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Mickaël Tacalfred joueur de novembre
Mickaël Tacalfred, le capitaine du Stade de Reims à été élu joueur du mois de novembre par le Groupement Officiel des Supporters du Stade de Reims.

Un trophée lui a été remis ce lundi matin aux Thiolettes, à l'issue de l'entraînement.

Un Rémois présélectionné en équipe de France U17

La formation du Stade de Reims est mise à l’honneur : L’attaquant rémois des U17 Nationaux Jordan Siebatcheu – au club depuis 2002 ! - vient d’être présélectionné dans le cadre d’un stage avec l’équipe de France des U17, du 17 au 20 décembre prochain à Clairefontaine.

Floyd Ayité voulait en imposer
Hubert Fournier et Francis Gillot n'ont pas tenu le même discours à leurs joueurs.

Attaquant le plus virevoltant, Ayité a tout tenté pour forcer le destin rouge et blanc. Le nouvel élan stadiste coïncide avec sa montée en puissance. Hasard ?

FLOYD est quelqu'un de poli. Il avait beau jurer que ne pas avoir été conservé par les Girondins n'avait pas touché son orgueil, tout son match d'hier tend à prouver le contraire. Le sentiment de revanche affleurait et il a rejailli dès le coup d'envoi.
« Je leur dois tout. Si je suis pro, c'est grâce aux Girondins et nous nous sommes quittés alors je n'avais pas le cœur à me venger », répétait-il à la fin du match.
A force d'insister, il faut bien le croire. Faire semblant, en tout cas ! Car le Togolais a affiché plein de jus dès ses premières prises de balle. Il voulait marquer de son empreinte cette 7e titularisation de la saison. Sept comme le - petit - nombre de ses apparitions en L1 avec les Girondins. Un bref cursus au cours duquel il n'aura eu droit qu'à une miette de Chaban-Delmas (deux minutes lors d'une victoire sur Auxerre en 2011).

« Pas conscient de son talent »
En pénétrant sur la pelouse de Delaune, Ayité voulait donc rappeler à Bordeaux qu'il avait peut-être négligé de ne pas lui avoir laissé le temps de « montrer tout ce que j'aurais voulu » sur les bords de la Garonne. Il avait surtout envie de ne pas revivre un scénario. Ses premières retrouvailles avec les Girondins avaient viré au cauchemar en 2009. Alors à Nancy, il avait encaissé un cinglant 0-3 à Picot.
Sa faim s'exprimait dès ses premières touches de balle même s'il n'était pas quitté d'une semelle par Marange, celui qui se sent décidément à l'aise à Reims. De sa patte gauche, il avait facilité la qualification des Girondins pour la finale de la Coupe de la Ligue 2007 en trompant Liébus (1-2). Hier, sa mission était de canaliser « Mini-Ayité » qu'il a si souvent côtoyé en CFA avec la réserve girondine. Qu'il avait aussi accompagné lors de son prêt en Lorraine (20009-2010). Le Rémois lui a donné du fil à retordre en étant l'attaquant le plus virulent. Pas de quoi surprendre le Girondin : « Floyd est très fort. Il n'est pas conscient de son talent. C'est un très bon joueur. Parfois, il est capable de passer à côté de son match. Parfois, c'est tout ou rien. Aujourd'hui (hier), c'était tout. »
Le seul à tenter sa chance au but au cours du premier acte, Floyd a aussi été celui qui a le plus provoqué, centré… Même s'il y a du déchet dans ce qu'il a entrepris et un excès d'individualisme parfois, le Togolais aurait mérité de trouver l'ouverture sur son ballon de la 69e. « Je vois la sortie de Carrasso qui me met un sacré coup au passage », confie-t-il.
Son centre à destination de Diégo méritait aussi une meilleure conclusion (55e). « On a vu le Floyd que l'on aime », dévoile Hubert Fournier. « On le voit aux entraînements. Maintenant, il doit gagner en constance. Il a la capacité d'être notre leader d'attaque. »
« Je dois hisser mon niveau »
Bon dans la profondeur comme dans la largeur du terrain, l'ancien Bordelais n'a péché que dans la finition. « Il a été remuant », félicite Johann Ramaré. « On connaît ses qualités de percussion, de dribble. C'est un dynamiteur. On a besoin de ces excentrés. » Avec ses courses et sa disponibilité, le Stade a pu étirer le dispositif girondin, où la densité défensive était le maître-mot. Il a pu se défaire du marquage de Marange ou de Henrique, celui qui joue plus des coudes que du pied.
Bref, Ayité n'a pas manqué ses retrouvailles. « Je sais ce dont je suis capable. Dans ma tête, je dois hisser mon niveau d'exigence », conclut-il. Une forme de promesse pour montrer que Valenciennes et Bordeaux n'étaient que le début d'un cercle vertueux pour lui.

