[CLUB] - STADE DE REIMS

[spoucknick00]

mince dommage que Ca ne soit pas la pour lle match

[jld]

mais qu est ce que vous etes venu a pourrir notre beau topic du stade de reims ...les blaireaux aller voir ailleurs si les remois y sont

je frequente pas le topic l2 donc c ici pour le moment l'année prochaine t inquiete tu pourras faire ton monologue :papy:

[Matrimoni]

Bravo jld, bien envoyé

[jld]

pas f expres mais genre lui il pourrit jamais un topic :papy:

reims en L2 au vel 48 k de supp la 38 eme journée arf j'aimer reims f chier mais bon on jouera le titre la :papy:

[Matrimoni]

[jld]

laisse le repondre avant de flood il lit jamais 3 posts de suite m'enfin :papy:

[spoucknick00]

sisi je te rassure , je lis tout moi

et ben j ai hate d etre en L2 , on sera plus envahi de parisien et de marseillais a faire semblant d etre des grand club de France

[babar051]

Reims- St Etienne, la programmation

La rencontre Stade de Reims – AS Saint Etienne, comptant pour la 25e journée de L1, a été programmée le dimanche 17 février à 17h00.

Le groupe des 19 contre Sochaux !
Hubert Fournier a communiqué un groupe de 19 joueurs pour le déplacement à Sochaux, samedi à 16h00 (21e journée de Ligue 1).

Stade de Reims : Liebus, Placide – Souare, Mandi, Glombard, Tacalfred, Weber, Fofana – Krychowiak, Ca, Ghisolfi, Ramare, Devaux, Diego, Pereira, Fortes – Toudic, Fauvergue, Ghilas

Le mot d’Hubert Fournier : Ce match face à Sochaux est évidemment important, face à un concurrent direct dans la course au maintien. Si on a le bonheur de remporter les trois points, ce sera bien sûr un bon coup, mais il restera encore énormément de chemin à parcourir. On se déplace là-bas avec de l’ambition. On a vu que cette équipe de Sochaux a été très efficace face à l’OM, notamment sur coups de pied arrêtés. Ils ont eu une réussite optimale sur le plan offensif et défensif. Il faut que ce type de prestation nous donne des idées : A nous de retrouver de l’efficacité, et l’envie de porter le danger sur coups de pied arrêtés, ce qui nous a fait défaut les derniers temps.

Fortes????? il est pas retenu par sa selection du Cap Vert???????

[spoucknick00]

non vu qu il etait blessé , le coach du cap vert n a pas prit le risque de le prendre

[PSG11]

Vu le match de cet après-midi , Spoucknick risque d'être de méchante humeur ... :siflotte:

[JJacq]

Non ! Pas ça !!!

[Matrimoni]

A chaque prono je mets Reims perdant, et je gagne à chaque fois sur ce match

[spoucknick00]

il y a de quoi ralé , putain d arbitre de merde , on s est fait volé mais bien méchamment

but de la main mais flagrante et penalties non siflet pour nous et encore , il y en a un en 1er mi temps , certains arbitre siffle et d autre non ...donc a la limite . Mais celui de la 2eme mi temps , putain d enculé d arbitre de merde ... J ai pas pour habitude de pleurer sur eux , mais la c est flagrant quoi et le pire , a la mitemps , le joueur le declarre a la TV oui je le met de la main

[babar051]

Sochaux - Reims : 1-0
Stade Auguste Bonal
Arbitre : Nicolas Rainville

Sochaux : Pouplin – Corchia, Peybernes, Poujol, Sauget – Dias, Carlao (Kanté, 65e), Roudet, Bakambu (Contout, 84e), Mikari – Privat (Butin, 62e)

Stade de Reims : Placide – Glombard, Tacalfred, Weber, Mandi – Glombard, Ramare (Fauvergue, 67e), Krychowiak, Ca (Devaux, 76e), Fortes – Ghilas (Toudic, 60e)

But pour Sochaux : Poujol (14e)
Avertissement pour Sochaux : Peybernes (49e)
Avertissement pour le Stade de Reims : Glombard (37e), Ghilas (45e), Toudic (86e)


Reims a été battu ce soir 1-0 par des Sochaliens qui auront marqué sur un but de la main et qui auront bénéficié aussi d'un pénalty non sifflé pour une main dans la surface d'un de leurs défenseurs.

