Fifa Club Manager

Matrimoni a écrit :On se disait déjà ça au téléphone avec Spouck vendredi soir, je confirme

spoucknick00 a écrit :

Matrimoni a écrit :C'est chaud... Gros match de votre gardien, et gros loupé du numéro 4 paysan

pas grave , il loupe la , mais il loupera pas le 23 novembre , et pour info , le 4 paysan c est celui qui a fermer la gueule au tarlouse de parisienne au mois de mars juste pour te le rappelé

Matrimoni a écrit :Ça fanfaronne toujours quand le choc est loin, mais plus la date se rapproche, plus ça fait la bite molle... Spouck n'échappe pas à cette règle

A.Mandi : Penser exclusivement à Saint-Etienne

Aïssa Mandi était présent ce mardi au point presse organisé aux Thiolettes.
Extraits.

Aïssa, est-ce que la page « PSG » est tournée ?
Forcément après la rencontre nous étions frustrés par notre prestation. Une défaite 3-0 face à notre public, c’est lourd. Mais dès ce début de semaine, nous nous sommes remis au travail pour aller chercher un résultat à Saint-Etienne.

La défaite est donc évacuée…
Oui bien sûr. C’est du passé. Il faut regarder devant. Cela ne sert à rien de ruminer le match de Paris et penser exclusivement à Saint-Etienne.

Comment expliques-tu ce revers ?
On sait que Paris est une équipe énorme. Mais de notre côté, par rapport à ce que l’on a pu faire face à Lyon ou Marseille, nous n’avons pas mis la même envie de gagner. Même dans les duels nous n’avons pas suffisamment répondu présent.

Ce PSG était tout de même très fort…
Oui, on le savait. C’est une équipe extraordinaire. Elle est plus forte que celle de l’année dernière. Dernièrement Saint-Etienne avait réussi à les mettre en difficulté. C’est une équipe qui reste tout de même prenable. Mais, je le répète, on n’a pas fait ce qu’il fallait pour les mettre en danger et ramener un résultat.

Quel est l’état d’esprit de l’équipe avant Saint-Etienne ?
Nous sommes conquérants. Nous allons y aller pour faire un résultat. On va travailler toute la semaine en fonction de ce match.

L’équipe va enchaîner trois matches en une semaine. Comment appréhendez-vous ce calendrier ?
Nous, on aime jouer souvent. Tous les trois jours, c’est plaisant. Cela permet aussi à ceux qui jouent moins de se montrer. On a un groupe très large. On l’a vu contre Monaco en Coupe de la Ligue. L’équipe était un peu remaniée et on a obtenu un très bon résultat.

Avant ce match face à Paris, c’était une belle semaine pour toi, avec une première convocation en équipe d’Algérie…
C’était quelque chose d’extraordinaire. Je n’avais jamais vu cela auparavant. Le peuple Algérien vit essentiellement pour le football. Cela se ressent énormément. Notamment le jour du match. Pour vous dire, six heures avant le coup d’envoi, les tribunes du stade étaient déjà pleines.

H. Fournier : La volonté de ne rien lâcher
Hubert Fournier s’est présenté ce mardi au point presse organisé aux Thiolettes. Extraits :

Trois jours après la rencontre face au PSG, dans quel état d’esprit est le groupe ?
Il est déçu. 3-0 à la maison, même face à Paris, c’est toujours difficile à vivre et à assumer. Nous n’avons pas été à la hauteur de notre adversaire. Même si le score me semble lourd par rapport à la physionomie du match. Mais en réalité nous sommes tombés sur plus fort que nous. Maintenant nous avons un autre match qui se profile ce week-end. Un super match à Geoffroy-Guichard.

La période qui se profile, avec un calendrier chargé, va être très importante pour le club…
Oui, elle va être importante pour toutes les équipes, et certainement difficile. De notre côté elle est déjà difficile car les conditions d’entraînements ne sont pas adaptées à la Ligue 1. Notre terrain est très dégradé. Nous alternons entre un terrain boueux et un synthétique. Ce n’est pas l’idéal. On sait que cette période entre Novembre et Mars ne sera pas simple. Il va falloir faire le dos rond et grappiller le maximum de points.

Après avoir revu le match face à Paris, comment analysez-vous la rencontre ?
Avec du recul je trouve que nous avons fait une entame de match intéressante pendant 15/20 minutes durant lesquelles nous étions bien en place. A ce moment-là on fait des choses intéressantes avec le ballon même si on ne parvient pas à aller au bout. Après on s’est fragilisé avec des pertes de ballons à l’approche de notre but. Cette équipe parisienne est donc montée d’un cran, et à partir de là elle a commencé à installer son jeu. Et dans une période forte elle parvient à marquer grâce à Lucas. En deuxième mi-temps on revient avec de bonnes intentions. On essaie de faire mieux en termes d’agressivité. Mais sur une perte de balle il y a un contre assassin, et, à 2-0, ce n’est plus le même match. Et le deuxième contrecoup c’est ce pénalty. Malheureusement il était écrit qu’on ne marquerait pas contre Paris sur pénalty. On en rate un l’année dernière au Parc des Prince, bien arrêté par Sirigu, et un autre ce week-end. C’est comme cela. Le troisième but est plus anecdotique, mais aussi symptomatique de notre match. On fait preuve de fébrilité et de naïveté sur ce but. C’est une défaite avant tout collective et on constate surtout que nous n’avons pas fait un grand match.

