

euh non il est encore iciCourtet est bien là
Gaëtan Courtet fait partie des 18 joueurs rémois retenus par Jean-Luc Vasseur pour le déplacement à Caen, samedi. L’attaquant vit ses derniers jours en Champagne puisqu’il a été prêté avec option d’achat à Brest, club qu’il ne rejoindra toutefois pas avant le 26 janvier. Fortes, Mandi, Moukandjo et Oniangue sont absents du fait de leur participation à la CAN. Albaek (pubalgie), Bastien (cuisse droite), Benedick (cuisse droite), Rigonato (cuisse droite) et Kyei (cuisse droite) sont blessés, tandis que Conte est, lui, suspendu.
Le groupe rémois : Placide, Agassa - Mavinga, Mfulu, Roberge, Signorino, Weber, Tacalfred, Fofana - Bourillon, Ca, Devaux, Glombard, Peuget - Charbonnier, Courtet, Nicolas De Preville, Ngog
SMC- SDR : Le groupe Rouge & Blanc
Jean-Luc Vasseur a retenu un groupe de 18 joueurs pour le déplacement du Stade de Reims au SM Caen (21ème journée de Ligue 1) ce samedi 17 janvier à 20h00 :
Gardiens : Johny Placide, Kossi Agassa
Défenseurs : Chrys Mavinga, Oménuké Mfulu, Valentin Roberge, Franck Signorino, Anthony Weber, Mickaël Tacalfred, Mohamed Fofana.
Milieu de terrain : Grégory Bourillon, Bocundji Ca, Antoine Devaux, Christopher Glombard, Alexi Peuget.
Attaquants : Gaëtan Charbonnier, Gaëtan Courtet, Nicolas De Préville, David Ngog.
Absents :
Blessure : Mads Albaek (pubalgie), Sacha Bastien (cuisse droite), Yann Benedick (cuisse droite), Diego Rigonato (cuisse droite), Grejohn Kyei (cuisse droite).
Suspension : Antoine Conté.
Choix de l’entraîneur : Jérémy Malherbe, Franck Zambo, Eliran Atar, Sacha Bastien.
Joueurs à la Coupe d’Afrique des Nations : Odaïr Fortes, Aïssa Mandi, Benjamin Moukandjo, Prince Oniangue.
Tu crois que c'est possible de jouer à 5 contre 11 ?PSGdu11 a écrit :ça va faire du monde ...
SMC - SDR : Le compte rendu de la rencontre
Le Stade de Reims (11e, 28 points) s’incline lourdement, mais logiquement à l’extérieur face au Stade Malherbe de Caen (20e, 18 points) sur le score de 4-1 (Ligue 1 – 21e journée). Les rémois auront été très mal inspirés ce soir et auront montré beaucoup trop de fébrilité en défense ainsi que sur les coups de pied arrêtés pour pouvoir espérer ramener quelque chose de Normandie. Un match à très vite oublié pour les Rouge et Blanc...
On assiste à un début de match cauchemardesque pour le Stade de Reims. Caen obtient un coup franc dangereux sur le côté droit au bout de 2 minutes de jeu. Julien Féret se charge du coup franc, la balle finit sa course au point de pénalty et croise la course de Valentin Roberge, à la lutte avec Yahia, qui dévie le ballon de la tête dans ses propres filets. Placide qui n’était pas sorti sur le coup franc est battu (1-0, 2’). Ce but d’entrée de match a le don de galvaniser les caennais qui poussent sur le but rémois. Sur un nouveau corner venu de la gauche, Sloan Privat surgit au second poteau et devance Roberge, il coupe le centre à ras de terre de Imorou au point de pénalty (2-0, 9’). Le caennais était hors jeu sur le but, mais l’arbitre assistant n’a pas levé son drapeau... Les rémois sont très mal rentrés dans leur match et commettent beaucoup trop d’erreurs et d’approximations techniques dans le jeu. Sur un corner pour les rémois, David Ngog hérite du ballon dos au but, mais est fauché par derrière par Alaeddine Yahia. Mr Rainville n’hésite pas et désigne le point de pénalty. C’est Gaëtan Charbonnier qui se charge de le frapper. Le rémois s’élance et trompe Rémy Vercoutre à contre-pied (1-2, 27’).