C'est cruel pour les Stadistes qui n'avaient pas besoin de cela en ce moment et cela coûte très très cher au classement puisque les Champenois sont désormais relégables alors que les Doubistes les devancent désormais de trois points.

Il va maintenant falloir trouver les ressources pour se sortir d'une mauvaise passe qui dure depuis plus de trois mois et d'un terrible bilan de cinq points en treize matches.

[babar051]

Hubert Fournier : Deux mains ça ira mieux !
Deux mains ça ira mieux ! Evidemment c'est un jeu de mots. Les décisions arbitrales nous ont été contraires, c'est souvent le cas pour les équipes qui sont en grande difficulté ce qui est notre cas. On a fait preuve de courage jusqu'au bout pour aller chercher l'égalisation. On n'a pas besoin de ça dans notre position. Il y a une règle dans le foot, on n'a pas le droit de marquer avec la main.

Didier Perrin : Très en colère contre l'arbitrage
On ne peut franchement pas y arriver à douze contre onze. On ne peut rien faire contre de telles erreurs d'arbitrage.
Une fois dit cela, on a peut-être manqué d'un petit peu de gnac devant le but. On a eu des occasions mais encore une fois on est très en colère contre l'arbitrage. On est donc relégables et il va falloir se battre pour se sortir de là.

Jean-Pierre Caillot : Triste pour les garçons
C'est un week-end pourri, avec des conditions climatiques déplorables, un aller retour en voiture où on risque notre vie avec au final ce sentiment d'avoir vécu une grosse injustice sur le terrain. Cet arbitre était déjà celui du match aller à Bastia où il n'avait pas été bon. Il a beau dire qu'il ne l'a pas fait exprès, ce dont je me doute, mais ça frise l'incompétence à ce niveau.
Malheureusement demain tout le monde retiendra qu'on a encore perdu et que c'est notre quatorzième match sans victoire alors que sincèrement les garçons ont fait beaucoup d'efforts. Je suis triste pour eux car ils ont vraiment vécu une grosse injustice. On est relégables mais il reste beaucoup de matches et il faut qu'on se sorte de cette phase.

[spoucknick00]

super jeu de mot fournier ...j espere que ces trou du cul de journaliste de merde de l Equipe auront tord sa leur fermera leur sale gueule ... perso je veux que Fournier reste meme si on vient a redescendre , soyons pas aussi con que certains clubs :siflotte:

et sa fermera la gueule au gros con de l Equipe

[babar051]

Reims a perdu la main
Le regard de Sloan Privat en dit long sur la détermination sochalienne hier. Bocundji Ca et Johann Ramaré se sont, en vain, accrochés au train doubiste.


FOOTBALL (L1). Battu sur une double injustice hier à Sochaux (1-0), le Stade se glisse dans la peau d'un relégable. Une première depuis le début du championnat. L'état d'alerte maximale est décrété.

NOTEZ LES JOUEURS !

LE courage est une valeur noble mais il ne suffit pas. Il ne suffit plus au Stade de Reims, en tout cas ! Encore trop juste dans le jeu et lesté de deux poids lourds (deux erreurs d'arbitrage), le promu n'a rien pu contre des Sochaliens pourtant pas plus géniaux que ça mais servis par la chance et les incroyables ratés du corps arbitral.
Les deux matches de la reprise étaient censés relancer Reims, conditionner la suite de sa saison. Devenu relégable et donc « entré dans cet autre championnat » que redoutait Olivier Guégan, il est dans le dur. « On le savait déjà mais on ne pensait pas que ce serait aussi difficile », lâchait Anthony Weber.

