Re: [CLUB] - STADE DE REIMS
Posté : 03 déc. 2012 13:52
RHOOOOOOO tu es vraiment la mauvaise foi incarnée toi ou alors t pas un supp surtout pour reims , son histoire sa legende etc....babar frappe le
:papy:

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Stade de Reims / Florent Ghisolfi : « Repartir au combat »
FOOTBALL (L1). Malgré une riche carrière, « Flo » n'avait jamais été présent sur une pelouse de L1 au coup d'envoi. Sa première à Valenciennes a été concluante. Il a apporté sa grinta. Interview.
L'accolade avec Nicolas Penneteau a été longue. Le gardien corse du VAFC a vu débuter à Furiani Florent Ghisolfi. Samedi, au stade du Hainaut, le portier souhaitait bonne chance à son ex-équipier. « Vous allez en gagner en jouant comme ça », disait-il. Un compliment qui résume bien le match qui s'était conclu peu auparavant. Le Stade de Reims était celui qui avait laissé la meilleure impression. « C'est bon pour le moral. On relève la tête », assurait Ghisolfi.
Florent, le groupe a paru abattu, comme sonné par ce nouveau revers…
« Il y a énormément de frustration mais il faut savoir ressortir la tête haute de ce match. On a affiché beaucoup de valeurs. Il y a longtemps qu'on n'avait plus montré ce visage. C'est dommage qu'on n'ait pas réussi à marquer. »
La situation vous inquiète-t-elle ?
« Il y a du positif dans ce que nous avons montré. Maintenant, il faut bosser et bosser. On va se concentrer sur Bordeaux. On a eu une bonne attitude. On va repartir au combat. »
Un résultat positif contre Bordeaux devient tout de même impératif ?
« J'ai beaucoup d'espoirs et de confiance en ce groupe. On est peut-être en échec actuellement mais il y a des ressources. Il y a des hommes pour se battre. On espère que le public sera là avec nous, malgré cet horaire qui, pour moi, n'est pas celui du foot pro. »
Contre Valenciennes, certains sont sortis du banc et ont apporté beaucoup. Vous en faîtes partie. Comment avez-vous vécu cette première titularisation de votre carrière en Ligue 1 ?
« Je ne suis pas un fanatique des statistiques. Je suis juste heureux que l'on ait fait tourner. Cela donne un second souffle au groupe. Ceux qui, cette fois, n'étaient pas sur le terrain vont revenir plus forts, avec plus d'envie et de motivation. Il fallait régénérer le groupe qui commençait à s'essouffler. On a la confirmation qu'il y a une vingtaine de joueurs de qualité. »
Il n'a pas été trop difficile de tenir les 90 minutes ?
« J'ai eu beaucoup de plaisir. Je remercie M. Guion et mes coéquipiers de la réserve. Je suis attaché à cette équipe. J'y ai joué deux matches complets qui m'ont permis d'avoir du rythme. J'ai essayé d'apporter ce soir (samedi) ma fraîcheur et mon mental. »
Et votre sens de l'engagement dans un duel sans merci avec Ducourtioux ?
« C'est un ami mais peut-être que sa blessure au nez a servi d'étincelle. Sanchez n'est pas un ingrat non plus… »
Stade de Reims / Demain, il fera beau
Auteur d'une entrée convaincante en 2e mi-temps, Kamel Ghilas a aussi tenté de bloquer la relance des défenseurs valenciennois.
FOOTBALL (L1). Malgré la défaite, le Stade de Reims a montré samedi à Valenciennes qu'il possédait encore des réserves pour mettre un terme à son inquiétante série noire.
L'un après l'autre, Nicolas Penneteau et Foued Kadir, le gardien et le buteur valenciennois, sont venus dire devant la presse tout le bien qu'ils pensaient du Stade de Reims. « Une bonne équipe qui pratique un beau jeu en s'appliquant à bien remonter le ballon », a reconnu le premier, quant le second faisait remarquer que son statut de promu n'en n'a pas fait « un adversaire facile à battre ».
Auparavant, le jovial président nordiste, Jean-Raymond Legrand, avait assuré à son homologue marnais, Jean-Pierre Caillot, que son équipe avait été l'une des plus coriaces accueillies jusqu'ici au Hainaut.
