[CLUB] - STADE DE REIMS

[spoucknick00]

non faut juste etre realiste . C est pas mon genre de vendre du reve et tu le sais

[babar051]

SDR/PSG : Le groupe retenu
Le groupe rémois retenu pour la rencontre Stade de Reims – Paris-Saint-Germain :
Kossi Agassa - Johnny Placide - Mohamed Fofana - Franck Signorino - Grégory Bourillon - Antoine Devaux - Odaïr Fortes - Prince Oniangue - Eliran Atar - Gaëtan Charbonnier – Mads Albaek – Gaëtan Courtet – Bocundji Ca – Mickael Tacalfred – Aïssa Mandi – Omenuke M’Fulu – Christopher Glombard - Diego Rigonato

Absents : Antoine Conte – Sacha Bastien – Nicolas De Preville – Grejohn Kyei – Benjamin Moukandjo – Anthony Weber – Alexis Peuget – Yann Benedick – Atila Turan.

[PSGdu11]

non faut juste etre realiste . C est pas mon genre de vendre du reve et tu le sais

Tu ne crois pas en l'exploit ? mine de rien , ce match m'inquiète un peu : le coup de la panne au démarrage .... les rémois vont être surmotivés pour battre l'archi favori d'entrée .

[spoucknick00]

le coeur oui ... mais le coté realisme non . Ah un moment donner , faut etre realiste . (c est surtout qu on a pas de buteur qui m inquiete mais ça date pas d hier )

[babar051]

SDR - PSG : Le résumé
Pour son premier match officiel au Stade Auguste Delaune, le nouvel entraineur du Stade de Reims, Jean-Luc Vasseur a vécu, comme le public, une bien belle soirée. Peu de monde donnait cher de la peau du Stade de Reims face au Paris-Saint-Germain, mais les Rouge et Blanc ont prouvé leur force de caractère et leur solidarité pour accrocher un match nul (2-2) plein de promesses.


Pourtant le début de la rencontre ne laissait rien envisager de bon. Certes, l’envie de jouer des rémois était louable mais les approximations dans les enchaînements leur ont coûté cher. Dès la sixième minute, suite à un ballon perdu au milieu de terrain Javier Pastore lançait idéalement l’inévitable Ibrahimovic qui, plein de sang-froid, ajustait Placide (0-1, 6’). Malmenés dans le jeu, les rémois s’en remettaient à la maladresse parisienne et aux exploits de Johny Placide. Ibrahimovic trouvait le poteau (17’) et manquait un pénalty bien sorti par le portier Rouge et Blanc (20’).

Revenus de loin, c’est à partir de ce moment que les hommes de Jean-Luc Vasseur se mettaient à jouer et à y croire. Suite à un coup-franc côté gauche de Diego Rigonato, Prince O’Niangue reprenait à bout portant pour égaliser (1-1, 21’). Dix minutes plus tard, Antoine Devaux lançait une contre-attaque rapide. En combinant avec Gaëtan Charbonnier, il se retrouvait seul devant Sirigu et doublait la mise (2-1, 34’). Dix minutes magiques, un stade en folie et un score positif à la mi-temps.


Une égalisation mais une solidarité sans faille.


Au retour des vestiaires, on pouvait s’attendre à une réaction d’orgueil des parisiens, mais ce sont bien les rémois qui se montraient les premiers dangereux. Sur le côté gauche, Diego Rigonato armait une magnifique volée qui obligeait Salvatore Sirigu à une parade de grande classe. Bizarrement, c’est au moment où le PSG paraissait le moins bien qu’il parvenait à égaliser. Zlatan Ibrahimovic s’adjugeait un second doublé en deux matches (après ses deux buts lors du Trophée des Champions) et relançait ses coéquipiers (2-2, 62’).

La dernière demi-heure se résume à une possession du ballon sans partage des joueurs de la capitale. Mais la solidarité rémoise pour conserver ce score de parité était exemplaire, en empêchant les parisiens de se créer de réelles occasions mis à part deux sauvetages en fin de match, les stadistes ont montré de biens belles valeurs. Titulaires comme remplaçants ont montré à leur coach et au public qu’il faudrait compter sur le Stade de Reims cette saison. Et ce résultat face à l’ogre du championnat le prouve.

Merci au public d'être venu si nombreux, prochain match (2ème journée) à Saint-Etienne, dimanche 17 août à 17h. Et tous à Delaune le samedi 23 août à 20h avec la réception du Stade Malherbe de Caen (3ème journée) !


