
Par contre le jeunot je lui aurais bien demandé un petit rapport si j'étais à côté...

Amicaux : le programme des Stadistes
Les vacances touchent à leur fin pour le staff et les joueurs professionnels du Stade de Reims. La reprise est fixée au jeudi 25 juin au centre de vie avec au programme 3 jours de tests médicaux.
5 matchs amicaux sont programmés :
Mercredi 8 juillet contre l’AJ Auxerre (à Bétheny, 18h)
Samedi 18 juillet contre le FC Lorient (à Carnac, 18h)
Jeudi 23 juillet contre le FC Metz (à Epernay, 18h)
Dimanche 26 juillet contre le FC Séville (à Auguste Delaune, 17h30)
Samedi 1er août (à déterminer)
Et tu ne sais pas tout ! ça ce n'est qu'un exemple de ce qu'il m'a dit bref... je connais son nom, prénom, et ou il habiteMatrimoni a écrit :tsss affligeant... Comment as-tu osé mal parler à un homme dépositaire de l'autorité![]()
15 jours j'espère que ça lui a remis le cerveau à l'endroit...![]()
Courtet vendu à Auxerre, Glombard prêté au Paris FC
En attendant l’arrivée de ses premières recrues, le Stade de Reims a entamé l’opération de réduction de son effectif. On apprend que l’attaquant Gaëtan Courtet, prêté en janvier dernier à Brest (L2), est définitivement transféré à Auxerre (L2). Dans le même temps, le latéral droit Christopher Glombard est lui prêté au Paris FC (promu en L2).
FOOTBALL (SdR). Fousseni Diabaté, 3e du Mondial U20
En battant le Sénégal (3-1) dans la petite finale à Auckland, le Mali a pris la 3e place de la Coupe du monde U-20 en Nouvelle-Zélande. Fousseni Diabaté, milieu offensif excentré du Stade de Reims, figurait dans l’équipe malienne mais il n’est pas entré en jeu. Le tournoi a couronné la Serbie face au Brésil (2-1).
Finaliste de la Gambardella avec les U19 en 2014, Diabaté clôt ainsi une saison où il aurait dû signer un contrat pro à Reims. Finalement, le Stade a fait volte-face et le Malien n’est pas conservé.
Football : Charbonnier toujours rémois
Si les départs de Christopher Glombard et Gaëtan Courtet étaient plus ou moins programmés, celui du meneur de jeu Gaëtan Charbonnier n’avait jamais été envisagé. Sous contrat jusqu’en juin 2017, l’ancien montpelliérain, selon une information de RMC, intéresserait Hanovre, le Standard de Liège et le Feyenoord Rotterdam. Ces trois clubs ayant contacté son agent seraient déjà entrés en contact avec l'entourage de l'attaquant rémois. RMC évoquant même une indemnité de transfert d'environ 2 millions d'euros pour racheter les deux dernières années rémois du joueur.
Les dirigeants stadistes ont tenu à démentir cette information : pour eux, pas de doute : Gaëtan Charbonnier sera bien un joueur du Stade de Reims cette saison.
Info L'union: Le Belge Gillet s'engage pour 3 ans au Stade de Reims
La négociation a été longue et difficile, mais le résultat est positif. À 31 ans, l’international belge Guillaume Gillet, quatre fois vainqueur du championnat de Belgique avec Anderlecht, devient un joueur du Stade de Reims. Les dirigeants rémois ont pris possession, en fin d’après-midi, des documents officiels signés par le milieu de terrain défensif, qui termine ses vacances à Las Vegas. Il s’est engagé pour trois ans et sera présenté lundi après-midi.
Jean-Pierre Caillot : « Continuer à grandir »
À l’orée d’une nouvelle saison, le Président du Stade de Reims fait le point. Le mercato, la venue du FC Séville, le calendrier : aucun sujet n’est éludé. Le Président prend également le temps d’aborder les projets extrasportifs et notamment le lancement de la nouvelle signature club... Entretien.
Président, c’est la reprise du groupe professionnel en ce moment. Le mercato, pour l'heure, a été axé sur la continuité…
« L’objectif de notre mercato était de conserver nos forces. On avait des joueurs sollicités, notamment Aïssa Mandi, Prince Oniangué ou encore Diego Rigonato. Notre volonté, c’était aussi de prolonger trois joueurs cadres dont on connait les qualités humaines et sportives : Franck Signorino, Mohamed Fofana et Antoine Devaux. Nous avions aussi pour objectif de prolonger nos jeunes prometteurs à l’instar d’Oménuké Mfulu et Grejohn Kyei. Cela a été fait. La seconde étape de notre mercato est d’intégrer un ou deux « top joueur ». Le premier que nous avions ciblé était Guillaume Gillet. En France, il a été auteur d’une saison remarquable avec Bastia. Ça a été un dossier compliqué… On s’aperçoit que dès qu’on monte en gamme sur les joueurs, c’est de plus en plus concurrentiel et difficile de les convaincre. On a le bonheur d’avoir son accord de principe. On reste également ouvert sur autre dossier « top joueur », que l’on fera ou pas, parce qu’on considère aujourd’hui que le groupe que nous avons est de qualité. N’oublions pas que le Stade de Reims était dans les dix premiers de L1 à la trêve la saison passée… Sur les dernières semaines, l’équipe, par son sursaut, a montré ses ressources. Entre les deux il y a eu une période de disette et ce n’est pas la qualité intrinsèque des joueurs qui était à remettre en cause, plus la façon dont jouait l’équipe. On croit donc beaucoup en notre effectif. »
Vous parlez d’un éventuel prochain top joueur, quel profil recherchez-vous ?
