[CLUB] - STADE DE REIMS

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babar051
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Aïssa Mandi : « Ne soyons pas trop gourmands »
Aïssa Mandi : « C'est bon pour le moral ».

Une dose d'insouciance génétique associée à un culot naturel : le cocktail est détonant et fait d'Aïssa Mandi une des bonnes surprises du début de championnat.

Dimanche, dans le Chaudron, le latéral droit ne s'est pas laissé prendre dans les crochets de Gradel. Mandi a réussi son match défensif. Il lui reste à soigner les relances, ces ballons de sortie de zone qui peuvent, déjà, créer une différence.

Aïssa, que retenez-vous de ce score vierge à Saint-Etienne ?

« C'était un match dur mais on a fait le nécessaire. Après le raté contre Troyes, il y a eu une bonne animation collective. Tout le monde a bien défendu, depuis Gaëtan (Courtet, l'avant-centre) jusqu'au gardien. On aurait pu obtenir plus sur quelques occasions mais ne soyons pas gourmands. Un nul, ce n'est déjà pas si mal. »

Même si Aubameyang est venu y traîner en fin de match, vous avez plutôt bien tenu votre couloir. Comment jugez-vous votre prestation ?

« Je ne suis pas toujours titulaire. Quand j'ai la chance de jouer, je fais tout pour l'équipe. J'essaie de prouver au coach qu'il a eu raison de me faire confiance. »

Le Stade reste sur cinq matches sans défaite. Il fait le plein de confiance…

« C'est bon pour le moral mais on ne va pas s'enflammer. Il n'y a aucun risque d'ailleurs. On reste les pieds sur terre. On ne voit jamais plus loin que le prochain match. »
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Nous tenons à remercier les plus de 6000 supporters abonnés cette saison au Stade de Reims.
bravo quand meme , c est tres bien pour le club
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Stade de Reims-OGC Nice : Le groupe !
Hubert Fournier a communiqué un groupe de 18 joueurs pour la réception de l’OGC Nice, samedi à 20h00 (8e journée de Ligue 1).

Stade de Reims : Agassa, Liebus – Mandi, Signorino, Souaré, Tacalfred, Weber, Fofana, Glombard – Krychowiak, Ca, Devaux, Ramaré, Ghisolfi, Diego – Fauvergue, Ghilas, Courtet.

Le mot d’Hubert Fournier : Nous allons affronter une équipe de Nice qui a fait de bons résultats à l’extérieur, qui est sur une superbe série, qui est en confiance et qui va venir au Stade Delaune pour tenter de remporter ce match. C’est un adversaire coriace et dangereux. Marquer un but rapidement nous mettrait dans les meilleures conditions. Il faut surtout parvenir à être constant tout le match. Il faut avoir la volonté de produire du jeu mais surtout essayer d’être très costaud et de ne pas prendre de but. Une victoire nous permettrait de bonifier le bon match nul acquis face à Saint-Etienne, et de garder une dynamique positive avant d’aller à Paris.
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Cvitanich au-dessus de tout soupçon ?
Samedi dernier, contre Bastia, Dario Cvitanich a inscrit son premier but en Ligue 1.
FOOTBALL (L1). Avant Reims-Nice, samedi à 20 h. Dario Cvitanich, l'attaquant argentin de Nice, en visite demain à Delaune, a déjà fait exclure deux défenseurs de L1. Ange ou démon ? Qui s'y frotte s'y pique.

EN Ligue 1, le danger vient de devant. Après le Marseillais Pierre-André Gignac, c'est un authentique buteur qui débarque demain à Delaune. Un « Gringo » au poil et au regard noirs, renard de surface et doté d'une remarquable adresse, tant sur terre que dans les airs.
A 28 ans, Dario Cvitanich est LA recrue de l'OGC Nice. Claude Puel n'a pas hésité à enrôler ce centre-avant au gabarit normal (1,75 m), mais dont le flair de buteur rappelle celui des anciens grands finisseurs du Gym, tels que Victor Nurenberg, Charly Loubet ou Nenad Bjekovic.
Dans la rigoureuse organisation tactique déployée par l'ancien entraîneur de Lyon, le rôle de celui que l'on surnomme « Cvita », a son importance. Dernier élément d'un onze obstiné et travailleur, l'Argentin au passeport croate, porte à bout de bras l'attaque des Aiglons, la 5e de la Ligue 1.

L'avocat Puel

Si, en quatre matches, si l'ancien attaquant de Banfield et de Boca Juniors, n'a inscrit qu'un seul but en championnat - samedi dernier contre Bastia (2-2) -, sa réputation a été confirmée lors de sa première apparition en France, en Coupe de la Ligue, lorsqu'il réalisa le doublé à Brest (2-4).
Comme son compatriote défenseur, Renato Civelli, « Cvita » s'appuie sur sa grande expérience pour tenter de se faire un nom en Ligue 1. Passé notamment par le club mexicain de Pachuca (16 buts en 40 matches en 2010), c'est son séjour à l'Ajax d'Amsterdam - club plus connu pour sa politique de formation que pour l'embauche de « mercenaires » sud-américains -, qui l'a révélé en Europe.
Mais, après avoir signé pour trois saisons et 5 millions d'euros dans le club le plus connu des Pays-Bas, Dario Cvitanich éprouva les pires difficultés à s'y imposer, ne disputant que six matches (zéro but) la saison du titre (2010-2011). C'est à Boca Juniors, club où il avait été prêté par l'Ajax, que les Aiglons sont allés le pêcher.
Le pari est audacieux et l'investissement coûteux. En quête de sensations personnelles et de complicité avec ses nouveaux coéquipiers, le brun Dario ne tourne pas encore à plein régime, comme le reconnaît Claude Puel : « Il se sent de mieux en mieux et progresse à chaque match ».
En quatre titularisations, l'Argentin s'est surtout fait remarquer par ses dons de provocateur. Deux défenseurs - le Bordelais Ludovic Sané et le Lorientais Grégory Bourillon - se sont fait exclure à la suite d'un accrochage avec l'Azuréen. Claude Puel s'est insurgé contre ce procès en sorcellerie : « Il y avait des choses sur lui. Certains médias se plaisent à stigmatiser des faits. Je ne suis pas d'accord avec ces procédés ».
Dans un style plus économe mais non moins efficace que celui du Stéphanois Pierre-Emerick Aubamayang, Dario Cvitanich va s'employer à pourrir la vie de la charnière rémoise Mickaël Tacalfred - Anthony Weber. Même si ces derniers savent qu'un aiglon se capture aussi au lasso.
Gérard KANCEL

LA 11e DE FOURNIER

Pour la onzième fois sous l'ère Hubert Fournier, le Stade de Reims n'a pas encaissé de but à l'extérieur. Ce fut également son quatrième 0-0 après ceux décrochés à Metz (3 octobre 2010), à Sedan (3 décembre 2010), à Angers (25 août 2011) et à Boulogne (14 janvier 2012).

