
[CLUB] - MONTPELLIER HSC
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
sisi il y etait pourtant . D ailleurs la defense c est sensé etre pas trop mal . Seul congré fait tache . Mais c est ça quand on prend un Toulousain 

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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Je n'ai pas vu le match car j'arbitrais en meme temps! Mais on a pris des buts sur des erreurs individuelles!! Ca fait chier car deja quand la defense est pas solide alors que Mapou ne sera pas la je te raconte pas!!! Bref un match a oublié tres tres vite!!!
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
ouai enfin en meme temps , je me tus a dire que le gardien c est pas ça non plus :siflotte:
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Dépité par le niveau de ses joueurs, le président du MHSC lance un ultimatum.
Vous venez de vivre une semaine très contrastée entre Schalke et Évian ?
Le nul à Schalke m’a bien plu. La défaite contre Évian un peu moins. Mais bon, on n’a pas la chance avec nous, point barre.
Ça ne vous inquiète pas de voir votre équipe perdre dès que les recrues sont sur le terrain ?
D’abord, il faut arrêter de tout mettre sur le dos de Congré. Il y en a qui sont plus faibles à mon goût. Quand je vois ça, je me demande surtout pourquoi on a recruté autant de joueurs. Ce n’est pas moi qui les ai voulus.
On vous sent agacé...
Je n’ai pas les boules. Je les fréquente de moins en moins, c’est tout. Je sais à quoi m’en tenir depuis le début de saison. Je leur laisse encore un mois et après on prendra les décisions nécessaires. Là, on est en train de faillir, et je mets tout le monde dans le même panier. Ça ne peut pas continuer comme ça. Quand les gens ont tout ce qu’ils ont voulu pour travailler, on ne peut pas faillir comme ça.
Quelles décisions nécessaires ?
En règle générale, les joueurs se sentent impunis. Et pourquoi je n’en virerais pas un ou deux, quitte à perdre le montant d’un transfert ? Dès les jours qui ont suivi le titre, je savais que certains prendraient la grosse tête. C’est dur, mais c’est la vie. Ça s’est passé comme ça aussi à Marseille, Bordeaux et Lille. Il n’y qu’à Lyon que les gars sont restés les mêmes. C’est dommage parce que ce sont de bons gars, mes joueurs. Mais il y en a beaucoup qui sont très surfaits et qui ont eu beaucoup de réussite la saison passée.
Vous maintenez votre objectif d’une place dans les 5 premiers ?
Impossible. Dans les dix, je serais très content, mais ce n’est pas sûr car je pense qu’on est faibles.
Vous venez de vivre une semaine très contrastée entre Schalke et Évian ?
Le nul à Schalke m’a bien plu. La défaite contre Évian un peu moins. Mais bon, on n’a pas la chance avec nous, point barre.
Ça ne vous inquiète pas de voir votre équipe perdre dès que les recrues sont sur le terrain ?
D’abord, il faut arrêter de tout mettre sur le dos de Congré. Il y en a qui sont plus faibles à mon goût. Quand je vois ça, je me demande surtout pourquoi on a recruté autant de joueurs. Ce n’est pas moi qui les ai voulus.
On vous sent agacé...
Je n’ai pas les boules. Je les fréquente de moins en moins, c’est tout. Je sais à quoi m’en tenir depuis le début de saison. Je leur laisse encore un mois et après on prendra les décisions nécessaires. Là, on est en train de faillir, et je mets tout le monde dans le même panier. Ça ne peut pas continuer comme ça. Quand les gens ont tout ce qu’ils ont voulu pour travailler, on ne peut pas faillir comme ça.
Quelles décisions nécessaires ?
En règle générale, les joueurs se sentent impunis. Et pourquoi je n’en virerais pas un ou deux, quitte à perdre le montant d’un transfert ? Dès les jours qui ont suivi le titre, je savais que certains prendraient la grosse tête. C’est dur, mais c’est la vie. Ça s’est passé comme ça aussi à Marseille, Bordeaux et Lille. Il n’y qu’à Lyon que les gars sont restés les mêmes. C’est dommage parce que ce sont de bons gars, mes joueurs. Mais il y en a beaucoup qui sont très surfaits et qui ont eu beaucoup de réussite la saison passée.