Stade Auguste Delaune : 18 540 spectateurs

Stade de Reims – Paris-Saint-Germain (Ligue 1 – 1ère journée) : 2-2 (MT : 2-1)

Compositions :
Stade de Reims : Placide - Mandi, Tacalfred, Bourillon, Signorino – Devaux, Albaek (Ca, 67’), O’Niangue – Fortès, Charbonnier (Courtet, 67’), Diego Rigonato (Glombard, 83’).
Paris-Saint-Germain : Sirigu - Van Der Wiel, Thiago Silva, Marquinhos, Digne – Lucas (Bahebeck, 71’), Motta, Verratti (Chantôme, 85’), Pastore – Cavani, Ibrahimovic.

Buteurs :
Stade de Reims : O’Niangue (21’), Devaux (34’).
Paris-Saint-Germain : Ibrahimovic (6’, 62’)

[babar051]

Placide: «Je l’ai joué à l’intox»
Le fait du match, c’est sans aucun doute ce penalty de Zlatan Ibrahimovic stoppé par le gardien Rémois Johny Placide.

Premier match, première titularisation de la saison, et match réussi pour la doublure de Kossi Agassa, Johny Placide. Son arrêt sur le penalty de Zlatan Ibrahimovic a permis de relancer les siens comme l’affirme le défenseur Franck Signorino.
Un fait de jeu qui fait sourire le gardien. « Je l’ai joué à l’intox, l’amener à droite un petit peu et quand il a baissé les yeux, je suis parti à gauche. Ça m’a réussi », déclarait Johny Placide à la fin de la rencontre.
« Je pense que ça peut lancer une saison et c’est bien de commencer comme ça », affirmait Gaëtan Courtet.
Le match nul satisfait les Rémois, beaucoup moins les Parisiens qui l’ont en travers de la gorge. Laurent Blanc, le premier, qui a assuré que son équipe avait mieux joué et qu’elle méritait de l’emporter. L’attaquant vedette Zlatan Ibrahimovic ensuite : « Après 20 minutes, il aurait dû y avoir 4-0 mais au lieu de ça, il y avait 2-1 pour eux. Et là, ça, c’est compliqué et la pression était sur nous et à la fin, ça s’est fini par un match nul 2-2. »
Et de conclure, « mais moi, je ne me suis jamais senti aussi bien ».

Reims - PSG : Charbonnier-Devaux, un duo gagnant
Le PSG ne gagne jamais ses matches d’ouverture. Vendredi, sous la pluie champenoise, un séduisant Stade de Reims l’a aidé à cultiver cette tradition.

En détournant le penalty d’Ibra, Jonhy Placide a permis à son équipe de rester dans le match, et de croire en son destin.


À la peine lors de ses matches de préparation (4 nuls, 2 défaites), le Stade de Reims s’est montré à la hauteur de l’événement. Lui qui n’avait gagné qu’un seul de ses onze derniers matches en L1, a accroché avec courage un adversaire au budget 15 fois supérieur au sien.

Mickaël Tacalfred et ses partenaires se souviendront forcément de ce point chipé au champion. Il en vaut peut-être trois.

LA PHYSIONOMIE
Un 4-5-1 pour contrer l’implacable 4-3-3 parisien: Jean-Luc Vasseur avait décidé d’attendre le champion. Mais en laissant le ballon au PSG, le Stade s’exposait à un danger offensif. Pastore allait profiter d’une erreur d’Albæk pour offrir le premier but de la saison au meilleur réalisateur 2013/2014, Ibrahimovic. Ce même Zlatan voyait son penalty généreusement accordé pour une soi-disant faute de Tacalfred (20e) détourné par Placide.
Le jeu en mouvement des Rémois perturbait le bel ordonnancement parisien. L’égalisation signée Oniangué et le magnifique mouvement conclu par Devaux plaçaient même Reims en tête à la pause.
Le rouleau-compresseur parisien se mettait en marche dès la reprise. Reims pliait sans vraiment rompre. Comme souvent, le champion s’en remettait à son druide suédois pour retrouver ses esprits. Mais cette fois, le doublé d’«Ibra» n’offrait qu’un tout petit point au PSG.

LE TOURNANT
Incontestablement, le penalty parisien détourné par Placide (20e). Déjà, il n’y avait pas faute, Tacalfred retenant volontairement son tacle devant Ibrahimovic. Comme face à Guingamp lors du Trophée des champions, Zlatan avait là l’occasion de doubler la mise et d’enterrer, certainement, les minces espoirs rémois.

