[CLUB] - STADE DE REIMS

[babar051]

Cdf : Marseille – Reims en 32e de finale !

Le tirage au sort des 32e de finale de la Coupe de France – marqué par l’entrée en lice des 20 clubs de Ligue 1 – a eu lieu ce soir à Clermont Ferrand.

Match au sommet pour le Stade de Reims qui se déplacera sur la pelouse de l’Olympique de Marseille.

Les rencontres se dérouleront le week-end du 4 et 5 janvier.

Les réactions :
Jean-Pierre Caillot : On n’est pas vernis. Après avoir tiré Lyon, à l’extérieur, en Coupe de la Ligue, il va falloir encore se déplacer. Ce tirage est un clin d’œil par rapport aux deux exploits que nous avons réalisé en championnat puisque nous avons battu Lyon et Marseille sur leurs pelouses. Aujourd’hui notre objectif c’est le maintien. Nous avons bien avancé vers cet objectif. Aux joueurs de se faire plaisir. Ils ont déjà montré qu’ils étaient capables de s’imposer au Vélodrome. L’an dernier nous avions chuté à Plabennec. Cette année nous jouons une Ligue 1. Nous serons tout de suite dans le vif du sujet avec cette belle affiche qui devrait faire plaisir à nos supporters.

Didier Perrin : Tirage très difficile. Après, nous les avons battu chez eux en championnat durant ces matches aller. Pourquoi ne pas réitérer l’exploit ? Jouer l’Olympique de Marseille à Reims, cela aurait été parfait. Les jouer à l’extérieur c’est un peu dommage. Surtout que nous jouons Lyon, à l’extérieur également en Coupe de la Ligue. Ça commence à faire beaucoup pour nous. Mais on ira défendre crânement nos chances. Que les joueurs s’éclatent, et on verra le résultat après.

Hubert Fournier : On ne peut pas faire pire comme tirage. C’est encore un tirage à l’extérieur, contre un ténor du championnat. Le sort ne nous est pas favorable. Pour l’instant cette échéance est encore un peu éloignée. Surtout que les 32e de finale sont des matches un peu particuliers, car situés juste derrière la trêve. Ils vont nous attendre de pied ferme après notre victoire en championnat. Comme on dit : C’est une affiche !

[spoucknick00]

bah faut se dire qu il y a aura un gros en moins au prochain tour pour nous

[babar051]

Les sifflets de la victoire

Face à Nice, Reims est passé par le trou de la serrure. Hué toute la soirée, Gaëtan Charbonnier, buteur providentiel, a reçu un soutien unanime.
Mais que demande le peuple? À Reims, l’exigence tient de la pathologie. L’histoire lointaine ou récente du Stade a toujours véhiculé ce parfait désamour entre l’équipe et une partie du public de Delaune d’une intransigeance maladive. Impatients, bougons, railleurs, siffleurs, voire frondeurs, ces supporters veulent du jeu, des buts, des victoires. Et ce, quelle que soit l’opposition.

«En quatre ans et demie, j’ai appris à connaître ce public», concéda un Hubert Fournier un tantinet désabusé. «Les joueurs étaient outrés d’entendre ces sifflets, alors qu’ils se battaient avec détermination. On peut comprendre qu’ils en veuillent un peu à ces siffleurs».
Est-ce un hasard, c’est le plus chahuté d’entre eux qui leur offrit ce succès inespéré. «C’est un beau pied de nez à tous ceux qui ont passé leur temps à siffler Gaëtan Charbonnier», releva-t-il.

Il y a deux an s, Lucas Deaux avait déjà évoqué ce malaise persistant entre l’équipe et ces spectateurs intraitables, impatients, parfois même tyranniques avec quelques joueurs. «On ne peut pas leur servir du caviar à chaque match, il faut parfois qu’il se contente de pâté», avait lâché, en colère, l’actuel Nantais.

À plusi eurs reprises, le président Jean-Pierre Caillot s’était étonné de ce comportement marginal qui polluait la progression réelle du club. Samedi, c’est son entraîneur qui rappela certaines vérités: «On n’est que le 17e budget de L1. C’est tellement difficile de gagner un match à ce niveau».

Certes, le contenu de cette septième levée à domicile de la saison, a été médiocre, affligeant par moments. Selon Fournier, l’adversaire et la fatigue y sont pour quelque chose: «Ce n’était sans doute pas le match le plus emballant qu’on ait fait, mais on a été courageux, on y a mis du cœur, on a été travailleurs. C’était le troisième match en une semaine et ça a joué. Nice nous a laissé peu d’espace et on a aussi manqué de talent dans les phases de finition».
Deaux, Fauré, Féret, Tainmont ont été sifflés...

Les Azuréens, venus pour stopper leur funeste série de six revers d’affilée, avaient tissé leur toile avec un inédit schéma en 3-6-1 en 1re mi-temps, sur lequel les Rémois ont longtemps buté, ne s’offrant qu’une seule véritable occasion par Devaux, de la tête, à la 40e minute, sur un corner d’Albaek.

«Mais on y a cru jusqu’au bout, répéta l’entraîneur rouge et blanc. Le dernier quart d’heure a été difficile, mais ces 3 points, nous sommes allés les chercher».

Et l’index sur la bouche de Charbonnier, incitant les siffleurs à ne pas manifester leur joie après son but inscrit à la dernière seconde, symbolise cette désunion. «Je remercie ceux qui nous ont encouragés, mais pas les autres. Pourquoi venir au stade pour siffler les joueurs, autant rester chez soi», a lâché l’ancien du PSG.