Les rémois qui semblent se relancer dans ce match concèdent un nouveau coup franc peu de temps après l’engagement. À la suite d’un cafouillage rocambolesque dans la surface rémoise Alaeddine Yahia pousse une nouvelle fois la balle au fond des filets (3-1, 29’). Les rémois affichent énormément de fébrilité en défense ainsi que sur les coups de pied arrêtés. Johny Placide ne dégage pas sa sérénité habituelle dans les cages et peine à sortir dans les airs sur les phases arrêtées Normande. Les rémois regagnent les vestiaires la tête basse et se doivent d’afficher un autre visage en seconde période.
Une domination stérile...
Les champenois mettent le pied sur le ballon d’entrée de seconde période et tentent de construire dans la moitié de terrain adverse sous la pression constante des joueurs de Patrice Garande. Les stadistes sont malheureusement trop peu dangereux offensivement et trop peu présents dans la surface adverse pour réellement alerter Rémy Vercoutre. Ceci donne la possibilité aux caennais de procéder par contre, mais Johny Placide est vigilant sur une frappe sèche de Koita (58’). David Ngog pense redonner espoir aux siens sur corner, mais Rémy Vercoutre réalise un arrêt réflexe sur sa ligne (59’). La seconde période est insipide, aucune des deux équipes ne se procure de réelles occasions, le jeu est haché et le rythme du match est trop souvent cassé par de nombreuses fautes des deux côtés.
Sur une action caennaise venue de la gauche, Mickael Tacalfred tente de contrer le centre de Nangis, mais le ballon est stoppé par sa main, Monsieur Rainville désigne le point de pénalty. Koita s’élance et trompe Placide d’un plat du pied dans le petit filet droit du gardien rémois (4-1, 76’). Jean-Luc Vasseur opère ses trois changements dans les dix dernières minutes, ce qui donne l’occasion à Alexi Peuget et Omenuke Mfulu de jouer leurs premières minutes en Ligue 1 cette saison, seul motif de satisfaction de la soirée. Sur un ultime coup franc rémois, Alexi Peuget décide de frapper au but. Sa belle frappe enroulée termine sa course dans la lucarne droite de Vercoutre qui parvient d’une belle claquette à dégager le ballon en corner (89’). Les rémois encaissent 4 buts ce soir dont 3 sur coup de pied arrêté et 1 sur pénalty. Un non-match à très vite oublier pour les Rouge et Blanc qui ont montré beaucoup trop de fébrilité sur les coups de pied arrêtés. Place désormais à la Coupe de France et aux 16es de finale avec le déplacement à Rennes des jeudi soir (20h).
Prochain match : Stade de Reims – Racing Club de Lens, dimanche 25 janvier (17h) au stade Auguste Delaune (Ligue 1 – 22e journée).
Stade Malherbe de Caen - Stade de Reims (21ème journée de Ligue 1) : 4-1 (MT : 3-1)
Stade Michel d’Ornano
Arbitre principal : Nicolas Rainville
Arbitres assistants : Laurent Stien – Mathieu Grosbost
Compositions :
Stade Malherbe de Caen : Vercoutre, Appiah, Da Silva, Yahia, Imorou, Seube (Saez, 81’), Kanté, Féret, Koïta, Privat (Duhamel, 85’), Nangis.
Stade de Reims : Placide, Mavinga, Roberge (Weber, 76’), Tacalfred ©, Glombard, Bourillon, Devaux (Mfulu, 84’), Charbonnier, Courtet, De Préville (Peuget, 86’), Ngog.
Buteurs :
Stade Malherbe de Caen: Roberge CSC (3’), Privat (9’), Yahia (29’), Koita pen (76’)
Stade de Reims : Charbonnier pen (27’)
Avertissements :
Stade Malherbe de Caen : carton jaune : Kanté (69’).
Stade de Reims : carton jaune : Bourillon (14’), Devaux (31’), Charbonnier (77’).
Mickaël.Tacalfred : Réagir
On prend deux buts très rapidement puis on revient. Malheureusement on prend ce troisème but aussitôt. Il va falloir réagir très vite la semaine prochaine. Les trois points contre Lens sont importants.
Jean-Luc Vasseur : On a perdu nos valeurs
On a la possession de balle mais c'est stérile. Il y a eu trop de cadeaux ce soir, pas de percussion, on est très déçus, notamment pour les supporters. 4-1 chez le dernier, ça fait mal. On va jouer en Coupe de France, va falloir montrer des choses. Parler c'est bien, agir c'est mieux.
On a eu des absents mais je ne sais pas si c'est là qu'on a perdu. C'est surtout dans l'état d'esprit qu'on a failli. On a perdu nos valeurs. Soirée... nulle.
