Re: [CLUB] - STADE DE REIMS
Posté : 05 déc. 2013 01:54
bah ça permetra de voir fofana , il n a pas ete mauvais sur ses dernieres sorties 

Forum pour le Jeu LFP Manager et FIFA Manager
https://fifa-club-manager-forum.fr/
Hubert Fournier : Une belle soirée
Il était important de gagner après deux défaites consécutives. C'est évidemment un bon résultat. Ce type de match, contre un concurrent direct, il faut parvenir à le gagner et c'est ce que l'on a fait ce soir. A ce moment de la saison c'est très intéressant.
On avait à coeur de faire notre match et pour avoir vécu la spirale de Sochaux l'an dernier on sait que c'est compliqué à vivre.
On est à la moitié du chemin ce soir et on est évidemment satisfait de ce résultat. C'est une belle soirée.
Jean-Pierre Caillot : On sait réagir
Les garçons ont répondu de la meilleure des façons après Saint-Etienne. La lourde défaite subit là-bas ne reflétait pas la physionomie du match.
Ce soir on a prouvé une fois de plus qu'on savait réagir, qu'on avait des qualités mentales et des vertus pour aller chercher un résultat positif. C'est forcément une très bonne opération puisqu'on gagne contre un concurrent direct.
On n'oublie pas qu'après 16 journées on est déjà allé 9 fois à l'extérieur et avoir 22 points dans ce cadre est intéressant. Cette victoire va faire du bien dans la tête et on se penche maintenant sur la réception de Nice samedi à Delaune.
Didier Perrin : Une victoire importante
C'est une victoire importante contre un concurrent direct. Elle fait du bien dans les têtes et au classement et nous donne douze points d'avance sur le premier relégable. Dans cette série de matches rapprochés, gagner ici était important et cela nous permet de préparer sereinement la rencontre de samedi.
Les regrets de Pereira
Quentin Pereira à l’école de la patience.
Mais où est passé Quentin ? Revenu de Sochaux en janvier 2012, dans sa « ville », dans son « club », Quentin Pereira Leite a disparu des écrans radars. À 21 ans, le meneur de jeu qui excelle dans le jeu court et rapide, n’aura joué que 6 matches de Ligue 2 en Rouge et Blanc, prenant chichement part à l’historique accession du Stade de Reims en Ligue 1.
Et puis, plus rien. « Le mois prochain ça fera deux ans que je suis revenu au Stade et, objectivement, on ne peut pas dire que mon bilan soit très brillant ». Serait-ce l’histoire d’un come-back raté ? « Ça avait plutôt bien commencé, avoue Quentin, mais quand j’ai vu tous ces joueurs qui débarquaient, je savais que ça allait être compliqué ».
« Je bosse en silence »
Toujours à fond à l’entraînement, Quentin Pereira se contente depuis de progresser au contact de ses coéquipiers. « J’ai sollicité un prêt cet été, mais cela ne s’est pas concrétisé. Je me suis fait une raison. Soit je passais mon temps à râler, à gamberger, soit je restais positif ». Alors, comme il dit, il s’est astreint à « bosser en silence ».
« Je reconnais que c’est difficile à vivre. Je m’entraîne toute la semaine avec les pros pour jouer le week-end avec les jeunes en CFA2. À ce niveau, t’es sans cesse montré du doigt. Si tu rates ton match, on te descend parce que t’es pro. Si tu réussis une belle prestation, on dit que c’est normal vu ton niveau ». Quentin y va à fond, sans calcul. « J’ai bien marqué quelques buts et adressé des passes décisives… »
Reste cette souffrance invisible qui le ronge au quotidien. Il rigole un peu quand on lui parle du « loft » stadiste au sein duquel il côtoie les Ghilas, Ouali et autres Peuget et Malherbe. « Nous faisons partie du groupe et respectons l’équipe. Personnellement je suis touché par le soutien de mes coéquipiers qui m’encourage à travailler. Parce qu’un jour, ça finira pas payer ». Le match de ce soir à Sochaux lui évoque de bons souvenirs : « Au moins 60 % de jeunes qui jouent sont de mon âge. Je les ai fréquentés au Lycée et au Centre de formation. Pour eux, ce match c’est à la vie à la mort. Ils sont dans le dur, ils vivent une saison galère ». Il s’attend à un match « serré, fermé. La première équipe qui marque l’emportera ».
