brésilien.
Les occasions s’enchainent, Pape Souaré se montre dangereux à deux reprises. Ce dernier se joue de Van der Wiel dans la surface avant de frapper au premier poteau. Sakho se jette et dévie le ballon. Sur le corner qui suit, il reprend le ballon d’une demi-volée, détournée sur la ligne par Maxwell (45e)
Mi-temps (0-0). Information intéressante, le Stade de Reims est la seule équipe de L1 à ne pas avoir encaissé de but en première période.
A la reprise, les hommes de Carlo Ancelotti reviennent sur la pelouse avec l’intention de se montrer plus dangereux.
Les minutes défilent mais la partie demeure indécise avec deux équipes qui ne trouvent pas l’ouverture.
Paris pousse et les Rémois se montrent infranchissables en étant, par deux fois, sauvés par les montants. A la 55e minute, la frappe enroulée de Blaise Matuidi s’écrase sur la barre (55e) puis Jérémy Ménez déclenche une frappe pure du pied gauche qui trouve le poteau rémois (64e).
Sur la troisième occasion parisienne de la seconde période, ni les montants, ni Agassa ne parviennent à empêcher la tête de Gameiro d’aller au fond des filets après un centre de Maxwell. (1-0 65e)
Dans la foulée les Parisiens tentent d’alourdir le score par des actions initiées par l’incontournable Ibrahimovic, sans succès.
On se dit alors qu’une égalisation est possible, Julien Toudic, fraichement entré, reprend un centre de Mandi d’un superbe ciseau acrobatique qui rebondit sur la barre transversale (84e). Le Parc des Princes tremble, sous la pluie qui continue de tomber.
La fatigue se fait ressentir des deux côtés, les espaces dans la défense rémoise se font plus nombreux , Ménez n’en profite pas et le score n’évolue pas (87e et 88e).
Le score n’évoluera pas dans les trois minutes de temps additionnel. Benoit Bastien siffle la fin du match (1-0).
Après une partie honorable, le PSG met fin à la série de 6 matches sans défaite du Stade de Reims qui se classe à la 6e place du championnat au terme de ce match. Prochain rendez-vous, samedi prochain à Delaune face à Troyes.

[babar051]

H. Fournier : Avec un peu de réussite...

La réaction d'Hubert Fournier, au terme du match face au PSG :

Hubert Fournier : Nous avons raté un peu trop d’opportunités en première mi-temps, et ce qui devait arriver, arriva. Dans nos temps forts nous devons capitaliser, sinon, face à une équipe comme le PSG, nous ne sommes pas à l’abri de ce genre de scénario. C’est aussi à travers de ce type de rencontre que l’on apprend beaucoup de choses. Suite au but encaissé, j’ai aimé la réaction de l’équipe. Les joueurs ne se sont pas désunis. J’ai été agréablement surpris que l’on domine ce dernier quart d’heure de match qui est devenu un peu fou. D’ailleurs, avec un peu de réussite sur le geste acrobatique de Julien Toudic, on peut même revenir à la marque.

J.P Caillot : Savoir accepter la défaite

La réaction de Jean-Pierre Caillot, au terme du match face au PSG :

Jean-Pierre Caillot : En terme d’envie, en terme de cœur, c’est une grand fierté ce soir. Il faut savoir accepter la défaite, cela fait partie du football. Nous avons montré que le Stade de Reims a des valeurs. Si on ne s’en éloigne pas, il y aura des soirées intéressantes à venir. On a peut être manqué d'un peu de chance aussi. Même si pour être totalement objectif, ils ont aussi « vendangé » un peu de leur côté. C’est dans ce genre de match que ce groupe, jeune, va s’enrichir et va monter en puissance.

Didier Perrin : Nous n'avons pas à rougir

La réaction de Didier Perrin, au terme du match face au PSG :

Didier Perrin : On a montré une très belle image du Stade de Reims ce soir. On a raté le coche en première mi-temps. Mais on n'a pas a rougir de notre prestation. Avec un peu plus de réussite on pouvait même remporter ce match. Je suis fier des joueurs. Ce qu’ils ont fait ce soir est extraordinaire. Avec ce type de match, nous allons engranger de l’expérience, et on prendra forcément des points à l’extérieur.

