[CLUB] - STADE DE REIMS

[babar051]

Un Stade de Reims inoffensif face à Toulouse
Les Rémois se sont inclinés ce samedi soir à Toulouse. Leur 6e défaite en 11 déplacements. Le début d’année 2015 est toujours aussi terne.

Sortie trop brouillonne pour Franck Signorino et les Rémois pour espérer ramener mieux qu’une défaite de Toulouse.

Sur le plan arithmétique, Reims a commencé la phase retour comme il avait débuté la phase aller. Avec un point en quatre journées. Autrement dit, il a concédé hier à Toulouse (1-0) sa troisième défaite en Ligue 1 depuis le début de l’année 2015.
S’il n’y a pas encore de péril au classement avec huit points d’avance sur le premier relégable, l’équipe champenoise stagne dans la deuxième moitié du tableau, paraissant toujours montrer ses limites avec l’absence de cadres (Mandi, Oniangué, Charbonnier, Diego) quand d’autres sont seulement sur le retour (Weber, Fortes, Moukandjo). L’esquisse de rébellion des Toulousains, qui n’avaient pas gagné depuis six rencontres, a suffi à leur bonheur.

UN 4-3-3 TIMIDE
Après l’expérimentation infructueuse d’un 3-5-2 face à Lens (0-0), Reims est revenu hier à un classique 4-3-3, favorisé par le retour de Fortes de la Coupe d’Afrique des Nations. L’attaquant cap-verdien s’est créé l’une des deux occasions champenoises de la première mi-temps – avec un coup franc de De Préville (10e) –, mais il a manqué de lucidité à la conclusion (29e).
Sans Charbonnier, suspendu, l’animation a semblé timorée, certainement trop prudente avec Bourillon collé à la défense centrale. À la mi-temps, les Stadistes n’avaient centré que trois fois…
Devant l’évidence, Vasseur a lancé Moukandjo peu après la reprise. Puis le jeune Siebatcheu pour sa première apparition en L1. Le premier, meilleur buteur stadiste, a été l’auteur de la seule tentative cadrée de la seconde période (60e).

PLACIDE COMPTE LES MINUTES
Giflé lors de son précédent déplacement à Caen (4-1), le Stade court après une solidité défensive seulement masquée par les prouesses de Placide la semaine dernière. Une fois encore, le gardien haïtien a retardé l’échéance, s’interposant devant Ben Yedder (25e) et Pesic (28e). Avant de s’incliner sur une tête piquée du Serbe, auteur de son 5e but en championnat, puis de sauver devant Ben Yedder (84e). En 23 journées, Reims n’a réussi que 7 « clean sheet ». Hier, l’invincibilité de son portier s’est encore arrêtée au bout de 147 minutes. Son équipe a encaissé des buts lors de huit des neuf derniers matches en Ligue 1.

LA PHOBIE DES TRANSPORTS
Au-delà d’un voyage compliqué pour rallier la Haute-Garonne, les Rémois détestent toujours autant les déplacements. S’ils avaient, à l’automne, enchaîné trois nuls consécutifs à l’extérieur (Nantes, Monaco, Nice), ils ont subi hier leur sixième défaite loin de la Champagne. Et le prochain voyage, le 13 février à Marseille, s’annonce encore plus périlleux. Le Stade aura donc une obligation de résultat samedi à Delaune face à Lorient.

[spoucknick00]

des brele des pinnes , faut virer Ngog , j etais content de sa venue . Mais meme charbonnier serait meilleur au meme ^poste . Aller encore 2 matchs et il se ferra sifflet constament . Vivement le retour de blessure de Kieyi . En meme temps viré moi Bourillon (oniangué revient )

[babar051]

Section amateurs : les résultats du week-end

SECTION FEMININE :
Stade de Reims Féminine – Division d'Honneur – 9ème journée : Cliquez ici
Stade de Reims – Reims Chalet Tunisie : 11-0
Buts : Colzani (x4), David (x2), Cochain (x2), Adam, Moussaoui (x2).

Florent Ghisolfi : "Un match de reprise avec une entame très poussive en manque de rythme et d’intensité. Les filles ont su se reprendre dans la seconde période et élever leur niveau de jeu. Le score est anecdotique, mais malgré tout, cette victoire nous permet de reprendre notre marche en avant et surtout de reprendre la tête du championnat après ce match en retard."