Le contexte
La crispation est montée d'un cran dans les rangs stadistes. La mise à l'écart de Signorino et les éclats de voix de Toudic et Ramaré pendant les entretiens individuels de la semaine n'ont pas apaisé un climat qui met à rude épreuve la solidarité et l'état d'esprit d'une équipe.
Et les blessures ne font rien pour détendre l'atmosphère. À celle de Courtet (élongation), il a fallu ajouter celle de Diego, forfait au dernier moment (douleur au mollet). C'était beaucoup par rapport à Sochaux où l'infirmerie se vidait (retours de Carlao, Kanté et Contout) et où le succès sur Marseille avait soulagé tout le monde.

LA TACTIQUE
Le Stade joue en 4-2-3-1 et varie rarement son plan de jeu, en tout cas il innove rarement au coup d'envoi. Il s'est donc lancé tête baissée dans la bataille ainsi armé avant de revenir à un 4-1-4-1 pour rééquilibrer une équipe en difficulté dans les premières minutes.
Articulés autour d'un bon Krychowiak, les Rouge et Blanc ont pu limiter les espaces mais leurs faiblesses offensives sont rédhibitoires. Hubert Fournier change les hommes mais le mal persiste.

LA PHYSIONOMIE
La bonne volonté n'a pas manqué aux Stadistes. Le petit grain de folie, si. Plutôt bien revenu dans le match après des premières minutes peu sécurisées, Reims a subi de plein fouet la décision de M. Rainville de valider le premier but.
En manque de confiance d'une manière générale et encore en déficit hier, il a baissé la tête, contenant plus ou moins bien l'activité de Roudet ou celle de Bakambu sur le côté.
Sa seconde période a eu plus d'allure même si la tentation d'allonger le jeu est venue peut-être trop tôt. « On joue avec nos manquements du moment mais je n'ai rien à reprocher aux joueurs », lâchait Hubert Fournier. « Ils ont tout tenté. Peut-être aurions-nous dû essayer un football plus élaboré mais on s'est battu jusqu'au bout. »

L'HOMME DU MATCH
Un bon arbitre est celui qu'on ne voit pas ! Nicolas Rainville n'appartient pas à cette catégorie. Le Stade de Reims n'en peut plus de lui. Les Rémois sont bien placés pour comprendre pourquoi il est, et de loin, l'arbitre le plus critiqué de la Ligue 1. Déjà déterminant dans la défaite à Bastia (2-1, 2e journée) lorsqu'il a exclu Tacalfred et Weber avant de doubler les quatre minutes de temps additionnel et de siffler un penalty à la 96e, le sifflet nîmois a encore été décisif hier.
Il ne voit d'abord pas la main de Poujol. Le manque d'enthousiasme du Sochalien associé aux réclamations stadistes ne lui remettent pas les yeux en face des trous (15e). À la 49e, il n'est pas plus inspiré en ne voyant pas la main flagrante (lire par ailleurs) de Peybernes dans la surface. Dans un match capital pour le maintien, cette double faute fait mal.

La stat 13
Avec ce 13e match sans victoire (14 même en y ajoutant le déplacement sans conviction à Plabennec), ce Stade de Reims établit le nouveau record de stérilité du club version moderne. Depuis son retour chez les pros, jamais il n'avait été aussi longtemps sans gagner.
La précédente série s'était arrêtée au bout de 11 matches, durant la phase retour 2004-2005.

La phrase
« Le ballon roule sur le bras, et je marque du poing. »
Loïc POUJOL ne s'est pas dérobé. A la mi-temps sur BeIN Sport comme après le match, le défenseur sochalien a reconnu que son but n'était pas valable. « Je n'ai même pas manifesté ma joie. J'étais sûr que l'arbitre allait siffler faute », confiait-il. « Quand j'ai vu qu'il indiquait le rond central, j'ai été heureux. »
A-t-il pensé à aller voir l'arbitre pour lui signaler son erreur? « Dans notre situation, non… »

[babar051]

« Je vois la main, il la voit aussi... »
Loïc Poujol félicité par ses coéquipiers : il y a comme un malaise...

Plombés par deux erreurs de Nicolas Rainville, les Stadistes criaient au scandale. Logique car le même arbitre avait déjà précipité leur perte à Bastia.