Vous maintenez votre objectif d’une place dans les 5 premiers ?
Impossible. Dans les dix, je serais très content, mais ce n’est pas sûr car je pense qu’on est faibles.
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Le couperet est tombé. René Girard ne sera pas sur le banc de Montpellier lors de la prochaine rencontre de Ligue des champions du club héraultais, le 24 octobre contre l'Olympiakos. L'entraîneur de 58 ans a écopé d'une suspension d'un match fermé et un avec sursis de la part de l'UEFA, dont l'instance disciplinaire s'est réunie ce mercredi. Une instruction avait été ouverte à son encontre pour "comportement incorrect" lors du match nul (2-2) contre Schalke la semaine passée, ayant adressé un doigt d'honneur à son homologue Huub Stevens.
La sanction était assortie d'un sursis, Girard sera sous la menace d'une nouvelle suspension en cas de récidive dans les trois ans. Il devra aussi payer une amende de 5.000 euros. L'appel est possible dans les trois jours après réception de la notification écrite des sanctions. Le club de Montpellier devra en outre s'acquitter d'une amende de 17.000 euros pour jets de projectiles et fumigènes de ses supporteurs et pour la conduite sur le terrain des joueurs (à partir de cinq cartons).
La sanction était assortie d'un sursis, Girard sera sous la menace d'une nouvelle suspension en cas de récidive dans les trois ans. Il devra aussi payer une amende de 5.000 euros. L'appel est possible dans les trois jours après réception de la notification écrite des sanctions. Le club de Montpellier devra en outre s'acquitter d'une amende de 17.000 euros pour jets de projectiles et fumigènes de ses supporteurs et pour la conduite sur le terrain des joueurs (à partir de cinq cartons).
Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Bon...on va dire qu' ils ont voulu etre fermes sans avoir la main lourde
Ca m' aurait outré qu' il se fasse lyncher alors que cette grognasse de Menez en est ressortie toute pimpante :siflotte:
Ca m' aurait outré qu' il se fasse lyncher alors que cette grognasse de Menez en est ressortie toute pimpante :siflotte:
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Oo sa va je m attendais a plus :siflotte:
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Aït-Fana out six mois
Mauvaise nouvelle pour René Girard : le milieu de terrain offensif de Montpellier Karim Aït Fana sera éloigné des terrains durant six mois en raison d'une blessure à un genou contractée jeudi dernier à l'entraînement. L'international marocain a annoncé une rupture du ligament croisé antérieur ce dimanche sur son compte Twitter
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
alors deja que Montpellier c est pas ça , en plus ils se blessent a l entrainement ...pas cool . C est bubble qui va tiré la tronche
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
je pence qu'il doit déja la tiré... 

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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
ben on voit plus d infos sur le club donc surement oui 

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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Moué, encore des mecs qui ont perdu la boule au taff quoi, un innocent paye de son oeil aujourd'hui... mais eux... le mec arrivant en courant là, il sortait d'où ???
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
C'est un ukrainien interdit de stade qui a essayer de rentrer dans le stade. Il a fui pour eviter de se faire attraper et voila le resultat!!! C'est comme le mec qui fui un barrage de flic et se tue, la famille dit que c'est la faute de la police mais si le jeune a rien a se reprocher ben il s'en va pas!!! Meme si des fois les policiers exagerent aussi!!!Matrimoni a écrit :Moué, encore des mecs qui ont perdu la boule au taff quoi, un innocent paye de son oeil aujourd'hui... mais eux... le mec arrivant en courant là, il sortait d'où ???
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Pour ne pas perdre Mapou Yanga Mbiwa à coût zéro l’été prochain, le club héraultais tente actuellement le forcing pour prolonger d’un an son défenseur central, qui pourrait se laisser convaincre.
Entre Mapou Yanga Mbiwa et Montpellier, on pensait l’affaire entendue. Alors qu’avant son départ en vacances l’été dernier, le jeune défenseur central français, qui est en fin de contrat en juin prochain, s’était laissé convaincre chez Loulou Nicollin de prolonger son contrat d’un an, moyennant un bon de sortie en juin 2013, l’épisode Milan AC du mois d’août avait remis en question cet accord de principe. Mapou, n’avait finalement pas prolongé et il semblait depuis promis à un départ libre l’été prochain.