Stade de Reims, le point levé
Une deuxième mi-temps de haute volée pour les Stadistes.

FOOTBALL (L1). Les Bordelais ont applaudi des deux mains la prestation rémoise. Il faut dire qu’ils ont eu chaud hierà Delaune où les Rouge et Blanc les ont harcelés sans parvenir à marquer. C’est bien là le problème…

IL y a des 0-0 qui valent plus qu’un point et d’autres pas mieux qu’une défaite. Question: y a-t-il un dénominateur commun autre que son résultat final entre les matches Reims – Brest et Reims –Bordeaux? Le 24 novembre, les Rémois, peu inspirés, s’étaient heurtés à une équipe finistérienne moins complexée, regrettant au bout du compte d’avoir manqué d’ambition. «Le coup était largement jouable», regrettait même Landry Chauvin, le coach brestois.
Hier, ils ont quitté Delaune avec l’impression d’avoir perdu deux points en route. Car le Bordeaux qui s’est présenté face à eux, «était prenable», a confessé Anthony Weber. Mais voilà, en panne de réussite depuis plus de 540 minutes, Reims pouvait-il espérer mieux malgré la détermination affichée et une réelle domination en 2e mi-temps? «Oui, bien sûr, a admis Antoine Devaux. Physiquement, on était présent et il n’a pas manqué grand-chose pour faire basculer ce match en notre faveur».

Perrin: «Il n’y a pas photo»
Ce premier match en diurne à domicile, ne valut en fait que par sa deuxième moitié. Auparavant, en dépit d’une possession de balle partagée, Bordeaux domina légèrement la 1re mi-temps.Rien de bien convaincant pour un prétendant à l’Europe qui avait laissé au repos la quasi-totalité de ses titulaires face à Newcastle, jeudi, et qui ambitionnait de s’imposer en Champagne-Ardenne, comme à Évian en début de saison (2-3) et à Lorient dernièrement (0-4).
Timide et sans doute trop appliqué à réciter sa stratégie d’attaque face à une défense coulissante à cinq éléments, Reims ne relevait pas le niveau malgré quelques situations provoquées par le duo Souaré - Diego, sur le côté gauche, et un Ayité percutant mais un peu brouillon.
Le match débuta réellement en 2e période, lorsque Francis Gillot lança Sertic et Planus, et surtout quand les Champenois décidèrent de ne plus respecter ce convive bien propre sur lui, tout en retenue. «Le coach nous a demandé de percuter davantage, de transmettre plus rapidement le ballon, bref de les bousculer un peu», confia un omniprésent Ghisolfi.
La «Zlatan» d’Ayité (69e) aurait dû changer la donne d’une partie tout à l’avantage de Stadistes enfin libérés. Un déboulé de Fortes ponctué par une talonnade ratée de ce même Ayité et un penalty non sifflé pour plaquage de Planus sur Mandi en pleine surface (85e) donnaient encore plus de consistance à la supériorité stadiste.
«Nous méritions la victoire, je crois qu’il n’y a pas photo», estimait Didier Perrin, tout de même préoccupé par ce dangereux surplace.Jean-Pierre Caillot, lui, relativisait: «Il y a eu des faits de match qui ne nous ont pas été favorables, mais c’est la première fois que l’on joue une équipe de haut de tableau, sans repartir déçu.Contre Marseille et Paris, nous avions aussi joué de bons matches, que nous avions perdus».

Ghilas: «Si vous avez la recette…»
Le point noir, toujours le même, était soigneusement contourné par les protagonistes. «Nous n’avons pas su concrétiser ce bon match par un petit but», regrettait Gaëtan Courtet, dont le retour était très attendu. «Je ne pense pas avoir grand-chose à me reprocher, estimait pour sa part un Kamel Ghilas combatif et au volume de jeu impressionnant. Si vous connaissez la recette pour nous permettre de marquer, je suis preneur».
En foot, quand les filets ne tremblent pas, c’est difficile de gagner. Des buteurs en berne et des adversaires qui stagnent. La 6e place pour Bordeaux, la 15e pour Reims. «Si nous continuons de la sorte, ça va payer, estimait Devaux.Le Toulousain, au fur et au moulin hier, semblait confiant: «On ira gagner à Ajaccio mercredi». N’est-ce pas une bonne idée?

Les hommes clé
Mickaël Tacalfred : Le capitaine stadiste a été énorme. Présent dans les points chauds, solide dans ses duels avec le remuant Gouffran, il a aussi fait preuve de sobriété dans ses interventions et de calme dans ses relances.«Micka» a confirmé dans un match compliqué, qu’il avait le niveau et le tempérament pour guider son équipe.