ON A AIME
La relation entre Charbonnier et Devaux. Le premier, dans un rôle de fixateur-remiseur, posa de sérieux problèmes à l’axe central du PSG. Le second, s’appuyant sur une technique irréprochable, se comporta en véritable leader technique de son équipe. Efficace dans son jeu de passes et ses transmissions, l’ancien Toulousain, toujours buteur dans les grandes soirées, y associa un impressionnant volume de jeu.

ON N’A PAS AIME
L’attitude agaçante de l’ex-«meilleur défenseur du monde», Thiago Silva. D’une étonnante fébrilité en première mi-temps, il a largement été dominé par Charbonnier, plus présent dans l’engagement. Visiblement pas dans son assiette, le capitaine déchu de la Seleção se fit remarquer par ses gestes d’énervement envers ses coéquipiers et ses adversaires. Camara, à son aise en Chine, n’aurait-il pas mérité sa chance?

[spoucknick00]

on voit que placide s entraine avec agassa

[PPDMdu29]

L’Union fait un compte-rendu de la soirée de vendredi aujourd’hui et le quotidien champenois rapporte quelques faits troublants.

Les supporteurs parisiens en déplacement ont visiblement été irréprochables, en plus de mettre l’ambiance pendant la rencontre, mais leur week-end n’a pas été de tout repos, à cause de quelques abrutis du coin.

« L’impressionnant dispositif de sécurité mis en place vendredi soir à l’occasion du match Reims-PSG – 220 policiers – a encore porté ses fruits. Aucun incident notable n’a été signalé avant et pendant la rencontre. Le seul « temps chaud » s’est produit après la rencontre, vers minuit, place d’Erlon, où une dizaine de supporters rémois sont allés au contact d’une dizaine de Parisiens repérés à hauteur de la rue de Chativesle alors qu’ils cherchaient un endroit où se restaurer. Les visiteurs n’avaient aucune envie d’en découdre. Ils ont continué leur chemin vers un fast-food récemment ouvert, sauf que les Rémois, très vindicatifs, leur ont couru derrière, distribuant coups de pied et coups de poing. La place d’Erlon – comme l’hypercentre d’ailleurs – était toujours étroitement surveillée par les policiers. Aussitôt, plusieurs équipages de la brigade canine, de la brigade anticriminalité et des personnels en tenue de la section d’intervention se sont interposés – avec gaz lacrymogène et « bâton de défense » tonfa – pour doucher l’ardeur des assaillants. Ces derniers n’ont pas insisté. Aucun blessé n’a été déploré, aucune plainte déposée. Chacun est ensuite reparti de son côté. Le reste de la nuit s’est écoulé tranquillement. Hélas, lors des matches, on trouve toujours une poignée d’excités pour perturber les autres spectateurs, comme ce groupe d’une quinzaine d’individus, en tribune Jonquet, qui s’est dirigé vers des supporters parisiens en hurlant « Dégage l’étranger ! », « On va te casser la gu…, te défoncer ! », au point d’effrayer une famille qui a préféré quitter le stade avec ses enfants dès la 35e minute.3

[PSGdu11]

Oh ? des agités du bocal à Reims ?

[babar051]

Reims, bien parti pour une bonne saison ?
SdR. En passant tout près d’un exploit vendredi sous l’orage face au favori parisien, le Stade de Reims s’est offert la possibilité de réussir une bonne saison.


Son résultat, très valorisant face à un adversaire hors norme à l’échelon hexagonal, tranchant avec les imperfections technico-tactiques relevées pendant la préparation, dégage l’horizon stadiste au moins jusqu’à dimanche prochain, 17 heures, au coup d’envoi de son premier déplacement de la saison, à Saint-Étienne.
Ce partage mérité de points avec les Galactiques qataris offre un peu de répit au nouvel entraîneur, Jean-Luc Vasseur, dont certains craignaient autant le manque d’expérience à ce niveau que le projet de jeu ambitieux qu’il souhaite réellement appliquer avec un effectif qui n’a que très peu bougé. Ainsi, « son bloc médian destiné à bloquer l’attaque parisienne », comme l’a révélé le stratège Prince Oniangué, fera sans doute des adeptes en L1.