Atar, Courtet, De Préville, Fortes, Charbonnier aujourd’hui, Fauvergue, Ghilas, Tainmont, Deaux, mais aussi Fauré, Kermorgant, Féret, Nzigou, Baleguhé et bien d’autres ont subi les affres de ces houspilleurs de la Chaussée Bocquaine.

«Le plus important, ce n’est pas notre classement, mais le nombre de points (25) engrangés. Nous maintenons une dynamique», réaffirma Fournier.

La saison dernière, après 17 journées, Reims possédait 8 points de moins (17) et comptabilisait déjà 8 défaites, soit le double d’aujourd’hui. Alors ?

[PSGdu11]

Les sifflets de la victoire

Face à Nice, Reims est passé par le trou de la serrure. Hué toute la soirée, Gaëtan Charbonnier, buteur providentiel, a reçu un soutien unanime.
Mais que demande le peuple? À Reims, l’exigence tient de la pathologie. L’histoire lointaine ou récente du Stade a toujours véhiculé ce parfait désamour entre l’équipe et une partie du public de Delaune d’une intransigeance maladive. Impatients, bougons, railleurs, siffleurs, voire frondeurs, ces supporters veulent du jeu, des buts, des victoires. Et ce, quelle que soit l’opposition.

«En quatre ans et demie, j’ai appris à connaître ce public», concéda un Hubert Fournier un tantinet désabusé. «Les joueurs étaient outrés d’entendre ces sifflets, alors qu’ils se battaient avec détermination. On peut comprendre qu’ils en veuillent un peu à ces siffleurs».
Est-ce un hasard, c’est le plus chahuté d’entre eux qui leur offrit ce succès inespéré. «C’est un beau pied de nez à tous ceux qui ont passé leur temps à siffler Gaëtan Charbonnier», releva-t-il.

Il y a deux an s, Lucas Deaux avait déjà évoqué ce malaise persistant entre l’équipe et ces spectateurs intraitables, impatients, parfois même tyranniques avec quelques joueurs. «On ne peut pas leur servir du caviar à chaque match, il faut parfois qu’il se contente de pâté», avait lâché, en colère, l’actuel Nantais.

À plusi eurs reprises, le président Jean-Pierre Caillot s’était étonné de ce comportement marginal qui polluait la progression réelle du club. Samedi, c’est son entraîneur qui rappela certaines vérités: «On n’est que le 17e budget de L1. C’est tellement difficile de gagner un match à ce niveau».

Certes, le contenu de cette septième levée à domicile de la saison, a été médiocre, affligeant par moments. Selon Fournier, l’adversaire et la fatigue y sont pour quelque chose: «Ce n’était sans doute pas le match le plus emballant qu’on ait fait, mais on a été courageux, on y a mis du cœur, on a été travailleurs. C’était le troisième match en une semaine et ça a joué. Nice nous a laissé peu d’espace et on a aussi manqué de talent dans les phases de finition».
Deaux, Fauré, Féret, Tainmont ont été sifflés...

Les Azuréens, venus pour stopper leur funeste série de six revers d’affilée, avaient tissé leur toile avec un inédit schéma en 3-6-1 en 1re mi-temps, sur lequel les Rémois ont longtemps buté, ne s’offrant qu’une seule véritable occasion par Devaux, de la tête, à la 40e minute, sur un corner d’Albaek.

«Mais on y a cru jusqu’au bout, répéta l’entraîneur rouge et blanc. Le dernier quart d’heure a été difficile, mais ces 3 points, nous sommes allés les chercher».

Et l’index sur la bouche de Charbonnier, incitant les siffleurs à ne pas manifester leur joie après son but inscrit à la dernière seconde, symbolise cette désunion. «Je remercie ceux qui nous ont encouragés, mais pas les autres. Pourquoi venir au stade pour siffler les joueurs, autant rester chez soi», a lâché l’ancien du PSG.

Atar, Courtet, De Préville, Fortes, Charbonnier aujourd’hui, Fauvergue, Ghilas, Tainmont, Deaux, mais aussi Fauré, Kermorgant, Féret, Nzigou, Baleguhé et bien d’autres ont subi les affres de ces houspilleurs de la Chaussée Bocquaine.

«Le plus important, ce n’est pas notre classement, mais le nombre de points (25) engrangés. Nous maintenons une dynamique», réaffirma Fournier.

La saison dernière, après 17 journées, Reims possédait 8 points de moins (17) et comptabilisait déjà 8 défaites, soit le double d’aujourd’hui. Alors ?

Spéciale dédicace à Spouck

Par contre , quel rapport entre Charbonnier et le PSG ?

[JJacq]

Les sifflets de la victoire

Face à Nice, Reims est passé par le trou de la serrure. Hué toute la soirée, Gaëtan Charbonnier, buteur providentiel, a reçu un soutien unanime.
Mais que demande le peuple? À Reims, l’exigence tient de la pathologie. L’histoire lointaine ou récente du Stade a toujours véhiculé ce parfait désamour entre l’équipe et une partie du public de Delaune d’une intransigeance maladive. Impatients, bougons, railleurs, siffleurs, voire frondeurs, ces supporters veulent du jeu, des buts, des victoires. Et ce, quelle que soit l’opposition.

«En quatre ans et demie, j’ai appris à connaître ce public», concéda un Hubert Fournier un tantinet désabusé. «Les joueurs étaient outrés d’entendre ces sifflets, alors qu’ils se battaient avec détermination. On peut comprendre qu’ils en veuillent un peu à ces siffleurs».
Est-ce un hasard, c’est le plus chahuté d’entre eux qui leur offrit ce succès inespéré. «C’est un beau pied de nez à tous ceux qui ont passé leur temps à siffler Gaëtan Charbonnier», releva-t-il.