Yanga Miwa ne ferme pas la porte ?
Aujourd’hui, les choses paraissent légèrement moins certaines. Yanga Mbiwa a digéré le refus obstiné de Loulou de le transférer au Milan AC (alors que le club rossonero avait offert 6,5 millions d’euros), et les dirigeants du MHSC, qui veulent à tout prix éviter de perdre le joueur à coût zéro en transfert l’été prochain, comptent bien en profiter. Selon nos informations, ils sont revenus à la charge ces dernières semaines avec leur projet d’une prolongation de contrat d’un an, soit jusqu’en juin 2014.
Pour convaincre le défenseur central, Loulou et Laurent Nicollin combinent deux arguments. L’argument financier tout d’abord : en échange de sa prolongation d’un an, Mapou Yanga Mbiwa se verrait offrir une très forte augmentation de salaire, rétroactive depuis le début de la saison. Outre l’argument financier, les dirigeants héraultais jouent aussi sur la corde sensible et évoquent à Mapou la reconnaissance qu’il témoignerait à son club de toujours en prolongeant d’un an, ce qui permettrait au MHSC d’encaisser un transfert en juin prochain.
Entre Mapou Yanga Mbiwa et Montpellier, on pensait l’affaire entendue. Alors qu’avant son départ en vacances l’été dernier, le jeune défenseur central français, qui est en fin de contrat en juin prochain, s’était laissé convaincre chez Loulou Nicollin de prolonger son contrat d’un an, moyennant un bon de sortie en juin 2013, l’épisode Milan AC du mois d’août avait remis en question cet accord de principe. Mapou, n’avait finalement pas prolongé et il semblait depuis promis à un départ libre l’été prochain.
Yanga Miwa ne ferme pas la porte ?
Aujourd’hui, les choses paraissent légèrement moins certaines. Yanga Mbiwa a digéré le refus obstiné de Loulou de le transférer au Milan AC (alors que le club rossonero avait offert 6,5 millions d’euros), et les dirigeants du MHSC, qui veulent à tout prix éviter de perdre le joueur à coût zéro en transfert l’été prochain, comptent bien en profiter. Selon nos informations, ils sont revenus à la charge ces dernières semaines avec leur projet d’une prolongation de contrat d’un an, soit jusqu’en juin 2014.
Pour convaincre le défenseur central, Loulou et Laurent Nicollin combinent deux arguments. L’argument financier tout d’abord : en échange de sa prolongation d’un an, Mapou Yanga Mbiwa se verrait offrir une très forte augmentation de salaire, rétroactive depuis le début de la saison. Outre l’argument financier, les dirigeants héraultais jouent aussi sur la corde sensible et évoquent à Mapou la reconnaissance qu’il témoignerait à son club de toujours en prolongeant d’un an, ce qui permettrait au MHSC d’encaisser un transfert en juin prochain.
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Ce n’est pas un scoop, Montpellier a loupé son début de saison. 15e de Ligue 1 avec huit points au compteur, les Héraultais n’ont toujours pas digéré leur titre de champion de France. Joueurs, entraîneur, cellule de recrutement, dirigeants qui est vraiment responsable ? Louis Nicollin livre sa version des faits dans Le 10 Sport cette semaine.