Les regrets de Pereira
Quentin Pereira à l’école de la patience.
Mais où est passé Quentin ? Revenu de Sochaux en janvier 2012, dans sa « ville », dans son « club », Quentin Pereira Leite a disparu des écrans radars. À 21 ans, le meneur de jeu qui excelle dans le jeu court et rapide, n’aura joué que 6 matches de Ligue 2 en Rouge et Blanc, prenant chichement part à l’historique accession du Stade de Reims en Ligue 1.
Et puis, plus rien. « Le mois prochain ça fera deux ans que je suis revenu au Stade et, objectivement, on ne peut pas dire que mon bilan soit très brillant ». Serait-ce l’histoire d’un come-back raté ? « Ça avait plutôt bien commencé, avoue Quentin, mais quand j’ai vu tous ces joueurs qui débarquaient, je savais que ça allait être compliqué ».
« Je bosse en silence »
Toujours à fond à l’entraînement, Quentin Pereira se contente depuis de progresser au contact de ses coéquipiers. « J’ai sollicité un prêt cet été, mais cela ne s’est pas concrétisé. Je me suis fait une raison. Soit je passais mon temps à râler, à gamberger, soit je restais positif ». Alors, comme il dit, il s’est astreint à « bosser en silence ».
« Je reconnais que c’est difficile à vivre. Je m’entraîne toute la semaine avec les pros pour jouer le week-end avec les jeunes en CFA2. À ce niveau, t’es sans cesse montré du doigt. Si tu rates ton match, on te descend parce que t’es pro. Si tu réussis une belle prestation, on dit que c’est normal vu ton niveau ». Quentin y va à fond, sans calcul. « J’ai bien marqué quelques buts et adressé des passes décisives… »
Reste cette souffrance invisible qui le ronge au quotidien. Il rigole un peu quand on lui parle du « loft » stadiste au sein duquel il côtoie les Ghilas, Ouali et autres Peuget et Malherbe. « Nous faisons partie du groupe et respectons l’équipe. Personnellement je suis touché par le soutien de mes coéquipiers qui m’encourage à travailler. Parce qu’un jour, ça finira pas payer ». Le match de ce soir à Sochaux lui évoque de bons souvenirs : « Au moins 60 % de jeunes qui jouent sont de mon âge. Je les ai fréquentés au Lycée et au Centre de formation. Pour eux, ce match c’est à la vie à la mort. Ils sont dans le dur, ils vivent une saison galère ». Il s’attend à un match « serré, fermé. La première équipe qui marque l’emportera ».
Dix jours pour Tacalfred
Le Stade de Reims devra se passer de son capitaine Mickaël Tacalfred pour une dizaine de jours, ce qui le privera de la rencontre face à Nice samedi (20h00) et éventuellement de celle face à Evian-Thonon-Gaillard le 14 décembre à Annecy. L’ancien Dijonnais, sorti mercredi au bout de vingt-cinq minutes à Sochaux (2-0), souffre d’un décollement de l’aponévrose, comme l’ont révélé les examens effectués ce jeudi. Il sera probablement remplacé par Mohamed Fofana, auteur d’une rentrée intéressante face aux Lionceaux.
Le groupe des 18 contre Nice !
Stade de Reims : Agassa, Placide – Weber, Fofana, Mandi, Signorino, Turan – Krychowiak, Albaek, Ca, Oniangue, Devaux, Fortes, Ayite – Atar, De Preville, Courtet, Charbonnier
Soins : Diego (Genou), Glombard (Mollet), Tacalfred (Adducteurs), Malherbe (Genou)
PSGdu11 a écrit :Spouckie doit assister à un bon vieux 0/0 entre Reims et Nice ...
j ai pas arreté de le critiqué tout le match et meme il fut sifflet . Et ce con marque , j aurais preferer perdre tientPSGdu11 a écrit :PSGdu11 a écrit :Spouckie doit assister à un bon vieux 0/0 entre Reims et Nice ...
Et bien non ... non seulement le SDR a gagné 1/0 , mais en plus, Charbonnier a marqué ... la réaction du pingouin doit valoir le déplacement ...