« Ce serait éventuellement un attaquant excentré supplémentaire. On a déjà des joueurs de qualité à ces postes-là mais nous restons en veille…»
« Dans l’aventure que nous menons depuis que l’on dirige ce club, nous nous efforçons de redémarrer des cycles »
La préparation va être rythmée par différents matchs amicaux dont un de prestige, la venue du FC Séville. C’est le retour d’un grand d’Europe à Delaune…
« Dans l’aventure que nous menons depuis que l’on dirige ce club, nous nous efforçons de redémarrer des cycles. On a redémarré une équipe professionnelle, la Ligue 1, la formation et dernièrement une section féminines. Historiquement le Stade de Reims recevait ou se déplaçait chez un grand d’Europe. C’est pourquoi l’année dernière, dans le transfert de Grzegorz Krychowiak, j’avais demandé aux dirigeants andalous de prendre l’engagement d’essayer de venir faire un match à Delaune. Ce n’était pas contractuel dans le transfert mais c’était une volonté forte. Je souhaitais offrir à notre public, nos abonnés, nos supporters la venue d’un grand d’Europe. Quelques années en arrière, quand on recevait un bon club de Ligue 2 ou mieux un de Ligue 1 il y avait un engouement. Aujourd’hui, je ne vais pas dire que c’est notre quotidien puisque je me plains suffisamment qu’on banalise parfois notre présence en Ligue 1… Mais une telle affiche face au double tenant de l’UEFA Europa League, c’est magnifique. Nous travaillons également sur la venue d’un autre club historique espagnol pour un amical début août. Nous pourrions donc offrir deux grands matchs amicaux de présaison à notre public… »
Le club a également reçu une invitation d’un géant européen…
« Absolument. Comme toujours, les dirigeants du Real Madrid, très respectueux de l’histoire, nous ont conviés le 12 août à un tournoi international au stade Di Stefano. Malheureusement pour des questions d’emploi du temps -le tournoi étant organisé entre le déplacement à Bordeaux et la venue de Marseille- nous ne pouvons pas répondre favorablement à cette invitation. C’est un vrai honneur et une grande déception pour nous et les joueurs. Mais je pense qu’il est plus raisonnable de rester concentré sur notre championnat de France, car on sait que le calendrier débutera fort face à des ténors de la Ligue 1. »
Justement, que vous inspire ce calendrier ?
« Par définition, nous sommes amenés à affronter tous les clubs. Mais cette année, je me dis qu’il faudra être prêt tout de suite ! Le calendrier a considérablement changé : les matchs aller ne coïncident pas à ceux retour, les pivots sont différents. Il faut s’y habituer. Une chose est certaine : commencer à Bordeaux dans ce nouveau stade est un réel plaisir. On sera les deuxièmes à y passer après Montpellier. Recevoir Marseille dans la foulée et se déplacer à Nantes fait que le mois d’août sera costaud !»
« Revivre l’aventure européenne grâce à nos jeunes est un grand symbole »
On parlait Europe avec Séville. Le Stade de Reims fait son grand retour dans une épreuve continentale via les U19. Comment vivez-vous ce renouveau?
« C’est un moment très fort pour l’ensemble du club. C’est la reconnaissance de tout le travail qui est effectué par les équipes d’encadrants depuis des années. Je pense qu’on n’a pas suffisamment insisté sur le fait que le Stade de Reims, dans ses nouvelles infrastructures, avait un agrément de catégorie 1. Les U19 sont champions de France mais les autres équipes ont obtenu des résultats probants et prometteurs. N'oublions pas aussi la montée en D2 des féminines, l'année de la création de la section, une première en France ! Encore une fois, comme je le disais, le club redémarre des cycles. L’Europe aurait pu être retrouvée avec les aînés : il y a deux saisons où nous étions proches des 7-8 premières places. Je pense, soit dit en passant, qu’il aurait été prématuré d’envisager une campagne européenne à cette période… Finalement revivre l’aventure européenne grâce à nos jeunes est un grand symbole. »
De quoi enrichir votre collection de maillots…
« C’est vrai, j’espère que les 19 ans pourront échanger leurs maillots comme les professionnels ! »
Le club, ce sont les professionnels, les féminines, les jeunes. Vous avez choisi que le Stade de Reims, dans son nouveau cap, se dote d’une signature : « Institution de football ». En quoi cette formule résume-t-elle plus le Stade de Reims qu’un autre club ?