GROUPE ELITE :
Stade de Reims U19 - Championnat national U19 Groupe B – 16ème journée
Stade de Reims – Besançon Racing : 3-0
Buts : Jung (x2), Gonel.

Franck Chalençon : "On a su gérer le match en menant 3-0 à la mi-temps. Durant cette période, nous avons eu pas mal d’occasions satisfaisantes dans l’ensemble. La seconde mi-temps était plus laborieuse, notamment en raison des conditions de jeu très difficile avec de la neige et beaucoup de vent. Ce qu’il faut retenir, c’est cette victoire qui nous permet de continuer notre série d’invincibilité et de bien préparer le match comptant pour les 32èmes de finale de la Gambardella, dimanche face au FC Metz."

FORMATION :
Stade de Reims U17 – Championnat national U17 Groupe B - 17ème journée
Stade de Reims (3e) – Mulhouse FC (5e) : ---

Mulhouse n’ayant pas pu se déplacer, le match ne s’est pas joué.

B.Moukandjo invité de J+1 ce soir !
Benjamin Moukandjo est l'invité du magazine sportif J+1 ce soir à 22h45 sur Canal+ Sport.

[babar051]

Janvier, le mois le plus mauvais
Depuis le début de l’année 2015, le Stade de Reims est la plus mauvaise équipe de Ligue 1. Au niveau des résultats sûrement, mais peut-être aussi au plan du jeu.

Arpenter la zone mixte du Stadium samedi soir, c’était un peu comme ouvrir un dictionnaire des synonymes. À la page des adjectifs. « Nul, archinul » (Jean-Pierre Caillot). « Affligeant, pathétique » (Didier Perrin). Voilà le premier commentaire qu’a inspirée la défaite à Toulouse (1-0) aux co-présidents rémois. « Il faut parfois être concis, ajoutait Jean-Luc Vasseur. On n’a pas été bons. »
Le début de 2015 est inquiétant. Avec un point sur douze, Reims est dernier de la nouvelle année civile. « Le mois de janvier a été catastrophique, confie Franck Signorino. On a relancé Caen (4-1) et Toulouse (1-0), on a frôlé la correctionnelle contre Lens (0-0). À nous de réagir, car le danger peut se rapprocher très vite. »

Un tiers du capital dilapidé
Après avoir compté neuf points d’avance sur la zone de relégation à la trêve, l’équipe champenoise a déjà dilapidé un tiers de son capital. « Quand on voit notre jeu du mois de décembre et ce qu’on produit aujourd’hui, c’est scandaleux, résume Didier Perrin. Il va falloir très vite se remettre à l’endroit parce que ça commence sérieusement à me gonfler. Il faut que tout le monde prenne conscience qu’on n’est pas encore maintenus. Et ce n’est pas en faisant des matches comme ça qu’on va l’être rapidement. »
Le message d’alerte, les dirigeants stadistes l’ont fait passer aux joueurs dès la fin de la rencontre. « On va les bouger pour les remettre au travail, assure Jean-Pierre Caillot. En ce moment, certains se prennent pour d’autres. »
Techniquement, les Rémois n’ont pas réussi grand-chose en Haute-Garonne (68 % de passes réussies). Mentalement, ils n’ont pas paru vraiment concernés, incapables d’une quelconque réaction après l’ouverture du score. « Toulouse n’a pas forcément mérité sa victoire, mais nous, on a mérité de perdre, poursuit Signorino. Avec un tel déchet et si peu d’intentions, il est difficile de prétendre à quelque chose. Or, si on commence à penser qu’on est supérieurs, on peut être derniers du championnat. Il faut revenir à nos valeurs. »

S’il fallait une preuve que Reims ne joue que le maintien, elle a été donnée. Mais il y a plusieurs façons d’appréhender la situation : avec sérénité ou avec fébrilité. « Il ne faut pas toujours avoir peur de derrière, il faut aussi être ambitieux et avoir envie d’avancer, estime Jean-Luc Vasseur. S’il faut mettre davantage de pression, je vais la mettre. »
La clôture du mercato d’hiver et le retour progressif des cadres va éclaircir la situation pour la fin de la saison. Face à Lorient samedi, on en saura déjà plus sur le degré d’orgueil d’un effectif qui a déjà surmonté la tempête d’un début de championnat raté. « Je ne suis pas inquiet parce que le groupe a de la capacité, martèle Jean-Pierre Caillot. Mais je sais qu’on est capable de faire très bonne figure et parfois d’être nul. »
En conférence de presse, Jean-Luc Vasseur a promis qu’il n’allait pas « se suicider ». Depuis trois matches, c’est le jeu de son équipe qui s’est éteint.