Reims - Nice 1-0
Stade Auguste Delaune - 14 757 spectateurs
Ligue 1 – 17e journée
Stade de Reims : Agassa – Mandi, Fofana, Weber, Signorino – Oniangue, Krychowiak (Devaux 36e), Albaek – Ayite (Fortes 72e), Charbonnier, De Preville (Courtet 60e)
OGC Nice: Veronese – Puel, Pejcinovic, Bodmer, Genevois, Kolodziejczak – Digard, Mendy, Bruins (Bauthéac 72e) – Bruls (Eysseric 64e), Cvitanich (Bosetti 85e)
But pour Reims : Charbonnier (90+3e)
Avertissement pour Reims: Charbonnier (30e)
Avertissements pour Nice: Puel (26e), Kolodziejczak (41e)
Après son succès à Sochaux (0-2), le Stade de Reims avait l’occasion de confirmer ce soir à Delaune face à une bête blessée, Nice, qui reste sur une série de six défaites consécutives.
Au cours de la première période, les Rouge et Blanc ont la possession et se procurent quelques occasions. D’abord par Floyd Ayité qui s’essaie aux abords de la surface sans contrôle, mais c’est légèrement trop haut (18e). Puis par Antoine Devaux qui, de la tête, reprend un corner au second poteau (41e). Côté Niçois, Digard se crée la plus grosse occasion de ces 45 premières minutes. Le capitaine azuréen pénètre dans l’axe mais échoue devant Kossi Agassa (11e). A la pause, le score (0-0) reflète complètement la partie.
Le début de la seconde est sans rythme, les Rouge et Blanc ont les meilleures intentions mais se heurtent à un bloc niçois dont l’ambition est clairement de ramener un point de ce déplacement. Afin d’y remédier, Hubert Fournier procède à deux changements offensifs. Courtet et Fortes remplacent respectivement De Preville et Ayite. Mais l’envie d’apporter le surnombre au sein de la défense adverse est à double tranchant. A la 74e minute, les Rémois s’exposent à un contre lancé par Bautheac. Le numéro 11 niçois met à contribution Kossi Agassa qui répond présent et repousse le ballon en corner. A la 89e minute, Eysseric sème la panique en récupérant le cuir à l’entrée de la surface mais sa tentative est contrée en corner. L’arbitre indique trois minutes de temps additionnel. Alors que l’on se dirige vers un match nul sans reflet, Antoine Devaux effectue un dernier centre. Le gardien Veronese détourne la tête de Prince Oniangue mais Odair Fortes récupère et transmet le ballon à Gaëtan Charbonnier qui délivre Delaune d’un plat du pied ajusté !!! (1-0, 90+3e). Les 14 757 spectateurs exultent et l’arbitre siffle la fin du match sur la remise en jeu.
Les Rouge et Blanc réalisent une excellente opération en allant chercher la victoire au bout du temps additionnel ! C'est donc une très bonne semaine pour les Stadistes qui réalisent un sans faute.
Au terme de ce match, le Stade de Reims comptabilise 25 points et se classe à la 6e place du classement de Ligue 1. Prochain rendez-vous dès samedi prochain avec un déplacement à Annecy pour y affronter Evian-Thonon-Gaillard.
a details , voir deux ... j etais le seul a pas applaudir et scander son nom ...PPDMdu29 a écrit :![]()
![]()
![]()
le syndrome spouck l'année dernière c'était avec fauvergue la avec charbonnier je suis plié![]()
j'imagine spouck pendant tout le match il peste contre lui... et à la fin tout le monde applaudi sauf 2 en tribunes et je suis sur que spouck a du se dire ' ptin l'enculé ' et babar a du lui rep ' jallai justement te le dire '![]()
CdL : 300 places gratuites pour Lyon - Reims
A l’occasion du 8e de finale de Coupe de la Ligue, Olympique Lyonnais – Stade de Reims (mercredi 18 décembre, 17h00), le Stade de Reims offre 300 places gratuites aux supporters souhaitant effectuer le déplacement pour soutenir les Rouge et Blanc. Les personnes intéressées ont la possibilité de venir retirer leurs places (munies d’une pièce d’identité) aux guichets du Stade Delaune du mercredi 11 au vendredi 13 décembre, de 14h00 à 18h00 et à la boutique officielle du club située au stade Delaune, le samedi 14 décembre, de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00.
Dans la limite des places disponibles, il sera également possible de retirer des places à la boutique officielle le mardi 17 décembre 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00.
Vous aussi, venez aider les Rouge et Blanc à réaliser l'exploit !