« Quand est-ce que je vais leur pardonner ? Je pense que ce n’est pas encore pour demain… »
Et au moment d’évoquer ses joueurs, le président a la rancune tenace. Déjà agacé par le comportement de certains venus renégocier leur contrat durant l’été, il ne s’est pas fait prier pour les aligner ces dernières semaines. « Je leur ai dit ce que j’avais à leur dire. Je n’ai pas envie de revenir là-dessus », nous déclare-t-il. « Je suis toujours boudeur. Mais bon, ils s’en foutent et moi aussi. De toute façon, les joueurs tu ne peux pas les suspendre ou les virer… Quand est-ce que je vais leur pardonner ? Le jour où je vais recraquer et leur donner une double ou une triple prime. Mais je pense que ce n’est pas encore pour demain… »
« Quand est-ce que je vais leur pardonner ? Je pense que ce n’est pas encore pour demain… »
Et au moment d’évoquer ses joueurs, le président a la rancune tenace. Déjà agacé par le comportement de certains venus renégocier leur contrat durant l’été, il ne s’est pas fait prier pour les aligner ces dernières semaines. « Je leur ai dit ce que j’avais à leur dire. Je n’ai pas envie de revenir là-dessus », nous déclare-t-il. « Je suis toujours boudeur. Mais bon, ils s’en foutent et moi aussi. De toute façon, les joueurs tu ne peux pas les suspendre ou les virer… Quand est-ce que je vais leur pardonner ? Le jour où je vais recraquer et leur donner une double ou une triple prime. Mais je pense que ce n’est pas encore pour demain… »
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
nonnnn mapou libre en juin
j espere qu il signera histoire de faire gagné de l argent au club si il vient a partir . Qu il ne fasse un chamakh :siflotte:

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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
bizarre d' avoir tenté ce coup de poker ??? 

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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
il avaient fini combien l année d apres du titre ? Montpellier nous fond la meme chose
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Tu parles des gigis Spouck ?
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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
ouii comme je parlais de chamakh du coup j ai continué sur ma lancer 

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Re: [CLUB] - MONTPELLIER HSC
Critiqué en interne, suspendu par l’UEFA… On pourrait croire l’entraîneur du MHSC, 15e de Ligue 1, touché. C’est tout le contraire. S’il calme le jeu, c’est pour mieux asséner ses vérités. Et sa détermination.
Champion en mai, 15e de L1 aujourd’hui, ça tourne vite, non ?
Je n’ai pas attendu 60 ans pour le savoir ! C’est le football. Mais bon, je vous dirai en mai ou juin prochain si les choses ont vraiment tourné. Là, c’est un peu tôt.
Vous vous disiez que ça pouvait arriver, ce départ difficile ?
Bien sûr, même s’il ne faut rien exagérer. On est à la 8e journée, il n’y a pas le feu. On sait que ce n’est pas un début tonitruant, comme on en avait l’habitude, mais ce n’est pas parce qu’on traverse une période plus délicate qu’il faut tout jeter. L’important, dans les bons moments comme dans les moins bons, c’est de garder une ligne de conduite, une cohérence.
L’équipe était-elle préparée à assumer ce titre ?
Quand vous n’êtes jamais monté sur un ring, c’est difficile de savoir ce que c’est. Aujourd’hui, l’important, c’est surtout de le digérer. Il faut que tout le monde prenne bien conscience que ce qu’on a fait la saison dernière était exceptionnel. On attend plus de nous, sans doute parce qu’on a placé la barre très haut.
Là, on est un peu au-dessous de ce qu’on pouvait espérer, surtout au regard de notre parcours à la maison (2 points sur 12, NDLR). On aurait trois-quatre points de plus, ce qui ne serait pas illogique vu ce qu’on a fait jusqu’ici, on serait dans une dynamique correcte et personne ne parlerait autour. Il faut rester attentif mais je ne suis pas inquiet.
Vous trouvez ça injuste, ce qui s’écrit sur Montpellier ?
Pfff… Non… (Il soupire) Ce que je trouve injuste, c’est qu’on se serve de ce début de saison pour remettre en cause ce qu’on a fait l’an dernier. J’espère que pour les joueurs, ça peut être un moteur. Mais ce n’est pas grave… Ça ne m’empêche pas de dormir même si j’estime qu’il y a des limites à ne pas franchir.
Elles ont été franchies ?
Parfois, oui. Quand je vois tout ce qu’il s’est dit et écrit après Schalke… OK, j’ai fait une erreur, j’ai fait ce doigt d’honneur. Mais de là à ce que ça prenne le pas sur le résultat et sur ce qu’ont fait les garçons (2-2, NDLR), je trouve ça navrant, voire dramatique. J’ai fait le con, je ne demande pas de cadeau mais quand on écrit qu’un match de suspension ce n’est pas suffisant, que j’aurais dû morfler plus… Bon…
Mais vous n’avez pas envie, justement, de changer cette image, cette attitude ?
