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Stade de Reims: Les candidats sur le banc ne manquent pas

Après le départ d'Hubert Fournier pour l'Olympique lyonnais, le Stade de Reims reste, avec l’AS Monaco, la dernière équipe de Ligue 1 à ne pas savoir encore qui s’assiéra sur son banc de touche la saison prochaine.


Depuis l'officialisation du départ d'Hubert Fournier pour le banc lyonnais, le Stade de Reims a reçu "57 candidatures", précisent le président Jean-Pierre Caillot, "dont certaines improbables d'entraîneur internationaux, d'anciens sélectionneurs...". Mais "ni Hantz, ni Antonetti n'ont été contactés, assure le président, pour les autres cités (Roy, Vasseur) "il y a eu une première approche".
Pour écrire cette nouvelle page du Stade de Reims, le président veut "un choix collectif", pour lequel Laurent Bessière, le préparateur physique, et Alexandre Barbier, coordinateur sportif, auront leur mot à dire.
Ce matin, Le Parisien fait savoir que la piste menant au coach de Créteil Jean-Luc Vasseur s’est considérablement refroidie. "Le manque d’expérience" du technicien de 45 ans jouerait en effet en sa défaveur auprès de certains dirigeants champenois. Une rencontre entre Vasseur et l’état-major du club serait néanmoins prévue dans le courant de la semaine.
De leur côté, les supporters du Stade ont exprimé leur choix sur facebook et sur notre site internet en créant la page "Pétition pour que Hervé Renard entraine le Stade de Reims". Ce lundi matin, la page avait déjà récolté 2188 « J’aime ». Sur l'union vous êtiez plus de 45% a plébisicité l'ex-coach sochalien, devant l'improbable Carlos Bianchi (28%) et le revenant Luiz Fernandez (9.8%).

Caillot: «L’aventure continue»
Jean-Pierre Caillot, avec le recul, quel bilan tirez-vous de cette deuxième saison en L1 ?
Nos résultats, plutôt moyens en fin de parcours, ont laissé un goût amer et modifié la perception qu’on a de notre saison. On se classe 11e pour notre deuxième année en L1, c’est très satisfaisant comme l’a d’ailleurs souligné le monde du football. Nous terminons en tête du championnat des budgets moyens. L’équipe première n’est que la partie visible de l’iceberg, sur un plan global, avec les résultats des jeunes et cette fameuse finale en Coupe Gambardella, c’est l’ensemble du club qui a réussi sa saison, avec un léger bémol pour l’équipe de CFA2.
« La vie réserve des surprises auxquelles il faut savoir s’adapter »
Que retenez-vous de ces dix mois de compétition ?
Nous sommes toujours en période d’apprentissage. L’objectif ayant été rapidement atteint, on aurait dû, tout de suite, enchaîner sur un nouveau challenge. Les joueurs cadres l’ont d’ailleurs reconnu. Le dernier soir, le vestiaire était un peu triste, mais j’ai dit aux joueurs qu’on en tirera les bons enseignements. Comme lorsque nous sommes descendus en National, comme on l’a fait en Ligue 2, on ne commettra pas les mêmes erreurs.

Le Stade de Reims vient de vivre une folle semaine avec le départ de son entraîneur. Quel regard portez-vous sur ce remue-ménage ?
La vie réserve des surprises auxquelles il faut savoir s’adapter. Le Stade de Reims est l’un des rares clubs pros à ne pas connaître des problèmes sportifs et financiers. Il fallait bien un peu de piment pour agrémenter notre intersaison…
Il y a six mois, Hubert Fournier avait souhaité continuer l’aventure avec nous. Son adjoint avait même prolongé son contrat la semaine dernière. Tout semblait calé pour bien gérer l’intersaison, à un point qu’Hubert Fournier a expliqué à l’ensemble du club que ce qu’on lisait dans les journaux était erroné, qu’on allait poursuivre notre progression au sein de notre nouveau centre de vie. Après s’être rendu à un entretien avec le président de Lyon, tout s’est accéléré, mais pas dans le sens que l’on souhaitait.

