Fifa Club Manager

spoucknick00 a écrit :se battent ? je dirais qu ils fond le minimum syndicale . Avec l equipe qu ils ont , sa devrait etre plus flagrant et les scores devrait plus ressemblé a des scores de tennis que des 1 a 0 ou des nuls .

Tobb a écrit :

spoucknick00 a écrit :se battent ? je dirais qu ils fond le minimum syndicale . Avec l equipe qu ils ont , sa devrait etre plus flagrant et les scores devrait plus ressemblé a des scores de tennis que des 1 a 0 ou des nuls .

Abuse pas, ils font le job
Cavani contre Nicosie, c' est dans les dernières minutes, en se battant, en se jetant par terre, pas un but tout fait
Contre Bordeaux, ils sont en infériorité numérique, ils vont chercher le péno
Enfin bon, je ne vais pas te demander de dire du bien d' eux

Pourquoi la L1 aime "PLM"
La victoire de Lyon sur Marseille, dimanche (1-0), a replacé en tête de la L1 le trio de choc OM-PSG-OL, le même qui a terminé - dans un autre ordre (PSG-OM-OL) - au sommet de la saison 2012-13. Pour les économistes, un "PLM" en forme est «une bonne nouvelle pour le Championnat».

L'OL et l'OM participent activement au spectacle de la L1. (A. Martin/L'Equipe)
Bon pour l'incertitude

Les supporters ne s'en plaindront pas. Marseille, Paris et Lyon ne sont pas seulement les équipes les plus spectaculaires avec les meilleures attaques (25 buts et deux fois 21). Les trois plus grandes villes de l'Hexagone abritent aussi les marques de football préférées des Français. Selon une enquête UniteamSport - Toluna, le PSG (14,5%), l’OM (13,7%) et l’OL (11,2%) devancent largement Saint-Étienne (7,4%) et Bordeaux (5,9%). Les comptes de la L1 devraient aussi apprécier ce "PLM" revigoré.

«C'est une bonne nouvelle pour l'intérêt du Championnat, les affluences, les audiences TV, et pour tous les clubs», énumère Vincent Chaudel, expert sport chez Kurt Salmon. «S'il se confirme que la L1 n'est plus un Championnat à deux vitesses avec un PSG au-dessus du lot, mais une véritable compétition avec des challengers puissants, davantage d'incertitude et de chocs, alors son potentiel commercial devrait en sortir renforcé», estime l'économiste du sport Bastien Drut.
Bon pour les affluences


Le trio PLM fédère trois des quatre meilleures affluences moyennes cette saison (avec Lille), alors que le nouveau Vélodrome (ci-contre) vient d'être inauguré et que le Stade des Lumières sort de terre à Lyon. Stable à Paris et Lyon comparé à la saison dernière, la fréquentation explose à Marseille (+35%), et pas seulement en raison de la fin des travaux. «Contrairement à l'Angleterre ou les clubs gardent leur public même en cas de descente, affluence et performance sont encore en France étroitement corrélées, y compris à Marseille qui se relève d'une saison pénible (6e)», rappelle Vincent Chaudel. L'effet PLM profite-t-il à l'ensemble du plateau ? Sur onze matches comparables disputés par le trio à l'extérieur, cinq affluences augmentent et six autres baissent par rapport à la saison dernière. «Passer d'une affluence moyenne de 21 000 spectateurs à 25 000 à horizon 2016 ne sera possible qu'avec un PLM durablement puissant et d'autres locomotives comme Lille ou Bordeaux dans son "Nouveau Stade".»
Bon pour les audiences

Canal+ a battu son record de la saison pour le match de samedi à 17h00 avec PSG-Bordeaux (3-0), puis a récidivé sur le créneau du prime time avec OL-OM dimanche à 21 heures (1-0)... en attendant PSG-OM (le 9 novembre). Et à l'international, où la notoriété du PSG grimpe en flèche, selon le dernier baromètre Scan Club de l'agence Advent ? «Ce n'est pas la forme du moment de PLM qui peut avoir un impact, ou alors de façon marginale, mais elle est un préalable au développement ultérieur d'audiences surtout tirées aujourd'hui par le PSG», estime Chaudel. «Il manque face aux Parisiens des rivaux réguliers et nantis de stars pour installer des rendez-vous fédérateurs comme le Clasico espagnol ou un Chelsea-Arsenal, conclut de son côté Bastien Drut. Un PLM fort, sans oublier Monaco, peut fonctionner à terme comme un repère incitatif pour les diffuseurs internationaux.»