GENEVOIS CONNAÎT LE STADE

Arrivé cet été en provenance du Tours FC et de la Ligue 2, le défenseur niçois, Romain Genevois, a croisé les Rémois à plusieurs reprises, ces dernières saisons. Il a ainsi prévenu ses coéquipiers sur le site du club. « J'ai suivi leur début en Ligue 1 qui est plutôt bon. C'est une bonne équipe, en confiance à domicile. Nous allons devoir réussir notre match si on veut l'emporter ».

PUEL SE MEFIE

Claude Puel a expliqué hier s'attendre à « un match difficile face à un adversaire habitué à faire le plein de spectateurs à domicile. Une équipe aux vertus de combativité et générosité extraordinaires, et dont la présence dans la première partie de tableau est amplement méritée. »

Fauvergue perd son Paris

Ayant récolté trois cartons en moins de dix journées lors des trois déplacements stadistes à Bastia (2e journée), Toulouse (4e journée) et Saint-Etienne (7e journée), Nicolas Fauvergue va purger un match de suspension. Et quel match ! L’ancien Sedanais manquera le rendez-vous… capital du Parc des Princes, le samedi 20 octobre.
n Pas de Fennec au Stade
Coach Vahid a rendu son arbitrage. Dans sa liste des 24 retenus pour affronter la Libye le dimanche 14 octobre, le sélectionneur algérien n’a pris aucun Stadiste. Ni Kamel Ghilas qu’il ne convoque plus, ni Aïssa Mandi auquel il porterait pourtant un grand intérêt.

Comminges de nouveau anglais

Sans club depuis sa pige de quatre mois aux Colorado Rapids, dans le championnat pro états-unien (MLS), le Guadeloupéen Miguel Comminges (30 ans) évolue depuis quelques semaines au Stevenage FC, actuellement 2e de la League One (l’équivalent du National). L’ancien défenseur stadiste (2003-2007) connaît les championnats britanniques pour avoir déjà porté les couleurs de Swindon, Cardiff, Carlisle United ou Southend.
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Devaux : « Nice, c'est du solide »
Antoine Devaux se méfie des Aiglons.

Troisième joueur le plus utilisé cette saison (552 minutes) derrière les indestructibles Agassa et Krychowiak (630 minutes), Antoine Devaux, 15e meilleur passeur du championnat, n'a pu exprimer ses qualités face à la domination stéphanoise. L'ancien Toulousain s'attend à un match au moins aussi engagé, demain face à Nice.

Antoine, du déplacement dans le Chaudron, on ne retiendra que le point glané..
« Tout à fait. A Saint-Etienne, l'équipe a manqué de profondeur et de percussion. On ne s'attendait pas à subir autant et on a eu du mal à ressortir le ballon. Les Verts excellent dans le pressing et dans la récupération et nous n'avons pas su faire le bon choix. On a subi des vagues et consenti beaucoup d'efforts pour garder le ballon. Finalement, ça a tenu. »

Personnellement, avez-vous souffert ?
« Ça a été un match difficile pour moi. Passer son temps à défendre, ne pas avoir de profondeur, ce n'est pas évident dans mon rôle de meneur. Mais je dois être aussi capable de m'adapter à ce genre de situation. »

Nice risque de jouer de la même façon…
« Nice, c'est du solide. C'est la marque de fabrique de Claude Puel, avec de grands gaillards derrière et de très bons joueurs devant. On devra développer plus de jeu qu'à Saint-Etienne. Trois points de plus avant d'aller à Paris, ce serait parfait. »

A quasiment un quart du championnat, les positions vont-elles bouger ?
« On verra après dix journées. Je pense que des équipes comme Lille et Montpellier, en galère depuis le début, vont refaire leur retard. Nous avons tout intérêt à grappiller des points car, lorsque les écarts se feront, ce serait bien de faire partie du premier groupe. »
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ehhhh voila :gene:

Image
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:heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux: :heureux:

3 a 1 , 3 a 1 c est le pied :vivemoi: :vivemoi: :vivemoi:
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T'as le kiki tout dur ??? :mrgreen:
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«Un match pour les remplaçants»
Hubert Fournier s'est réjoui de l'apport de ses remplaçants face à Nice (3-1), et notamment de l'entrée en jeu de Courtet auteur d'un doublé. Le club champenois s'installe provisoirement à la quatrième place.
Hubert Fournier a eu le nez creux en faisant rentrer Courtet à la 54e minute de Reims-Nice. L'attaquant de 23 ans s'est offert un doublé. (AFP)

Hubert Fournier (entraîneur de Reims) : «Nous avons fait une très bonne première période, nous avons maîtrisé. Nous menons logiquement. Mais le point négatif de la soirée, c'est l'entame de la seconde période. Nous avons laissé le ballon à Nice, et logiquement aussi, Nice a égalisé. Il y a des matches pour les remplaçants, c'en était un ce soir. Courtet, bien sûr, mais aussi les rentrées de Ramaré et Ghilas ont été décisives. C'est une belle satisfaction. Ça montre, une de fois de plus, que tout le monde est concerné. Notre classement, c'est la photo ce soir. Ce qui m'intéresse, c'est l'écart que l'on creuse sur nos concurrents. Le prochain match contre le PSG, bien sûr qu'on y pense déjà. Et on ne va pas y aller pour prendre des photos du Parc des Princes !»

