Re: Les Autres SPORTS
Posté : 29 juin 2012 18:37
Donc si j'achète NHL13 et que je prends son club... je serai dans la merde pour les transferts et salaires 

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sur le dopage d' hier et aujourd' huiFrère d’Erwann, Pierre-Henri Menthéour a, entre autres, épaulé Laurent Fignon lors de sa victoire dans le Tour 1984 et remporté une étape.
Comme le rappelait Philippe Brunel il y a quelques jours dans le journal L’Equipe, Jacques Anquetil a toujours déclaré publiquement qu’il se dopait. Cela remet-il en cause le champion qu’il était ? Lucien Aimar, ancien vainqueur du Tour, l’a aussi dit clairement dans le même journal. C’était naturel de prendre quelque chose.
Sur un Tour de France des années 70, à la question d’un journaliste de télévision et face caméra :
- « Luis Ocana, il s’avère qu’à la suite du contrôle d’il y a deux jours, vous auriez pris des amphétamines ? Qu’en est-il ?
- C’est exact, c’est exact, c’était bien des amphétamines ! »
je devais être digne de mes pères. J’ai donc perpétué la tradition. Personne ne m’a jamais fait la morale sur l’éthique, la tricherie, etc…
Aujourd’hui, je ne regrette rien de ce que j’ai pu faire.
Désormais, on menottait, on fouillait intimement un coureur du Tour puis on le mettait en garde a vue ! En prison, quoi… Nous, les dieux, on nous traitait comme des délinquants. Vous imaginez Zidane en garde à vue ? Pas moi.
Bien sûr, il y a aussi ceux qui continuent malgré tout à prendre des risques. Pourquoi ? Je vais vous aider à comprendre.Vous-mêmes, n’avez-vous jamais triché ? Au volant ? A un examen ? Pour gagner de l’argent, ou ne pas en perdre ? Pour gagner du pouvoir ?
Vous ne connaissez personne parmi les puissants que nous élisons qui ne soit prêt à tout ou presque pour gagner ?
Que n’est-on pas prêt à faire pour réussir ? Faites votre examen de conscience avant de juger. Les coureurs sont juste des hommes comme les autres. Aucune raison qu’ils soient plus intègres que le reste de la société.
Et par pitié, ne me parlez pas d’exemplarité du sport de haut niveau.
Je n’essaie pas de dire que le dopage est inoffensif. Loin de là. Je sais m’être fait du mal souvent. J’ai connu l’époque folklorique des amphétamines. On en parle entres anciens en rigolant.
Pourtant, je suis passé par une période de toxicomanie. La plupart ne se l’avouent même pas. Je m’en suis sorti comme beaucoup, d’autres non. Je ne vais pas vous faire la liste des suicides et morts violentes mais elle vaut le coup d’oeil.
Les amphétamines, c’était la préhistoire du dopage. Au niveau de l’armement, c’était l’arc et les flèches. L’EPO et les modifications génétiques, c’est une bombe atomique.
Un article comme je les aime au petit dejLa lutte contre le dopage est absolument nécessaire pour une seule raison à mes yeux : je n’aurais voulu pour rien au monde que mon fils reproduise ce que j’ai pu infliger à mon corps. Qu’un jour il puisse s’enfoncer des aiguilles dans le corps, même des vitamines, pour aller plus vite en vélo.
Goberville, une Française en argentLa Picarde de 25 ans a offert dimanche à la France sa première médaille des Jeux de Londres, une médaille en argent au pistolet à 10 mètres.
Céline Goberville a remporté dimanche la première médaille française des Jeux. (L'Equipe)
Céline Goberville a remporté dimanche la première médaille française des Jeux Olympiques au tir au pistolet à 10 mètres : l'argent. Aux Royal Artillery Barracks de Londres, la Française, longtemps en tête, a craqué au pire moment : le dixième et dernier tir, ce qui a permis à Wenjun Gu, déjà titrée en 2008, de conserver son titre olympique. «Ce tir moyen, je ne me l'explique pas vraiment. C'est une erreur. Ce n'est pas parce que c'était le dernier plomb. Cela arrive, c'est tout», a-t-elle déclaré, sa médaille autour du cou.