Il y a deux an s, Lucas Deaux avait déjà évoqué ce malaise persistant entre l’équipe et ces spectateurs intraitables, impatients, parfois même tyranniques avec quelques joueurs. «On ne peut pas leur servir du caviar à chaque match, il faut parfois qu’il se contente de pâté», avait lâché, en colère, l’actuel Nantais.

À plusi eurs reprises, le président Jean-Pierre Caillot s’était étonné de ce comportement marginal qui polluait la progression réelle du club. Samedi, c’est son entraîneur qui rappela certaines vérités: «On n’est que le 17e budget de L1. C’est tellement difficile de gagner un match à ce niveau».

Certes, le contenu de cette septième levée à domicile de la saison, a été médiocre, affligeant par moments. Selon Fournier, l’adversaire et la fatigue y sont pour quelque chose: «Ce n’était sans doute pas le match le plus emballant qu’on ait fait, mais on a été courageux, on y a mis du cœur, on a été travailleurs. C’était le troisième match en une semaine et ça a joué. Nice nous a laissé peu d’espace et on a aussi manqué de talent dans les phases de finition».
Deaux, Fauré, Féret, Tainmont ont été sifflés...

Les Azuréens, venus pour stopper leur funeste série de six revers d’affilée, avaient tissé leur toile avec un inédit schéma en 3-6-1 en 1re mi-temps, sur lequel les Rémois ont longtemps buté, ne s’offrant qu’une seule véritable occasion par Devaux, de la tête, à la 40e minute, sur un corner d’Albaek.

«Mais on y a cru jusqu’au bout, répéta l’entraîneur rouge et blanc. Le dernier quart d’heure a été difficile, mais ces 3 points, nous sommes allés les chercher».

Et l’index sur la bouche de Charbonnier, incitant les siffleurs à ne pas manifester leur joie après son but inscrit à la dernière seconde, symbolise cette désunion. «Je remercie ceux qui nous ont encouragés, mais pas les autres. Pourquoi venir au stade pour siffler les joueurs, autant rester chez soi», a lâché l’ancien du PSG.

Atar, Courtet, De Préville, Fortes, Charbonnier aujourd’hui, Fauvergue, Ghilas, Tainmont, Deaux, mais aussi Fauré, Kermorgant, Féret, Nzigou, Baleguhé et bien d’autres ont subi les affres de ces houspilleurs de la Chaussée Bocquaine.

«Le plus important, ce n’est pas notre classement, mais le nombre de points (25) engrangés. Nous maintenons une dynamique», réaffirma Fournier.

La saison dernière, après 17 journées, Reims possédait 8 points de moins (17) et comptabilisait déjà 8 défaites, soit le double d’aujourd’hui. Alors ?

Spéciale dédicace à Spouck

Par contre , quel rapport entre Charbonnier et le PSG ?

Pour le PSG, regarde les débuts de Charbonnier.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ga%C3%ABtan_Charbonnier

[PSGdu11]

Ah oui ça me revient .... je comprends pourquoi Spouckie ne l'aime pas ...

[babar051]

Weber : « Le nul aurait été plus logique»
Souriant, il l’était, le capitaine Anthony Weber. Sa troupe s’est ainsi arrachée samedi pour glaner un deuxième succès en deux journées. Même devant un public quelque peu frondeur, auquel il ne semble pas vouloir, avec le recul, tenir trop rigueur.

Anthony, voilà un capitaine heureux…
« Oui, cela fait trois de points de plus, sur le fil, certes. Cela fait du bien, cela maintient la dynamique. Si la manière n’y était pas forcément, on va retenir ces trois points, acquis en se « bagarrant » jusqu’au bout. »
La faute aussi à la fatigue, pour votre troisième match en une semaine ?
« C’est vrai qu’on a eu plus de difficultés à se trouver dans les décalages sur les côtés, à jouer avec les ailiers. Le terrain était difficile également. »
Vous vous mettez à la place de Nice quelques secondes…
« Prendre un point aurait mieux reflété la physionomie de la rencontre. Il faut reconnaître que le nul aurait été plus logique, voire même que Nice méritait autant que nous de gagner, avec leurs occasions en fin de match. »

Reims ira à Marseille

Cette fois, Vincent Dos Santos n’y est pour rien : l’intendant stadiste n’a pas effectué le déplacement lundi soir à Clermont-Ferrand pour le tirage des 32es de finale de la Coupe de France. Le « chat noir » des Rouge et Blanc a découvert, en direct, qu’il n’était pas le « poissard » que l’on veut croire, et qu’en fait, il n’était pas pour grand-chose dans les mauvais tirages.

Le sort a donc offert un choc grand standing aux Rémois. Pour leur premier match de l’année 2014, au sortir d’une dizaine de jours de vacances, ils retourneront au Vélodrome de Marseille, là même où ils s’étaient imposés en L1, le 26 octobre dernier (2-3). « On aurait préféré éviter un cador à ce stade de la compétition, reconnaît le capitaine Mickaël Tacalfred. À la rigueur, que ça se dispute à domicile ».

Même fatalisme chez l’entraîneur Hubert Fournier : « Cette saison, nous sommes abonnés aux gros tirages. Après Monaco et Lyon en Coupe de la Ligue, voilà donc Marseille. On ne pouvait pas faire pire ».

Le président Jean-Pierre Caillot se voulait plus philosophe : « Il y a quelques années, on aurait prié pour avoir droit une telle affiche. C’est déjà un grand bonheur de pouvoir disputer une rencontre de cette importance. Ce OM-Reims, c’est le choc de ces 32es. Dommage pour nos supporters qu’il ne se déroule pas à Delaune ».