Claude Puel (entraîneur de Nice) : «C'est un coup d'arrêt pour nous. Jusqu'à présent, nos matches étaient bons dans le contenu. Là, il nous a manqué une première mi-temps pour réussir un match plein et espérer autre chose ce soir. On joue les matches pour les gagner, on ne pensait pas à notre série d'invincibilité. Mais la manière avec laquelle nous sommes entrés dans ce match et joué la première période ne pouvait pas nous faire gagner. Après la pause, toute l'équipe s'est bien reprise.»
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Matrimoni a écrit :T'as le kiki tout dur ??? :mrgreen:
il y a de quoi , on est a un point du PSG :greensiffle:
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Reims - Nice, les réactions !
Jean-Pierre Caillot
Ce fut un match compliqué mais on a vu des valeurs avec une équipe qui s'est battue du début à la fin. C'est extraordinaire parce que cette équipe ne doute pas et malgré l'égalisation, elle a continué à déployer son jeu. Le scénario a été favorable mais je suis très content pour les garçons qui méritaient cette victoire. Cela fait vraiment plaisir de voir un Stade de Reims comme cela !

Didier Perrin
C'est une énorme satisfaction parce qu'on avait l'incertitude avec Jo (Liébus) qui revenait après des semaines d'absence et quatre petits jours d'entraînement. Il a fait un très bon match et a su relever le défi. Je suis content pour lui !
C'est une belle victoire qu'on va savourer ! On va aller à Paris sans pression car avec 14 points on peut voir venir.
Bravo aux joueurs qui ont été très solides !

Hubert Fournier
Nous avons fait une très bonne première période, nous avons maîtrisé. Nous menons logiquement. Mais le point négatif de la soirée, c'est l'entame de la seconde période. Nous avons laissé le ballon à Nice, et logiquement aussi, Nice a égalisé. Il y a des matches pour les remplaçants, c'en était un ce soir. Courtet, bien sûr, mais aussi les rentrées de Ramaré et Ghilas qui ont été décisives. C'est une belle satisfaction. Ça montre, une de fois de plus, que tout le monde est concerné.Tout n'a pas été parfait mais on retient les valeurs de ces joueurs que je félicite ce soir. Bravo à eux !
Ce qui m'intéresse, c'est l'écart que l'on creuse sur nos concurrents.
Le prochain match contre le PSG, bien sûr qu'on y pense déjà. Et on ne va pas y aller pour prendre des photos du Parc des Princes.
Le public a joué son role. Il voit bien que cette équipe est courageuse et j'ai l'impression qu'il se reconnait en elle. Les supporters sont indulgents quand on est dans le dur et nous poussent à aller chercher la victoire dans les temps forts. Ils ont une part de la victoire ce soir.

Olivier Guégan
Grosse satisfaction encore ce soir avec une victoire contre une équipe qui n'avait pas perdu depuis la première journée !
Exactement. Quand tu gagnes 3-1 contre ce type d'équipe, c'est très intéressant. On a fait une première mi-temps très cohérente. On a eu plus de mal à rentrer dans la deuxième période mais ensuite on a repris le fil du match dans le dernier quart d'heure pour marquer deux fois. C'est parfait !



Johan Liébus
Encore une soirée fantastique, avec un gros match dans l'engagement et une bonne rentrée de ta part !
C'est clair. En Deuxième mi-temps Nice a mis une grosse pression. C'était très costaud même s'ils n'ont pas eu trop d'occasions car on a bien géré leurs attaques. On a fait le dos rond pendant leur temps fort. Dès qu'ils ont eu une baisse de régime, ona a accéléré et on les plantés. C'est bien !
Comme j'avais dit avant le match, l'important pour moi était de prendre du plaisir sur le terrain. Ce n'est que du bonheur encore ce soir !

As-tu conscience aussi du bonheur que vous donnez aux gens ?
Comme on en prend sur le terrain on sait qu'on va en donner aux supporters. Ils ont joué leur rôle ce soir car ils nous ont soutenus dans les moments difficiles. C'est ça un club ! Tout le monde doit être ensemble. Tout le monde fait son travail actuellement.

Grzegorz Krychowiak
Encore beaucoup de plaisir ce soir !
C'est vrai qu'on a pris beaucoup de plaisir avec ces deux buts dans les dix dernières minutes. Le match n'était pas facile donc cette victoire c'est vraiment du bonheur !

On a vu une grosse bataille au milieu....
Ce sera comme cela à chaque fois. On sait que tous les matches seront difficiles alors on se bat les uns pour les autres.
On va maintenant pouvoir bien récupérer pour préparer le déplacement à Paris.

Mickaël Tacalfred
Beaucoup de joie encore ce soir et j'imagine une grosse satisfaction...
Oui, forcément. Par rapport à la victoire d'abord mais aussi par rapport au public. On peut le remercier car il nous a poussés ce soir. A 1-1, on était un peu moins bien mais les supporters nous ont donnés les ressources pour aller chercher cette victoire qui est amplement méritée. On savoure ces trois points mais il ne faut pas s'arrêter là. Il reste du chemin et il faut continuer à travailler dur pour répondre présent tous les week-end. On va profiter de la trêve internationale pour couper un peu, se changer les idées et recharcher les batteries.
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c est claire qu ils nous procurer beaucoup de plaisir et le public etait vraiment derriere ... en 1ere periode , on se demandé meme qui etait promu tellemetn que la technique et la puissance au niveau des impacte etait enorme (avec krycho enorme dans ce domaine ) diego qui tente des trucs quel pied ce mec de le voir joué . Souaré tres bon aussi . Bref , un pure plaisir . Au parc on sera la pour les poussé et qui sait :mrgreen:
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Tu peux te coucher va, au Parc c'est foutu :greensiffle:
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Stade de Reims - OGC Nice : 3-1

Feuille de match : Stade de Reims – OGC Nice 3-1
Stade Auguste Delaune - Spectateurs : 13 367
Arbitre : Freddy Fautrel

Stade de Reims : Liébus – Mandi, Tacalfred (cap.), Weber, Souaré – Krychowiak, Ca (Ramaré 79e), Devaux – Glombard, Diego (Ghilas 69e) – Fauvergue (Courtet 54e)

OGC Nice : Delle – Palun, Civelli, Pejcinovic, Genevois – Digard (cap.), Traoré, Eysseric (Bosetti 89e) – Pied (Rafetraniaina 80e), Diaz (Meriem 45e), Cvitanich