« On a souvent parlé d’institution et on a décidé cette année de formaliser ce nom dans une signature. Si le mot « Institution » a souvent été prononcé, c’est parce qu’on a eu le sentiment dans le football moderne, par moments et dans certains clubs, que des choses aberrantes se produisaient… Des joueurs ou entraîneurs qui prennent un club en otage, des gestions hasardeuses… Je ne dis pas que le Stade de Reims a toujours été exempt de tout reproche mais nous nous efforçons de construire solidement en nous appuyant sur des valeurs. Que la fameuse institution soit plus forte que tout le monde est un principe fondamental chez nous. On nous nous titille sur le fait qu’on n’a pas de très grandes stars au Stade de Reims, un point sur lequel je ne suis pas d’accord car je considère que l’on a de très bons joueurs. Notre approche au Stade de Reims est d’expliquer à nos joueurs que leur carrière est importante mais c’est surtout en équipe, en club que l’on gagne. Je ne vais pas dire que l’on est une famille car ce sont des valeurs qui peuvent apparaitre désuètes aujourd’hui, malgré tout on essaie d’avoir des valeurs fortes. La devise « Institution de football » le montre bien : il y a les professionnels, la partie visible de l’iceberg, mais il y a surtout tout un club derrière. »
« Que la fameuse institution soit plus forte que tout le monde est un principe fondamental chez nous»
Au-delà de ce slogan, quels sont les projets entamés dans l’extrasportif pour dynamiser le club ?
« Le club continue de grandir. L’année dernière, nous avons pris nos quartiers dans de nouvelles installations que l’on va inaugurer prochainement. On travaille également main dans la main avec l’équipe municipale pour essayer d’améliorer le Stade Auguste Delaune. Si c’est une belle enceinte, la durée et les différentes étapes des travaux font que le stade n’est pas totalement fonctionnel comme peut l’être une arène moderne. On essaie toutefois de développer ce beau stade en ville : le club a lui-même investi dans le contrôle d’accès, il y a une saison déjà. On travaille aujourd’hui sur le chartage de Delaune, l’objectif étant que nos supporters et nos spectateurs vivent un moment fort. Les mettre dans les meilleures conditions est notre priorité. Il y avait par exemple un problème d’accessibilité : on travaille en ce moment avec la Mairie pour une ouverture de la chaussée Bocquaine. On a également remodelé la billetterie. Même si tout changement apporte son lot de mécontentements, la redéfinition des tribunes apparait comme un levier pour créer une ambiance plus chaleureuse, plus festive à Delaune.
Pour finir, quel souhait formuleriez-vous pour la saison à venir ?
« Pour l’ensemble du club, c’est continuer à grandir. On ne l’a pas assez dit mais le Stade de Reims est un club sain, économiquement parlant. C’est un élément qui est essentiel : on n’est pas à se morfondre à l’intersaison pour savoir dans quelle division on évoluera... L’objectif est de continuer cette gestion et sur ce point on peut nous faire confiance! Le cap, c’est aussi progresser. C’est un peu ma façon de regarder la vie : dire on était là en telle année, on est là aujourd’hui. Quand je regarde où était le club il y a dix ans, cinq ans auparavant, on réalise que le Stade de Reims dans toutes ses composantes a grandi. On l’a dit : il y a des résultats d’équipe qui sont très encourageants. Désormais l’axe de progression est que l’équipe première obtienne des résultats plus en adéquation avec la qualité de son effectif. Je pense que la première partie du classement est un objectif réaliste. »
Vous ne parlez pas de parcours en coupe ?
« J’en parle tous les ans parce que c’est un vieux rêve de supporter -pas de Président- d’avoir un jour la moitié du Stade de France en rouge et blanc. J’en rêve en permanence... Cette année, j’ai décidé de ne pas l’aborder dans mon discours d’avant saison avec les joueurs, par superstition. Comme toutes les saisons je dis « Messieurs, ce serait bien de faire un beau parcours en coupe » et que finalement ça ne se passe pas comme prévu, cette année j’ai décidé de ne pas l'évoquer. Mais attention, si je n'en parle pas, j'y pense toujours autant! »
SdR. Mandi n'ira pas à la Roma
À la recherche de défenseurs latéraux, Rudi Garcia aurait décidé de prospecter en France. Selon les médias italiens, l’entraîneur romain aurait ainsi marqué un intérêt pour Aïssa Mandi. L’international algérien ne rejoindra pourtant pas le 2e du dernier championnat d’Italie, derrière la Juventus. « C’est de l’intox », confirme Jean-Pierre Caillot, le président du Stade. « Aïssa Mandi jouera en défense centrale à Reims la saison prochaine. »
SdR. Placide attendu le dernier
Si les internationaux (Conté, Mandi, Oniangué, Fortes, Moukandjo) sont attendus entre le 6 et le 9 juillet, Johny Placide, qui dispute la Gold Cup avec la sélection haïtienne (7-26 juillet) sera le dernier à retrouver le groupe rémois.