Lui en voulez-vous pour cette volte-face ?
Hubert a fait du bon boulot ici, mais ce serait réducteur de penser que l’on doit au seul entraîneur l’évolution du club depuis plusieurs années. Quand il nous a dit que c’était très important pour lui, pour sa carrière, de rejoindre l’Olympique Lyonnais, les négociations ont abouti à son départ et à celui de Michel Audrain.
« Je suis de l’ancienne époque où la parole vaut signature »

Êtes-vous déçu que l’histoire se termine de cette façon ?
Je n’ai pas découvert à cette occasion que l’on ne vivait pas dans le monde des bisounours. Chaque club estime pouvoir agir comme bon lui semble. Il y a deux saisons, durant quinze semaines sans victoire, alors que les médias nationaux annonçaient tous les jours le limogeage de mon entraîneur, je n’ai jamais entamé la moindre discussion avec un autre coach. Je n’ai jamais cherché à le déstabiliser, je l’ai toujours soutenu quand il était dans le dur. Là, il a changé d’avis en deux jours. Je suis de l’ancienne époque où la parole vaut signature, mais plus rien ne m’étonne…

Quel profil aura son successeur ?
Au risque de choquer, je répète qu’un seul individu ne constitue pas la force de l’équipe. L’entraîneur reste un élément au sein d’un staff. Nous voulons un jeune coach, ouvert aux méthodes modernes, qui a le sens du management d’équipe. On veut quelqu’un qui saura s’accrocher à notre aventure, grandir avec nous pour un mandat de deux ans.
L’une de nos forces, c’est d’avoir pris des joueurs et des entraîneurs à un certain niveau et de les avoir fait progresser. Hubert Fournier s’est affirmé à Reims avant de partir à Lyon, mais lorsqu’on a parié sur lui, il n’avait pas de vécu en L2. Nous n’excluons pas la possibilité de répéter cette expérience.

Avez-vous arrêté votre choix ?
Nous avons reçu, à l’heure où je vous parle, cinquante-sept candidatures. Dont certaines improbables d’entraîneurs internationaux, d’anciens sélectionneurs… Le choix sera collectif, pas seulement de Didier Perrin et moi. Laurent Bessière (préparateur physique), Alexandre Barbier (coordinateur sportif) auront aussi leur mot à dire.

Ni Hantz, ni Antonetti n’ont été contactés. Pour les autres cités (Roy, Vasseur), il a eu une première approche.
Nous allons prendre notre temps. Il n’y a pas le feu au lac. La préparation était programmée. Dans une semaine, on en saura davantage.

Budget validé par la DNCG
Comme chaque année, les dirigeants du Stade de Reims ont été auditionnés par la DNCG (Direction Nationale du Contrôle de Gestion). Cette audition concernait la présentation des résultats attendus pour la saison écoulée (2013/2014), ainsi que le budget prévisionnel de la saison prochaine. C’est sans surprise, que la DNCG a annoncé qu’aucune mesure ne serait prise à l’encontre du club pour le budget de la saison 2014/2015.

Les U15 remportent la National'Cup !

La Préformation du Stade de Reims se distingue à nouveau. En effet, les U15 de Benjamin Bonnet ont remporté la première édition de la National'Cup, tournoi composé de 12 équipes telles que le Paris SG, Valenciennes, Tours, Créteil... Ils se sont imposés en finale face au Red Star (2-1).

T. de Toulon: L'équipe de France et Antoine Conte en finale !
L'équipe de France U20 et Antoine Conte ont battu ce soir le Portugal 2-1 lors du Tournoi de Toulon.
Le défenseur rémois était titulaire et capitaine. Félicitations Antoine !
Ils affronteront le Brésil en finale dimanche.

M.Tacalfred : ça démarre fort !