Buts pour Reims : Diego (16e), Courtet (87e), Courtet (90+3e)
Buts pour Nice : Cvitanich (62e)
Avertissements pour Reims : Fauvergue (42e)
Avertissements pour Nice : Traoré (41e), Civelli (45+1e), Pied (65e)

Courageux, tel est l’adjectif qui définit le match du Stade de Reims ce soir à l’occasion de la 8e journée de L1 ce samedi au Stade Auguste Delaune. Les Rouge et Blanc ont su se relever de l’égalisation à l’heure de jeu pour reprendre l’avantage face aux Niçois.
Durant le premier quart d’heure, les deux équipes tentent d’imposer leurs rythmes. A la 6e minute, Eysseric déclenche la première frappe du match, celle-ci passe au-dessus des buts de Johan Liébus.
La première occasion dangereuse pour les Rouge et Blanc intervient à la 16e minute, Antoine Devaux adresse une passe millimétrée à Diego qui s’en va battre le portier Niçois de son pied gauche (1-0).
Suite à l’ouverture du score les Rémois ne reculent pas bien au contraire, le bloc Rouge et Blanc se projette vite vers l’avant grâce aux nombreuses récupérations de Grzegorz Krychowiak, toujours aussi précieux. Antoine Devaux puis Christopher Glombard prennent de vitesse les Niçois, sans succès.
La fin de première mi-temps est intense, d’abord côté Niçois, Diaz fait trembler Delaune en enroulant son coup-franc sur la barre (45+1e) puis côté Rémois, Christopher Glombard profite d’un cafouillage pour devancer Joris Delle mais sa frappe passe au-dessus (45+3e) ; Reims manque l’occasion de faire le break avant la mi-temps.
Au terme d’une première période complète des Rouge et Blanc, les deux équipes rentrent aux vestiaires (1-0).

Courtet, tel un renard

A la reprise, la pluie battante rend imprécises les transmissions de balle de chaque formation mais ne refroidit pas l’ambiance de Delaune.
Les joueurs de Claude Puel, plus haut dans le camp Rémois poussent et trouvent l’ouverture. Cvitanich, seul aux 20 mètres profite d’un contre favorable et place sa frappe dans le petit filet. (1-1, 62e).
Les Champenois ne tardent pas à réagir et se montrent dangereux. L’entrée de Ghilas redynamise les Rémois mais le score n’évolue pas.
On se dirige alors vers le premier match nul de Reims cette saison à Delaune. Sur un centre de Kamel Ghilas, Gaétan Courtet suit le dégagement de la défense, se retourne avant de loger le ballon d’une frappe sèche (87e). (2-1)
A la 91ème minute, Nice met la pression sur le but Rémois, heureusement Anthony Weber reprend Traoré. On croit alors le match terminé, c’est sans compter sur Gaétan Courtet qui, tel un renard des surfaces, reprend une mauvaise relance de la défense et porte le score à 3-1 (90+3e ). Cette nouvelle réalisation clôt le suspense, M.Fautrel siffle la fin du match et laisse exploser les 13 397 spectateurs.
Le Stade de Reims enchaine un 6e match consécutif sans défaite en championnat, et mieux, une 4e victoire de rang à domicile. A l’issue de ce match, Reims est 4e avec 14 points au compteur.
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Le Stade de Reims impérial à domicile
Diego Rigonato donne le ton en ouvrant la marque à la 16e minute. Un troisième but à Delaune renversant pour le petit Brésilien.

Football (L1). Sans Agassa, mais avec un Courtet de feu, le Stade de Reims a décroché face à Nice sa 4e victoire consécutive à domicile (3-1). Le voilà 4e, en attendant les derniers matches de cette 8e journée. Incroyable !

Notez les joueurs et votez pour l'homme du match !
EN découvrant ce matin le classement de la Ligue 1, les amoureux du Stade de Reims se frotteront les yeux. Le promu champenois est pourtant bien 4e, dans le sillage immédiat des mastodontes que sont Marseille, Paris SG et Lyon. 4e, une place qualificative pour la prochaine Europa League.
Le rêve continue. Le Stade de Reims qui a nettement dominé une bonne équipe de Nice, est bien la révélation de ce premier quart de saison. Avec désormais 9 points d'avance sur le 17e, il file à grand train vers une saison tranquille.
Invaincue depuis six journées, l'équipe d'Hubert Fournier a définitivement gagné ses galons de perturbateur numéro un. A domicile, où elle a enregistré, hier, sa quatrième victoire de rang, elle semble intouchable, déjouant avec délectation les pièges placés sur son chemin, trouvant à chaque journée de plus en plus de plaisir à démentir les pronostics. Après la mini-trêve, c'est à Paris qu'elle se rendra…

LE CONTEXTE
Nice ne perd pas à l'extérieur (3 nuls). A Reims, en quatre réceptions, seul l'OM est reparti avec des points. En toute logique, on pouvait s'attendre à un match ouvert, d'autant que les Aiglons de Puel, plus actifs qu'attentistes, ne ressemblent en rien à ceux de la saison dernière et que les Champenois ont toujours marqué à Delaune.

LA Stratégie
Un modèle de 4-2-3-1 des deux côtés, transformé parfois en 4-1-4-1 côté rémois, et l'assurance d'un jeu ouvert. D'autant que l'utilisation permanente des couloirs fluidifiait la circulation du ballon.
Si Nice débutait avec Meriem sur le banc, son remplaçant, Esseyric occupait le même secteur, alors que l'ancien Messin, Diaz, arpentait le flanc gauche.

LA PHYSIONOMIE
Dès l'entame, l'envie rémoise d'aller de l'avant semble perturber le jeu plus réfléchi et plus lent des Niçois.
La rigidité de la charnière centrale azuréenne, offrait des opportunités aux Rémois arrivant souvent lancés. Ce n'était pas par hasard que Diego ouvrait le score en plein cœur de la surface.
En dépit d'une évidente domination territoriale, le Stade ne parvenait pas à accroître son avantage.
La seconde période débutait mal. L'entrée en jeu de Meriem transformait le jeu azuréen. Comme libérés, les Aiglons s'envolaient sans retenue à l'assaut du but de Liébus. Ils étaient récompensés par une égalisation méritée de Cvitanich.
Poussés par les encouragements du public, les Rémois s'enhardissaient et allaient terminer en boulet de canon. Mandi offrait deux centres parfaits, malheureusement inexploités.
C'est alors que Courtet, très en vue depuis son entrée en jeu, faisait basculer le match dans le sens souhaité par Delaune. Coup sur coup, l'ancien Lorientais dégainait victorieusement dans la surface et pliait définitivement l'affaire.