L'EXPULSION la semaine passée de Thiago Motta, le joueur parisien qui, en L1, est celui qui dispose d'un crédit fautes et d'un droit de contestation supérieurs à tous les autres, avait fait penser que M. Rainville avait retrouvé ses esprits. Qu'il avait laissé derrière lui quelques épisodes peu glorieux de sa mission officielle : le Bastia - Reims de la double expulsion Tacalfred - Weber (2e journée) ou son raté monumental sur Nice - Rennes (17e journée).
Là encore, il avait exclu deux joueurs de la même équipe (les Rennais Kana-Biyik et Jebbour) avant de la sanctionner d'un penalty imaginaire sur une simulation de Bauthéac à faire pâlir de jalousie Ravanelli.

« Il a fait pencher la balance »
Mais, Nicolas Rainville est définitivement à la peine en L1. Et ce n'est pas sa partition d'hier qui va arranger ses affaires (*). L'intervention douteuse de Sauget sur un centre de Ramaré à la demi-heure passe par pertes et profits à côté du reste.
Le reste ? Le but accordé à Poujol à la 15e et le penalty non sifflé pour une main aussi évidente de Peybernes. « On ne va pas se cacher derrière les erreurs d'arbitrage pour expliquer notre classement », soupirait Hubert Fournier. « Mais, sur ce match, il fait pencher la balance. »
Le coach rémois n'en voulait pas à Poujol d'avoir célébré - après un temps de doute - l'ouverture du score comme s'il était un buteur honnête. « Chacun défend son camp. J'en veux à l'arbitre, à son assistant et au 4e arbitre. Je vois la main. Lui est à 5 mètres de moi et la voit aussi. »

« On lui en veut, c'est humain »
Plutôt placide donc, Hubert Fournier n'était pas suivi par un Aïssa Mandi remonté comme un coucou : « Comment ne pas en vouloir à l'arbitre ? On se bat comme des chiens et des décisions faussent le match. C'était injouable. » Comme tout le monde, le latéral droit, repositionné à gauche pour compenser le forfait de Diego, a vu le referee amorcer un geste après le centre de Glombard contré par le bras de Peybernes (49e).
« Il va pour montrer le point de penalty et son assistant lui indique le contraire. Ce n'est pas possible. On subit les choses mais on est dépité. »
« Il jugera ses erreurs avec les images », lâchait un Anthony Weber loin d'être calmé parce que c'est « dur à avaler ».
Nicolas Fauvergue, lui, maniait l'ironie. « M. Rainville prend des mauvaises décisions au mauvais moment : quand nous sommes sur le terrain. C'est la deuxième fois que ça tombe sur nous, c'est frustrant ! On l'a déjà eu. Je l'ai vu dans de précédents clubs. Ce n'est pas un mauvais mec mais on lui en veut. C'est humain. »

(*) Les Doubiens peuvent aussi arguer qu'il aurait pu exclure Glombard directement à la 38e ou à la 57e quand il a stoppé net Mikari.

[spoucknick00]

j adore la derniere ligne . Mais si il y aurait eu 0 a 0 Reims se serait pas decouvert et glombar n aura pas eu a faire cette faute . enfin bref :siflotte:

[jld]

relegable spouki doit etre heureux comme un prince :papy:

[spoucknick00]

ben c est que du foot , sa m empechera pas de dormir :siflotte:

[babar051]

Stade de Reims / Siffler n'est pas jouer
Pape Souaré et Aïssa Mandi aussi malchanceux que maladroits dans le Doubs.

FOOTBALL (L1). Le Stade de Reims a le droit de fulminer contre l'arbitre mais il ne doit pas faire l'économie d'une autocritique de son propre jeu. Il n'est pas exempt de tout reproche.

Le Stade a beaucoup de mal avec les sifflets en ce début de phase retour. Ceux qui l'ont accompagné dimanche contre Bastia (1-2) ont créé de l'amertume dans l'effectif déjà troublé. Ceux de Nicolas Rainville, samedi à Sochaux, ont été encore plus dévastateurs.