Quel regard portes-tu sur ce début de championnat ?
Cela démarre fort ! PSG puis Saint-Etienne, c'est bien, on rentre tout de suite dans le vif du sujet ! On reçoit le champion de France, c'est un beau challenge pour débuter la saison.
Il n'y a que le résultat qui nous dira si c'était ou pas le bon moment pour les jouer mais on peut espérer qu'avec la Coupe du Monde certains joueurs ne soient pas au top. Mais il faudra surtout se concentrer sur nous.
Il faudra être prêt car on connait l'importance du début de championnat pour ne pas galérer toute la saison.
On reçoit ensuite Caen puis on va à Lens, c'est pas trop mal pour débuter. Deux grosses affiches et deux promus. On sait à quoi s'attendre, il faudra bien travailler pendant la préparation.

spoucknick00 a écrit :J ai postuler. Il reflechise. Je coute pas chere et j ai pas beaucoup d exigeance. Juste virer charbonnier fauvergue. Pour ça que le choix est compliqué. J ai quasi les memes qualif que vasseur. Sa se joue avec hantz je pense lol

SdR (CFA2). Kyei suspendu à titre conservatoire
Exclu le samedi 24 mai lors du derby contre Sedan à Delaune (2-3), Grejohn Kyei ne connaît pas encore la durée de la peine qu’il devra purger. La commission de discipline de la Fédération française de football (FFF) a demandé un complément d’informations sur les circonstances de cette expulsion. En attendant, l’attaquant de Reims, qui vient de signer pro, est suspendu à titre conservatoire. Sans incidence directe pour l’instant puisque la saison est terminée mais le Stade doit s’attendre à une sanction ferme de son buteur.
Elle pourrait être lourde puisque le rapport de l’arbitre, Giovanni Richard, est sans appel. Il fait mention d’une bousculade sur officiel, de propos grossiers envers officiel, de difficultés à quitter le terrain et de propos blessants envers officiel. Seule circonstance atténuante, rarement retenue toutefois, le Rémois s’est emporté sur une égalisation contestée des Sedanais, consécutive à un coup franc joué sans que le ballon ne soit à l’arrêt.
Dans ce cas de figure, la suspension peut atteindre six mois, ce qui ferait de Kyei un joueur non-convocable avant fin novembre.

Le PSG d’entrée pour Reims
Le calendrier 2014-2015, que la LFP a dévoilé ce vendredi, a réservé une entrée de choix au Stade de Reims. Les Champenois inaugureront leur troisième saison d’affilée dans l’élite par un match de super-gala. Le vendredi 8 août à 21 heures, le stade Delaune accueillera le champion en titre, quart-de-finaliste de la Ligue des Champions, le Paris Saint-Germain.
« Comme je dis toujours, il faut bien les jouer un jour », avouait hier Jean-Pierre Caillot, dont le vœu de débuter à l’extérieur n’a pas été retenu. « Voilà qui devrait booster notre campagne d’abonnements, nous serons les premiers à défier les Galactiques parisiens. »
Même tonalité du côté de Didier Perrin, qui voit dans ce choc prématuré « l’espoir que le PSG ne sera sans doute pas encore prêt. On sera tout de suite dans le bain, poursuit-il, se rappelant de la réception de Marseille, il y a deux ans, « un match que nous avons été plus près de gagner que de perdre ».
Seul bémol : le match retour, le dernier de la saison, pouvant être décisif, « ce sera compliqué d’aller gagner à Paris si c’est nécessaire ».
Mickaël Tacalfred admet que cette affiche impose d’être au top d’entrée. « Ce ne sera pas une tâche facile face au champion sortant, qui vient encore de recruter une star ». Pour le capitaine rouge et blanc, il faudra « bien se préparer en juillet pour préserver nos chances, même si l’entame d’une saison recèle bien des mystères ».

Nouveau coach la semaine prochaine
Ce « big » match marquera aussi les débuts officiels du nouveau coach. Les dirigeants stadistes planchent toujours sur la question. « Une décision sera prise en fin de semaine prochaine », rassure Jean-Pierre Caillot.
Le dossier est d’autant plus important que le Stade de Reims ne s’attend pas à vivre une saison paisible. Le choix de l’entraîneur influencera forcément la construction d’un effectif qui a, malheureusement, montré certaines limites en fin de saison.