[VincenzOM]

Ha oui quand même

[babar051]

Tacalfred: «Il va falloir vite rebondir»
Le capitaine a mauvaise mine. À l’image de son équipe, naufragée en Haute-Garonne. Simple coïncidence, c’est lui qu’on envoie au front.
Le discours consensuel de Mickaël Tacalfred suffira-t-il à calmer l’agacement ambiant ? En tout cas hier, le « Gwada Boy » a prôné l’apaisement.

Un point sur 15 possibles, plus une élimination en Coupe de France, le Stade de Reims vient de vivre son pire mois de la saison…
L’histoire se répète. On a l’impression de revivre notre début de saison. Le bilan comptable est très décevant, il va falloir rebondir.

Vous avez une idée ?
Nous devons absolument retrouver nos valeurs – abnégation et solidarité notamment –, car nous sommes capables, et nous l’avons déjà montré, de faire beaucoup mieux. L’équipe a été sans doute affaiblie par l’absence des sélectionnés et les blessures, mais ce n’est pas une excuse. Nous avons beaucoup cravaché en 2014 pour nous remettre de notre entame manquée, et voilà que l’on replonge. C’est dommage.

Les promus vous font des misères…
Hormis Saint-Étienne, toutes les équipes rencontrées récemment évoluent dans le bas du tableau. Nous avions des chances de les battre. À l’arrivée, on constate qu’elles ne nous réussissent pas.

Êtes-vous inquiet et comment sortir de cette spirale négative ?
Inquiet, non. Mais il faut être vigilants, tout peut aller très vite. On doit vite redevenir compétitifs et retrouver cette réussite qui nous fuis. C’est ce qui se passe devant qui nous intéresse, pas derrière.
Les propos de vos dirigeants ont été très durs après la défaite de Toulouse…
Ils ont eu des mots très durs, mais je les comprends. Ils sont déçus. Je pense qu’ils souhaitent nous faire bien prendre conscience de la situation et piquant notre fierté. On échange beaucoup entre nous, mais si les mots sont beaux, c’est sur le terrain que ça se passe.

La nouvelle pelouse de Delaune peut-elle vous aider ?
C’est en tout cas une bonne chose. Elle va nous permettre de mieux nous exprimer, et j’espère bien qu’elle nous porte chance.
Avez-vous été étonné qu’il n’y ait pas eu d’arrivée au sein du groupe durant le mercato d’hiver ?
Nos adversaires ont modifié leur effectif, mais cela changera-t-il les choses ? L’important est de rester concentrés sur nous, sur notre jeu, dès samedi face à Lorient.

[babar051]

J.Placide vainqueur du TOP 5 arrêts !
Avec 50 % de votes en sa faveur, Johny Placide a été désigné vainqueur du Top 5 arrêts de la 23e journée de Ligue 1 par les internautes du journal l'Equipe.

Johny Placide avait préservé jusque là le match nul entre les deux équipes en remportant son duel face à Alexandar Pesic d'une superbe main ferme qui permis de détourner la ballon hors des cages rémoises.

[babar051]

Y a-t-il un problème David Ngog au Stade de Reims?
L’attaquant franco-camerounais, recrue vedette du Stade de Reims cet été, tarde à exprimer son potentiel. Il en souffre, le jeu de son équipe aussi.

David Ngog tarde à donner sa pleine mesure. Pourtant, le Stade de Reims a misé gros sur lui.