Le Stade de Reims reprend le chemin de l'entraînement
Après une batterie de tests médicaux en fin de semaine dernière, les joueurs du Stade de Reims ont retrouvé ce lundi le chemin de l’entraînement.
La nouvelle recrue Grégoire Amiot, défenseur évoluant la saison dernière en CFA avec Toulouse. Gaetan Courtet a lui pris la direction d’Auxerre (L2)... Pour l’instant c’est tout... Le Belge Guillaume Gillet a donné un accord de principe, mais n’a toujours pas signé. Il est attendu dans les prochains jours.
Ne vous étonnez pas, six joueurs manquent à l’appel (Mandi, Moukandjo, Fortes, Conte, Oniangué et Placide). Ils sont actuellement retenus en sélection et devraient faire leur retour dans quelques jours.
Grejohn Kyei jusqu’en 2019 !
Le jeune (20 ans) et puissant attaquant du Stade de Reims prolonge l'aventure avec le Stade de Reims. Engagé jusqu'en 2019, le prometteur buteur débute la préparation avec le plein de confiance. Interview...
Grejohn, tu viens de parapher un nouveau contrat avec le club. Quel est ton sentiment ?
« Très heureux. C’est un plaisir de prolonger avec mon club formateur. Ce contrat montre que le club a confiance en moi. Ça me donne envie d’aller encore plus loin et rendre la confiance que le Stade de Reims me témoigne. »
Quel est ton meilleur souvenir avec les pros ?
« Le but contre Rennes ! C’est mon premier avec les professionnels, je sortais en plus d’une longue période de suspension, forcément ça marque. Surtout que ce but permet de ramener l’équipe à égalité. J’ai eu beaucoup d’émotion. Contre Paris, même si c’est au Parc des Princes, c’est un souvenir plus mitigé puisqu’on perdait et que ce but a finalement juste réduit le score. »
"Je reste toujours le petit jeune mais désormais j'ai pris mes marques"
Comment te sens-tu dans l’effectif ?
« Je me sens très à l’aise. Je reste toujours le petit jeune mais désormais j’ai pris mes marques, je connais tout le monde et je discute un peu avec tous les joueurs. J’apprends beaucoup sur les déplacements, la manière dont les joueurs expérimentés défendent. J’échange pas mal avec Charbo (Gaëtan Charbonnier), Mohamed Fofana et Greg Bourillon. Ils me donnent pas mal de conseils. »
Enfin, as-tu un objectif cette saison ?
« Faire un maximum de matchs et marquer beaucoup de buts. Je ne me suis pas fixé un objectif particulier mais j’aimerais marquer plein de buts ! »
Guillaume Gillet s'éloigne du Stade de Reims
Viendra ? Viendra pas ? Le belge Guillaume Gillet n’a toujours pas signé son contrat avec le Stade de Reims. Son absence inquiète pendant que les spéculations vont bon train.
Guillaume Gillet viendra-t-il au Stade de Reims ? Le milieu de terrain belge devait être présenté lundi après-midi mais hier il n’était pas présent pour la reprise de l’entraînement. Alors que le club justifié ce retard par un simple contretemps, les rumeurs vont bon train dans les autres médias.
D’après un article paru ce matin dans Corse-Matin, le Belge « a préféré l’offre de Bastia (à celle de Reims). Reste maintenant à se mettre d’accord avec son club d’Anderlecht ».
Si le retour de Gillet à Bastia est encore hypothétique il pourrait également rester en Belgique dans son club. Il était d’ailleurs présent ce matin à l’entraînement des mauves.
Le Stade de Reims annonce que Gillet souhaite plus de temps pour réfléchir
Alors que les doutes sur la venue du milieu de terrain Guillaume Gillet au Stade de Reims sont de plus en plus persistants, le club a tenu à clarifier la situation dans un communiqué de presse :
Il rappelle qu’un accord « a été trouvé avec le club Anderlecht sur le montant du transfert » ainsi qu’un accord avec l’agent du joueur « sur les volets contractuels et salariaux du joueur ». Pour finir, le club explique que « le joueur a donné son accord de principe aux dirigeants du Stade de Reims et sa parole à l’entraîneur Olivier Guégan ».
Alors pourquoi autant de remous dans ce dossier ? « De retour de congés, Guillaume Gillet a émis le souhait de bénéficier d’un délai supplémentaire de réflexion. Fort des engagements noués, le club respecte la volonté du joueur et ne commentera en aucun cas d’éventuelles surenchères dont Guillaume Gillet pourrait faire l’objet. » clarifie le Stade de Reims.