L'arbitre central n'a pas été aidé par son assistant ni par le 4e assesseur. Voilà qui ne manquera pas de relancer le débat sur la vidéo. La modernité l'exige et ça ne coûte pas plus cher qu'un 4e suppléant. « Celui qui ne sert à rien », avait critiqué Raymond Domenech. Celui qui, en tout cas, n'a rien clarifié dans la discipline depuis son arrivée (*). La discipline ne se déroulait pas plus mal avant…

Mais, au-delà d'un arbitre qui n'a rien vu, Reims doit, lui, se regarder dans une glace. Son jeu est trop faible. « Notre classement n'est pas dû qu'à des erreurs d'arbitre », admettait d'ailleurs Hubert Fournier.

Décryptage d'un samedi où la fièvre est montée d'un cran, en même temps que le Stade en descendait deux : ceux qui le séparaient encore de la zone de relégation.

La faute aux arbitres

Samedi, les Stadistes en avaient gros sur la patate et M. Rainville en prenait pour son grade. « Il n'avait pas les bonnes lunettes », insiste Anthony Weber. Au cœur de leur courroux, deux décisions qui méritent un retour sur image.

Sur la première, il ne voit pas Poujol marquer de la main gauche. Le Sochalien l'a admis et pensait que l'arbitre ne validerait pas cette irrégularité. Aurait-il dû aller la signaler à M. Rainville ? « Non », rétorque Hubert Fournier. « Je ne lui en veux pas. Ce n'est pas aux Sochaliens d'arbitrer. Il y a des hommes pour ça. »

Seconde controverse ? Après un geste déjà litigieux de Sauget dans la surface (32e), Peybernes contre de la main le centre de Glombard (49e). Penalty, désigne mollement l'arbitre central avant de se raviser après concertation avec son assistant. Celui qui, déjà, n'avait pas vu la mimine de Poujol. De sa ligne, il ne voit pas jusqu'au 2e poteau. Il ne « bigle » pas non plus jusqu'aux 16,5 mètres.

La colère contre M. Rainville peut s'amplifier, surtout qu'il avait déjà dirigé le houleux Bastia - Reims (2-1) du 18 août. S'il venait aux Rouge et Blanc l'idée d'en faire des « caisses » dans la semaine pour conditionner M. Thual appelé à diriger Reims - Toulouse de samedi, ils pourront aussi rappeler le Reims - Bordeaux (0-0) du 9 décembre. M. Varela avait fermé les yeux sur l'évidente faute dans la surface de Planus sur Mandi en fin de match.

Les fautes dans le jeu

Les décisions arbitrales ont « faussé le match », dixit Mandi. Vrai mais le Stade s'est aussi compliqué la vie tout seul dans le Doubs. « Dans un match pas terrible », a confessé Poujol.

L'état d'esprit n'est pas à remettre en cause, l'envie non plus (le Stade a plus tiré et plus centré que les Franc-Comtois) mais les lacunes sont récurrentes. Sont-elles corrigibles ? La question reste entière quand on voit le nombre de hors-jeu, 9 dont 5 pour le seul Ghilas.

« Il nous manque un grain de folie », croit savoir Nicolas Fauvergue. « On était plus libéré en début de saison. Mais, à un moment, on a peut-être trop calculé. » La confiance s'est évaporée, surtout en attaque. « On en manque mais une fois qu'on a dit ça... », questionne Hubert Fournier. « Je varie les paires. On concerne tout le monde mais sans effet pour l'instant. »

La preuve ? Le Stade n'a, encore une fois, cadré qu'une frappe, et encore, par un milieu sur coup franc (Krychowiak). C'est l'équipe qui en cadre moins en L1 (60 sur 204, soit moins de 30 %). Et comme Courtet n'était pas là…

Les absences du buteur et du rassurant Agassa parti à la CAN laissaient craindre le pire. Surtout quand ce manque de réalisme se conjugue à une efficacité défensive aléatoire. Sur l'ouverture du score par Poujol, Mandi et Krychowiak n'ont pas su dégager le corner de Dias, Placide l'a regardé passer et Glombard a suivi Poujol de trop loin. Peut-être que ça fait beaucoup, non ?