Albæk en souffrance
Mais l’ancien coach cristolien a eu la lucidité de reconnaître que son équipe avait bénéficié d’une grande réussite pour mener à bien sa mission. Le Stade de Reims n’inscrira pas tous les week-ends deux buts sur ses trois seuls tirs cadrés, tout en permettant à son adversaire de manquer un penalty et de tirer sur le poteau. « C’était le moment de les prendre, a constaté un dirigeant. La semaine prochaine, ils seront au complet. »
Si Vasseur peut féliciter ses joueurs pour leur pragmatisme, leur abnégation et leur générosité, il mettra aussi sans doute l’accent sur la fébrilité constatée au cœur du jeu, notamment en début de match et durant la deuxième mi-temps.
Car, malgré une bonne entame, Reims a frisé la correctionnelle à cause d’une transmission approximative, illustrée par de nombreux ballons perdus dans l’axe, offrant ainsi de faciles et dangereux ballons d’attaque à Paris. Ainsi, Mads Albæk sembla perdu dans son rôle de sentinelle, manquant singulièrement de volume de jeu, de percussion et d’attention dans ce secteur sensible. Le deuxième point faible a été l’alignement de la défense, une carence autant liée à un défaut d’agressivité de l’international danois, largement dominé par un Pastore inspiré, qu’à un manque de complicité, fort compréhensible au demeurant, entre Mickaël Tacalfred et Grégory Bourillon. Sans la maladresse des attaquants adverses et le brio de Placide, l’addition aurait pu être très lourde.

« On aurait pu prendre une valise »
Au crédit du nouveau coach, le placement haut d’Antoine Devaux dans un secteur où le PSG fait souvent la différence avec son duo italien Thiago Motta – Verratti. Grâce à un jeu dépouillé et solide techniquement, mais aussi à un incroyable abattage, le Dieppois a su trouver en Gaëtan Charbonnier un précieux allié dans la construction du jeu. Combatif, disponible et collectif, « Charbo », auteur d’une passe décisive, se révéla peut-être à lui-même des aptitudes à évoluer en pointe.
« On a posé des problèmes aux Parisiens, reconnaissait Jean-Luc Vasseur. Malheureusement, ils égalisent au moment où ils étaient moins bien. On aurait aussi pu prendre une valise… »
Le technicien a aussi accueilli avec plaisir « ce brin de réussite, ce côté irrationnel » qui a permis à son équipe de s’en sortir sans dommages.

[spoucknick00]

Oh ? des agités du bocal à Reims ?

bah les parisiens n ont pas lieu d etre chez nous , je ne vois pas ou est le probleme perso

[PSGdu11]

les péquenots rémois , aussi . En même temps , à Reims , personne n'est le bienvenue , sauf dans son agglomération ( et encore ...) : philosophie spoucknikienne ...

[spoucknick00]

Oo si dans le coin , ça va de soit ... le 51 quoi , le reste c est des etrangers surtout les 75 et les 08

[babar051]

Programmation de la 3e journée de Ligue 1
Le Stade de Reims recevra le Stade Malherbe de Caen le samedi 23 août à 20h pour le compte de la 3ème journée de Ligue 1.

Pour le compte de la 4e journée de Ligue 1, le Stade de Reims se déplacera à lens le samedi 30 Août 2014 à 20h.
La rencontre sera à suivre en direct sur BeinSports 1 et BeinSports Max ainsi que sur nos réseaux sociaux officiels Facebook et Twitter.
Le Stade de Reims recevra le Stade Malherbe de Caen le samedi 23 août à 20h pour le compte de la 3ème journée de Ligue 1.

[babar051]

Stats LFP : Les gardiens du SDR à l'honneur !

Les statistiques de la 1ère journée de Ligue 1 diffusées par la LFP mettent en avant les gardiens du Stade de Reims :

« 3 des 4 derniers pénaltys arrêtés en ligue 1 l’ont été par un gardien du Stade de Reims. Avant la parade de Johny Placide face à Zlatan Ibrahimovic, Kossi Agassa avait réalisé deux arrêts face à l’ETG (04/05/201) et l’ACA (10/05/2014) »

Equipe Féminine : Jour de reprise !

L’équipe féminine sénior du Stade de Reims reprend l’entrainement aujourd’hui. Les 20 filles sélectionnées par l’entraineur, Florent Ghisolfi, seront présentes pour entamer leur préparation en vue de la reprise du championnat de DH de Champagne Ardenne à la mi-septembre.

Le premier match de préparation aura lieu le 31 août, à domicile face à Nancy.