Dans le même temps, la Direction nationale de contrôle de gestion (DNCG) a décidé de ne pas autoriser Bastia à évoluer en Ligue 1 la saison prochaine. Estimant que les garanties financières suffisantes n’ont pas été apportées par le club corse. Le club corse a bien sûr fait appel. Le retour de Guillaume Gillet en Corse ne devrait pas se faire.
Deux départs au Stade de Reims
Le club annonce le prêt pour la saison 2015-2016 de son latéral Christopher Glombard au Paris FC (Ligue 2). Ce prêt n’est pas assorti d’une option d’achat. Le Stade de Reims souhaite une bonne saison à son joueur qui a toujours fait preuve d’un très grand professionnalisme.
Par ailleurs, le Stade de Reims et le gardien Sacha Bastien ont mis un terme, à l’amiable, à leur collaboration. Le club souhaite le meilleur à son ancien numéro 40.
Les Phénix de Reims hockey) vers le dépôt de bilan
L’annonce a été faite par mail, hier. Les Phénix de Reims vont entamer, dans les prochains jours, une procédure de dépôt de bilan devant le tribunal de commerce. Ce sera le point essentiel de la réunion interne programmée ce matin.
Vendredi, une délégation du club a été reçue en mairie. Quelques heures avant d’apprendre que la commission du contrôle de gestion (CNSCG), le gendarme financier de la Fédération, n’autorisait pas le demi-finaliste du dernier exercice à s’inscrire en Division 1 pour la saison 2015-2016. Qu’est-il ressorti de la discussion avec les élus ?
« Rien de nouveau, explique Bernard Landureau, l’adjoint aux Sports. Nous leur avons répété que la ville ne pouvait plus cautionner une gestion déficitaire, ni apporter une aide financière, sous peine d’être sanctionné pour subvention abusive ». Bref, la position municipale n’a pas varié. « La situation est compliquée et le club vit une saison difficile, reconnaît l’élu, les dirigeants sont rattrapés par la réalité des chiffres et se rendent compte qu’il est impossible de fonctionner avec un tel trou ».
Si aucun chiffre n’a été lâché, on parle d’un déficit avoisinant les 400 000 euros…
« Nous nous sommes quittés en ayant décidé de rédiger un communiqué commun », poursuit Bernard Landureau. Engageant sans doute les parties à faire face à leurs responsabilités.
Ce samedi matin, les dirigeants rémois devraient informer les membres du club de leur décision. Dépôt de bilan ne signifiant pas arrêt des activités.
Dépôt de bilan confirmé pour les Phénix de Reims
Annoncé par la fédération hier, le Reims Champagne Hockey officialise la décision rendue par la CNSCG qui lui voit refuser l’accès des Phénix à la Division 1 pour la saison prochaine.
En effet malgré les efforts de rationalisation des dépenses au cours des deux dernières années, et après la prise d’une décision crêve cœur par le Conseil d’administration qui visait à maintenir la structure en supprimant une catégorie, l’organe fédéral a pris la décision de stopper la participation des Phénix en Division 1 au terme d’une saison sportive 14/15 pourtant réussie.
Face à cette décision, le conseil d’administration a pris la décision de déposer le bilan étant donné que le seul plan de désendettement viable pour le RCH était lié à une participation en Division 1.
Confronté à cette décision difficile, les dirigeants en place auront malgré tout fait tout ce qu’ils ont pu pour préserver la structure en place.
En parallèle de cette prise de décision, une concertation avec la municipalité a été opérée, de cette réunion en est ressortie une volonté commune de perpétuer l’activité du hockey sur glace dans la ville Rémoise et ce dés le mois de Septembre.
Ainsi les licenciés du RCH seront conviés à une réunion au cours de la semaine pour envisager un après RCH.
En déficit de près de 350.000 euros, le club n’a donc pas été autorisé à s’inscrire de nouveau en Division 1 par la Commission Nationale de Suivi et de Contrôle de Gestion. Un nouveau club de RCH pourrait donc voir le jour dès la prochaine saison avec nouvelle équipe en Division 3…
Guégan évoque ses débuts d'entraîneur
En sortant Reims d'une situation très compliquée, Olivier Guégan a gagné le droit de poursuivre l'aventure aux commandes de l'équipe. Pour Football365, l'entraîneur rémois évoque ce sauvetage et se projette sur cette nouvelle saison.
Olivier Guégan, pour vous qui aviez longtemps été adjoint, entamer la saison dans la peau de l’entraîneur principal présente-t-il un caractère particulier ?
Quand tu prends une équipe en difficulté, et même si je connaissais bien la maison, ce n’est pas pareil que quand tu entames une saison. L’année dernière, on était dans l’urgence, parce qu’on était en crise de résultats. Et là, on a l’opportunité de créer quelque chose : un projet de jeu, un état d’esprit… Tout le monde repart sur un même pied d’égalité, il y a quelque chose de très positif à faire. Est-ce que c’est différent ? Oui, bien sûr. Quand tu es numéro un, tu es décisionnaire.