LE TOURNANT

L'entrée en jeu de Gaëtan Courtet, évidemment, plus payante que celle de Camel Meriem en face. Beaucoup plus mobile et accrocheur que Nicolas Fauvergue, le Breton pesa de tout son poids sur une défense centrale niçoise pas toujours sereine. A force d'insister, l'ancien Lorientais a fini par trouer l'arrière-garde visiteuse. D'abord du gauche dans un trou de souris. En récupérant un ballon gagné par Ghilas. Le voilà meilleur buteur avec 4 réalisations.

LA STAT 3
Comme le nombre de buts inscrits sous le maillot rémois par sa dernière recrue, Diego Rigonato. A chaque fois à Delaune (Montpellier, 38e), Nancy (61e sur penalty) et hier (16e). Le gaucher du Honved Budapest semble apprécier l'ambiance très brésilienne de l'enceinte de la Chaussée Bocquaine.

Les hommes clés
Christopher GLOMBARD
Visiblement, « Chris « prend du plaisir à évoluer en attaque. Déjà en vue contre Montpellier, l'ancien Bordelais s'est encore signalé hier par sa capacité à prendre son couloir et surtout son envie de faire mal à la défense adverse. Sa performance aurait mérité un but… qu'il manqua en frappant trop fort à l'angle fermé, alors qu'il venait d'éliminer Delle sur un dribble à la Fortes.

Antoine DEVAUX
C'est à lui qu'Hubert Fournier a confié les clés de l'équipe. Offensivement, c'est le taulier. C'est lui qui imprime le tempo. Il s'appliqua à bien se positionner entre les lignes. Et le Normand ne se priva pas de distiller d'excellents ballons, dont un, décisif, pour Diego. Avec lui aux manettes, le Stade a gagné en assurance.
Gaëtan COURTET
C'est un habitué des entrées en jeu fracassantes. Hier encore, le Breton a su placer deux mines qui ont fait exploser la défense des Aiglons. Son coup de rein, sa fraîcheur, son altruisme, sa détermination et son coup d'œil ont fait la différence. En face, pourtant, ce n'était pas du bidon.
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babar051
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Re: [CLUB] - STADE DE REIMS

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Merci Gaëtano Courtet
Kamel Ghilas félicite Gaëtan Courtet qui, entré à la place de Nicolas Fauvergue à la 54e minute, a fait basculer la rencontre en faveur des Rémois.

Ce Reims - Nice a d'abord été un duel entre buteurs sud-américains. Avant que Courtet ne fasse la différence.

DANS l'une de ses chroniques sur RMC, Eric Di Meco s'était risqué, la veille, à comparer le Niçois Dario Cvitanich à Delio Onnis, un parallèle qui à Reims, prenait forcément une résonance particulière.
Qui dit Onnis sous-entend renard mais aussi « roublard ». En quatre matches joués, Dario Cvitanich avait fait expulser - sacré ratio - deux joueurs : le Bordelais Sané et le Lorientais Bourillon.
Fallait-il pour autant classer Dario - dont le plaisir à Nice est de prendre un maté sur sa terrasse, face à la mer - dans la même catégorie que Delio de Monaco ?
Pas sûr. Pour l'avoir vu jouer deux fois, Brahim Thiam, consultant de beIN Sport, dépêché hier Chaussée Bocquaine, et ancien Rémois, modulait : « Concernant les origines peut-être, mais Cvitanich me fait plus penser à Saviola et à Agueiro ». Rien moins…
Traduction, le transfuge de Boca Juniors, le club où Carlos Bianchi a sa statue, possède « de grosses qualités techniques et sait être efficace devant le but. C'est aussi un joueur collectif qui décroche ». Le portrait, plutôt, d'un Omar Da Fonseca.
Tout ce qu'il fallait pour mettre sur le qui-vive une défense (orpheline d'Agassa) mais aussi « The substitute » nommé Johan Liébus.
Diego occulte Dario
Dario, aux origines « yougoslaves » comme Ivo Basay ou Diego ? Hier soir, par un temps qui n'avait rien de sud-américain, c'était bien là un autre match dans le match. La suite allait le démontrer.
L'ancien de l'Ajax commençait par roder en pointe, très loin devant, à la limite du hors-jeu, entre Weber et Tacalfred, contraints de faire la tenaille.
Dario se décalait sur le flanc gauche, dans un pas de deux avec Tacalfred. Pas de deux qu'il poursuivait à droite, cette fois, avec un Weber collé à la culotte.
Dans le premier quart d'heure, les Niçois avaient, heureusement, d'autres préoccupations que de solliciter leur « playmobile » argentin.
C'était si vrai que Diego occultait Dario avec un but tout en finesse : ouverture inspirée de Devaux pour le Brésilien, qui bien que déporté dans le côté droit de la surface, avait le réflexe de choisir le plat d'un pied gauche parfaitement ouvert.
Dur à décrire mais si simple à réaliser pour Diego, trois buts à Delaune en trois matches.
Un sacré défi à distance pour le pote à Renato (Civelli) - ils ont joué ensemble à Banfield -, sevré de « pelota », ce qui l'obligeait, deuxième facette de son registre, à décrocher ou à frapper de loin sans beaucoup de grinta (25e).
Ça devenait une évidence : Claude Puel ne comptait guère que sur un contre et un coup de patte de son Argentin toujours disponible dans les espaces. Ce qui le faisait râler quand un centre de Pied (de travers) s'envolait vers Liébus.
L'agacement n'était pas loin. Même si l'OGCN terminait la mi-temps mieux qu'il ne l'avait commencée.
Tactiquement, le passage aux vestiaires ne changeait rien pour Dario, toujours devant comme le petit cheval blanc, à la différence que les Aiglons jouaient bien plus haut. Et les Rémois en contre…
Dario un petit Onnis ? L'Argentin finissait par donner raison à Di Meco sur son premier ballon négociable à l'entrée de cette fameuse surface de vérité. Le propre du tueur. Diego 1 - Dario 1.
L'affaire était sûre d'en rester là pour Diego remplacé par Ghilas. Mais pas pour le Stade de Reims qui arrachait la victoire grâce à deux buts de Courtet que l'on rebaptisera « Gaëtano » pour l'occasion…
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Fournier : « Il a le pied chaud le petit Courtet »