C’est le sujet qui fâche. Celui dont on parle en off, mais rarement publiquement. Existe-t-il un problème David Ngog au Stade de Reims ? Depuis cinq mois, le Parisien, cousin de l’ancien défenseur international Jean-Alain Boumsong, recruté pour conduire l’attaque stadiste, bafouille son jeu. À ce jour, son rendement est famélique : 2 buts en 14 matches dont 13 titularisations.
Après avoir fait preuve de patience avec cet ancien espoir du foot français (17 sélections chez les Espoirs), recruté à 19 ans par Liverpool (9 buts en 94 matches), l’entourage du club pressent comme un malaise autour de cette recrue cinq étoiles qui devait faire oublier l’Israélien Eliran Atar, reparti dans l’anonymat, après avoir longtemps été assigné au banc de touche.

Il y a d’abord les chiffres : 2 buts (contre Toulouse, 5e journée, et Bastia, 15e journée). Ngog n’a jamais été un grand finisseur. Il est considéré plutôt comme un attaquant de rupture, rapide balle au pied, résistant dans les duels, et à l’aise dans le jeu aérien. Chez les Reds de Liverpool, il s’était également fait remarquer par ses gestes spectaculaires dans la surface. Mais ça, c’était avant…
Il y a ensuite son positionnement sur l’échiquier rouge et blanc. Utilisé le plus souvent en pointe d’un schéma classique en 4-2-3-1, mais aussi en duo récemment dans le 4-4-2 puis le 3-5-2 mis en place en l’absence des sélectionnés africains, le joueur formé au Paris SG, n’a pas fait des étincelles. Loin de là. Son apathie, son manque de résistance et de solidité dans les duels dos au but, ses nombreuses pertes de balle et son manque d’efficacité dans la zone décisive, ont sauté aux yeux.
« Je ne suis qu’à 70 % de ma condition physique », expliquait-il au soir du succès à l’arraché contre Bastia (2-1, le 27 novembre). Deux mois plus tard, le Gennevillois semble toujours au même point, perdant sa lucidité et son peps après l’heure de jeu, ce qui conduit souvent à son remplacement (il n’a terminé que 3 de ses 14 matches de L1, les 3 derniers disputés à Caen, contre Lens, et à Toulouse).

Il y a enfin son attitude. Garçon discret, voire secret, David Ngog semble évoluer en marge du groupe, perdu dans ses pensées. S’il met toujours autant d’enthousiasme que ses partenaires à l’entraînement, il donne l’impression d’être peu concerné. Un détachement qui se perçoit aussi sur le terrain où son manque de hargne, de combativité, affecte le rendement collectif. Aider l’équipe, c’est aussi se battre et le montrer, ne pas perdre trop facilement le ballon et mettre plus d’entrain dans son travail sans ballon.
Le joueur ne semble pas être totalement remis de son fameux « virus » estival, considéré par certains observateurs comme un vrai « pétage de plomb, » et qui l’a poussé, au grand étonnement de ses collègues de travail, à vivre en marge du groupe du 20 septembre au 1er octobre 2014.

Aujourd’hui encore, la communication autour de David Ngog, sous contrat jusqu’en juin 2016, relève du mystère. En dehors de sa présentation officielle, le joueur ne vient jamais s’exprimer en conférence de presse. Les quelques banalités arrachées le sont en fin de match, en zone mixte, lorsqu’il daigne s’arrêter face aux micros.
Son entraîneur, qui l’a côtoyé au PSG, a-t-il relevé chez lui une fragilité psychologique qui l’incite à le protéger ? Jean-Luc Vasseur reconnaît que Ngog « a eu des petits soucis, des coups de moins bien. Mais il n’y a pas que lui, et ce n’est pas juste de stigmatiser sur son cas ».

Le coach champenois, c’est une évidence, n’accepte pas que l’on désigne son attaquant comme le responsable de la mauvaise passe traversée par son équipe (1 point sur 12 possibles en janvier). « Quand ça se passait bien en novembre-décembre, David jouait. Aujourd’hui, il n’est pas le seul coupable ».
Au Stade, avec David Ngog, patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.

[babar051]

Vasseur : «Ça fait du bien»
Jean-Luc Vasseur, l'entraîneur de Reims, a fait part de sa satisfaction de récupérer tous ses joueurs pour la rencontre contre Lorient samedi (20h00).