Florent GHISOLFI : À Valenciennes, il avait déjà fait montre d’une grande activité. Hier, dans un poste avancé devant Antoine Devaux, le Marseillais s’est montré régulier, présent dans l’impact et plutôt actif dans les phases offensives. «Flo» participa avec réussite dans la plupart des attaques côté droit, tout en s’appliquant à combler les décalages au milieu. Sur sa forme actuelle, dommage qu’il soit suspendu pour Ajaccio.


Floyd AYITE : Les Bordelais se méfiaient à juste titre de leur ancien attaquant. D’entrée, l’international togolais a su prendre l’initiative dans le jeu offensif. Percutant à droite, il livra un sacré duel au robuste Marange.Ses percées dans l’axe, causèrent le trouble dans une arrière-garde renforcée. Malheureusement, il manqua de réussite sur sa «Zlatan» et vit son lob acrobatique terminer sa course sur la transversale d’un Carrasso parti aux fraises.

Ce petit point qui fait tant causer...

Francis Gillot : « On s'en tire bien »
Un tantinet caustique, Francis Gillot est venu dire tout le bien qu'il pensait de Reims « qui méritait de gagner », et surtout tout le mal qu'il pensait de son équipe, « à côté du sujet ».
« On s'est mis à l'envers d'entrée, et on y est resté tout le temps. Finalement, on s'en tire bien. Ce n'est pas parce que des joueurs ont été laissés au repos jeudi (contre Newcastle en Ligue Europa) qu'ils ont été plus impliqués. Nous devons très vite oublier ce match où nous avons été mangés physiquement. Il y a beaucoup de choses à corriger dans la perspective du match contre Saint-Etienne dans quatre jours ».
L'entraîneur bordelais a bien tenté de réveiller sa troupe en incorporant du sang neuf à la mi-temps. En vain. « On a essayé de rétablir l'équilibre à la pause. Nous n'étions pas réveillés, nous n'avions pas de fil conducteur, on ne s'est pas trouvé. En fait, on doit perdre ce match, Reims méritait de le gagner ».

Hubert Fournier : « Il y avait penalty »
Pour l'entraîneur rémois, son équipe l'a emporté aux points. « Sur la 1re mi-temps, c'est un point de pris car les équipes se sont neutralisées. Sur la seconde, ce sont deux points perdus. J'ai revu les images, il y avait bien penalty sur Mandi. L'arbitre en a décidé autrement. C'est dommage car ça nous aurait fait du bien de marquer et de gagner.
Sur le plan comptable, notre situation reste figée, mais il existe des motifs de satisfaction sur le contenu, dans la continuité de notre prestation de Valenciennes. Si nous conservons cette attitude, cette même envie, nous réussirons à enrayer la spirale négative ».
Hubert Fournier reconnaît les mérites de son équipe qui continue à se battre même si la réussite la fuit : « Ce nul contre Bordeaux n'est pas un si mauvais résultat. Il faut continuer et les buts reviendront, les victoires aussi. Mon équipe n'a jamais lâché, à part le match à Lyon. C'est en s'appuyant sur ces vertus que nous assurerons notre maintien en Ligue 1 ».

babar051 a écrit :

Mickaël Tacalfred joueur de novembre
Mickaël Tacalfred, le capitaine du Stade de Reims à été élu joueur du mois de novembre par le Groupement Officiel des Supporters du Stade de Reims.

Un trophée lui a été remis ce lundi matin aux Thiolettes, à l'issue de l'entraînement.

Un Rémois présélectionné en équipe de France U17

La formation du Stade de Reims est mise à l’honneur : L’attaquant rémois des U17 Nationaux Jordan Siebatcheu – au club depuis 2002 ! - vient d’être présélectionné dans le cadre d’un stage avec l’équipe de France des U17, du 17 au 20 décembre prochain à Clairefontaine.

Le Stade de Reims en stage en janvier

Dans le cadre de la reprise, après la trève de Noël, le Stade de Reims effectuera un stage de 3 jours à Clairefontaine, avant de jouer son 32e de finale de Coupe de France contre Plabennec, le week-end du 5 janvier

Chpt des Tribunes: Reims garde la main
A l'issue de la 16e journée de Ligue 1, le Stade de Reims reste en tête du Championnat de France des Tribunes RTL-UJSF, devant l'AS Saint-Etienne.

Merci à tous les supporters pour votre soutien ! Nous vous attendons encore nombreux à Auguste Delaune, samedi à 20h à l'occasion de la réception du LOSC Lille Métropole.