« Du bonus »
Un regret partagé par Hubert Fournier : « Ce sera pour le prochain tour ».
Car les Stadistes ne partiront pas battus. « C’est jouable, estime Tacalfred, il faut y croire. On a déjà gagné là-bas, on peut le refaire ». « Nous sommes capables de nous qualifier, renchérit Fournier. Ce que nous avons réussi en championnat, nous sommes prêts à le rééditer ».

Pour Caillot, il convient d’oublier les mésaventures des années précédentes contre Marcq-en-Calaisie et Plabennec. « Ce rendez-vous ne sera pas stressant. En tout cas pas pour nous. Notre objectif de la saison, c‘est le maintien. Le reste, c’est du bonus ».

[spoucknick00]

Ah oui ça me revient .... je comprends pourquoi Spouckie ne l'aime pas ...

non rien a voir , il est nul , voila pourquoi je ne l aime pas et ça date pas de reims , ni de montpellier

[PSGdu11]

Ah oui ça me revient .... je comprends pourquoi Spouckie ne l'aime pas ...

non rien a voir , il est nul , voila pourquoi je ne l aime pas et ça date pas de reims , ni de montpellier

Justement : le fait qu'il soit nul et qu'il vienne du PSG explique ton peu d'estime à son égard : 2 "tares" en même temps , c'est trop pour toi ..

[spoucknick00]

je ne savais meme pas qu il venait du psg avant de faire la bdd . Il y a le comportement sur le terrain qui fait fois . Fauvergue , je ne l aime pas a cause du doigt d honneur qu il a fait lors de Sedan Reims (j etais au stade a sedan) Donc lui c etait direct par rapport a ce fait . Et c est logique non ? Charbonnier , c est une brele , un nul , un mec qui a le melon . Il rale tout le temps apres l arbitre et sur ses coéquipiers . Il a une allure de nonchalant sur le terrain et il court peu .Et quand il faut faire des appels ou qu on lui dit de joué en pure 9 le mec va empietré ses collegues dans leur zone . Le seul aspect que j aime chez lui , c est un bon recuperateur de balle et il se bat que quand le mec est a coté de lui

[babar051]

Lille-Reims, la programmation
La rencontre Lille - Stade de Reims, comptant pour la 20e journée de championnat de L1 a été programmée le dimanche 12 janvier à 21h00.

Le groupe des 18 contre Evian TG !
Hubert Fournier a communiqué un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Evian Thonon Gaillard, samedi à 20h00 - 18e journée de Ligue 1.

Stade de Reims : Agassa, Placide – Weber, Mandi, Glombard, Fofana, Turan, Signorino – Peuget, Ca, Albaek, Devaux, Oniangue, Fortes, Ayite – Atar, De Preville, Charbonnier

Soins : Diego (Genou), Tacalfred (Adducteurs), Krychowiak (Adducteurs), Courtet (Cheville), Malherbe (Genou)

[babar051]

Lille-Reims, la programmation
La rencontre Lille - Stade de Reims, comptant pour la 20e journée de championnat de L1 a été programmée le dimanche 12 janvier à 21h00.

Le groupe des 18 contre Evian TG !
Hubert Fournier a communiqué un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Evian Thonon Gaillard, samedi à 20h00 - 18e journée de Ligue 1.

Stade de Reims : Agassa, Placide – Weber, Mandi, Glombard, Fofana, Turan, Signorino – Peuget, Ca, Albaek, Devaux, Oniangue, Fortes, Ayite – Atar, De Preville, Charbonnier

Soins : Diego (Genou), Tacalfred (Adducteurs), Krychowiak (Adducteurs), Courtet (Cheville), Malherbe (Genou)

[babar051]

Mads Albaek en tout intimité

Titulaire lors des deux dernières victoires du Stade de Reims en Ligue 1, le Danois Mads Albaek s’est intégré aussi vite au groupe rouge et blanc qu’à sa nouvelle vie rémoise.

Avec l’homme et le joueur Mads Albaek, Jean-Pierre Caillot et le Stade de Reims semblent avoir fait le bon choix.

Présenté officiellement le 19 juin, Mads Albaek a été la première recrue du Stade de Reims version 2013-14. Cette arrivée très précoce explique sans doute l’adaptation rapide du Danois, qui, à seulement 23 ans, est en train de se faire une place de choix au sein du milieu de terrain stadiste.

« Tout se passe bien pour moi, explique-t-il d’emblée (en anglais). Les mecs sont très sympas et il y a finalement assez peu de différences avec ma vie au Danemark. J’aime découvrir de nouvelles choses et en plus, j’ai une belle vie ». En effet, la vie est plutôt douce pour ce costaud milieu de terrain (1,82 m), puisque son équipe pointe à la 7e place du championnat avant le déplacement à Annecy samedi.

Une histoire d’amour
Et quand on lui demande comment il s’est fondu dans le moule rémois aussi rapidement, Albaek a une réponse simple, qui explique bien des choses. « J’avais envie de découvrir quelque chose de nouveau, ce qui est très important pour mon football mais aussi pour mon expérience personnelle. » Un vrai projet de vie, en somme.
D’autant que le jeune milieu de terrain n’a pas traversé la mer du Nord seul puisque sa petite amie, Christina Dahl Pedersen, l’a suivi à Reims, où elle pratique en Nationale 2 ce qui était son métier dans son pays d’origine, le handball. Une vraie preuve d’amour.