Jean-Luc Vasseur récupère tous ses joueurs pour le match contre Lorient samedi. (L'Equipe)
«Ça fait du bien de retrouver tout le monde à l'entraînement», a déclaré vendredi Jean-Luc Vasseur, l'entraîneur de Reims, qui a récupéré cette semaine tous ses internationaux africains (Odaïr Fortes, Benjamin Moukandjo, Prince Oniangué et Aïssa Mandi). «On se doit de réenclencher une dynamique positive samedi contre Lorient avec notre groupe au complet», a poursuivi Vasseur, dont l'équipe reste sur une performance catastrophique contre Toulouse (0-1).
«Transmettre toutes les ondes positives»

«La victoire est obligatoire face à Lorient, un concurrent direct», a estimé Prince Oniangué, le milieu congolais, revenu de la CAN plein d’enthousiasme. «Une expérience comme la CAN c'est magnifique! Je vais essayer de transmettre toutes les ondes positives que j'ai reçues en Guinée au collectif. Physiquement je me sens bien, j'ai envie d'enchaîner les matches.»

[babar051]

SDR - FCL : Le groupe Rouge et Blanc
Jean-Luc Vasseur a retenu un groupe de 18 joueurs pour la réception du FC Lorient en vue de la 24ème journée de Ligue 1 ce samedi 7 Février à 20h00 :

Gardiens : Johny Placide, Kossi Agassa
Défenseurs : Antoine Conte, Aissa Mandi, Chris Mavinga, Valentin Roberge, Franck Signorino, Anthony Weber, Mickael Tacalfred
Milieux de terrain : Grégory Bourillon, Antoine Devaux, Diego Rigonato, Prince Oniangué
Attaquants : Gaëtan Charbonnier, Nicolas De Preville, Odaïr Fortes, Benjamin Moukandjo, David Ngog,


Absents :
Blessure : Mads Albaek (pubalgie), Sacha Bastien (cuisse droite), Yann Benedick (cuisse droite), Grejohn Kyei (cuisse droite)
Choix de l’entraîneur : Mohamed Fofana, Christopher Glombard, Jérémy Malherbe, Oménuké Mfulu, Alexi Peuget, Franck Zambo.

[babar051]

Nouvelle pelouse posée
Importée des Pays-Bas, la nouvelle pelouse du stade Auguste-Delaune, où évolue le Stade de Reims, a été posée lundi - mardi. Coût estimé de l'opération : environ 140 000 euros.

la pelouse la moins chere depuis le nouveau delaune lol

[spoucknick00]

ben si ça tient , tant mieux , on verra

[VincenzOM]

ça ne pourra pas être pire

[psgsud11]

Après le synthétique de Lorient , le parquet de Reims ...

[VincenzOM]

Et ben bordel c'est pas la joie là :

13 : Reims : 29 (défaite)
14 : Caen : 27 (victoire)
15 : Bastia : 27 (victoire)
16 : Lorient : 27 (victoire)

Sale journée pour Reims là

[spoucknick00]

ben , on est en route pour la ligue 2 ...mais c est bon . Hervé est libre , il a fini la Can ...on peut viré vasseur parisien de merde et prendre un vrais coach

[VincenzOM]

ben , on est en route pour la ligue 2 ...mais c est bon . Hervé est libre , il a fini la Can ...on peut viré vasseur parisien de merde et prendre un vrais coach

Non non vous n'allez pas descendre !

[psgsud11]

ben , on est en route pour la ligue 2 ...mais c est bon . Hervé est libre , il a fini la Can ...on peut viré vasseur parisien de merde et prendre un vrais coach

Pas sûr qu'il vienne à Reims , vu le titre à la CAN ..

Sinon , ils sont "libres" :

http://www.unecatef.fr/index.php/entrai ... re/id/1852" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.unecatef.fr/index.php/entrai ... e/id/28732" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.unecatef.fr/index.php/entrai ... bre/id/222" onclick="window.open(this.href);return false;
http://www.unecatef.fr/index.php/entrai ... bre/id/247" onclick="window.open(this.href);return false;

ou bientôt "libre" :

http://www.unecatef.fr/index.php/entrai ... re/id/1925" onclick="window.open(this.href);return false;

[babar051]

GAMBARDELLA. Le Stade passe à la trappe

32e DE FINALE. Finaliste en mai dernier, Reims n’ira pas plus loin cette saison. Il a été battu à domicile par Metz, un habitué des beaux parcours aussi.