Non ! Non, non. C’est vrai que je n’avais pas à faire ça. Comme je l’ai déjà dit, sur la forme, je le regrette mais, sur le fond, pas du tout. Pas du tout ! On ne me changera pas.
Sportivement, 15e de L1, vous trouvez ça injuste aussi ?
Les critiques sont sévères. Le contenu n’est pas si mauvais. Il ne nous a pas souvent manqué grand-chose. Des détails, deux-trois minutes qui font basculer un match. De la rigueur, de l’agressivité dans le bon sens du terme. Parce qu’on a été champion, on a peut-être cru que ça suffirait mais ce n’est pas le cas.
On est en train de s’en rendre compte. Il faut se remettre au boulot parce que les choses ne viendront pas toutes seules. C’est mon travail d’aller chercher ces petits détails pour remettre tout le monde “dedans”.
Comment expliquer que la meilleure défense de l’an dernier se montre si friable ?
C’est d’abord collectif. Quand je parle de rigueur, ça commence par ça. On l’a payé cher à Lorient, contre Marseille, Arsenal, Evian… On ne construit rien sans une assise défensive forte et ça implique tout le collectif. Du fait des blessures, des suspensions, on a aussi été amené à faire des changements.
Pas forcément de ma propre volonté mais par obligation, ce qui a pu nous fragiliser aussi. Mais ce n’est pas une excuse. J’ai un groupe étoffé, de qualité, qu’on a justement bâti pour faire face à cela. C’est un petit peu décevant pour l’instant. C’est peut-être allé un peu vite mais j’attendais que le collectif porte un peu plus les individualités, les nouveaux arrivants et ça n’a pas forcément été le cas.
Le rendement des recrues est pointé du doigt…
On reproche à Herrera ceci ou cela mais, offensivement, on ne peut pas dire qu’il soit en déficit. Congré a besoin de retrouver ses marques mais il n’est pas non plus le seul fautif quand on prend des buts. Il a besoin de confiance. Et ce n’est pas en montrant du doigt untel ou untel qu’ils la retrouveront. C’est un peu facile et pas très juste.
Il y a des performances qui ne peuvent vous satisfaire…
Ceux qui sont arrivés peuvent faire mieux. On en a discuté, ils le savent. Mais peut-être qu’ils n’ont pas été aidés non plus dans leur performance sur le plan collectif. Aujourd’hui, je suis à la recherche du meilleur équilibre, comment intégrer les uns et les autres. Je n’ai pas fait une équipe de onze joueurs et une autre de onze “coiffeurs”. J’ai un groupe où ceux qui rentrent doivent se mettre au diapason. C’est ce que je recherche.
Ce n’est pas encore le cas ?
Non, mais ça vaut dans les deux sens. Je ne peux pas dire non plus que j’ai une équipe de titulaires dont je suis sûr qu’elle va m’apporter ce que j’attends. Je n’ai pas encore eu cette preuve-là. L’osmose collective doit venir de tout le monde. Est-ce que ceux qui étaient déjà en place ont fait le nécessaire pour que tout se passe bien pour ceux qui arrivaient ? Est-ce que ceux qui sont arrivés ont du mal à digérer le changement ? Le football, c’est aussi plein de petites choses comme ça…
Est-ce que tous ces petits détails font que vous sentez une équipe qui doute, aujourd’hui ?
Non, pas particulièrement. C’est vrai que tu es forcément moins libéré, moins serein. C’est logique. Mais s’il y a des doutes, ils viennent de nous, pas d’ailleurs. Il faut qu’on réapprenne à se regarder dans une glace, à se “couper la tête” les uns pour les autres.
Et vous, vous doutez, comme après Reims (1-3) où vous disiez vous poser des questions ?
A Reims, j’étais déçu parce que j’avais senti qu’on avait abdiqué. Mais ça ne dure jamais. J’ai une force, c’est que la déception, chez moi, se transforme vite en bonne agressivité. Je suis un compétiteur et je sais que j’ai un groupe qui sait réagir. Je ne dis pas que ça va se faire comme ça (il claque des doigts) mais ça va se faire.