On est revenu au niveau d'il y a six mois.
Je vais tout faire pour remettre les choses dans l'ordre.
Didier Perrin : Inverser la tendance
Il y a de la déception et de la colère. On a la sensation de revivre le mois d'août. Il va vite falloir inverser la tendance. On sait qu'on a des absents mais il faut réagir. On ne s'explique pas la différence avec le match de Saint-Etienne sauf qu'on prend deux buts dans les cinq premières minutes. On ne peut pas prendre autant de buts sur coups de pied arrêtés. Il faut réagir dès la semaine prochaine.
Jean-Pierre Caillot : Tirer les enseignements
C'est une très grosse déception. Malgré tout le respect qu'on a pour les Caennais, leur donner six points cette année, ça fait beaucoup. J'ai vu des défaillances individuelles importantes et ce n'est pas satisfaisant. Il faut en tirer les enseignements pour les deux matches qui arrivent sinon on va commencer à se faire peur.
Il y a eu des décisions qui avaient été prises au début de la phase aller et je crois que ça va être dans la même lignée dans les rencontres à venir. En espérant que les choses vont s'inverser comme en début de saison.
Devaux : «Concernant mon avenir, je n’ai encore rien décidé»
Sa troisième saison en rouge et blanc est en tout point réussie. Leader technique d’une équipe en progression, le Dieppois, décontracté, prend du plaisir. En fin de contrat dans cinq mois, il avoue réfléchir encore sur l’orientation qu’il souhaite donner à sa carrière.
Les trois prochains matches, face aux trois promus, ne vont-ils pas marquer un tournant de votre championnat?
Nous attaquons une période importante qui va donner le ton de notre fin de saison. À commencer par ce déplacement chez la lanterne rouge, qui nous permettra de savoir si notre défaite contre Saint-Étienne est un coup d’arrêt. Nous avions mal négocié notre premier face-à-face avec Caen. Cette deuxième manche nous dira si nous avons progressé.
Vous encaissez deux buts de moyenne à chaque match. N’est-ce pas là l’explication de votre légère stagnation?
Il faut, effectivement, que nous retrouvions une solidité défensive. L’explication? Un manque d’attention et peut-être d’investissement collectif. On ne doit pas attendre que le coéquipier fasse le boulot, mais déjà faire le sien. Il faut retrouver un équilibre cohérent. Peut-être faudra-t-il se situer plus bas sur le terrain et miser sur les contres.
Vous réalisez une très bonne dernière saison. Avez-vous pris votre décision de ne pas renouveler votre bail rémois?
Je me sens bien et je remercie le collectif pour son apport. C’est vrai qu’avec Gaëtan (Charbonnier), nous nous trouvons bien sur le terrain. Nous avons la même approche du jeu, nous parlons le même football, comme on dit. Concernant mon avenir, je n’ai rien arrêté. Je m’attache à bien terminer la saison et laisse le soin à mon agent de gérer tout ça. J’aurais pu prolonger l’été dernier, mais je suis tenté par une expérience à l’étranger. L’Angleterre et l’Allemagne, ces championnats plus passionnés, m’attirent. Mais ai-je le profil pour m’adapter? On verra bien…
Caen-Reims : le trou normand
Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Les Rémois pourront copier cent fois cette morale de La Fontaine. Car la fable a largement tourné en leur défaveur hier soir à Caen (4-1). Ils ont été cloués au pilori par une lanterne rouge beaucoup plus déterminée, concédant une deuxième défaite consécutive face à un adversaire qui n’avait remporté qu’un seul de ses dix-sept derniers matches en Ligue 1… L’équipe champenoise replonge par conséquent dans la deuxième moitié du classement pour la première fois depuis deux mois.
1/ LA DEFENSE AUX ABOIS
Même au moment de la déroute face à Marseille le 23 septembre (0-5), jamais les Stadistes n’avaient encaissé trois buts lors de la première demi-heure cette saison. Hier, ils avaient déjà deux buts de retard au bout de 9 minutes… La différence d’engagement a sauté aux yeux. Déjà stigmatisée en début de championnat, la défense rémoise – remaniée avec l’absence de Mandi et la suspension de Conté – est retombée dans ses travers depuis six journées avec une moyenne de 2,33 buts encaissées. Beaucoup trop.