« Pour elle comme pour moi, c’est important qu’elle ait une vie bien à elle, explique le joueur. Comme ça, elle n’est pas une « femme de footballeur ! » En plus, elle apprend le français avec ses amies. » Une langue que Mads découvre doucement, même s’il juge qu’elle est « très difficile ». Pas aussi simple qu’un contrôle orienté…

Le langage qu’il parle mieux, c’est celui du terrain, « au milieu, dans l’axe », assure-t-il alors qu’il a parfois été baladé sur la gauche. Titulaire à dix reprises depuis le début de la saison, et buteur face à Lille (2-1) et Marseille (3-2), l’ancien capitaine de Midtjylland a découvert « un championnat bien meilleur que celui du Danemark. La L1, c’est nouveau pour moi. C’est un vrai challenge, quelque chose de grand. J’espère réussir de belles choses pour réintégrer l’équipe nationale. »

Pour l’instant, le bilan est très bon pour ce fan du Real Madrid et de Cristiano Ronaldo (son choix numéro 1 pour le Ballon d’or « au risque de ne pas être très populaire »), même s’il avoue attendre avec impatience les fêtes de fin d’année. « Je ne suis pas rentré chez moi depuis quasiment six mois et j’ai hâte de retrouver ma famille. »

Pour fêter Noël, à la danoise, dans la tradition de ce qui se fait en France. « Chez nous, on réveillonne le 24 décembre. on mange bien, on danse et on chante ». Et quand on lui demande s’il se laissera aller à un petit verre, il coupe tout de suite : « Je dois être prêt pour la reprise. » Un vrai professionnel.

[babar051]

Une piste pour le mercato d'hiver ?
Selon Foot 365 mercato, les dirigeants du Stade de Reims s'intéressent à Damien Plessis (25 ans) le milieu défensif d'Arles-Avignon (L2) libre en juin 2014 en vue du prochain mercato hivernale en janvier prochain.
Valenciennes, Bastia s'intéressent également au profil du joueur de l'ACA ainsi que deux clubs d'Allemagne Hoffenheim et Fribourg.

Gagner sans Krychowiak
Touché contre Nice, Grzegorz Krychowiak souffre d’une élongation à l’adducteur droit. Le Polonais a passé sa semaine à l’infirmerie, où il a pu discuter avec Diego (genou), Malherbe (genou) et Courtet (Cheville). Le capitaine Tacalfred a repris la course et le travail avec ballon. Il espère être du déplacement à Lyon, mercredi après-midi.
On l’a encore vu à Sochaux : Krychowiak est l’élément de base de la 8e défense de L1. Devaux, qui a déjà tenu ce rôle, devrait évoluer devant Fofana et Weber, soutenu par Albaek et Oniangué. À droite, Hubert Fournier pourrait recomposer le duo Mandi – Glombard, alors qu’Ayité et Charbonnier ou De Préville se chargeront de ponctuer les contres. « Les occasions se présenteront, à nous d’être opportunistes comme l’a été Lorient qui a su en concrétiser deux dans les premières 10 minutes », soutient le coach rémois.

Côté savoyard, on mise avant tout sur l’état d’esprit. Pascal Dupraz s’est chargé de dissiper l’euphrorie ambiant. « Reims, ce n’est pas le PSG, a-t-il dit, mais les points engrangés ont la même valeur ». Alors, qui peut le plus, peut-il le moins ?

[spoucknick00]

la "futur" recrue devrait se faire en defense , pas au milieu

[babar051]

Evian TG - Stade de Reims 1-1
Ligue 1 – 18e journée

Parc des Sports d’Annecy

Evian TG : Hansen – Dja Djedje, Mensah, Mongongu, Sabaly – Tie Bi, Kone (Berigaud 65e), Sorlin (cap.) – Wass, Ruben (Nsikulu 89e), Sougou (Cambon 77e)

Stade de Reims : Agassa – Mandi, Weber (cap.), Fofana, Signorino – Devaux, Albaek (Atar 82e) – Fortes, Turan (Ayite 77e) – De Preville, Charbonnier (Oniangue 69e)

But pour Evian : Mensah (73e)
But pour Reims : Ayite (90+1e)
Avertissement pour Reims : Albaek (43e)

A l’occasion du dernier déplacement en championnat de l’année 2013, le Stade de Reims affrontait Evian Thonon Gaillard à Annecy dans le cadre de la 18e journée de Ligue1 . Un changement tactique est à signaler, Hubert Fournier adopte un 4-4-2 où Turan et Fortes occupent les côtés.

Dans une atmosphère de saison (-3°C), les 22 acteurs sont immédiatement en jambes, le ballon va d’un camp à l’autre mais les enchaînements demeurent trop brouillons. Le rythme reste élevé et les occasions se font de plus en plus dangereuses. Preuve à l’appui lorsque Sougou hérite du ballon aux 30 mètres, accélère et décoche une frappe sèche qui heurte le poteau droit de Kossi Agassa (11e). Il n’en faut pas plus pour que les Stadistes réagissent. En contre, Reims se procure quelques occasions initiées par Gaëtan Charbonnier et Nicolas De Preville, sans succès. Les débats sont équilibrés mais les Savoyards sont les plus proches de l’ouverture du score, notamment sur une frappe trop croisée de Wass à la demi-heure de jeu. Le brouillard s’intensifie au Parc des Sports et les deux formations se neutralisent à la pause (0-0).