Reims : Krychowiak en Belgique pour 7 millions ?
Titulaire indiscutable au Stade de Reims, Grzegorz Krychowiak, à un an du terme de son contrat, pourrait quitter la Ligue 1 dès cet été. Selon sudinfo.be, le milieu de terrain de 24 ans est suivi de très près par le double champion de Belgique en titre, Anderlecht.

Problème, les dirigeants rémois aimeraient le vendre pas moins de 7 millions d'euros, alors que l'ancien club de l'international polonais, Bordeaux, devra toucher la moitié du montant du transfert. Pas sûr que le Sporting soit prêt à débourser autant.

Aissa Mandi participera à la Coupe du Monde !

Vahid Halilodzic, sélectionneur de l’Algérie, a tranché. La liste des 23 joueurs algériens qui participeront à la Coupe du monde au Brésil est désormais connue et Aissa Mandi en fait partie !

Le latéral droit rémois de 23 ans, formé au Stade de Reims, représentera fièrement les couleurs du Stade de Reims au Brésil.

Félicitations Aissa !

Le Stade de Reims va choisir
Les semaines se suivent et ne se ressemblent pas au Stade de Reims. Après avoir validé le départ de leur entraîneur, Hubert Fournier – qui s’est engagé pour deux ans plus une autre en option avec l’Olympique Lyonnais – les dirigeants rémois devraient annoncer, en fin de semaine, le nom du nouveau responsable technique.
À ce jour, même si un profil a été établi, aucune décision n’a été arrêtée. Pour la bonne raison que MM. Caillot et Perrin n’ont pas encore bouclé leurs entretiens avec la poignée de candidats retenus dans leur short-list après un large écrémage.

Santini, Scifo, Mozer...
La réflexion concerne non pas l’âge ou le degré de motivation des candidats, mais surtout sa faculté à s’engager dans un projet à moyen terme, n’incluant pas seulement les performances du groupe professionnel. « Avec l’intégration de notre nouveau centre d’entraînement et de formation, c’est un nouveau cycle qui débute au Stade de Reims », rappelait récemment Didier Perrin.
Pour Jean-Pierre Caillot, « la force du Stade de Reims c’est l’équipe et non pas les individualités. L’entraîneur n’est qu’un élément important au sein d’un staff technique ».

Si les CV de l’ancien sélectionneur Jacques Santini, de l’ancien défenseur central de Marseille, Carlos Mozer, de l’ex-coach d’Auxerre et de Charleroi, Enzo Scifo, n’ont pas été retenus, on se dirige vers un match à trois ou quatre. « Nos discussions vont nous permettre de trancher », avoue Didier Perrin.

De retour de vacances, le Cristolien Jean-Luc Vasseur va être auditionné. Premier nom sorti du chapeau rouge et blanc, il semble bénéficié d’un a priori favorable, sans pour autant faire l’unanimité. D’autant qu’il fait partie du « team Belhassem », du nom de l’agent de joueurs très présent au Stade de Reims (Barbier, Atar, Albaek, Conte). Comme le Niçois Éric Roy, sans club depuis son éviction de l’OGC Nice le 15 novembre 2011, remplacé par René Marsiglia, postulant lui aussi à la succession de Fournier.
Bien vu également, Frédéric Hantz, qui possède sans doute avec le préparateur physique Laurent Bessière, ruthinois comme lui, d’un avocat convaincant.

Devancé à Lyon (Fournier) et à Lorient (Ripoll), Hervé Renard, l’ex-coach sochalien qui rêve de Ligue 1, attend un signe du Stade de Reims. Sa réputation de « coach de coups » ne le place pas en tête des pronostics.