Les Rémois ont passé le tour précédent assez facilement avec une victoire à Sain-Quentin (6-1) tout comme le FC Metz vainqueur à Villers-lès-Nancy (3-0). Le match commençait par une forte intensité des deux côtés, mais sans réelles occasions. La défense rémoise était gênée par un pressing haut des Messins et jouait donc sur Jung qui profitait de sa taille pour travailler en pivot. Sur la première mi-temps, les Rémois n’ont concédé que deux occasions, une frappe au-dessus de Teixeira (10e) et à côté de Fieck (35e).
Au retour des vestiaires, les Rémois se procuraient la meilleure occasion du match : un contre éclair suite à un corner messin (50e).
La seule frayeur pour les Marnais fut sur un ballon dégagé des poings par Lemaitre, repris de volée par Toussaint, la frappe était contrée et prenait la direction des filets, mais le gardien rémois sortit une parade (63e). La séance de tirs aux buts semblait inévitable. Elle vit le FC Metz s’imposer 4-3 malgré le soutien de Jean-Pierre Caillot, de quelques joueurs pros venus encourager leurs camarades et des nombreux supporters présents malgré le vent glacial.

Franck CHALENÇON (entraîneur de Reims) :
« Il y a beaucoup de déception. Sur le match, on a tapé les poteaux. Nous avons eu les meilleures occasions. C’était un match serré, un match de haut niveau. Il a basculé sur peu de chose. Je dirais qu’on gagne aux points mais, perdre aux penalties est toujours très difficile. »

Reims est passé de l’espoir au désespoir
Il est des défaites qui coûtent beaucoup plus chères que zéro point. Celle concédée samedi par le Stade de Reims face à Lorient, en fait partie. Parce qu’elle est aussi stupide que grave. Parce qu’elle s’inscrit dans une inquiétante série négative. Parce que, surtout, elle reflète un état d’esprit : celui d’une troupe peu concernée par la gravité de sa situation comptable, et d’un entraîneur dont les convictions, au demeurant sincères, semblent résolument fragilisées par un bilan qui pourrait tourner au fiasco.
La maison, l’institution comme aiment à l’appeler ses dirigeants, traverse une période de graves turbulences comme elle l’a connue dans le passé, qui non seulement réduit à néant le bel effort consenti en fin d’automne pour redresser une situation déjà précaire en début de parcours, mais hypothèque fortement une fin de championnat espérée plutôt sereine.
Samedi, à l’issue d’un cinquième revers à domicile, les deux principaux dirigeants du club, MM. Perrin et Caillot, n’ont pas, cette fois, tenté de dissimuler leur exaspération. Le premier a exigé une explication franche et directe en interne. « Tout ce que j’ai sur le cœur, je préfère le dire directement aux intéressés », a-t-il lâché.

Le président lui, n’a pas fait dans la caricature. « Je suis dépité quand je vois un match comme celui-ci, et il va y avoir un problème si ça continue comme ça. On s’incline en relançant un adversaire direct. On fait un cadeau sur le premier but. Quant au 2e but lorientais, le joueur (Bourillon) à côté de Guerreiro le regarde armer sa frappe... »
Jean-Pierre Caillot souhaite siffler la fin d’une récréation qui n’a rien de ludique et redéfinir les responsabilités. « On n’a jamais vu une équipe se maintenir avec 29 points. Nous n’en avons pris qu’un seul sur les 15 derniers mis en jeu, alors que nous venons de jouer quatre équipes de notre championnat ».

Si ce n’est pas une crise, ça y ressemble fortement. Après s’être longtemps caché derrière l’argument Coupe d’Afrique des Nations, après avoir longtemps déploré les absences pour blessures de joueurs jugés importants, face à Lorient, la réalité a claqué comme un coup de fouet, ce Stade a perdu l’identité de son jeu : trop approximatif techniquement et tactiquement, trop brouillon dans les zones de vérité, trop lisible, percutant mais désordonné, pas assez collectif.