«Je suis très fière de ramener une médaille pour la France. Je ne pensais pas monter sur le podium.»Avec un total de 488,1 points, la Chinoise a devancé Goberville et l'Ukrainienne Olena Kostevych, ex-aequo avec 486,6. Les deux filles ont dû se départager au «shoot-out», un duel à deux pistolets au poing. Lors de cet ultime tir, la Française a repris toute sa concentration pour décrocher la médaille d'argent. Malgré cette petite défaillance qui l'a privée de l'or, Goberville était tout sourire. «Je suis très fière de ramener une médaille pour la France. Je ne pensais pas monter sur le podium, même si j'avais fait une bonne saison, car ce sont mes premiers JO. J'ai encore du mal à réaliser. J'ai été déçue du dernier plomb qui me fait passer de la première à la deuxième place. Mais l'important, c'est la médaille.»
Le tir, une affaire de famille
Née dans une famille de tireurs, avec une mère pistolière et un père carabinier, la jeune femme de 25 ans avait fait parler d'elle en décrochant le titre de championne d'Europe en 2011 à Brescia en Italie. Elle a d'ailleurs eu un petit mot pour ses parents. «Toute ma famille fait du tir. Ma soeur est en équipe de France, mes parents y étaient aussi. C'est une affaire de famille. Je suis née dans le milieu et j'ai été éduquée par des parents qui ont connu le haut niveau. C'est en grande partie grâce à eux que j'ai une médaille aujourd'hui.» Ses JO ne sont pas pour autant terminés. Le 1er août, elle tirera, toujours au pistolet, mais à 25 mètres
Gneto en bronze
La jeunesse a eu raison de l'expérience. En moins de 52kg, Priscilla Gneto, tout juste âgée de 20 ans, a battu dans le golden score la Belge Ilse Heylen (ippon, harai-goshi) pour s'offrir une médaille de bronze pleine de promesse.
Muffat, une fille en orA l'issue d'une course qu'elle domina de bout en bout, la Niçoise est devenue championne olympique du 400m.
Camille Muffat a été sacrée sur 400m NL. (L'Equipe)
Camille Muffat, 22 ans, a offert sa première médaille d'or à la France en bouclant son 400m nage libre en 4'01''45, devant l'Américaine Allison Schmitt (4'11''77) et l'Anglaise Rebecca Addlington. «Je ne réalise vraiment pas. J'ai montré que je pouvais être là quand il fallait. J'avais la certitude d'être la meilleure, mais pas celle de gagner aux Jeux Olympiques. Ce n'est pas pareil. Je suis vraiment soulagée», a-t-elle déclaré, radieuse, à la sortie des bassins. Favorite logique depuis qu'elle détenait la meilleure performance mondiale de l'année (4'01''13, réalisés aux championnats de France de Dunkerque), la Niçoise a imposé d'emblée son rythme à ses rivales.
Dans une ambiance surchauffée, tout acquise à la cause de Rebecca Addlington, la championne olympique en titre, Muffat a géré sa course, de bout en bout, comme elle l'entendait. Seule Allison Schmitt est parvenue est restée au contact de la Française pour finalement céder à la touche.
L'élève de Fabrice Pellerin qui avait abandonné sa polyvalence en début de saison pour se concentrer exclusivement sur 200 m et 400m crawl a donc eu raison dans ses choix. Huit ans après Laure Manaudou, sacrée sur la même distance en 2004 lors des Jeux d'Athènes, elle devient la deuxième nageuse française championne olympiqu. «Ce 400m a pas mal de valeur à mes yeux, rappelle-t-elle. Battre le record de France il y a quelques mois. Et aujourd'hui concrétiser une médaille olympique. Dans la natation française, c'est énorme. J'espérais un jour avoir une médaille olympique, c'était le rêve d'une vie.» Egalement engagée dans la finale, Coralie Balmy a terminé en sixième position.
Le relais bleu au sommet
Le relais tricolore (Leveaux, Gilot, Lefert, Agnel) a remporté dimanche soir l'or olympique sur le 4x100m nage libre. Il s'est imposé (3'09"93) devant les Etats-Unis (3'10"38) et la Russie (3'11"41). Dernier relayeur, Agnel a résisté à Ryan Lochte