Hubert Fournier, entraîneur heureux.
Hubert Fournier, vous avez su aller chercher cette victoire ?
« C'était un match pour les remplaçants. On gagne grâce à notre banc de touche. Les entrants nous ont apporté de l'enthousiasme. Dans l'équipe, il n'y a pas un joueur qui soit vraiment déterminant. Tout le monde est important. Chacun apporte sa pierre à l'édifice ».
Impossible malgré tout de ne pas souligner la performance de Courtet ?
« C'est peut-être une découverte pour beaucoup de monde, mais nous, on savait depuis la saison dernière ce que le petit Gaëtan pouvait apporter. Je ne me fais pas de soucis pour lui à condition qu'il garde la tête froide. Il a encore des choses intéressantes à montrer. Ça me paraît difficile qu'il garde ce niveau-là toute la saison mais on profite de sa période de grâce. Tant qu'il aura le pied chaud, on va le garder ».
Vous attendiez-vous à être aussi bien placé après la 8e journée ?
« C'est une lapalissade : tous les points pris ne sont plus à prendre. On est bien conscient que tout n'a pas été parfait. On mène 1-0 à la mi-temps et on doit savoir garder un niveau d'intensité, les mêmes dispositions. C'est dans ce domaine qu'il y a des choses à améliorer dans les semaines à venir ».
Serez-vous devant votre télé pour suivre le match de Bordeaux au Parc, en pensant au classement ?
« Bien sûr. J'aime bien regarder des matches même si je n'en suis pas encore au stade de Jean Fernandez ».
Cette victoire était certainement la meilleure manière de préparer le déplacement à Paris ?
« Tout le monde a envie d'y aller à Paris. Et pas pour jouer les touristes et prendre en photo le Parc des Princes. Le règlement n'a pas changé, il y a bien trois points en jeu, non ? Je suis un jeune entraîneur en Ligue 1 mais je ne suis pas un lapin de trois semaines. Ce que je regarde c'est l'écart avec les trois derniers, pas avec la tête. On va avoir une bonne pression. Quelle belle soirée (sous-entendu, ça va être) ».
Propos recueillis par J.-P.P.

Claude PUEL : « Un résultat logique au vu de la première mi-temps. Nous avons été transparents, notamment dans l'entre-jeu. Reims n'a pas volé l'ouverture du score. Nous avons eu une bonne réaction en seconde période. Quand Reims a reculé, nous nous sommes mieux exprimés techniquement. Mais il ne faut surtout pas enlever leurs belles vertus aux Rémois ».
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Matrimoni a écrit :Tu peux te coucher va, au Parc c'est foutu :greensiffle:
m en fou ...j y crois :lang3:
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babar051
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Re: [CLUB] - STADE DE REIMS

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La prime à l'efficacité pour le Stade
Dans la belle passe stadiste, Nicolas Fauvergue y amène aussi, à sa manière, sa contribution. L'autre soir, Renato Civelli lui a laissé pourtant bien peu d'ouvertures...

FOOTBALL (L1). Samedi, contre Nice, Reims a marqué trois fois en tirant cinq fois au but. Le promu fait aussi dans le réalisme.

C'EST une vraie grosse performance qu'ont réussie les Rémois samedi. Battre Nice à domicile, personne n'y était encore parvenu cette saison. Ni Valenciennes (0-0), ni Bordeaux (1-1), ni même Lorient (1-1).
Ce quatrième succès, consécutif, à domicile est d'autant plus significatif que le scénario du match n'a pas forcément été favorable aux Rémois. Une victoire accouchée au terme d'une production irrégulière dans le déroulement de la rencontre, mais plutôt solide dans son ensemble.
L'analyse des chiffres confirme cette impression de facilité en première mi-temps, de difficulté après la pause, avant un dénouement heureux.

POSSESSION NICOISE. - En ouvrant rapidement le score (16e), les Stadistes se sont enlevé la tâche de prendre le jeu à leur compte, ce qui explique que la possession de balle de la fin de 1re mi-temps, 54 - 46 en faveur des Niçois, soit restée la même au coup de sifflet final. Avec, toutefois, un dernier quart d'heure entièrement dominé par les Stadistes.

DIEGO DISCRET. - Autre contraste, la prestation plutôt effacée du Brésilien Diego, même s'il débloqua la situation grâce à un déplacement gauche-droite ayant surpris son ancien coéquipier tourangeau, Genevois.
Mis à part ce coup d'éclat, Diego se montra très discret avant la pause et fut à peine un peu mieux servi en seconde mi-temps (deux attaques côté gauche).
A sa décharge, l'aisance technique de Devaux profita plus à Glombard dans le couloir opposé.

FAUVERGUE ISOLÉ. - En pointe, Nicolas Fauvergue s'est plus mis en évidence pour son travail défensif afin de gêner la relance de Civelli et Pejcinovic que pour son opportunisme offensif. L'ancien Sedanais peine à se dégager du marquage.
Trop isolé aux avant-postes, ses déviations ne profitent que rarement à ses coéquipiers.

MERIEM CHANGE TOUT. - L'entrée d'un vrai meneur de jeu côté azuréen, Kamel Meriem, a jeté le trouble dans l'organisation stadiste. Le ballon, trop vite rendu, revenait inlassablement.
Ce n'est pas un hasard si Cvitanich a dès lors été mieux servi, et a réussi à égaliser… en nette position de hors-jeu.