[spoucknick00]

j ai vu la gueule des fille de reims ...oh mon dieux , j espere qu elles ne pense pas faire un calendrier sexy

[babar051]

Jean-Luc Vasseur : « La pression n’est pas bonne conseillère »
L’entraîneur du Stade de Reims affiche une sérénité à toute épreuve. Quelle est sa recette ?

Un premier match en Ligue 1, en plus contre le champion en titre, il y a de quoi ne pas en dormir de la nuit. Pourtant, ce n’est pas le genre de Jean-Luc Vasseur qui affiche toujours un grand sourire (même quand on le compare à James Blunt).
Certes, la pression est montée admet l’entraîneur du Stade de Reims mais c’est uniquement au cours du match qu’il la ressentie nous explique-t-il. Et au quotidien ? « Il y a des méthodes pour gérer la pression » et cette dernière « n’est pas bonne conseillère ». Alors Jean-Luc Vasseur passe outre.

« Si je commence à me prendre la tête, ça va être compliqué », ajoute le coach Rémois.
Et la suite ? « On est déjà en train de se projeter sur le futur et ce que l’on peut améliorer. »

« Elles ont une bonne technique »
Les filles pourront compter sur de jeunes supporters : les joueurs de foot du centre de formation. « Bien sûr qu’on ira les voir et les soutenir aux matches », lance Junior, « elles font partie de la famille du Stade de Reims. Après, il faut qu’elles fassent pareil de leur côté », ajoute-t-il malicieux.

« Leur entraînement est à peu près pareil que les nôtres avec de l’application, du sérieux et le même état d’esprit qu’on nous demande », constate Sylvestre.

« Certaines sont fortes, elles ont une bonne technique et représentent bien le foot, mais il y a encore du travail », observe Timothé, 14 ans.

Les filles qui font du foot semblent déjà avoir trouvé leur public à Reims.

Foot féminin: les préjugés ont la vie dure

L’équipe féminine du Stade de Reims a repris le chemin de l’entraînement. Avec elle, son lot d’interrogations sur les capacités des filles à tâter du ballon.

Évidemment, quand on dit foot féminin, on pense aux titres gagnés par l’équipe féminine de l’OL et à la réflexion stupide de l’un de ses dirigeants Bernard Lacombe : « Je ne parle pas de foot avec les femmes, c’est ma vision des choses. Qu’elles retournent à leurs casseroles. »

Laurent Blanc, en conférence de presse n’avait pas fait mieux quand la journaliste Johanna Franden -qui suit Zlatan Ibrahimovic pour le quotidien suédois Aftonbladet- l’avait interrogé sur son 4-4-2. « Une femme qui parle de tactique, c’est beau. C’est fantastique. Vous savez ce que ça veut dire, le 4-3-3 ? »

Interrogée sur le sujet, Julie Decaudain admet que ça n’a pas toujours été facile. « Il faut vraiment s’accrocher pour faire du foot quand on est une fille. Au début, ça allait mais quand on allait sur des plateaux où j’étais la seule fille, c’était dur. Je ne vais pas vous mentir, j’avais des réflexions. Après quand ils voyaient que la fille avait un certain niveau, ça se calmait. »
Julie n’a jamais lâché sa passion. D’ailleurs, elle entraîne les jeunes dans le district Aisne. « C’est mieux vu et c’est plus facile qu’avant. »

Bon, ok, il faut juste éviter de parler techniques avec les mecs… « Des fois, ce n’est pas évident. On le voit bien avec Corinne Diacre qui a repris une équipe de Ligue 2, il y a eu des bonnes réactions et d’autres un peu moins… »
Il y a encore du travail… Heureusement, l’optimise est de mise. Florent Ghisolfi y croit (et sa femme aussi). « À notre époque, on n’en est plus là, on est dans la tolérance, que ce soit au niveau de l’homosexualité ou de la mixité homme-femme. »

[babar051]

NOTRE DOSSIER. Une nouvelle aventure pour les filles du Stade de Reims
La reprise de l’entraînement des féminines du Stade de Reims s’est faite sous les yeux des familles des filles ainsi que des jeunes du centre de formation. C’était une grande première pour Florent Ghisolfi, leur entraîneur. Notre dossier.

Premier entraînement pour les féminines du Stade à Blériot
Vous pensiez que faire du foot quand on était une fille était une simple formalité ? Grossière erreur. Et ce n’est pas du côté phyisique que ça coince, mais du côté des infrastructres. En témoigne le parcours de Julie Decaudain, 28 ans, la plus âgée et la plus expérimentée des filles du Stade de Reims.