Ajaccio-Stade de Reims : Le groupe !
Hubert Fournier a communiqué un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Ajaccio, mercredi à 19h00 (17e journée de Ligue 1)
Stade de Reims : Agassa, Liébus – Glombard, Mandi, Tacalfred, Weber, Fofana, Signorino – Ca, Ramaré, Krychowiak, Devaux, Diego, Fortes, Ayité – Toudic, Ghilas, Courtet

Absents : Fauvergue (cheville), Souaré (adducteurs), Ghisolfi (suspendu)

Les mots d'Hubert Fournier:
Le match à Ajaccio : Comme tous les matchs à l’extérieur, nous devrons être rigoureux, disciplinés courageux et avoir la volonté de s’exprimer offensivement pour espérer ramener un résultat positif. C’est le premier match à l’extérieur, hormis Bastia, où nous serons face à un concurrent direct. Cela nous permettrait en cas de bon résultat de s’éloigner un petit peu de cette équipe. Nous aurons sans doute plus de possibilités que lors des derniers matchs à l’extérieur.

Le tirage au sort face à Plabennec : Sur le papier, le tirage est plutôt favorable mais nous serons attendus. Les premiers tours sont toujours compliqués pour les équipes professionnelles. L’important est de revenir de Plabennec, peu importe la manière, avec la qualification. Nous devrons en tout cas prendre ce match au sérieux.

CdF : le ouf de soulagement du président du Stade
Dans le rôle des mains innocentes, Raymond Kopa et Just Fontaine.

Le tirage au sort des 32es de finale de la Coupe de France a eu lieu hier à Reims, en direct à la télé. Le Stade évite le Paris-Saint-Germain, l'adversaire que redoutait Jean-Pierre Caillot.

REIMS avait hier, une nouvelle fois, les honneurs de la télé : après l'enregistrement du Noël sous les étoiles de la semaine dernière pour France 3, c'est Eurosport qui s'était déplacé pour retransmettre en direct le tirage au sort des 32es de finale de la Coupe de France, depuis la splendide salle des Festins du palais du Tau.

Suspense. - Il a fallu attendre un bon moment avant de savoir contre qui le Stade de Reims allait jouer puisque la boule de notre club est sortie l'avant-dernière des 64.

Soulagement. - Il s'en est fallu de peu pour que les Rémois ne tombent sur le Paris-Saint-Germain, un des épouvantails du championnat en cours, puisque, parmi les quatre dernières boules à tirer, figuraient celle du

Stade et du PSG. L'animatrice de l'émission, Carine, a entendu le président Caillot pousser un ouf de soulagement quand il a entendu le nom d'Arras associé à celui de Paris.

Terrain connu. - Le sort a donc finalement réservé à Reims le club amateur de Plabennec, avec match en Bretagne le 4, 5 ou 6 janvier, en fonction des impératifs de la télé. « Ce sont des gens qu'on connaît, a commenté Jean-Pierre Caillot, puisqu'on avait joué contre eux il y a quatre ans en National. On connaît leur stade. »

Gloires. - Pour ce tirage au sort médiatisé, Eurosport avait invité deux anciennes gloires du club rémois, en la personne de Just Fontaine et Raymond Kopa : ce sont eux qui ont joué le rôle de « mains innocentes ». Le Rémois Robert Pires, ex-international, était, lui aussi, présent.

Hommage. - Lors des discours qui précédaient le tirage au sort proprement dit, il a été rendu plusieurs fois hommage aux amateurs de Reims Sainte-Anne, qui s'étaient inclinés lors du week-end devant plus forts qu'eux, en l'occurrence les pros du Stade Malherbe de Caen, au terme d'un parcours en Coupe tout à fait honorable eu égard à leur pedigree.

Vérité. - La maire de Reims, Adeline Hazan, a rejoint la cérémonie en cours de route après avoir quitté avant la fin le conseil d'agglomération. Elle a rappelé cette sentence : « La seule vérité qui compte, c'est celle du terrain, valable en football mais aussi en politique. »
Longue haleine. - L'adjointe aux Sports, Christine Michel, a confié que cette idée d'accueillir à Reims un tirage de Coupe de France ne datait pas d'hier : « le principe en avait été suggéré lors du France-Serbie » de fin mai dernier.

Brésil au féminin. - En marge du tirage, le président de la Ligue Champagne-Ardenne de football, Jean-Claude Hazeaux, a confirmé que Delaune pourrait bien à nouveau accueillir une équipe de France en 2013, en l'occurrence les féminines : Reims a postulé en effet pour un match contre le Brésil au printemps prochain.

Patchanka a écrit :pour l'avant centre il fallait garder le vieux Fauré, pour le coach s'est bien qu'il ne soit pas en danger, et comme l'OM leur bon début de saison vont les sauver, les points pris ne sont plus à prendre et à présent il faut passer la seconde...
J'avais vu les deux matches de cdf contre Rennes et Nice, espéront qu'il y ait le déclic