K. Ghilas : Sur un détail

PSG-Stade de Reims : La réaction de Kamel Ghilas :

Kamel Ghilas : Nous sommes déçus par rapport à la physionomie du match, nous avons fait une bonne prestation. Nous pouvons espérer marquer sur plusieurs occasions, malheureusement on a manqué d’efficacité. Les Parisiens ont juste été plus efficaces sur leur temps fort. Cela ce joue sur un détail. Il faut surtout retenir que nous avons fait une bonne prestation. Si l’on continue à proposer ce type de performance à l’extérieur, cela va finir par bien se passer.

A. Weber : Une belle prestation
Anthony Weber : Je pense qu’on a fait une belle prestation. C’était un beau match avec des occasions de part et d’autre. Nous aurions pu prendre l’avantage sur ce pénalty en première mi-temps. Il y a eu quelques autres situations au cours desquelles nous aurions pu ouvrir le score. Après, il y a Ménez qui entre en jeu, et il nous fait assez mal. Au final on a cédé mais on n'a vraiment pas à rougir de notre prestation.

[spoucknick00]

bon ça va tres positif les reactions , remarque il y a de quoi l etre . Faut gagné contre Troyes est descendre du nuage d hier maintenant :siflotte:

[babar051]

Le Stade de Reims défait sans rougir
Grzegorz Krychowiak, à la lutte avec Zlatan Ibrahimovic, et les Stadistes ont évolué sans complexe au Parc des Princes, faisant même trembler le Paris Saint-Germain et ses stars internationales à certaines occasions.


FOOTBALL (L1). Le Stade de Reims a fait mieux que se défendre hier (1-0)face à l'armada du PSG. Avec un peu de réussite, il aurait pu ramener au moins un point de son déplacement redouté au Parc. Dommage.

LE CONTEXTE
L'outsider rémois chez l'invaincu favori parisien. L'affiche, déséquilibrée sur le papier, méritait-elle l'attention des supporters ? Pourtant, le Parc était bien garni et l'ambiance garantie.
Le Stade avait beaucoup à prouver chez les nantis qataris qui, eux, ne pouvaient se permettre un faux pas face à un promu. On s'attendait à un match ouvert. Il le fut. La balance penchant finalement du côté du protagoniste le plus expérimenté.

SCHEMAS
Une fois de plus, Carlo Ancelotti a surpris. Cette fois-ci, le coach italien a placé deux défenseurs dans l'entre-jeu : Silva dans l'axe et Maxwell sur la gauche. Le 4-4-2 annoncé mais avec des éléments qu'on n'attendait pas.
En face, Hubert Fournier n'a pas bougé ses lignes. Son habituel 4-2-3-1, avec Courtet en pointe, a toujours bien fonctionné en déplacement.

LA PHYSIONOMIE
Une première période plutôt bien maîtrisée par des Rémois beaucoup plus entreprenants et dont la vitesse de jeu contrastait avec la lenteur des attaques parisiennes. D'ailleurs, les Champenois, plus incisifs, auraient mérité d'ouvrir le score. Sur des actions bien menées, au bout desquelles on trouvait souvent Courtet et Diego, et surtout sur le penalty du Brésilien, détourné en corner par Sirigu.
Changement d'état d'esprit et un dispositif plus offensif côté parisien avec l'entrée en jeu de Ménez. Obligés de reculer, les Stadistes allaient traverser une large zone de turbulences qui allait déboucher sur le but mérité, inscrit de la tête par Gameiro.
La poussée parisienne, plus forte, modifiait la face d'un match qui échappait aux Rémois. Malgré une fin de match plus incisive, les hommes d'Hubert Fournier ne parvenaient pas à remonter leur handicap, leur second souffle demeurant stérile.





LE TOURNANT
Ce long centre de Glombard, cette récupération à l'opposé de Souaré et ce dribble lobé du Sénégalais qui oblige Van der Wiel à détourner de la main dans la surface. Auteur d'un penalty réussi contre Nancy, Diego a choisi le même coin droit pour placer son tir appuyé à mi-hauteur, mais Sirigu parvenait à détourner en corner.
Ce fait de jeu, qui aurait dû concrétiser la bonne première mi-temps rémoise, allait au contraire, dès l'entame de la seconde période, sortir les Parisiens de leur torpeur, sous l'impulsion de l'international Ménez. Le PSG allait trouver la transversale par Matuidi, puis le montant droit par ce même Ménez.