Passée par des équipes mixtes jusqu’à l’âge de 16 ans à Pouilly-sur-Serre « dans mon village », elle a ensuite joué à l’US Laon en DH pendant cinq ans, puis elle est partie pour Compiègne en D2 pendant trois ans « une très belle période » , elle a ensuite rejoint Arras en D2 avant de revenir à Saint-Quentin en DH, puis l’Amiens AC en D2 jusqu’au jour des détections au Stade de Reims.
«Quand on fait du foot féminin, on fait de la route. J’ai toujours fait une demi-heure, une heure de route pour aller m’entraîner trois fois par semaine», précise Julie.

La mère de Charlotte Noël, qui vise à terme l’équipe de France, approuve. « C’est compliqué », témoigne cette dernière venue assister à l’entraînement de sa fille. « Ça prend beaucoup de temps et beaucoup d’énergie. Quand on peut se faire remplacer sur son lieu de travail, ça va, on est là, sinon parfois elle sera là toute seule. On prend souvent nos véhicule personnels pour aller sur des tournois, ce sont des frais d’hôtels et puis il faut savoir que jusque là, les filles n’ont eu pas de subventions, donc on a dû se débrouiller tout seul pour avoir des fonds à droite à gauche. »

Premier match le 31 août
Les féminines du Stade de Reims seront divisées en trois catégories : U15, U17 et séniors. Les filles ont été recrutées après une phase de détection qui s'est déroulée début mai 2014.

Parents comme joueuses ont une envie commune : faire briller les couleurs du Stade de Reims version filles. De DH, l’objectif pour la fin de saison est de remporter le championnat et de monter en D2. Et ce n’est pas Florent Ghisolfi, leur entraîneur qui va les contredire, bien au contraire. « J’attends d’elles qu’elles soient exemplaires sur et en dehors du terrain." En attendant, les filles vont transpirer sur le terrain avec six semaines de préparation et un match amical prévu le 31 août.

[spoucknick00]

c est claire que le foot feminin a reims c est une grande premiere ... j imagine le recrutement

[babar051]

ASSE - SDR : Le groupe rémois
Jean-Luc Vasseur a retenu un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Saint-Etienne (2e journée de Ligue 1) ce dimanche à 17h :

Gardiens : Kossi Agassa, Johny Placide.
Défenseurs : Grégory Bourillon, Mohamed Fofana, Christopher Glombard, Aïssa Mandi, Omenuke M’Fulu, Franck Signorino, Mickaël Tacalfred.
Milieux : Mads Albaek, Bocundji Ca, Antoine Devaux, Prince Oniangué.
Attaquants : Eliran Atar, Gaëtan Charbonnier, Gaëtan Courtet, Benjamin Moukandjo, Diego Rigonato.

Absents : Sacha Bastien, Yann Benedick, Antoine Conte, Nicolas De Préville, Odaïr Fortes, Grejohn Kyei, Alexi Peuget, Atila Turan, Anthony Weber.

ASSE - SDR : Présentation
Après son match nul convaincant (2-2) face au Paris-Saint-Germain lors de la 1ère journée de Ligue 1, le Stade de Reims se déplace chez un autre cador du championnat, l’AS Saint-Etienne (Dimanche 17h). Un match compliqué pour les Rouge et Blanc. Forts d’une première victoire à l’extérieur à Guingamp (0-2), les stéphanois auront à cœur de confirmer dans un Stade Geoffroy-Guichard qui devrait afficher complet.


Les rémois abordent ce déplacement avec un certain niveau de confiance. Mais les joueurs comme leur entraineur restent lucides, tout n’a pas été parfait face au PSG. Gaëtan Charbonnier a tenu à le rappeler en début de semaine, « il y a des bonnes et des moins bonnes choses, on est encore en rodage, comme beaucoup d’équipes. Mais la solidarité du groupe permet de pallier les petites défaillances encore existantes ».

Jean-Luc Vasseur est du même avis, « il y a encore des améliorations à effectuer ». La vérité de la saison fait que les matches s’enchaînent et qu’il n’y a pas beaucoup de temps pour tergiverser. Face à Saint-Etienne, il sait très bien que ce sera « un match compliqué mais intéressant à jouer ». En somme un nouveau bon test pour les Rouge et Blanc qui se mesurent une deuxième fois de suite à une équipe prétendante au haut de tableau.