Valeurs retrouvées
Couverts de fleurs, les Stadistes ont néanmoins regagné leurs pénates sans point. Une mauvaise habitude datant de deux mois, de Saint-Etienne (0-0, le 30 septembre), le dernier tombeur de Valenciennes. Et comme le soulignait Hubert Fournier, « il y a bien longtemps que VA ne s'était pas fait bousculer de la sorte sur sa pelouse, mais ça nous fait une belle jambe, dans la mesure où on repart bredouille ».
Un match et une défaite supplémentaire : la 5e enregistrée lors des sept derniers matches. Mais plus que les autres, celle de samedi semble annonciateur d'un nouvel et léger espoir. « Depuis notre sortie du Parc des Princes, on n'avait pas vu une équipe aussi cohérente, affichant un tel état d'esprit, affirme Jean-Pierre Caillot. On a retrouvé nos valeurs ».
Une impression partagée par son entraîneur : « L'équipe s'est montrée ambitieuse dans le jeu, audacieuse, enthousiaste et collective. Toutes les qualités que nous avions perdues ces derniers temps. C'est plutôt de bon augure pour la suite ».
Devaux, le symbole
La réaction attendue est donc venue de ces joueurs souvent remplaçants et qui se languissaient à l'ombre des titulaires. Le « rafraîchissement » souhaitée par l'entraîneur, a porté ses fruits. « C'est l'un des motifs de satisfaction, admet Fournier. Il fallait donner une nouvelle respiration à ce groupe ».
Floyd Ayité par sa percussion et son culot en 1re mi-temps, Florent Ghisolfi et Johan Ramaré pour leur activité et leur sens du sacrifice, Kamel Ghilas pour son incisive entrée en jeu, et surtout Antoine Devaux, rayonnant tel un Andreas Pirlo, dans un rôle de meneur de jeu en base arrière, ont marqué des points.
« Nous avons été solidaires, agressifs et disponibles comme nous le souhaitions avant le match », expliquait Ramaré. Confirmant que le Stade, à défaut de point, avait ramené de la belle enceinte nordiste, un réel espoir de renouveau.
Hubert Fournier : « Il faut mettre le ballon au fond »
Floyd Ayité a livré un bon match face à Gaëtan Bong.
Ces 26 derniers déplacements sans succès en L1, la plus longue disette d'un club de l'élite à l'extérieur, pèse de tout son poids sur les épaules des Stadistes. Samedi, Hubert Fournier avouait son inquiétude face à cette impuissance chronique.
« Un problème de niveau »
« On sait que la vérité, dans le sport de haut niveau, c'est de marquer et de remporter des matches. Ce soir, il nous a manqué l'essentiel, mettre le ballon au fond ».
Il faut remonter au 6 octobre, soit près de deux mois, pour trouver trace d'un attaquant buteur à Reims. Depuis la blessure de Gaëtan Courtet (le 20 octobre à Paris), le Stade a inscrit 2 buts en six matches, dont un par l'Évianais Cambon contre son camp. Et à chaque journée, on espère le réveil des joueurs offensifs rémois.
À Valenciennes, Ayité et Ghilas se sont procuré quelques opportunités. Sans plus. « Il va falloir se poser des questions au sujet de cette inefficacité de nos attaquants, a affirmé Hubert Fournier. Deux mois sans marquer, c'est un peu inquiétant. Mais comme face à Brest, ils n'ont pas réussi à faire le geste juste au bon moment. C'est peut-être un problème de confiance, mais aussi de niveau. On est en Ligue 1 et les défenseurs sont plus aguerris ».
ouh la , dis pas ça malheureux , il y en a qui pense que le foot c est un sport en tutuFlorent Ghisolfi : « Repartir au combat
PPDMdu29 a écrit :spouck en tout cas la musique d'entrée c'est quelque chose que l'on oublie pas croit moi...
maintenant qui ne saute pas n'est pas rémoista trop sauté apparament comme ta perdu du poid , il est temps de supporté sedan un peu
Floyd Ayité : Il faut insister
Floyd Ayité était présent au point presse ce mardi, organisé à l’issue de l’entraînement en salle à l’Arena Soccer. Extraits :
Le match de Valenciennes : Nous sommes rassurés dans les intentions et dans le jeu, on a mis de l’agressivité et la possession du ballon était en notre faveur avec quelques occasions. Il nous a manqué le petit plus pour marquer, en ce moment on n’arrive pas à concrétiser nos occasions. On travaille à l’entraînement pour retrouver la confiance qui nous manque offensivement.