(*) Sauf à ce qu'un délégué ne sache pas brandir un tableau lumineux, ce qui tarde à être prouvé ! À moins que l'introduction de l'affichage lumineux les ait mis hors course par rapport à l'époque du manuel.





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Le chiffre : 50
Titulaire samedi à Sochaux, Kamel Ghilas disputé son 50e match de championnat avec les Rouge et Blanc: son 15e de la saison après ses 35 en L2. De son côté, Mickaël Tacalfred disputait son 301e match d’un championnat pro: 19 en L1 avec Reims et 282 en L2 depuis ses débuts à Martigues contre Niort le 29 juillet 2001.

La stat : 33 %
Sur les dix dernières saisons, un tiers des équipes relégables à la 21e journée a réussi à sauver sa peau. Si l’on s’attarde sur le club classé 18e à la 21e journée, les chances de s’en tirer pour le Stade sont équivalentes: trois fois seulement il s’est maintenu avec Ajaccio en 2002-2003 puis 2004-2005 et Valenciennes il y a quatre ans.

La phrase : « Soit on plonge, soit on est galvanisé ! »
Ulcéré par les décisions de l’arbitre, Aïssa Mandi prétendait que le Stade était devant un choix restreint. Évidemment, le latéral retenait la seconde option: « On a perdu des points. On subi l’injustice mais on ne va pas lâcher. »

[babar051]

Leader des mauvais élèves
À la reprise hivernale, après une trêve studieuse prolongée par un court stage en immersion à Clairefontaine, Hubert Fournier avait montré des signes d'agacement en découvrant les pronostics des spécialistes, qui tous, sans exception, plaçaient son équipe dans la charrette des relégables. Le plus souvent aux côtés de Troyes et Nancy, décrochés dès le baisser du drapeau.

Les deux défaites enregistrées lors des deux premiers matches de 2013 ont conforté l'impression générale. Le promu champenois, à la recherche d'un succès depuis plus de six mois, rame désespérément. Aux limites constatées dans son jeu, s'ajoute désormais une faiblesse mentale, symbolisée par un bilan très défavorable établi après les oppositions directes entre candidats au maintien.

A fond jusqu'en mai
En neuf matches avec ses frères de galère, le promu champenois s'est incliné à cinq reprises. À domicile, il a cédé 10 points sur 18 à ses compagnons de galère, ce qui fait de lui, à ce moment du championnat, l'hôte le plus généreux du Top 8 des relégables potentiels.

Les affrontements directs (voir tableau ci-contre) sont souvent serrés (7 nuls et 14 victoires ou défaites par plus d'un but d'écart), mais peuvent aussi déboucher sur des scores fleuves dont est souvent victime Nancy (battu 4-2 à Bastia et auteur d'un spectaculaire 3-3 à Troyes).

Alors que 31 des 46 face à face ont déjà été disputés, l'Estac, bizarrement n'a encore reçu que deux de ses sept concurrents. Un potentiel points qui lui permet de croire en un retour possible, malgré ses six unités de retard sur le 18e.

Affichant un zéro pointé en déplacement (3 matches, 3 défaites), Reims n'a plus d'autre alternative que de ramener le maximum de points de ses quatre déplacements (Brest, Evian, Troyes et Nancy) chez des membres du Top 8, car seul Ajaccio (35e journée) visitera Delaune.

Déduction simple : c'est face aux ténors du championnat que le Stade de Reims devra aller cueillir les 22, voire 23 points nécessaires à sa survie dans l'élite. Sept victoires en dix-sept matches, un sacré challenge.

[spoucknick00]

bah reims aime joué les gros , sa pourrait les sauver lol

[babar051]

De Préville à Reims (off.)
Comme attendu, Nicolas De Préville (22 ans) vient officiellement de quitter Istres pour rejoindre Reims. Auteur de cinq buts cette saison en Ligue 2, l'attaquant s'est engagé pour trois ans et demi avec le club champenois, soit jusqu'en 2016.