Hantz à Reims, ça brûle

Frédéric Hantz devrait rejoindre la Champagne. (L'Equipe)


Selon nos informations, Frédéric Hantz (48 ans) a toutes les chances de devenir le nouvel entraîneur du Stade de Reims. L'ancien technicien de Bastia (2010-2014), qui a visité le club champenois lundi, aurait donné son accord pour signer un contrat de deux ans, et viendrait épaulé par Réginald Ray (45 ans), qui était déjà son second en Corse. A moins que le technicien ne change d'avis d'ici là, les dirigeants du Stade de Reims souhaitent officialiser lundi la signature de Hantz, qui était en concurrence avec Jean-Luc Vasseur, le coach actuel de Créteil (L2), pour succéder à Hubert Fournier, parti à Lyon.
F.F

Le Stade de Reims populaire en Chine
Le Stade de Reims est le premier club de Ligue 1 a avoir instauré un partenariat avec les Chinois. L’émission "Enquêtes de foot" - diffusée sur Canal+ - revient sur ce phénomène des « Chinois aux portes de la Ligue 1 ».

"Les Chinois aux portes de la Ligue1". Dans son emission "Enquête de foot", Canal + a voulu comprendre pourquoi la Chine devient un acteur majeur du foot français.
Le Stade de Reims a amorcé la pompe il y a plusieurs saisons déjà en signant un partenariat important avec le président de l'entreprise chinoise Saneï, Jianhua Wu. L'investissemebnt était estimé à 700.000 euros cette saison et devrait être du million d'euro la saison prochaine. Sponsor sur le maillot du Stade de Reims, Saneï cherche à accroître sa notoriété en France, où il possède une entreprise. "C'est un bon investissement et je ne regrette pas ce choix", confie Jianhua Wu.
A 10.000 km du stade Delaune, la Chine s'éveille au football. Et le Stade de Reims est en première ligne grâce à Saneï. Les maillots rouge et blanc sont distribués à tour de bras : "depuis que Saneï a investi au Stade de Reims, on commence à regarder la Ligue 1", souligne un supporter avec un maillot sous le bras.
Le PSG a récemment trouvé des sponsors chinois, Ajaccio affiche des messages en chinois sur ses maillots, etc. Lille ou Bordeaux pourraient-ils être repris par des investisseurs chinois ? Après le Qatar et la Russie, la Chine représente-t-elle l’avenir de la Ligue 1 ? »

Le Stade de Reims, 7e club le plus populaire de Ligue 1
Au classement de la popularité, le Stade de Reims devance le PSG, l'OM et Monaco... en Ligue 1.
Stade de Reims est crédité de 81% d'opinions favorables dans le sondage bi-annuel réalisé par Canal+ et France Football. Une perte de 4 places par rapport à l'enquête publiée novembre dernier, où le club pointait en 3e position.
Avec 86% d'opinions favorables, l'AS St Etienne arrive en tête du sondage, devant Guingamp vainqueur de la Coupe de France et un étonnant Bordeaux, pourtant très critiqué cette saison.
Lyon, entraîné par Hubert Fournier pointe à la 13e place, juste devant Monaco, alors que le PSG ne figure qu'au 17e rang avec 54% d'opinions positives.
L'OM ferme la marche avec seulement 43% de bonnes opinions.

Le cas Grejohn Kyei étudié le 19 juin
Expulsé lors du dernier match de CFA2 perdu (2-3) à Delaune contre Sedan (B), Grejohn Kyei n’est toujours pas fixé sur la durée de sa suspension. L’affaire est toujours à l’instruction. L’attaquant stadiste devra se présenter devant la commission fédérale de discipline le jeudi 19 juin à 14 h 45. Les charges qui pèsent contre lui sont lourdes : bousculade et propos grossiers sur officiel (arbitre), difficultés à quitter le terrain et propos blessants sur un autre officiel.
Pour mémoire, Kyei s’était emporté après l’égalisation ardennaise (2-2), estimant qu’elle n’était pas valable puisque, à l’origine du but, le ballon roulait encore sur le coup franc rapidement joué par les Sedanais. À raison d’ailleurs mais il en faudra sans doute plus pour amadouer les juges.