Avez-vous eu réellement le temps d’apprécier cette mission que vous aviez menée à bien lors du dernier exercice ?
Non, ça va très vite. Le football est ainsi fait : c’est un éternel et un perpétuel recommencement. Quand la saison est lancée, tu passes un examen tous les week-ends. Là, l’intersaison est passée très vite. J’ai eu le temps de récupérer une petite dizaine de jours et j’ai replongé dedans. Franchement, je n’ai pas eu le temps de me gargariser de cette situation. Mon contrat ? Je ne me suis pas projeté plus loin que l’objectif de fin de saison, qui était le maintien. Et après, ça s’est fait naturellement. On a prouvé aux dirigeants qu’on avait la capacité et la pointure pour emmener ce groupe. Ils me l’ont annoncé dans les jours qui ont suivi le match du maintien contre Rennes. Cela faisait cinq ans et des poussières que je faisais ce métier-là, et c’est vrai que j’avais l’ambition d’être numéro un. Ça s’est fait naturellement. Maintenant, le plus dur commence et les maux de tête aussi. Mais on est préparé, il n’y a pas de souci.
Qu’attendez-vous de cette saison ?
J’ai un groupe de qualité, de bons mecs. J’ai beaucoup d’ambition. Après, le dire, c’est bien, mais le prouver au quotidien, c’est autre chose. On ne se met pas de barrière. On était huitièmes à la trêve hivernale l’année dernière, ce qui n’est pas anecdotique pour notre équipe. Notre place se situe entre la huitième et la douzième ou quatorzième place. J’attends surtout de prendre du plaisir, de ne pas avoir de regrets, et aussi de jouer. Car il y a de la qualité, et si on met tous ces ingrédients-là, il y aura de bonnes choses à l’arrivée. Sans un état d’esprit irréprochable, sans exigence, sans ambition, sans travail, le talent ne suffit pas. Je serai très exigeant là-dessus, car, pour moi, l’équipe sera toujours plus forte que l’individu. L’individu a toute la latitude et la liberté de s’exprimer dans le collectif, mais avec un grand respect pour le collectif. C’est en gros l’idée que je veux faire passer aux joueurs. Ils sont sur la même longueur d’ondes.
Mohamed Fofana, de banni à leader
Sur quels axes de travail précisément aviez-vous mis l’accent lorsque vous aviez repris l’équipe en avril dernier ?
L’état d’esprit se détériorait un peu. Ça travaillait, mais ça s’effilochait au fur et à mesure que l’on arrivait sur la fin. Il a fallu remettre une assise, car on avait pris beaucoup trop de buts. Et il fallait rassurer tout le monde sur l’aspect défensif. On a été exigeants sur l’animation défensive, le travail en équipe, l’importance de rester équilibré et de mettre beaucoup plus d’agressivité. Les joueurs ont adhéré et ont mis du cœur et de l’exigence. On a mis un axe de travail en place, il va falloir s’y maintenir et s’améliorer dans l’animation offensive.
Vous dites que les joueurs ont adhéré. Comment avez-vous fonctionné avec ceux qui étaient susceptibles de moins adhérer que d’autres ?
Il y avait forcément des déçus et des états d’âme. On a combattu ça au quotidien sur la fin de l’année, mais c’est le lot des équipes qui sont en difficulté. On savait que dès qu’on allait enclencher deux résultats, ça allait nous sourire. Dès que ça doute, qu’on est moins dans le travail et l’exigence, on le paie cash. Mais ça vaut pour le sport de haut niveau en général. C’était l’institution qui était en danger, leurs contrats et leurs carrières aussi, car une descente, ça fait des dégâts à tous les étages. Il fallait que l’équipe en prenne conscience, et ça a été le cas. On a remis dans le bain un garçon comme (Mohamed) Fofana, qui ne jouait plus du tout. Et ça a été un moment très positif de cette fin de saison, puisqu’il a été un leader.
Avez-vous l’intention de conserver le système en 4-1-4-1 dans lequel votre équipe a le plus souvent évolué en fin de saison dernière ?
Non, mais je voulais sécuriser la défense, qui était un peu esseulée. Il me fallait un joueur devant la défense qui permette de faire un peu pare-feu. Et on avait laissé une liberté totale à nos attaquants. Par contre, je voulais que le premier rideau défensif soit très fort. Mais cela ne veut pas dire qu’on jouera toute l’année comme ça.
Comment aviez-vous vécu le fait de succéder à Jean-Luc Vasseur ?
Entre lui et moi, ça se passait très bien. Après, il y avait des problèmes avec l’effectif, et les joueurs étaient entrés dans la faille et il y avait un besoin de resserrer tout ça. Les joueurs n’adhéraient plus du tout et il fallait faire quelque chose. Nous, le staff, avions toujours été très professionnels et avions toujours appuyé l’entraîneur qui était en place. Après, c’est la loi du milieu qui est comme ça. Moi, je m’y suis préparé aussi, car je sais qu’une carrière n’est pas linéaire et qu’il y aura forcément des moments difficiles.