Quand le président « donne un mois » pour voir une réaction, sentez-vous une pression supplémentaire ?
Que le président soit exigeant, c’est normal et je peux complètement le comprendre. Je suis aussi capable de me remettre en question. Dans le football, il faut d’abord gagner. Si je ne sais pas ça… Mais je ne suis pas préoccupé. Je crois que ce que j’ai pu faire ici, depuis mon arrivée, c’est respectable et c’est respecté. Je me suis toujours investi à fond et je continue à le faire.
Avez-vous fixé des objectifs, à court ou moyen terme ?
Pas comptables. Vu le calendrier surchargé qui nous attend, l’objectif est déjà de prendre un match après l’autre. Et, surtout, de retrouver notre marche en avant à la maison. Si on enclenche ça…
Champion en mai, 15e de L1 aujourd’hui, ça tourne vite, non ?
Je n’ai pas attendu 60 ans pour le savoir ! C’est le football. Mais bon, je vous dirai en mai ou juin prochain si les choses ont vraiment tourné. Là, c’est un peu tôt.
Vous vous disiez que ça pouvait arriver, ce départ difficile ?
Bien sûr, même s’il ne faut rien exagérer. On est à la 8e journée, il n’y a pas le feu. On sait que ce n’est pas un début tonitruant, comme on en avait l’habitude, mais ce n’est pas parce qu’on traverse une période plus délicate qu’il faut tout jeter. L’important, dans les bons moments comme dans les moins bons, c’est de garder une ligne de conduite, une cohérence.
L’équipe était-elle préparée à assumer ce titre ?
Quand vous n’êtes jamais monté sur un ring, c’est difficile de savoir ce que c’est. Aujourd’hui, l’important, c’est surtout de le digérer. Il faut que tout le monde prenne bien conscience que ce qu’on a fait la saison dernière était exceptionnel. On attend plus de nous, sans doute parce qu’on a placé la barre très haut.
Là, on est un peu au-dessous de ce qu’on pouvait espérer, surtout au regard de notre parcours à la maison (2 points sur 12, NDLR). On aurait trois-quatre points de plus, ce qui ne serait pas illogique vu ce qu’on a fait jusqu’ici, on serait dans une dynamique correcte et personne ne parlerait autour. Il faut rester attentif mais je ne suis pas inquiet.
Vous trouvez ça injuste, ce qui s’écrit sur Montpellier ?
Pfff… Non… (Il soupire) Ce que je trouve injuste, c’est qu’on se serve de ce début de saison pour remettre en cause ce qu’on a fait l’an dernier. J’espère que pour les joueurs, ça peut être un moteur. Mais ce n’est pas grave… Ça ne m’empêche pas de dormir même si j’estime qu’il y a des limites à ne pas franchir.
Elles ont été franchies ?
Parfois, oui. Quand je vois tout ce qu’il s’est dit et écrit après Schalke… OK, j’ai fait une erreur, j’ai fait ce doigt d’honneur. Mais de là à ce que ça prenne le pas sur le résultat et sur ce qu’ont fait les garçons (2-2, NDLR), je trouve ça navrant, voire dramatique. J’ai fait le con, je ne demande pas de cadeau mais quand on écrit qu’un match de suspension ce n’est pas suffisant, que j’aurais dû morfler plus… Bon…
Mais vous n’avez pas envie, justement, de changer cette image, cette attitude ?
Non ! Non, non. C’est vrai que je n’avais pas à faire ça. Comme je l’ai déjà dit, sur la forme, je le regrette mais, sur le fond, pas du tout. Pas du tout ! On ne me changera pas.
Sportivement, 15e de L1, vous trouvez ça injuste aussi ?
Les critiques sont sévères. Le contenu n’est pas si mauvais. Il ne nous a pas souvent manqué grand-chose. Des détails, deux-trois minutes qui font basculer un match. De la rigueur, de l’agressivité dans le bon sens du terme. Parce qu’on a été champion, on a peut-être cru que ça suffirait mais ce n’est pas le cas.