2/ LE POIDS DES ABSENCES
On ne saura pas avant un mois le réel impact de l’absence des internationaux africains dans les résultats de leur équipe. Mais la fragilité constatée en Normandie ajoutée à un manque de percussion flagrant suffisent à en déduire que Reims s’est senti trop diminué hier. Six potentiels titulaires indisponibles (Mandi, Conté, Fortes, Oniangué, Diego, Moukandjo), la mission est devenue trop compliquée, en dépit des choix offensifs de Jean-Luc Vasseur (4 attaquants au coup d’envoi) et d’une deuxième période heureusement un peu plus consistante.
3/ UNE DETTE CONTRE LES PROMUS
Promus en 2014, Metz, Lens et Caen luttent dans le dernier tiers du classement. Pourtant, Reims n’a pas pris le moindre point à ces adversaires en difficultés, concédant même 13 buts en quatre rencontres. Et qui est le prochain hôte à Delaune après le déplacement jeudi à Rennes en 16es de finale de la Coupe de France? Lens justement (dimanche).
Section amateurs : Résultats du week-end
GROUPE ELITE :
Stade de Reims U19 - Coupe Gambardella - 64èmes de finale :
Saint-Quentin - Stade de Reims : 1-6
Buteurs : Sylla, N'Dom, Oudin (X2), Siebatcheu (X2).
Franck Chalençon : "On a réalisé un match sérieux malgré des conditions de jeu difficile avec un terrain très gras. Cela nous a empêchés de produire notre jeu, mais on a eu le mérite de marquer rapidement avec deux buts à la mi-temps. En seconde nous avons su rester sérieux, en face l’adversaire s’est relâché ce qui a permis d’avoir plus d’espace pour marquer. La qualification est là !".
FORMATION :
Stade de Reims U17 – Championnat national U17 Groupe B - 15ème journée
Stade de Reims - Bretigny foot C.S : 4-2
Buteurs : Boubidar (X3), Kyei.
Corentin Bataille : "On a eu la maitrise du ballon pendant la rencontre, on s’est procuré beaucoup d’occasions, ce qui nous a permis d’être réalistes devant le but. Par contre, nous avons souffert physiquement en fin de période, on se doit de retrouver le rythme de la compétition, mais aux vues du match la victoire est méritée".
CAN 2015 - Le programme & les résultats
CAN 2015 (17 janvier – 8 février : Guinée équatoriale)
Prince Oniangué - Sélection nationale du Congo - Groupe A
Samedi 17 janvier - 17h à Bata : Guinée équatoriale - Congo : 1-1
Buts : Guinée équatoriale : Nsue (16') ; Congo : Bijouma : (87') ;
Le Congo arrache le point du match nul dans les dernières minutes de la rencontre. Prince Oniangué, capitaine de la sélection nationale du Congo a disputé l'intégralité de la partie.
Odaïr Fortes - Sélection nationale du Cap-Vert - Groupe B
Dimanche 18 janvier - 20h à Ebibeyin : Tunisie - Cap-Vert : 1-1
Buts : Tunisie : Moncer (70') ; Cap-Vert : Heldon : (78') ;
Première surprise dans cette CAN, le Cap-Vert d'Odaïr Fortes a tenu en échec la Tunisie (1-1), favori du groupe B. Odaïr Fortes est rentré en fin de match (84').
Kossi Agassa et la CAN: Loin des yeux, près du cœur
On s’enrichit toujours des propos de Kossi Agassa, le géant bondissant du Stade de Reims. Parce que sa discrétion fait son honneur et que son discours est toujours empreint d’une grande sagesse. Le Togolais s’est longtemps nourri de la Coupe d’Afrique des Nations, l’événement le plus populaire du sport africain, qui embrase un continent pendant trois semaines, tout en provoquant des grincements de dents dans les clubs européens, toujours réticents à libérer leurs sélectionnés-salariés en pleine saison.
À 36 ans, au crépuscule d’une carrière nationale et internationale réussie, sa passion, aussi forte soit-elle, ne trouble pas son regard lucide et autorisé sur une compétition qu’il a disputée cinq fois à la tête des Éperviers.
« C’est notre championnat d’Europe. C’est la fête du football, mais également un grand rassemblement populaire. C’est le rendez-vous attendu par tout un continent », explique-t-il.
Agassa évoque cette passion dévorante qui accompagne une compétition pas toujours reconnue à sa juste valeur. « Les meilleurs joueurs y participent. Ceux qui évoluent dans les plus grands clubs européens. Son intérêt sportif est reconnu et grandissant. »
Pour l’ancien minot de l’Étoile Filante de Lomé, la réputation de ce tournoi s’explique aussi par l’attractivité économique, populaire et politique qui l’accompagne.