LE CHIFFRE : 2
Comme le nombre de tirs cadrés par Zlatan Ibrahimovic hier au Parc sur 8 tentatives. Visiblement, le Suédois n'était pas dans son assiette. Pris dans la tenaille Weber - Tacalfred - Krychowiak, il se mua en meneur de jeu plus ou moins avisé. Sans doute émoussé par sa récente campagne internationale (2 matches en 4 jours), il laissa à Gameiro le soin de prendre de la profondeur.


De notre envoyé spécial Gérard Kancel




Les hommes clés...

Kossi AGASSA
Le meilleur portier de L1 a soutenu la comparaison face à un brillant Sirigu. Kossi a certes encaissé un but de la tête de Gameiro, mais il a repoussé avec brio des tentatives dangereuses de Ménez et Ibrahimovic.

Gaëtan COURTET
Sa vivacité a visiblement surpris les Parisiens. Toujours dans les bons coups, le Breton aurait pu ouvrir le score sur une tentative croisée du droit, puis de la tête. Il baissa un peu de rythme en seconde période, ne trouvant pas les appuis nécessaires pour créer le danger.

Antoine DEVAUX
On attendait beaucoup plus du stratège des Rouge et Blanc. Trop discret en première mi-temps, invisible en seconde période, il s'est manifesté par quelques éclairs au niveau de la passe. Trop peu pour placer ses attaquants dans les meilleures conditions.

[babar051]

Ancelotti : « Reims a une bonne équipe »
Carlo ANCELOTTI (entraîneur du PSG) : « C'est une belle victoire après un match difficile. Reims a une bonne équipe, bien organisée, qui possède un très bon jeu collectif. Je n'ai pas été surpris par sa prestation. Nous n'avons pas été bons en première mi-temps. Mais, avec deux tirs sur les montants, nous avons mérité notre victoire en seconde période.
Je suis d'autant plus satisfait que j'ai eu des difficultés à bâtir une équipe avec les nombreux blessés et la fatigue des internationaux ».

Hubert FOURNIER (entraîneur de Reims) : « Je ne suis pas déçu par la prestation de mon équipe, mais par le résultat final. Malheureusement, nous avons trop lâché en seconde période, alors que nous aurions dû capitaliser durant nos temps forts en première période. Cela nous aurait permis d'atteindre la pause en tête. Il y a eu certes le penalty, mais j'ai apprécié notre emprise sur le jeu, notre rigueur et notre discipline.
La rentrée de Ménez et ses déplacements dans le dos de notre défense, nous ont fait mal. Nous n'avons pas su répondre assez tôt. Il nous aura manqué 20 minutes. Mais j'ai apprécié notre fin de match, cette envie de se battre jusqu'au bout ».

Olivier GUÉGAN : « On peut être déçu après notre bonne première mi-temps. Si on ne marque pas dans nos temps forts, on n'y arrivera pas. En seconde période, certains ont un peu peiné physiquement, ce qui ne nous a pas permis de garder notre intensité. Il faut s'appuyer sur ce qu'on a bien fait pour réenclencher une nouvelle dynamique ».

Jean-Pierre CAILLOT : « On peut être déçu car on a réussi à faire douter le PSG. Je suis fier de mes joueurs. Nous avons perdu au tableau d'affichage mais gagné au niveau du cœur. On a vu la différence entre une grande équipe et une équipe en devenir ».

Didier PERRIN : « Je suis déçu car il y avait un bon coup à faire ici. En première mi-temps, nous avons collectionné les occasions sans en concrétiser une seule. Si nous répétons des matches de ce niveau, nous resterons bien placés. Cette défaite va nous apporter de l'expérience supplémentaire pour la suite ».

Antoine DEVAUX : « Sur la première mi-temps, il n'y a rien à dire. Nous étions bien dans le match. La suite a été moins parfaite. A partir du moment où on a baissé de rythme, on a souffert. Dommage que l'on perde bêtement ce ballon qui amène le but parisien ».