On est en train de s’en rendre compte. Il faut se remettre au boulot parce que les choses ne viendront pas toutes seules. C’est mon travail d’aller chercher ces petits détails pour remettre tout le monde “dedans”.
Comment expliquer que la meilleure défense de l’an dernier se montre si friable ?
C’est d’abord collectif. Quand je parle de rigueur, ça commence par ça. On l’a payé cher à Lorient, contre Marseille, Arsenal, Evian… On ne construit rien sans une assise défensive forte et ça implique tout le collectif. Du fait des blessures, des suspensions, on a aussi été amené à faire des changements.
Pas forcément de ma propre volonté mais par obligation, ce qui a pu nous fragiliser aussi. Mais ce n’est pas une excuse. J’ai un groupe étoffé, de qualité, qu’on a justement bâti pour faire face à cela. C’est un petit peu décevant pour l’instant. C’est peut-être allé un peu vite mais j’attendais que le collectif porte un peu plus les individualités, les nouveaux arrivants et ça n’a pas forcément été le cas.
Le rendement des recrues est pointé du doigt…
On reproche à Herrera ceci ou cela mais, offensivement, on ne peut pas dire qu’il soit en déficit. Congré a besoin de retrouver ses marques mais il n’est pas non plus le seul fautif quand on prend des buts. Il a besoin de confiance. Et ce n’est pas en montrant du doigt untel ou untel qu’ils la retrouveront. C’est un peu facile et pas très juste.
Il y a des performances qui ne peuvent vous satisfaire…
Ceux qui sont arrivés peuvent faire mieux. On en a discuté, ils le savent. Mais peut-être qu’ils n’ont pas été aidés non plus dans leur performance sur le plan collectif. Aujourd’hui, je suis à la recherche du meilleur équilibre, comment intégrer les uns et les autres. Je n’ai pas fait une équipe de onze joueurs et une autre de onze “coiffeurs”. J’ai un groupe où ceux qui rentrent doivent se mettre au diapason. C’est ce que je recherche.
Ce n’est pas encore le cas ?
Non, mais ça vaut dans les deux sens. Je ne peux pas dire non plus que j’ai une équipe de titulaires dont je suis sûr qu’elle va m’apporter ce que j’attends. Je n’ai pas encore eu cette preuve-là. L’osmose collective doit venir de tout le monde. Est-ce que ceux qui étaient déjà en place ont fait le nécessaire pour que tout se passe bien pour ceux qui arrivaient ? Est-ce que ceux qui sont arrivés ont du mal à digérer le changement ? Le football, c’est aussi plein de petites choses comme ça…
Est-ce que tous ces petits détails font que vous sentez une équipe qui doute, aujourd’hui ?
Non, pas particulièrement. C’est vrai que tu es forcément moins libéré, moins serein. C’est logique. Mais s’il y a des doutes, ils viennent de nous, pas d’ailleurs. Il faut qu’on réapprenne à se regarder dans une glace, à se “couper la tête” les uns pour les autres.
Et vous, vous doutez, comme après Reims (1-3) où vous disiez vous poser des questions ?
A Reims, j’étais déçu parce que j’avais senti qu’on avait abdiqué. Mais ça ne dure jamais. J’ai une force, c’est que la déception, chez moi, se transforme vite en bonne agressivité. Je suis un compétiteur et je sais que j’ai un groupe qui sait réagir. Je ne dis pas que ça va se faire comme ça (il claque des doigts) mais ça va se faire.
Quand le président « donne un mois » pour voir une réaction, sentez-vous une pression supplémentaire ?
Que le président soit exigeant, c’est normal et je peux complètement le comprendre. Je suis aussi capable de me remettre en question. Dans le football, il faut d’abord gagner. Si je ne sais pas ça… Mais je ne suis pas préoccupé. Je crois que ce que j’ai pu faire ici, depuis mon arrivée, c’est respectable et c’est respecté. Je me suis toujours investi à fond et je continue à le faire.
Avez-vous fixé des objectifs, à court ou moyen terme ?
Pas comptables. Vu le calendrier surchargé qui nous attend, l’objectif est déjà de prendre un match après l’autre. Et, surtout, de retrouver notre marche en avant à la maison. Si on enclenche ça…