Vasseur : « C’est compliqué parce qu’on perd »
Et Reims a souffert de la comparaison avec ce FC Lorient à la démarche humble et cohérente et finalement plus consistante. « C’est compliqué, parce qu’on perd, a dit un Jean-Luc Vasseur désormais très exposé, mais qui réclame du temps. Nos joueurs absents en janvier sont tous rentrés, mais on a travaillé un mois sans eux et ce sera sans doute encore un peu long ».
L’entraîneur, visiblement touché, insistera encore davantage ces prochains jours sur cette rigueur générale qui fait défaut, et qu’il faudra pourtant vite retrouver. Il ne s’exonère pas d’un travail de contrition : « On peut s’interroger sur les choix qui ont été faits, il faut savoir se remettre en question... »
Voilà donc l’état général dans lequel baigne le Stade de Reims, à 14 étapes de l’arrivée. Statistiquement, il reste sur une série de 5 matches sans victoire en L1 (1 nul, 4 défaites) et se situe à une rencontre de sa plus mauvaise série depuis août 2014. L’équipe marnaise n’a remporté que 2 de ses 9 derniers matches de championnat, et aucun en 2015.
Bref, en un mot comme en cent, le Stade de Reims est la plus nulle formation de L1 depuis janvier.


Marche arrière
Ils n’étaient que 11 757 dans les tribunes de Delaune samedi. Pour découvrir une parodie de football sur une surface refaite mais gelée, favorisant glissades et mauvais appuis, et assister, in fine, à la 5e défaite rémoise à domicile.
En un mois, le Stade de Reims a dilapidé un magot péniblement amassé lors de la phase aller. Lui qui possédait 9 points d’avance sur le 18e (Évian) à la trêve, ne compte plus désormais que deux victoires d’avance sur les Haut-Savoyards, toujours premier relégable. Si le championnat avait débuté en janvier, Reims serait lanterne rouge avec 1 point, soit 11 de moins que le leader de l’hiver (Caen).

Alors que son attaque cafouille (3 buts en 5 matches, dont un seul, celui de Moukandjo samedi, inscrit sur une action construite), c’est sa défense qui inquiète. C’est de loin, la plus perméable depuis la trêve (10 buts), soit 7 de plus que... Caen.
Mais qu’a donc Reims de moins que des adversaires comme Bastia, Lorient, Toulouse, ou même Évian ? Sans doute une prise de conscience de son véritable niveau : les Stadistes n’arrivent plus à faire bloc dans les moments cruciaux. Les fautes d’attention et la répétition des erreurs individuelles plombent immédiatement leurs rares initiatives.
Et puis, leurs individualités marquantes, investies d’une responsabilité plus lourde en l’absence des sélectionnés africains et des blessés, ne sont pas au mieux physiquement et peut-être psychologiquement.
Que dire des recrues, au rendement largement insuffisant, et qui finalement, à une ou deux exceptions, se retrouvent reléguées sur le banc de touche.
Le chantier est immense. Nous voilà revenus aux heures sombres d’août.

[babar051]

Débandade mode d’emploi
Les tribunes se sont vidées en un temps record. À une extrémité du stade, la cinquantaine de supporters lorientais exulte. Une rengaine maintes fois entendue : « On vient, on gagne, et on repart ». Assis dans le rond central, les mains sur la tête, Antoine Devaux, n’a visiblement pas envie de regagner les vestiaires et se mélanger aux ombres tourmentées. Le milieu de terrain stadiste semble abattu, dépité. Reims a manqué son premier rendez-vous de février, et lui sa 100e apparition en rouge et blanc.
À l’intérieur du stade, le climat est glacial. Didier Perrin, l’un des actionnaires majoritaires fuit les micros. « Je n’ai rien à dire ce soir. Je préfère garder mes réflexions pour une explication en interne. Et le plus tôt sera le mieux. »
Le président Jean-Pierre Caillot a la mine déconfite : « On passe notre temps à relancer nos adversaires directs. On ne peut pas se réjouir d’encaisser trois buts chez nous. Il va bien falloir crever l’abcès, on ne peut plus continuer comme ça ».