A la reprise, les Rouge et Blanc se montrent moins timorés. Atila Turan est alerté côté gauche mais son ballon échoue dans le petit filet de Hansen (52e). La précision fait également défaut à Nicolas De Preville devant le gardien à l’heure de jeu. L’état de la pelouse gène les transmissions, et le spectacle en subit les conséquences. Le danger intervient souvent suite aux erreurs commises par les erreurs d’appréciation des deux équipes. Et c’est ce qui arrive à la 75e minute … Un ballon mal dégagé dans la surface rémoise revient sur Mensah qui ne se fait pas prier pour armer une lourde frappe qui se loge en plein lucarne (1-0, 75e). Le public est ravi, Hubert Fournier et ses joueurs le sont moins. Eliran Atar et Floyd Ayite font immédiatement leur apparition pour tenter de revenir au score. L’effet est immédiat mais le frappe d’Ayite dans la surface frôle la barre transversale. Reims pousse et ce n’est que partie remise pour le Togolais. A l’entame du temps additionnel, Nicolas De Preville remise parfaitement vers Floyd Ayite. L’attaquant rémois reprend immédiatement de volée et égalise ! (1-1, 90+1). Il ne se passera plus rien dans cette rencontre et le Stade de Reims récolte un bon point ce samedi soir en Haute-Savoie.

A l’issue de ce match, les Stadistes comptabilisent 26 points et sont 9e au classement de Ligue 1. Prochain rendez-vous dès mercredi à l’occasion de la Coupe de la Ligue : Olympique Lyonnais – Stade de Reims à 17h00.

[babar051]

Anthony Weber : On pouvait prendre les trois points
C'est un bon point mais on aurait pu faire mieux car on a des situations qu'on a mal gérées alors qu'on a les meilleures occasions en seconde période.
Malheureusement on n'arrive pas à ouvrir le score et eux le font sur coup de pied arrêté.
Encore une fois, on a le mérite de ne pas lâcher et de marquer sur la fin.
Il y a quand même un peu de regrêts car on pouvait prendre les trois points.

Hubert Fournier : Trop de maladresses
C'est bon pour le moral de marquer dans les dernières minutes. Mais on ne peut pas ambitionner mieux quand on affiche autant de maladresses devant le but. On aurait dû marquer un but bien avant dans le jeu.
On a été géné par le jeu direct d'Evian.
On était assez bien dans le jeu mais on a vraiment eu trop de maladresse en phase offensive. Il faut qu'on soit plus réaliste. C'est notre manque ce soir.

Didier Perrin : Un peu déçu
Malheureusement on a eu les occasions pour gagner ce match bien avant et on est finalement content de ce match nul, inespéré à quelques minutes de la fin. Il est dommage qu'on ne concrétise pas nos occasions mais un point à l'extérieur reste un bon résultat.
On est quand même un peu déçu car on aurait pu gagner ce match.

Jean-Pierre Caillot : Mitigé
Demain je serai heureux de ce point mais à chaud je suis mitigé. Je suis en colère car on se met en difficulté tout seul en ne tuant pas la rencontre avant. Comme on n'a pas su la tuer, les garçons n'ont rien lâché pour revenir au score en se battant jusqu'au bout et ont été récompensés.
Floyd Ayité s'est fait son cadeau d'anniversaire avec quelques heures d'avance et on a vu que sa rentrée a boosté l'attaque qui ne m'a pas donné satisfaction ce soir mais on retiendra ce point obtenu à l'extérieur.
Il faudra maintenant montrer autre chose sur le plan du réalisme à Lyon si on veut se qualifier.

[spoucknick00]

j avais pas eu le temps de lire les reactions , mais je devrais regarder une deuxieme fois le match , car on a pas vu le meme apparemment

[babar051]

Le groupe des 18 contre Lyon (CdL)
Hubert Fournier a communiqué un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Lyon, mercredi à 17h00 – 8e de finale de Coupe de la Ligue.

Stade de Reims : Agassa, Placide – Weber, Mandi, Glombard, Turan, Conte, Fofana – Peuget, Oniangue, Albaek, Devaux, Ghisolfi, Fortes, Ayite – Atar, De Preville, Charbonnier

Soins : Diego (Genou), Tacalfred (Adducteurs), Courtet (Cheville), Malherbe (Genou)

[babar051]

H.Fournier : Ne pas galvauder les Coupes
Hubert Fournier était présent ce mardi au point presse organisé aux Thiolettes. L’occasion d’aborder le 8e de finale de Coupe de la Ligue, ce mercredi face à Lyon.

Pensez-vous qu’il y aura un sentiment de revanche à Lyon suite à votre victoire sur leur pelouse en championnat ?
Je ne crois pas qu’il y en aura tant que cela. Après je pense qu’il y aura du respect suite à la bonne prestation que nous avions fourni là-bas (NDLR : victoire 1-0 à Gerland, 3ejournée de L1). Mercredi ce sera une autre compétition. De l’eau a coulé sous les ponts. Nous avons face à nous aujourd’hui une équipe lyonnaise qui est en regain de forme par rapport à la période où nous avions joué contre eux en championnat. Ils sont dans une bonne période. Ce sera compliqué d’aller faire un résultat à Gerland mais on va s’en donner les moyens.

Le maintien est en bonne voie. Y a t-il une ambition, un objectif, en Coupe de la Ligue ?
Oui forcément. Quand on joue une compétition c’est pour aller le plus loin possible. Il y a un quart de finale au bout de ce match. Le club n’est pas en mesure de galvauder et de banaliser ce genre d’objectif. Nous avons tous à cœur d’aller faire un résultat et de se qualifier pour les quarts. C’est une compétition qui fait encore rêver. Après les tirages ne nous ont pas été très favorables. Si nous devons aller en quart de finale nous l’aurons mérité. Il a déjà fallu éliminer Monaco. Maintenant on se déplace à Lyon. En Coupe de France ce sera Marseille. Si nous devons faire un bon parcours en coupe, nous l’aurons forcément gagné à la force du poignet.