Guégan : « Un seul objectif : le match du 8 août contre Bordeaux »
Par la suite, Jean-Luc Vasseur avait regretté qu’on lui ait savonné la planche…
Oui. Après, ça, c’est sa vérité. Il essaye aussi de pouvoir rebondir derrière. Moi, je sais qu’on était toujours très fidèles et très droits. Ce qui ne nous empêchait pas de nous dire les choses entre quatre murs. Mais ça n’a jamais transpiré à l’extérieur. Là-dessus, on peut se regarder dans une glace, il n’y a aucun souci. Difficile ? Non, ce n’est que sa vérité. Moi, en interne, je sais comment ça s’est passé et ce qu’il s’est passé. Mais c’était très mal engagé et on a réussi à redresser la barre et on a une saison très intéressante à préparer, donc on regarde devant, pas derrière. Est-ce que j’ai découvert des choses ? Non. Je baigne dedans depuis tout petit, je n’ai rien découvert. Après, sans vouloir jouer les anciens combattants, les joueurs sont peut-être plus individualistes maintenant. Il faut faire attention à ça. Mais si les joueurs qui ont du talent arrivent à fédérer un état d’esprit, ils feront de grandes choses, mais ensemble.
Après cette opération maintien convaincante de l’année passée, vous qui n’avez jamais fait l’unanimité au club, avez-vous senti que vos détracteurs étaient moins nombreux ?
Je ne sais pas. Mais franchement, je ne le vis pas comme ça. Je sais que dans le football, c’est impossible de plaire à tout le monde. J’ai une ligne de conduite qui est ce qu’elle est et je suis capable de dire les choses, même quand elles ne font pas plaisir. Mais c’est toujours dans l’intérêt du club, car je suis quelqu’un de fidèle. J’ai fait huit ans à Angers, cinq ans à Brest et là, j’attaque ma sixième année à Reims. Donc si j’étais quelqu’un de pas bien… J’espère que j’ai un peu de compétence aussi. Non, mais j’arrive à faire abstraction de ça. Moi, ce qui m’intéresse, c’est l’équipe, le groupe, le club, et qu’on donne une bonne image et qu’on forme une famille.
Quelles sont les valeurs essentielles à avoir pour un footballeur, selon vous ?
L’état d’esprit au quotidien est indispensable, tout comme la remise en question et l’envie de progresser, car on progresse à tout âge. C’est une force pour un joueur. En ayant cet état d’esprit, des joueurs de grande qualité peuvent nourrir des ambitions. C’est le message que j’essaye de faire passer à mes joueurs : qu’ils soient ambitieux, ne se mettent pas de barrière, viennent le matin avec la banane pour avoir envie de faire le plus beau métier du monde. En ayant bien sûr de l’exigence et l’envie de manger tout ça. L’hygiène de vie ? Oui, mais ça, c’est le bagage de tout footballeur. Si tu n’as pas ça, tu ne dures pas dans ce métier. Il y a des périodes où il faut relâcher la bride, et j’espère qu’ils l’ont fait pendant les vacances, parce que c’est indispensable. Mais depuis la reprise, on est en mode préparation avec un seul objectif : le match du 8 (août) contre Bordeaux, avec l’envie de faire une bonne saison.
SdR. Longue absence pour Diego?
Se plaignant de son genou depuis la fin de la saison dernière, Diego Rigonato est à l’arrêt. Le Brésilien souffre encore de son tendon rotulien opéré en mai 2013. Un point médical sera effectué ce lundi. Si la solution de l’infiltration est privilégiée, le meilleur passeur stadiste pourrait être absent plusieurs semaines.
SdR. Une piste argentine au milieu
Le Stade de Reims ne reste pas les pieds dans les mêmes crampons. À peine la piste Gillet éteinte, le club s’est mis en quête d’un milieu de terrain de bon niveau. Olivier Guégan a sollicité son réseau italien pour dénicher un jeune argentin qu’il pourrait accueillir sous la forme d’un prêt avec option d’achat. Échaudé par le dossier Gillet, le coach champenois ne dévoilera l’identité de sa recrue que lorsqu’il aura l’assurance de son engagement.
Florent Ghisolfi : « Créer un groupe qui partage des valeurs»
Florent Ghisolfi : « Créer un groupe qui partage des valeurs»
Un groupe bâti pour la saison prochaine, c’est avec le sentiment du travail accompli que Florent Ghisolfi part en vacances. Avec la D2 toujours en ligne mire…
Le mercato des féminines est terminé, comment s’est-il déroulé ?
« La grosse satisfaction de cette intersaison a été tout d’abord de conserver nos joueuses majeures. L’effectif était très jeune cette saison mais avec énormément de qualité et de potentiel. Cependant, je n’oublie pas que nous avons fini la saison avec 13 joueuses valides… Se renforcer pour relever le défi du maintien en D2 était donc indispensable, sachant qu’il y aura 6 descentes dans notre poule de 12 équipes… »
Quel est le profil des recrues ?