« On parle souvent de pression avant un derby ou un grand match de championnat, mais là, c’est autre chose. Quand tu représentes ton pays, tu défends un peuple, sa fierté et son honneur. D’ailleurs, au plus haut sommet de l’État, on te le fait comprendre d’une manière ou d’une autre. »
Fierté nationale
Mais que serait l’Afrique sans sa démesure et ses carences, sa ferveur et ses ratés, sa quête perpétuelle de modernité, de liberté, tout en cultivant ses traditions ancestrales ? Que serait la CAN sans ses problèmes d’infrastructures et d’organisations ? « Il y aura toujours des freins, reconnaît Agassa, c’est comme ça. Mais finalement, jouer pour et dans son pays, c’est une belle chose… »
Son Togo, qui n’a jamais remporté la Coupe d’Afrique des Nations, brille cette fois par son absence.
Favoris en danger
« Nous avons raté le coche. Notre sélection doit souvent faire face à des tensions internes, des problèmes d’organisation et de compétences. Tant que nos dirigeants ne seront pas à la hauteur…
C’est dommage qu’on ne soit pas parvenus à se qualifier, le Togo demeure une grande nation de football. »
Comme lui, les Adebayor, Dossevi, Romao, Boukari, Gakpé et les frères Ayité, tombés lors des éliminatoires face au Ghana et à la Guinée-Conakry, suivront l’événement à la télévision.
À espérer voir du beau jeu et, pourquoi pas, assister à l’éclosion d’un sans-grade, à l’instar de la Zambie d’Hervé Renard, en 2012. « Les grandes nations comme la Côte d'Ivoire ou le Cameroun, sont moins dominatrices qu’auparavant. Les favoris sont souvent en difficulté face à des adversaires décomplexés et entreprenants. »
Alors, de son œil de lynx, le grand Kossi suivra les déboires des uns et partagera le bonheur des autres, oubliant sa déception de n’avoir pas pu valider son ticket d’invitation.
Histoire de soutenir ses quatre collègues rémois, dont certains découvriront cette ferveur colorée et sans équivalent.
Le Stade de Reims a mauvaise mine
Plusieurs désillusions ont déjà émaillé la saison des Stadistes. Celle subie à Caen a ramené l’équipe champenoise à ses heures sombres. Il va falloir trouver des solutions.
La scène se déroule samedi matin. Alors que le bus s’apprête à quitter la Chaussée Bocquaine en direction de l’aéroport de Vatry, deux jeunes supporters rémois interpellent Jean-Luc Vasseur : « Ramenez la victoire ! » « On va tout faire pour », répond l’entraîneur champenois. Ce n’est pas du tout l’impression qu’a donnée son équipe, anesthésiée à Caen (4-1).
1 La thèse de l’accident écartée
Inutile de rechercher les boîtes noires pour identifier la cause majeure du crash. « On a manqué de détermination et de concentration, la soirée a été nulle, relève Vasseur. Je suis en colère parce qu’on a perdu notre état d’esprit. »
Confortablement installée dans le ventre mou du classement, la formation stadiste n’avance-t-elle que sous pression ? « Est-ce qu’on s’est vu plus beau qu’on ne l’est, je ne crois pas, coupe Anthony Weber. Mais il faut que tout le monde se remette en question. » On se souvient pourtant de la déliquescence de la saison passée une fois le maintien acquis. « Il ne faut pas se mettre trop de pression, poursuit l’entraîneur marnais. Mais 28 points ne suffiront pas pour le maintien. »
En Normandie, son équipe a encaissé plus de trois buts pour la sixième fois cette saison. Dans un championnat où la moyenne tourne à 2,4 buts par match, c’est beaucoup trop. « Il est difficile d’exister, même contre le dernier, lorsque vous êtes menés 2-0 au bout de 9 minutes, explique Vasseur. On a l’impression d’être revenu six mois en arrière, on ne peut pas exister comme ça en Ligue 1. On va tout faire pour remettre les ingrédients qu’il faut pour sortir de cette situation. »
2 L’embarras des choix