L’attaque : Ce sont les buts qui amènent à gagner des matchs, on a ce manque de réussite dans un coin de la tête, on va tout faire pour inverser la tendance et ce, dès dimanche contre Bordeaux pour nous rassurer au niveau comptable. Nous n’avons pas d’explications sinon l’équipe serait en tête du championnat. C’est le foot qui veut ça, quelque fois ça rentre, quelque fois non. Il faudra un sursaut d’orgueil et surtout persévérer.
Le classement : Nous savons que ça avance derrière, on est tout proche des relégables mais il faut surtout se concentrer sur nous, sur notre jeu et sur ce que l’on peut produire le week-end. La situation n’est pas alarmante à l’heure actuelle, on n’est pas à la moitié du championnat. C’est à la trêve que l’on fera les comptes en essayant de prendre le maximum de points pour être rapidement à l’abri. Tout le monde est impliqué, à Valenciennes on a fait ce qu’il fallait mais on a manqué de réussite pour prendre au moins un point.
Tes occasions : J’ai essayé, j’ai tenté ma chance. Je n’étais pas dans les meilleures conditions possibles sur mes frappes. Soit c’était cadré mais ça manquait de puissance, soit un défenseur était présent. Il n’y a que comme cela que l’on y arrivera, il faut tenter sa chance.
Le turn-over : On est un groupe, certains joueurs jouent, d’autres sont sur le banc. Le principal est de garder tous les joueurs concernés pour maintenir le groupe à un bon niveau. Ce week-end a été l’occasion pour certains de montrer leur envie et leur motivation.
La série en cours : C’est la première situation en club pour moi, où l’équipe a un gros trou comme celui-ci sans marquer, c’est difficile à expliquer. Il ne faut pas s’apitoyer sur son sort et vite relever la tête. Je le répète il faut insister jusqu’à ce que l’on réussisse.
Olivier Guégan : Faire mal à l’adversaire
Olivier Guegan s'est exprimé face aux médias ce mardi, lors du traditionnel point presse. Extraits.
Le retour de Valenciennes : Il y deux sentiments, d’abord le résultat qui n’est pas positif, puis le contenu qui lui, est très positif. Nous avons retrouvé des valeurs collectives, de l’agressivité, de la discipline et de l’engagement. Le seul bémol se situe dans notre secteur offensif où il va falloir appuyer pour faire mal à l’adversaire.
Les changements dans le onze de départ : Cela a permis de rebooster le collectif, d’instaurer une certaine concurrence, ce qui est indispensable à la bonne marche du groupe. Certains joueurs avaient peut-être perdu cette petite lumière dans les yeux pour jouer, on a ouvert la porte. Cela va également amener certains joueurs à rehausser leur niveau et le collectif en sortira grandi.
Les joueurs de couloir moins incisifs : Je pense qu’il faut être patient avec Odair, il a été absent à cause d’une grave blessure. On ne revient pas au niveau du jour au lendemain. Ce sera également le cas avec Gaëtan Courtet lorsqu’il reviendra. Ce ne sera pas le « sauveur » du Stade de Reims, même s’il est vrai qu’ils nous feront beaucoup de bien lorsqu’ils seront dans le rythme. Diego, quand à lui, est pour le moment fort impliqué dans la partie défensive. Actuellement il n’a pas ce coup de boost pour faire mal à l’adversaire. Les joueurs laissent beaucoup d’énergie au service du collectif.
Les attaquants : Nous avons confiance en eux, mais à eux de prendre leurs responsabilités. Ce sont des joueurs offensifs qui doivent nous faire gagner des matchs. A eux de montrer qu’ils sont là.
Le match contre Bordeaux : Il est important de prendre des points mais l’essentiel est d’être dans la continuité du match à Valenciennes. Nous devrons être très forts collectivement sachant que l’objectif sera de ne pas prendre de buts devant notre public, dans ce stade où l’on est capable de faire de grandes choses. A nous de prendre ce match en main, de rééditer la performance de samedi mais j’insiste, avec beaucoup plus de méchanceté dans la partie offensive pour faire mal à l’adversaire.