Pour Lyon ce sera le 3e matche en 5 jours. Cela peut-il compter ?
Peut-être, si nous avons la chance de faire durer le match le plus longtemps possible. L’accumulation des matches pour les équipes qui jouent la Coupe d’Europe peut peser.

La victoire en championnat à Lyon va-t-elle servir de référence pour cette rencontre ?
Non il n’y aura pas similitude. De leur côté ils ont changé de système entre-temps. Ils sont dans une autre dynamique. Pas mal de paramètres ont évolué. Il y a peu de choses sur lesquelles nous pouvons nous référer pour cette rencontre.

Allez-vous faire tourner l’effectif ?
Globalement oui, cela peut tourner. Nous sommes sur une série de matches à trois jours. Et nous n’avons pas forcément l’habitude de vivre cette accumulation de rencontres .Nous avons les moyens de faire tourner, avec pas mal de joueurs disponibles même si certains ont des pépins comme Krychowiak, Courtet ou encore Tacalfred, ce qui reste un handicap.

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A.Mandi : Tout faire pour gagner à Lyon
Aïssa Mandi était présent face aux médias ce mardi, pour le traditionnel point presse d'avant match. Extraits. :


Aïssa, l’équipe est en bonne position en championnat. Ce match de Coupe de la Ligue devient-il un objectif important pour le club ?
Cette année – comme toutes les années – c’est un objectif d’aller le plus loin possible en Coupe. Encore plus cette saison. Si nous gagnons mercredi c’est un quart de finale qui se profile, à seulement deux matches du Stade de France. Nous allons tout faire pour gagner à Lyon. Nous l’avons déjà fait une fois...donc pourquoi pas deux.

Le Stade de France, c’est un objectif dont vous rêvez ?
Oui bien sûr. C’est surtout un objectif accessible dans cette Coupe de la Ligue car il faut peu de matches pour y parvenir. On va vraiment tout faire pour y arriver.

Lyon risque d’être revanchard après votre victoire au mois d’août…
Au mois d’août nous avions souffert aussi malgré la victoire. Nous avions eu aussi de la réussite. On gagne sur une frappe contrée et ils ratent un pénalty. Lyon est une grosse équipe. On s’attend à souffrir. Mais on sait aussi que l’on peut faire quelque chose là-bas. Nous restons confiants.

Vous êtes dans une semaine à trois matches. Comment gérez-vous ce calendrier ?
Ce n’est pas la première fois cette année. Le coach gère en faisant tourner les joueurs. On s’en sort plutôt bien sur ce type de semaine. Nous verrons bien ce week-end. Mais si nous

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H.Fournier : On y a cru jusqu’au bout
On a été trop dans la réaction. On fait une première mi-temps un peu timide. Quand nous avons été menés, on a eu les ressources pour revenir dans la partie. Mais la leçon à retenir c’est qu’il faut que l’on soit un peu plus incisif par nous-même et ne pas attendre d’être mené pour commencer à poser des problèmes à l’adversaire. Dans l’état d’esprit on a eu les ressources pour ne jamais lâcher. On y a cru jusqu’au bout. Et en face il faut reconnaitre aussi qu’il y avait le talent.

Didier Perrin : Défaite assez logique
On l’occasion d’égaliser à la dernière minute. C’est dommage. Nous sommes assez poussifs sur la première mi-temps. On a attendu de prendre des buts pour commencer à jouer vraiment vers l’avant. On aurait pu faire mieux, mais c’est une défaite assez logique finalement car nous étions en dessous du niveau de Lyon. Nous avons joué avec le cœur... mais trop tard.

Jean-Pierre Caillot : Nous n’avons pas baissé les bras
Se faire éliminer à Lyon, contre une équipe qui est en train de redevenir une grande équipe de ce championnat, ce n’est pas honteux en soi. Evidemment la dernière fois nous étions repartis beaucoup plus euphoriques qu’aujourd’hui. Nous avons eu le mérite de ne pas baisser les bras même s’il a fallu attendre d’être mené au score pour commencer à jouer. On a vu de belles choses. Il faut garder du positif. C’est ce genre de matches qui font que l’équipe continue à prendre de la maturité. Ce résultat nous servira que ce soit à Marseille en Coupe de France, ou en Championnat.

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Fournier prolonge
L'entraîneur de Reims, Hubert Fournier, va prolonger de deux ans son contrat avec le Stade de Reims, a-t-on appris jeudi de source proche du club. L'entraîneur, âgé de 46 ans, est désormais lié avec le club champenois jusqu'en 2016, a précisé cette source, confirmant une information de France Bleu Champagne. Le Stade de Reims est actuellement 9e de L1, après 18 journées.

Lors de sa carrière de joueur, Fournier a évolué comme défenseur, notamment au Borussia Mönchengladbach et à Lyon.

Le groupe des 18 contre Ajaccio !
Hubert Fournier a communiqué un groupe de 18 joueurs pour la réception d’Ajaccio, samedi à 20h00 - 19e journée de Ligue 1.

Stade de Reims : Agassa, Placide – Weber, Tacalfred, Fofana, Mandi, Turan, Signorino – Krychowiak, Albaek, Devaux, Peuget, Oniangue, Fortes, Ayite – Atar, De Preville, Charbonnier

Soins : Diego (Genou), Malherbe (Genou)

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Fauvergue souhaite un transfert définitif vers Metz
Selon le Républicain Lorrain, le FC Metz actuel leader en championnat de ligue 2 prépare son futur mercato et sa possible accession en ligue 1 à la fin de cette saison.
Nicolas Fauvergue l'attaquant du Stade de Reims prêter cette saison à Metz a déjà fait savoir qu'il aimerait un transfert définitif au FC Metz à la fin de cette saison. Le président Serin affirme qu'il n'a pas encore "évoqué la question" avec le joueur.