Kossi AGASSA : « Au vu de nos nombreuses occasions, nous ne méritions pas de perdre. A la mi-temps, je savais qu'ils allaient pousser. Sur le but, j'ai l'œil sur Ibrahimovic mais c'est Gameiro qui surgit derrière pour placer un bon coup de tête. Dès samedi, on devra récupérer ces points perdus ».

Julien TOUDIC : « En première période, nous n'avons pas été mis en danger. On a bien su prendre Ibrahimovic. C'est dommage qu'on n'ait pas pu marquer à ce moment-là. On méritait au moins le nul. Sur mon ciseau, si Sirigu ne touche pas le ballon, il va au fond ».

Mickaël TACALFRED : « Le penalty est le tournant. On a eu les occasions pour tuer le match. Il y a eu un grand gardien en face. A la mi-temps, on a tous soutenu Diego. Ne pas transformer un penalty ce n'est pas grave, il marquera dans le jeu lors des prochains matches ».

[spoucknick00]

c est pas le tout de faire attention a Ibrahimovic mais les autres aussi sont la ... :siflotte:

[babar051]

voici une foto ou on nous voit moi et mon frère on est sur la droite (moi avec mon maillot vert et mon frère a gauche)

[babar051]

Football (L1) / Reims s'en sort la tête haute
Julien Toudic s'est pourtant appliqué pour réussir son ciseau : le ballon caressera la transversale de Sirigu.

Au Parc, le Stade de Reims a fait mieux que Toulouse et Sochaux en ne s'inclinant que d'un but après avoir causé bien des tourments aux favoris parisiens.

L'expression prête à sourire. Parce qu'elle délivre une contradiction. C'est quoi au juste une défaite encourageante ? L'inverse d'une victoire sans gloire ?

D'Olivier Létang, ancien directeur général au Stade de Reims, secondant depuis un mois Leonardo dans la sphère sportive parisienne, à qui on demandait ce qu'il avait pensé de ce match si particulier pour lui, on s'est entendu répondre : « 3 points ». Lapidaire, mais tellement vrai.

Le Paris Saint-Germain, ultra-favori du championnat, concurrent hors norme à la course au titre, a donc tremblé dans son antre, face à un promu. Dominés, voire bousculés en certaines occasions, les Parisiens ont su assurer le minimum en décrochant samedi leur plus courte victoire de la saison à domicile. « Mais on méritait de gagner », a insisté Carlo Ancelotti. Gagner oui, mais avec une marge minimale.

Le plus bel hommage rendu aux Stadistes est pourtant venu de l'entraîneur italien : « Reims a une bien belle équipe, développant un bon jeu collectif. Nous étions prévenus. Mais notre victoire est méritée ».

Méritée, il a dit méritée ? Hubert Fournier relativise. L'entraîneur rémois a deux regrets : « Le penalty manqué constitue le tournant. À 0-1, ça n'aurait pas été pareil du tout. Ensuite, cette baisse de régime à l'entame de la deuxième mi-temps, une diminution d'intensité qui coïncide avec la rentrée de Ménez qui nous a fait mal. Il a tout de suite été entreprenant et dans la percussion ».

Weber : « Rageant »
Ainsi se raconte l'histoire du match le plus attendu et le plus craint par les Rémois. Vainqueur aux points après quarante-cinq minutes, le Stade a cédé à l'usure, sur des coups de boutoir répétés d'un trio Ménez - Ibrahimovic - Gameiro, bien soutenu par un Matuidi en forme internationale.

Le promu champenois, courageux, a résisté tant qu'il a pu, avant de céder sur un énième ballon perdu en phase de relance, parfaitement exploité par Gameiro. « C'est un peu rageant, affirme Anthony Weber, auteur d'un match solide. On n'était pas loin de faire un coup ».

Si Krychowiak n'avait pas payé les efforts consentis trois jours plus tôt en sélection, par exemple ? « On a un peu peiné physiquement pendant 20 minutes, c'était suffisant pour que Paris reprenne le dessus », a remarqué Olivier Guégan.

« C'est à travers ce genre de match, de scénario, qu'on apprend », a rappelé Hubert Fournier. « Si on joue tous nos matches de cette manière, on réussira un bon championnat », pronostique même Didier Perrin.