De leur côté, les stéphanois ont choisi de rester dans la continuité de leur très bonne saison dernière (4e). Un seul départ majeur, celui de Brandao à Bastia, et deux arrivées, Kevin Monnet-Paquet (FC Lorient) et Van Wolfswinkel (Norwich City).
Après un bon départ sur la pelouse de L’En Avant de Guingamp (0-2) et un doublé de Mevlut Erding, les hommes de Christophe Galtier n’auront rien d’autre à l’esprit que de confirmer devant leur public et dans un Stade Geoffroy-Guichard qui a fait peau neuve pendant l’intersaison.
Seule incertitude, la gestion d’un match de championnat à trois jours d’un déplacement en Turquie (face à Karabükspor) pour le tour préliminaire de l’Europa League. Une situation quelque peu nouvelle pour l’AS Saint-Etienne.


La saison dernière
Lors de la saison 2013/2014, le match aller avait déjà eu lieu au Stade Geoffroy-Guichard. Un souvenir que les rémois aimeraient bien oublier… Après avoir bien résisté pendant plus d’une heure de jeu, ils encaissaient 4 buts sur coup de pied arrêté dans les 20 dernières minutes.
AS Saint-Etienne – Stade de Reims : 4-0. Le résumé du match.

Au match retour, les Rouge et Blanc retenaient les leçons du match aller et bousculaient les stéphanois dans un Stade Auguste Delaune déchainé. 2 buts à 0 à la 50ème grâce à Gaëtan Charbonnier et Franck Signorino. Mais c’est un scénario tragique qui concluait la rencontre, Brandao réduisait la marque et François Clerc égalisait à la 91ème.
Stade de Reims – AS Saint-Etienne : 2-2. Le résumé du match.

[spoucknick00]

j ai la conference de presse de vasseur , le mec , il part deja battu ...sa veut tout dire

[spoucknick00]

bon reims n a pas fait un plis contre St Etienne , vivement le retour de notre vrais defense car ça commence a faire beaucoup 5 buts en 2 matchs , sa fait mal au cul . Meme si c etait le PQSG et St Etienne . Et vivement le retour de De Preville , l autre est certe utile pour crever les defenseur mais sans attaquant rapide derriere ça ne sert a rien

[babar051]

ASSE - SDR : Le résumé
Deuxième match de la saison et un premier déplacement difficile pour les rémois sur la pelouse de l’AS Saint-Etienne. Face à l’un des outsiders du championnat, les Rouge et Blanc ont tenu la cadence une mi-temps, se permettant même de mener au score à la pause grâce à un exploit de sa nouvelle recrue Benjamin Moukandjo. Mais la pression exercée par les hommes de Christophe Galtier en seconde période a fait flancher la bonne organisation défensive mise en place par Jean-Luc Vasseur.

Dès l’entame du match, les stéphanois attaquaient tambours battants. Kevin Monnet-Paquet et Max-Alain Gradel faisaient parler leur vitesse sur les côtés et causaient de gros problèmes à la défense rémoise (1’). Sur un corner frappé par le même Gradel, Benjamin Corgnet déviait le ballon sur le poteau de Kossi Agassa (3’). Après ce départ canon, le rythme perdait en intensité, les stéphanois maitrisaient le ballon tandis que les rémois choisissaient la contre-attaque pour se montrer dangereux.
En manque de solution en attaque, c’est sur un exploit personnel que les Rouge et Blanc ouvraient le score. Pour son premier match officiel avec les couleurs rémoises, Benjamin Moukandjo forçait le destin sur une action de grande classe. Parti du côté droit, il fixait trois joueurs stéphanois pour aller ajuster Ruffier d’une très belle frappe déviée par Loïc Perrin dans son but (0-1, 25’).
Sonnés, les hommes de Christophe Galtier tentaient de réagir sur coups de pied arrêtés mais Kossi Agassa restait vigilant. C’est même Gaëtan Charbonnier qui se créait la dernière occasion avec une superbe frappe bien détournée par Sébastien Ruffier.

Une deuxième mi-temps cauchemardesque !
Au retour des vestiaires, les stéphanois reprenaient leur domination en multipliant les débordements par les deux inévitables Monnet-Paquet et Gradel. A force de subir, les rémois craquaient à l’heure de jeu. Max-Alain Gradel plaçait un superbe coup-franc dans la lucarne de Kossi Agassa (1-1, 60’) avant que Kevin Monnet-Paquet ne double la mise de la tête dix minutes plus tard (2-1, 70’). Abattus les rémois ne parvenaient pas à réagir et c’est Mevlut Erding qui venait sceller le sort du match en reprenant une offrande de Romain Hamouma au second poteau (3-1, 80’).