COURTET EN RÉUSSITE. - Gaétan Courtet ne sort jamais du banc pour faire de la figuration. Souvent décisif, pesant toujours sur la défense adverse, le Breton s'impose comme un joker efficace.
Coïncidence : cette saison, Diego et Courtet ont marqué lors des mêmes rencontres (Montpellier, Nancy et Nice). A eux, ils totalisent 64 % des buts rémois en Ligue 1 (7 sur 11).
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Quand Courtet double la mise

Il signe ses œuvres de manière particulière. La main ouverte à hauteur de sa tempe droite. Le salut militaire est son signe distinctif.
Samedi, Delaune s'est levé comme un seul homme pour rendre un vibrant hommage à son sauveur breton. « Courtet, Courtet » ont chanté les kops. Gaëtan a savouré, englouti sous la mêlée rouge et blanc.
Gaëtan Courtet, sorti du banc à la 54e minute, a justifié son statut de joker gagnant. Quand d'autres, boudeurs, peinent par principe à se jeter dans la bataille, l'ancien Lorientais lui, y va franco, droit au but. Samedi, deux des trois tirs cadrés rémois en 2e mi-temps sont de lui. Une efficacité maximale.
Le staff apprécie cette générosité, ce sens du dévouement et de l'engagement collectif. « J'ai toujours faim, expliquait-il récemment. Quand je rentre, j'ai beaucoup à prouver. À moi de montrer ce que je sais faire ».
Samedi, son travail de harcèlement a fini par faire douter la solide paire Civelli - Pejcinovic, passée de la surveillance aérienne de Nicolas Fauvergue, à courir derrière ce lévrier breton qui, non content d'ouvrir des brèches offensives, se plaisait aussi à perturber leur circulation de balle.
Bien épaulé par Kamel Ghilas, Courtet offrait alors des solutions plus nettes au passeur Antoine Devaux.
Pas étonnant qu'il se retrouvât deux fois à point nommé pour convertir en but des ballons traînant dans la surface niçoise, inscrivant ainsi ses 3e et 4e réalisations en Ligue 1.
Le désormais meilleur buteur stadiste réalisait ainsi son troisième doublé en rouge et blanc. Le premier remonte au 1er avril 2011 face à Tours (buts aux 19e et 73e minutes). Le deuxième, un mois plus tard, contre Boulogne, en toute fin de match (83e et 88e).
Gaëtan Courtet qui rêvait de son premier but en L1, se positionne aujourd'hui parmi les meilleurs spécialistes de l'élite. Le Morbihannais symbolise à lui tout seul la renaissance rémoise, accompagnée de heurts et de bonheur.

« Savoir faire le dos rond »

Guéri d'un cancer en août 2011, opéré d'une pubalgie en février 2012, Courtet est devenu indestructible. « Tous ces malheurs m'ont rendu plus fort », explique l'ancien meilleur buteur (20 buts en 2009-2010) du groupe H de CFA2, avec la réserve des Merlus.
Comme le Stade samedi, Gaëtan a su attendre son heure, avant de porter l'estocade finale : « Il faut savoir faire le dos rond et on l'a fait durant la période de domination niçoise ».
Visiblement, il a apprécié sa soirée et l'ovation populaire qu'il reçut à la fin du match. « Si on garde le même état d'esprit, les résultats suivront ». Pour sa part, il espère simplement « ne pas en rester là ».
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Stade de Reims : le coup d'éclat permanent
Antoine Devaux, ici face à Digard, a su distiller de bons ballons en direction notamment du héros de la soirée, Gaëtan Courtet.

Reims poursuit sereinement son odyssée. Un enchaînement victorieux qui lui procure le crédit nécessaire pour maîtriser son destin après sa victoire samedi 3-1 face à Nice.

SIR Bobby Charlton a surnommé Old Trafford, l'enceinte où évolue Manchester United, le « Théâtre des Rêves ». La prestigieuse arène des Red Devils dégage ce parfum de victoire qui enivre fans et adversaires. Combien de scénarios à suspense ont pris corps dans l'antre de ManU, à combien de renversements de situation ont assisté les fidèles des Rouge ?
Bien loin du gigantisme mancunien, Auguste-Delaune, pour l'heure, s'attache à banaliser l'exceptionnel. Les supporters rouge et blanc l'ont si bien compris, qu'ils s'y agglutinent avec la certitude qu'il s'y passera toujours quelque chose d'étonnant, de renversant, de sublime. C'est le cas depuis janvier 2011, point de départ d'une aventure humaine dont la portée dépasse largement le cadre du sport.

Poil à gratter officiel
Le plus étonnant dans l'histoire, c'est que cette promotion de valeureux soldats flottant dans l'uniforme trop grand de leurs illustres prédécesseurs, ne compte jamais ses coups. Son carburant demeure sa force collective. Dès qu'elle s'en éloigne, elle se plante. C'est comme ça…
La voilà reconnue comme poil-à-gratter officielle de la Ligue 1 après avoir accroché à sa ceinture les scalps de Sochaux, Montpellier, Nancy et Nice.
« Cela fait vraiment plaisir de voir un Stade de Reims comme cela, jubilait Jean-Pierre Caillot, qui se retient pourtant de s'enflammer. Le président stadiste a particulièrement apprécié la réaction de ses joueurs après l'égalisation niçoise. On a su afficher nos valeurs de combativité et de courage. C'est extraordinaire parce que cette équipe ne doute pas ».
La performance fera peut-être taire les derniers sceptiques. Le Nice de Claude Puel était invaincu à l'extérieur cette saison, malgré des déplacements à grands risques à Valenciennes (0-0), Bordeaux (1-1) et Lorient (1-1). Tenus en échec à domicile par Bastia (2-2), les Azuréens étaient venus « pour gagner enfin ».
D'où la déception de l'ancien coach lyonnais : « C'est un coup d'arrêt, mais pouvait-on espérer mieux en ne jouant qu'une mi-temps ? »
Puel a la réponse à sa question. Avec un Camel Meriem aligné au coup d'envoi, l'histoire se serait sans doute enclenchée d'une autre manière. « Sa rentrée nous a posé des problèmes, reconnaît Hubert Fournier, mais nous avons su repartir après l'égalisation »
Et comme souvent, la lumière est venue du banc. de Kamel Ghilas et de Gaëtan Courtet notamment, dont la vivacité, les changements de rythme, et l'envie d'en découdre avec une défense un peu trop pépère, ont fini par payer. « Apporter de la fraîcheur, c'est notre rôle à nous, les remplaçants », admet Gaëtan Courtet, le héros de cette pluvieuse soirée automnale (lire par ailleurs).
Avec des garçons dans le vent, à l'état d'esprit impeccable, dégageant une telle envie collective, Reims trace son chemin, sans se projeter plus loin que sur le match à venir. « On aurait tort de nous prendre pour ce qu'on n'est pas », répète souvent Fournier.