Avec trente-et-un joueurs professionnels sous contrat, Reims possède un effectif pléthorique. Mais au surlendemain d’une cinglante défaite face au dernier, concédée en l’absence de neuf joueurs (Mandi, Oniangué, Fortes, Moukandjo à la CAN, Diego, Albaek, Kyei, Bastien blessés, Conté suspendu) se pose la question de la qualité. « On savait qu’on aurait des absents, mais on était persuadé que les joueurs qu’on a pourraient les remplacer, avoue Didier Perrin. Quand on n’y arrive pas dans une certaine composition, il faut changer les joueurs. Au coach de régler les problèmes. »
À Caen, ils se sont situés dans toutes les lignes. Si les innombrables erreurs défensives (dont 171 ballons perdus) ont coûté la défaite, Reims n’a pas non plus trouvé de percussion, malgré une possession largement favorable (58 %). « On n’a pas eu de tranchant, pas eu d’impact offensif, regrette le technicien stadiste. On n’a pas été dangereux. » Et pourtant, tous les attaquants disponibles se trouvaient sur le terrain…
Jeudi à Rennes, la Coupe de France pourrait servir de laboratoire en prévision de la réception de Lens dimanche. « Les seuls enseignements positifs sont les entrées de Weber, Peuget et Mfulu, estime Vasseur. Á moi de trouver l’équipe la plus compétitive. »
3 à la peine loin de Delaune
Les Rémois n’ont empoché que 9 de leurs 28 points à l’extérieur (2 victoires, 3 nuls, 5 défaites). Ils ont surtout perdu, sévèrement qui plus est, chez les trois promus (4-2 à Lens, 3-0 à Metz, 4-1 à Caen). « Ça ne fait pas très sérieux, reconnaît Didier Perrin. Il y a par exemple mille lieux entre notre match contre Saint-Étienne (1-2) et celui à Caen. »
Juste avant la trêve, l’équipe champenoise avait certainement réussi sa prestation la plus aboutie à Rennes (3-1). Un résultat resté sans lendemain. Mais dans sa course pour le maintien, elle va devoir aussi engranger des points en déplacement.
C'est ce que j'ai dis 8 minimums, c'est bien Spouck bravo, quel talentspoucknick00 a écrit :eh les ignare , j enleve les pedalles de parsienne c est : Ngog , MAvinga , roberge , la burne...je garde juste une ...antoine Conte . Et je vire bourillon car lui dans le genre sert a rien , il est pas mal
et je joues avec mon 4 4 2 losange offensive en diamant . Ben on sera plus que 8 sur le terrain
Aïssa Mandi - Sélection nationale d’Algérie - Groupe CRésiliation de contrat pour Eliran Atar
Le Stade de Reims annonce officiellement la résiliation de contrat d’un commun accord avec l’attaquant international israélien Eliran Atar (27ans). Arrivé en Champagne au cours de la saison 2013-2104, Eliran Atar aura disputé en tout 23 matchs et inscrit 2 buts avec le Stade de Reims. Le club lui souhaite de retrouver rapidement une équipe et un challenge sportif pour la suite de sa carrière.
Atar signe 3 ans et demi au Maccabi Haïfa
Onze minutes de jeu depuis le début de saison et puis s’en va ! Eliran Atar a quitté officiellement le Stade de Reims direction le club israëlien du Maccabi Haïfa pour un contrat de trois ans et demi. L’attaquant de 27 ans ne s’est jamais vraiment imposé au Stade de Reims. Depuis son arrivée, il cumule des statistiques bien pauvres avec 897 minutes de jeu soit 22 matches dont 11 en tant que titulaires et un seul but en championnat.
a savori que Kossi sera titulaire et a noté que Kyeu fait sont grand retour :pSRFC - SDR : Le groupe des Rouge et Blanc
Jean-Luc Vasseur a retenu un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Rennes en vue des 16èmes de finale de la Coupe de France ce jeudi 22 janvier à 21h00 :
Gardiens : Johny Placide, Kossi Agassa
Défenseurs : Antoine Conte, Chris Mavinga, Omenuke Mfulu, Franck Signorino, Anthony Weber, Mickael Tacalfred
Milieux de terrain : Grégory Bourillon, Antoine Devaux, Christopher Glombard, Alexi Peuget, Franck Zambo
Attaquants : Gaëtan Charbonnier, Gaëtan Courtet, Nicolas De Préville, David Ngog, Grejohn Kyei
Absents :
Blessure : Mads Albaek (pubalgie), Sacha Bastien (cuisse droite), Diego Rigonato (cuisse gauche), Yann Benedick (cuisse droite), Valentin Roberge (dos)
Choix de l’entraîneur : Bocundji Ca, Mohamed Fofana, Jérémy Malherbe, Franck Zambo
Joueurs à la Coupe d’Afrique des Nations : Odaïr Fortes, Aïssa Mandi, Benjamin Moukandjo, Prince Oniangue