Krychowiak de retour
Les Ajacciens sont noirs. Leurs incantations ne portent plus. Il y a le feu dans la maison Orsoni et leurs lances à incendie, déployées à fond, ne parviennent pas à circonscrire le sinistre. Christian Bracconi se demande encore comment Lorient a pu repartir de Corse avec les 3 points samedi dernier (1-2). « Un manque de rigueur, de concentration et d’efficacité offensive », a-t-il reconnu .
Ce soir, Ajaccio se présente sans Zubar, Mutu et Pedretti, mais avec un onze qui, sur le papier, tient la route.
À Reims, on a encore en tête le souvenir de Nice. Un match fermé, âpre. « Ajaccio est en déficit de points, mais dégage une grande énergie, estime Hubert Fournier. C’est un match dangereux que certains pensent facile parce que l’on reçoit le 19e ».
Alors le coach champenois, tout frais prolongé, exige de la patience, « comme nous avons su le faire face à Nice. Il ne faudra pas se décourager si on tarde à marquer, mais au contraire insister. Une victoire nous permettrait de conclure 2013 de la meilleure des façons ».
Avec un effectif quasi-complet, il a dû faire des choix. Trois « cadres », Tacalfred, Krychowiak et Signorino, sont de retour dans un groupe où ne figurent pas Glombard, Conte et Courtet.

SdR: Pour des congés sans remords
Il s’agira donc de bien terminer l’année. C’est d’ailleurs le credo de toute la Ligue 1. Invaincu lors des matches d’avant-trêve ces trois dernières saisons, le Stade de Reims espère, évidemment, poursuivre cette série rose. Le calendrier lui offre en cadeau, Ajaccio, l’avant-dernier de la classe, une proie a priori facile à cuisiner. Qu’il se méfie tout de même que cette étrenne ne soit pas empoisonnée. Ce baisser de rideau 2013 à Delaune, c’est aussi l’occasion de réajuster un bilan domicile tout juste présentable. En huit apparitions devant son public, le Stade n’aura glané que 50% des points mis en jeu (12 sur 24). Un déficit largement compensé par de bonnes prestations en déplacement, avec notamment deux succès ramenés de Lyon (0-1, 24 août) et Sochaux (0-2, le 4 décembre). Ce Stade, d’apparence si entreprenant, n’en mène pas large sur sa pelouse où les promus Nantes et Guingamp sont venus cueillir un point, où Toulouse et le Paris SG en ont pris trois. Nantie de la 14e attaque à domicile où elle éprouve bien des difficultés à scorer, l’équipe champenoise, qui s’est réveillée bien trop tard mercredi à Lyon pour espérer mieux qu’une élimination avec les honneurs de la Coupe de la Ligue, souhaite éviter de réécrire le scénario hitchcockien du 7 décembre contre Nice (but de Charbonnier à la 93e minute). Bien trop exigeant eu égard au fragile statut de son équipe en Ligue 1, le public de Delaune, un tantinet versatile, doit s’attendre à une opposition beaucoup plus équilibrée que ne le laisse croire les 15 points qui séparent les deux protagonistes. Hubert Fournier a même noté un regain de forme chez son invité corse, ce qui ne manquera pas compliquer la tâche de son équipe. Pour oublier Ravanelli Car depuis son large succès contre Bastia (4-2, le 2 novembre), Reims donne l’impression de piquer du nez à domicile. Ses attaquants recherchent le bon réglage face à des défenses compactes, lorsqu’ils ne doivent eux-mêmes passer leur temps à suivre les défenseurs adverses. Ajaccio, certes, va jouer l’une de ses dernières cartes ce soir. Il débarque avec la plus mauvaise attaque (12 buts), la deuxième défense la plus perméable (30 buts), et surtout, avec le poids psychologique que représente une période de disette de onze matches sans victoire. L’ACA, neuf fois relégable en dix-huit journées, qui n’a marqué que trois buts hors de ses bases, se fait pourtant craindre. Le 8 décembre, elle a tenu la dragée haute aux Princes monégasques qui ont dû patienter soixante-dix minutes avant de se défaire de cet adversaire «agressif, combatif et déterminé», des qualificatifs utilisés hier par Hubert Fournier en évoquant Ajaccio. Comme ses concurrents directs pour le maintien, Ajaccio a déjà brûlé un joker en remplaçant son emblématique coach italien, Fabrizio Ravanelli, par l’obscur Christian Bracconi, venu de la formation. Son bilan: 4 défaites, 2 nuls. Mais il en faut plus pour décourager une troupe habituée à se sauver in extremis et qui, comme l’a dit son entraîneur, «sur le papier, on n’est pas inférieur à Reims». A lire dans notre édition du jour.

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Fauvergue souhaite un transfert définitif vers Metz
Selon le Républicain Lorrain, le FC Metz actuel leader en championnat de ligue 2 prépare son futur mercato et sa possible accession en ligue 1 à la fin de cette saison.
Nicolas Fauvergue l'attaquant du Stade de Reims prêter cette saison à Metz a déjà fait savoir qu'il aimerait un transfert définitif au FC Metz à la fin de cette saison. Le président Serin affirme qu'il n'a pas encore "évoqué la question" avec le joueur.

Oo oui , pars , je serais heureux et emmene avec toi charbonnier au passage 2 buts depuis le debut de saison et tu es satisfait de ton rendement a Metz ...je ne sais pas si les dirigeants messins le sont . Mais si ils ont envis d avoir un attaquant nul , qu ils se bouge de suite avant qu ils ouvrent les yeux