La chanson de Souchon
La roue tourne dans le bon sens, mais tout demeure si fragile. « Nous bénéficions de pas mal de réussite en ce moment, argumente avec lucidité Anthony Weber. Ce fut le cas ce soir (samedi) et la semaine précédente à Saint-Etienne. »
Jusqu'à samedi, le Stade de Reims n'avait gagné qu'un seul des neuf derniers matches (pour 5 nuls et 3 défaites) contre Nice en L1. La manière dont il s'y est pris provoque le respect de ses pairs et compliquera forcément encore davantage sa tâche.
« On avance, on avance, on avance, car on n'a pas assez d'essence pour faire la route dans l'autre sens, alors on avance », chante Alain Souchon. Avant d'aller défier le Paris SG (le 20 octobre), les Stadistes savent désormais qu'un quasi-sans-faute à domicile suffirait à leur bonheur de maintien confortable.
Delaune pourra ainsi se transformer en un vrai « Théâtre des Rêves ».
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ils sont vache avec Diego , ils oublis un detail , il revenait de blessure
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le Stade de Reims en Europa League ? l'exploit de la décennie ...
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Message non lu par spoucknick00 »

pourquoi s arreter a l EL et pourquoi pas la LDC :greensiffle:
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Reims 3-1 Nice... Thiam «a kiffé»
Brahim Thiam, l'ancien défenseur du Stade de Reims est passé de l'autre côté de la barrière en tant que consultant pour beIN Sport « C'est doublement plaisant de pouvoir commenter et tresser des louanges à des gars que j'aime bien ».

FOOTBALL (L1). Brahim, l'ancien défenseur stadiste, consultant sur beIN Sport, a particulièrement apprécié la prestation rémoise face à Nice. Le cœur a ses raisons…

SON œil d'expert a tout vu et sa mémoire d'éléphant, tout enregistré. Le long de la ligne de touche où l'ont conduit ses nouvelles fonctions d'homme de terrain à beIN Sport, Brahim Thiam (*) a partagé, en première loge, l'émotion stadiste poussée à son paroxysme par une quatrième victoire consécutive à domicile, samedi face à Nice.
« J'ai kiffé », a avoué l'ancien défenseur central rouge et blanc de la furtive ère Fernandez.
Brahim quel regard portez-vous sur la rencontre de samedi ?
« J'avais déjà assisté à des matches de Reims, notamment contre Montpellier, qui n'était pas au top. Mais là, le Stade s'est imposé avec la manière face à une équipe de très bon niveau, qui n'a jamais fermé le jeu ».
Avec un scénario très particulier…
« Effectivement. La 1re mi-temps a été largement dominée par Reims, très présent sur le plan de l'engagement, du jeu, vigilant défensivement et appliqué dans la relance. On peut y ajouter une projection très rapide vers l'avant et de l'efficacité devant le but.
Ce match a été doublement intéressant car les Stadistes ont su surmonter une période de flottement en 2e mi-temps avant de terminer très fort, alors même que Nice avait décidé de jouer plus haut et trouvé en Meriem l'organisateur capable de le mener à la victoire. Tout cela, sans paniquer, avec même une grande maturité ».
Cette capacité à rebondir est appréciable…
« C'est le signe d'une équipe capable de se remettre en question, de s'adapter aux aléas d'un match, et de trouver les ressources morales pour vaincre ».
C'était votre premier match « rémois » en qualité d'homme de terrain. Comment vit-on cette proximité avec le jeu ?
« À hauteur d'homme, la vision du match est différente. On le vit comme les acteurs, joueurs, entraîneurs et arbitres. Là, je suis dedans, je kiffe ».
Votre intervention en direct à la mi-temps était attendue…
« On décide en fonction de la physionomie du match. J'ai choisi le latéral droit niçois Romain Genevois. J'ai voulu connaître son sentiment sur cette première partie de match subie par son équipe. Au coup de sifflet final, j'ai eu Didier Digard et Kamel Ghilas, entre autres… »
Et les entraîneurs ?
« Claude Puel, c'est particulier. Je pense que ce n'était pas le bon soir. Quant à Hubert Fournier, je le connais bien, mais j'ai souhaité donner la parole aux joueurs ».

« Cette série peut perdurer »

Votre avis personnel sur la prestation rémoise ?
« Je pense que cette belle série peut perdurer. Une grande lucidité se dégage du discours des joueurs. Ils savent bien qu'à un moment, il y aura un creux dans les performances, mais en attendant, ils engrangent des certitudes, de la confiance, au niveau du jeu et de l'état d'esprit. Et tout cela ne se balaie pas comme ça, d'un revers de main.
Le match de samedi est l'un des meilleurs que j'ai vus depuis le début. Reims n'est pas frileux. Il va de l'avant et marque des buts. Et ça… »
Votre objectivité n'est-elle pas prise en défaut dans la mesure où vous connaissez tout de ce club ?
« J'essaie d'être le plus juste possible dans l'analyse technique du match. Le but n'est pas de déformer la vérité pour faire plaisir à Pierre, Paul ou Jacques. C'est quand même doublement plaisant de pouvoir commenter et tresser des louanges à des gars que j'aime bien ».
Sur le plan individuel, des joueurs vous ont-ils agréablement surpris ?
« Il y en a deux. D'abord Gaëtan Courtet, égal à lui-même avec son grand cœur. Il progresse rapidement et prouve que le club a eu raison de miser sur lui.
La deuxième grande satisfaction, c'est Anthony Weber. Je l'avais vu jouer en National et il a réalisé d'énormes progrès. Il n'est pas loin du très haut niveau. Il me fait penser au Caennais Thomas Heurtaux, qui a également fait ses classes en National. Anthony joue comme un gars qui a cinq ou six ans de L1 ».

(*) Brahim Thiam a disputé 20 matches sous les couleurs du Stade de Reims (14 en Ligue 2 et 6 en National). En Ligue 1, il a joué 50 matches avec le Stade Malherbe de Caen.
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