Un score sévère pour les Rouge et Blanc qui avaient montré de belles choses en première mi-temps, beaucoup d’effort défensif et du réalisme offensif. Malheureusement, la seconde mi-temps a été plus difficile et la qualité des attaquants stéphanois a fait la différence.

Prochain match : Stade de Reims – SM Caen. Samedi 23 août au Stade Auguste Delaune (Ligue 1 – 3e journée).


Stade Geoffroy-Guichard
Arbitre : Antony Gautier
AS Saint-Etienne - Stade de Reims (Ligue 1 – 2ème journée) : 3-1 (MT 0-1)


Compositions :
AS Saint-Etienne : Ruffier, Brison, Sall, Perrin, Tabanou, Clément, Corgnet (Cohade, 74’), Lemoine, Gradel (Hamouma, 68’), Monnet-Paquet, Erding (van Wolfswinkel, 86’).
Stade de Reims : Agassa – Mandi, Tacalfred, Fofana, Signorino (Atar, 78’) – Devaux, Bourillon (Ca, 62 ‘), Oniangué – Moukandjo, Charbonnier, Diego Rigonato (Albaek, 85’).


Buteurs :
AS Saint-Etienne : Gradel (60’), Monnet-Paquet (70’), Erding (80’)
Stade de Reims : Perrin csc (25’)

[babar051]

Réaction de Jean-Luc Vasseur
Jean-Luc Vasseur :
Il faut féliciter l'équipe de Saint-Etienne qui nous a été supérieure dans tous les domaines. Elle a la capacité de posséder le ballon et de se projeter très vite vers l'avant. Nous jouions dans le Chaudron, avec quatre tribunes. A onze contre onze, c'était déjà très compliqué alors à douze contre onze avec ce public derrière, c'était encore plus compliqué. Nous sommes arrivés à la mi-temps avec un but chanceux. Nous avions eu le mérite de toujours y croire et nous sommes en capacité de toujours marquer. C'est positif. En seconde période, nous avons cédé. Il y a eu des changements pour Saint-Etienne sur lesquels nous n'avons pas la capacité de répondre. On a pensé que nous subirions un peu moins en seconde période et que nous pourrions réaliser un hold-up. Cela n'a pas été le cas.

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Reims tombe à la renverse
L’histoire est tenace. À la recherche d’un succès depuis près de 55 ans à Saint-Etienne, les Stadistes ont longtemps cru avoir vaincu la malédiction hier après-midi. Jusqu’à l’heure de jeu, ils ont effet entrevu les trois points. Las, ils se sont évaporés en l’espace de vingt minutes dans les méandres d’un Chaudron finalement toujours hostile aux Champenois (3-1), qui attendent désormais d’aborder, avec la réception de Caen samedi, un championnat censé mieux leur correspondre.

LA PHYSIONOMIE
Fâchés avec les déplacements, les Rémois ont concédé une septième défaite consécutive à l’extérieur. Elle ne s’est pourtant dessinée que dans la dernière demi-heure au plus fort de la poussée d’une formation forézienne désormais installée tout en haut du classement avant de débuter sa campagne européenne. Auparavant, Moukandjo a célébré sa première apparition officielle en Rouge et Blanc en contraignant Perrin à un but contre son camp. Un événement puisque Reims n’avait plus marqué depuis 569 minutes à Geoffroy-Guichard. Tout s’est gâté lorsque Bourillon a commis l’irréparable sur Gradel. L’attaquant ivoirien a trompé Agassa – redevenu titulaire – sur coup franc, initiant la révolte stéphanoise. Beaucoup plus approximatifs, les Stadistes ont encore cédé deux fois sur des buts de Monnet-Paquet et Erding, déjà auteur de trois réalisations en Ligue 1.

ON A AIMÉ
Dans une rencontre au cours de laquelle Jean-Luc Vasseur a regretté un manque d’audace, les prises d’initiatives de Diego et de Moukandjo ont alimenté les meilleures occasions rémoises. Mais pourquoi ont-elles été si rares face à des adversaires directs (Brison et Tabanou) qui ne sont pas des latéraux de formation ?

ON N’A PAS AIMÉ
Reims a certes affronté deux européens avec Paris SG et Saint-Etienne. Mais avec déjà cinq buts encaissés, sa défense ne donne pas encore suffisamment de garanties. Les dirigeants stadistes ne cachent pas d’ailleurs qu’ils sont à la recherche d’un renfort dans ce secteur de jeu.