« Le dénominateur commun, c’est l’état d’esprit. Je veux créer un groupe qui partage des valeurs. Ensuite, sur le plan sportif, la volonté était d’unir des éléments d’expérience et des jeunes joueuses prometteuses. C’est ce que nous avons fait. Nous apportons aussi de la taille puisque 4 joueuses sur les 7 recrues mesurent plus de 1m70, ce qui est prépondérant dans le jeu et les phases arrêtées à ce niveau-là. »
« On reste sur une saison historique pour le football en Champagne-Ardenne »
À quelle date est fixée la reprise ?
« Elle se fera le 3 août avec une première semaine d’intégration, puis nous débuterons le travail foncier. La préparation durera 5 semaines et sera rythmée par 3 matchs amicaux. Le Standard de Liège (D1 belge), l’Union Saint-Ghislain Tertre Hautrage (D1 belge) et Le Mans (D2) seront nos adversaires. Le but c’est de monter en puissance avant la reprise du championnat programmée le 6 septembre. »
Le football féminin suscite un intérêt croissant à Reims, le ressens-tu ?
« Oui, on reste sur une saison historique pour le football en Champagne-Ardenne avec cette montée en D2 et bien évidemment l’annonce de la Coupe du Monde féminines en France et à Reims. Sans oublier la victoire de la sélection Champagne-Ardenne U15 en Coupe nationale. On a ressenti beaucoup d’énergie positive et d’engouement autour de l’équipe cette saison. Aujourd’hui, on me parle plus de football féminin que de ma carrière de joueur! C’est bon signe pour le projet mis en place par le Stade de Reims. Autre satisfaction l’accès aux matchs à domicile sera toujours gratuit la saison prochaine. Nous allons montrer que Reims est aussi une terre de football féminin et faire de chaque match une belle fête ! »
Présentation des nouvelles recrues par le coach
Camille Lewandoski : « Joueuse offensive de 25 ans qui évoluait à Hénin-Beaumont. C’est une joueuse très complète, elle a les 2 pieds, un gabarit intéressant et apporte à la fois dans la construction et la finition. Elle a d’ailleurs terminé deuxième meilleur buteur de D2 la saison passée avec 22 buts ».
Alexandra Banner : « Milieu offensive gauche de 26 ans en provenance également d’Hénin-Beaumont. Alexandra est une joueuse de grande expérience avec plus de 100 matchs en D1. Elle sort d’une saison très intéressante au cours de laquelle elle a inscrit 19 buts en D2. Un super pied gauche, passeuse et finisseuse ».
Lucie Gatto : « C’est un cas particulier. Elle a arrêté de jouer pendant quatre saisons. Auparavant elle avait évolué à Dijon, l’ESTAC et Saint-Memmie. C’est également une ancienne internationale U17 et U19 France. Lucie est polyvalente dans le couloir droit, à 26 ans elle est motivée à l’idée de retrouver le terrain et ses sensations à ce niveau-là. Elle peut nous apporter sa fraicheur, sa maturité et son expérience».
Eden Caye : « Une joueuse de 25 ans que j’avais souhaité recruter déjà l’an dernier. Elle évoluait à Saint Dizier en DH après avoir évolué à Nancy. Eden est une défenseur polyvalente, très athlétique de par sa taille et son engagement. Son état d’esprit sera une plus-value pour le collectif ».
Charlotte Rebours : « Une jeune joueuse de 16 ans qui s’inscrit dans une logique de progression en nous rejoignant pour la D2. Cette arrière gauche qui s’entrainera la semaine au pôle espoir de Liévin évoluait précédemment à l’ESTAC. Elle est internationale française U16. Son potentiel et sa marge de progression sont énormes ».
Claire Jacob : « Une gardienne de 19 ans qui possède déjà une expérience de la Division 1 à Hénin-beaumont et Arras. Elle a été championne du monde avec l’équipe de France U17. Nous souhaitions, avec Thomas Trochut l’entraîneur des gardiens, avoir deux bonnes gardiennes, ce qui est indispensable pour aborder un tel championnat. Ce sera le cas avec Claire et Justine. Autre point positif nous rapatrions une joueuse issue de la région car Claire est originaire des Ardennes.. ».
Hélène Fercocq : « Une jeune milieu de terrain défensif de 17 ans. Elle évoluait à Saint-Maur la saison passée. C’est aussi encore une fierté d’accueillir chez nous une internationale française jeune. Elle est d’ailleurs actuellement à l’Euro U17 en Islande. Elle terminera cette saison sa troisième et dernière année au pole espoir féminin de l’INSEP ».
FOOTBALL (SdR). Zambo à l'essai à Valenciennes
Déjà apparu dans le groupe professionnel, le jeune milieu (19 ans) d’origine camerounaise Franck Zambo a été mis à l’essai ce lundi par Valenciennes (L2).