Satisfait de la manière, déçu par le résultat : voilà résumé le sentiment général côté stadiste. « Nous avons, je pense, été à la hauteur de l'enjeu, se persuadent Anthony Weber et Kossi Agassa, il n'y a pas de honte à s'incliner d'un but au Parc des Princes ». Hubert Fournier confirme : « Perdre d'un but ici et repartir déçu pour un promu, c'est plutôt positif ».

La série d'invincibilité s'est arrêtée sur le chiffre 6. « C'est dommage, avoue Olivier Guégan, mais il va falloir réenclencher une nouvelle dynamique. Le match contre Troyes prend ainsi de l'importance. Si on s'exprime comme on l'a fait ici, ce sera bien. L'expérience de cette défaite doit nous servir ».

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« Malheureux pour l'équipe »
Gameiro qui surgit dans le dos de Tacalfred pour tromper Agassa. Dommage.

Dire qu'il était inconsolable serait forcer le trait. Mais, Mickaël Tacalfred digérait difficilement le but de Gameiro. L'échange de maillot avec Ibrahimovic au coup de sifflet final adoucissait sa peine mais le capitaine se sentait impliqué sur le seul but du match : « Je suis malheureux pour l'équipe. Il était dans mon dos. Il a surgi en renard des surfaces. »

La mine de « Tacal » sur les écrans de télévision, à vitesse réelle comme au ralenti, trahissait ses états d'âme. L'ancien Dijonnais était évidemment responsable d'une négligence devant Gameiro mais il n'était pas le seul à incriminer.
Bien en amont, le mouvement s'est déclenché après une perte de balle évitable à 40 m d'Agassa. « On avait la place pour garder le ballon et on le perd », constatait Anthony Weber. « Derrière, on n'était pas en place. Je ne sais plus qui a mis une galette devant le but… »

Pour mémoire, c'est Maxwell, servi par Matuidi, qui a centré. Il y a fort à parier que le Brésilien cherchait le crâne d'Ibra. « J'avais l'œil sur lui », lâchait Agassa qui surveillait le Suédois. L'ancien Milanais a tenu un rôle prépondérant dans l'action. Sans jamais toucher le cuir… Il a aimanté la défense !

« J'ai vu Anthony (Weber) au duel avec Ibrahimovic », expliquait Tacalfred. « Le ballon est passé. Je me suis dit qu'il allait sortir en 6 m. Personne n'a eu le temps de me parler. » Gameiro a pris tout le sien pour ajuster Kossi à l'entrée du petit rectangle.

« C'est un peu bête », continuait à raison Weber. La charnière s'était longtemps partagée le marquage des stars Gameiro et Ibrahimovic sans souffrir, « même si on lâchait dans l'intensité en début de seconde période », constatait Hubert Fournier. « Ménez nous faisait mal par ses percussions. »

« On avait moins de maîtrise dans le ballon », insistait Tacalfred qui avait contribué à museler le binôme international du Parc.

« Je ne sais pas si c'était le vrai Zlatan », s'amusait toutefois Weber. « Il s'économisait peut-être en vue de la Ligue des Champions ou alors il faisait moins d'efforts parce que c'était un promu en face. En tout cas, il n'a pas été trop étincelant et ça s'est pas trop mal passé pour nous. »

A tel point que l'optimisme était monté d'un cran. Parce « qu'on a fait honneur au maillot, qu'on a montré ce qu'était le Stade de Reims », dixit Mandi. Pour tout cela donc, les Rouge et Blanc ont cru un moment « qu'il y avait moyen de faire mieux » (Fournier) mais cela ne tolérait aucune inattention. « Dans les temps faibles, ça se paie cash », concluait Tacalfred qui ruminait encore sa baisse d'attention d'un dixième de seconde…

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Courtet blessé
FOOTBALL (L1). Mal retombé après une lutte aérienne livrée à la charnière centrale parisienne samedi, Gaëtan Courtet a terminé le match en boitant.

L'attaquant souffrirait d'une entorse de la cheville gauche, l'obligeant déjà à renoncer au derby contre Troyes, samedi (20 heures, à Delaune).

Il doit passer des examens complémentaires demain. La durée de son indisponibilité dépendra de leurs résultats.

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nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn pas Courtet