« Bougez-vous le c... »
Cette cinquième défaite à domicile fait mal. Parce que ce match contre les Merlus de Lorient devait sonner le vrai départ de l’année 2015. Il n’a été que le reflet des oppositions précédentes : aucune rigueur, un manque évident d’efficacité dans les deux surfaces, et surtout un jeu collectif qui se délite au fil des minutes.
Alors que les Champenois étaient parvenus à ouvrir la marque avec un 7e but du lion indomptable, Moukandjo, ils ont répété les mêmes erreurs en gérant mal leur entame de deuxième mi-temps. Lorient en a profité pour égaliser, prendre l’avantage, et enfin enfoncer le clou. Face à lui, des Stadistes pétrifiés, comme perdus sur une pelouse refaite mais gelée qui a accentué leurs défauts actuels.

Alors, le public s’est mis à chanter : « Bougez-vous le c… ». Et puis des supporters ont copieusement sifflé les joueurs sortis (Bourillon et Charbonnier) qui ont, malheureusement payé pour les autres. Car le Stade de Reims s’est certes battu, mais a montré trop de lacunes pour espérer enrayer sa chute. Le voici à portée de fusil de son adversaire d’hier, avec un écart sur la zone de relégation qui se réduit comme neige au soleil.
Comme si Reims, qui n’a cueilli qu’un seul point sur les 15 distribués depuis la reprise, cherchait à se faire peur. Et avec un périlleux déplacement à Marseille qui s’annonce vendredi prochain. Hier soir, on avait la désagréable impression qu’au sein de la maison rémoise, le plus dur était à venir.

[psgsud11]

Mais que fait le gros Caillot pour promettre une pt'ite valise pour l'arbitre ? sinon , pour Spouck et Babar , n'oubliez pas pour vendredi :

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Mais , en cas d'exploit :

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[VincenzOM]

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[psgsud11]

Spoucknick et Babar attendent ce jour avec impatience ...

[VincenzOM]

Spoucknick et Babar attendent ce jour avec impatience ...

Ben ils ont pas tords je pense

[babar051]

[OFFICIEL] F.Signorino & N.De Préville prolongent avec le SDR !
Franck Signorino et Nicolas De Préville poursuivent l'aventure en Rouge et blanc !

En fin de contrat à la fin de saison, le latéral gauche du Stade de Reims Franck Signorino (34 ans - 18 matchs joués en Ligue 1 cette saison, 18 titulaires, 1 passe décisive), prolonge officiellement son contrat avec le Stade de Reims d’une année supplémentaire. Arrivé en Champagne lors du mercato estival 2012, il est désormais lié avec le club jusqu’en juin 2016.

L’attaquant du Stade de Reims Nicolas De Préville (24 ans, 15 matchs joués en Ligue 1 cette saison, 9 titulaires, 1 but, 2 passes décisives), à qui il restait une année de contrat au terme de la saison 2014-2015, prolonge quant à lui son contrat avec le club pour deux années supplémentaires, il est désormais lié avec le club jusqu’en juin 2018.

Le Stade de Reims est heureux et fier de pouvoir compter sur des joueurs comme Franck et Nicolas, qui par leur souhait de poursuivre l’aventure en Rouge et Blanc nous prouvent une fois de plus leur fidélité et leur attachement envers le club.

Stade de Reims : l’escapade de Vasseur qui agace ses dirigeants
Quatre défaites et un match nul : tel est le bilan du Stade de Reims en championnat depuis le début de l’année 2015. Tranquillement installée dans le ventre mou du classement à mi-saison, la formation champenoise se retrouve aujourd’hui à portée de tir des équipes luttant pour leur maintien parmi l’élite.

L’entraîneur de l’équipe Jean-Luc Vasseur s’en trouve par conséquent fragilisé. Mais ces mauvais résultats ne sont pas la seule raison pour laquelle le technicien agace ses dirigeants. À en croire le quotidien L’Équipe, son absence dimanche lors d’un match de Coupe Gambardella (Vasseur avait préféré se rendre à l’émission Canal Football Club) aurait été mal perçue en haut-lieu.

Le président rémois Jean-Pierre Caillot et celui de l’association Didier Perrin se sont d’ailleurs réunis lundi, sans doute pour évoquer la situation préoccupante de l’équipe.