Quatre matches ferme pour Girard, pas de Clasico pour Van der Wiel
Après son expulsion pour contestation face à Lyon le 5 octobre, René Girard a écopé de quatre matches de suspension ferme par la Commission de discipline de la LFP, qui s'est réunie ce jeudi. Van der Wiel, lui, va manquer le Clasico contre l'OM.

René Girard sera absent pour 4 matches avec Lille (L'Equipe)
Expulsé pour contestation lors de la défaite à Lyon (0-3, le 5 octobre), l'entraîneur de Lille René Girard s'est vu infliger, par la Commission de discipline de la LFP, une suspension de quatre matches ferme, dont un par révocation du sursis de banc de touche et de vestiaire d’arbitres et de toutes fonctions officielles. La sanction prendra effet le mardi 4 novembre.

Le Parisien Grégory Van der Wiel et le Bordelais André Biyogo Poko, qui ont reçu tous deux un carton rouge lors de la victoire 3-0 du PSG le 25 octobre, ont écopé de deux matches ferme. Une sanction qui signifie que le latéral néerlandais du Paris-SG sera suspendu pour le choc face à Marseille, le 9 novembre.

À noter en L2 la suspension de six matches ferme infligée au défenseur du GFC Ajaccio Roderic Filippi pour une semelle impressionnante sur le Brestois Nicolas Verdier (3-0 pour Brest le 24 octobre), qui a valu 14 points de suture à ce dernier.
Les autres sanctions

Ligue 1
Un match ferme suite (à partir du mardi 4 novembre 2014) : Yeltsin Tejeda (Évian-TG), Jérémy Morel, André Ayew (Marseille), Thiago Motta (Paris-SG), Djibril Sidibé (Lille), Dragos Grigore (Toulouse).

Ligue 2
Deux matches ferme : Rémi Mulumba (Auxerre).
Deux matches de suspension dont un avec sursis : Abdoul Kaboré (Valenciennes).
Un match ferme (à partir du mardi 4 novembre) : Fabrice Abriel (Valenciennes), Emeric Dudouit (Châteauroux), Jamel Aït Ben Idir (Auxerre).

Ligue 1 - OL : La poisse poursuit Gourcuff, blessé et forfait à Nice

Yoann Gourcuff ne sera pas du déplacement de l'OL à Nice. Une nouvelle fois blessé, le meneur des Gones pourrait être absent deux semaines.
Yoann Gourcuff n'en finit plus de collectionner les pépins physiques. Touché aux adducteurs, le meneur de l'OL a été contraint de déclarer forfait pour le match à Nice samedi (20h00), lors de la 12e journée de Ligue 1. Le Breton, convalescent tout l'été pour soigner une blessure à une cheville qu'il s'était faite dans un choc avec le Stéphanois Renaud Cohade le 30 mars, puis des douleurs dorsales, avait fait son retour le 12 septembre dernier contre Monaco (2-1). Titulaire depuis trois matches, Gourcuff avait largement contribué au retour de l'OL au premier plan avec un doublé face à Montpellier (5-1) et le but de la victoire face à l'OM (1-0), qui a replacé Lyon à la troisième place.
C'est un coup dur de plus pour le meneur lyonnais, qui pourrait être indisponible deux semaines, même si ça reste à confirmer. Mais aussi pour Hubert Fournier. A Nice, l'entraîneur rhodanien devra aussi se passer des services de Jordan Ferri, victime d'une blessure musculaire derrière une cuisse et absent pour un mois environ, et de Maxime Gonalons, suspendus. Trois des quatre titulaires actuels du milieu de l'OL seront ainsi absents à l'Allianz Riviera, ce qui va contraindre Fournier à repenser un entrejeu toujours privé de Clément Grenier et Gueïda Fofana, également blessés. Une situation que le coach lyonnais a souvent eu à affronter depuis le début de la saison.

Tobb a écrit :Pour qui ?
Tu parle de Marseille ou de lui ?

Agrikgon a écrit :Ну в принципе все по делу!