Face à Saint-Etienne, l’équipe sera –t-elle capable de renverser la montagne verte ?
L’an passé nous n’avions pas réussi à la renverser. Mais nous n’étions pas tombés non plus (2 matches nuls). C’est un contexte un peu différent cette année. De leur côté leur meilleur buteur est parti à Dortmund (NDLR : Aubameyang). Forcément ils n’ont pas le même rendement offensif que l’an passé. C’est une équipe qui est en difficulté sur sa pelouse depuis le début de saison. Ils auront à cœur d’avoir une réaction. A nous de les pousser à connaitre d’autres difficultés. Il faudra être en jambes, avec la volonté farouche de ne rien lâcher. L’an passé nous avions énormément subi. Cette année si nous parvenons à être plus intéressants dans nos phases offensives, on aura des opportunités. A nous de faire ce qu’il faut.

babar051 a écrit :

A.Mandi : Penser exclusivement à Saint-Etienne

Aïssa Mandi était présent ce mardi au point presse organisé aux Thiolettes.
Extraits.

Aïssa, est-ce que la page « PSG » est tournée ?
Forcément après la rencontre nous étions frustrés par notre prestation. Une défaite 3-0 face à notre public, c’est lourd. Mais dès ce début de semaine, nous nous sommes remis au travail pour aller chercher un résultat à Saint-Etienne.

La défaite est donc évacuée…
Oui bien sûr. C’est du passé. Il faut regarder devant. Cela ne sert à rien de ruminer le match de Paris et penser exclusivement à Saint-Etienne.

Comment expliques-tu ce revers ?
On sait que Paris est une équipe énorme. Mais de notre côté, par rapport à ce que l’on a pu faire face à Lyon ou Marseille, nous n’avons pas mis la même envie de gagner. Même dans les duels nous n’avons pas suffisamment répondu présent.

Ce PSG était tout de même très fort…
Oui, on le savait. C’est une équipe extraordinaire. Elle est plus forte que celle de l’année dernière. Dernièrement Saint-Etienne avait réussi à les mettre en difficulté. C’est une équipe qui reste tout de même prenable. Mais, je le répète, on n’a pas fait ce qu’il fallait pour les mettre en danger et ramener un résultat.

Quel est l’état d’esprit de l’équipe avant Saint-Etienne ?
Nous sommes conquérants. Nous allons y aller pour faire un résultat. On va travailler toute la semaine en fonction de ce match.

L’équipe va enchaîner trois matches en une semaine. Comment appréhendez-vous ce calendrier ?
Nous, on aime jouer souvent. Tous les trois jours, c’est plaisant. Cela permet aussi à ceux qui jouent moins de se montrer. On a un groupe très large. On l’a vu contre Monaco en Coupe de la Ligue. L’équipe était un peu remaniée et on a obtenu un très bon résultat.

Avant ce match face à Paris, c’était une belle semaine pour toi, avec une première convocation en équipe d’Algérie…
C’était quelque chose d’extraordinaire. Je n’avais jamais vu cela auparavant. Le peuple Algérien vit essentiellement pour le football. Cela se ressent énormément. Notamment le jour du match. Pour vous dire, six heures avant le coup d’envoi, les tribunes du stade étaient déjà pleines.

Franck Signorino : « Il y a de la frustration»
Franck Signorino estime que le Stade de Reims doit continuer à s'appuyer sur ses fondamentaux pour avancer.

Les Rémois se sont fixé un objectif comptable avant la trêve hivernale. S'il refuse de le dévoiler, Franck Signorino explique qu'il faut tirer les enseignements de la déconvenue face au Paris SG (0-3).

Franck, quel regard portez-vous sur la défaite ?
« Il y a une classe d'écart, voire deux avec Paris, qui a démontré une grande maîtrise. On a pourtant bien entamé le match, on a eu les premières opportunités. C'est devenu compliqué une fois que le PSG a inscrit le premier but. A 2-0, c'est devenu mission impossible même si le penalty aurait pu nous remettre dans la partie. Les Parisiens sont meilleurs que la saison dernière. Mais le score est lourd, car on encaisse deux buts sur des erreurs de notre part. »

Reims a-t-il accompli le match qu'il fallait ?
« On est fatalistes. On attendait que Paris gagne, il a gagné. Il y a de la frustration parce qu'on n'a pas mis tous les ingrédients qu'il fallait pour bousculer cet adversaire qui reste prenable défensivement. Malgré l'ampleur du score, on n'a pas été ridicules. On va continuer notre route. On a 19 points, mais on aimerait disposer d'un capital supplémentaire à la trêve pour nous mettre à l'abri par rapport aux équipes qui jouent la maintien.»

« Lucas est impressionnant »

Vous avez énormément souffert techniquement...
« On a vu la différence entre Paris et Reims. Sur deux pertes de balle, on encaisse deux buts. Les Parisiens n'ont pas eu une multitude d'occasions, mais ils ont été ultra-réalistes. Ils ont fait une démonstration dans la gestion et la maîtrise. Cette efficacité, c'est ce qui en fait actuellement une des meilleures équipes en Europe. »

Comment avez-vous vécu votre duel face à Lucas ?
« Il a été bon. Il a eu deux ou trois fulgurances, notamment sur ses contrôles orientés et sa capacité d'accélération exceptionnelle. Une fois qu'il est parti, il devient très compliqué de le rattraper, à l'image de son but conclu après un appel dans le dos de la défense. Son explosivité sur les premiers mètres est impressionnante. »

La sévérité du score peut-elle laisser des séquelles ?
« Il ne faut pas tout remettre en cause. On venait de perdre deux matches sur douze avant de recevoir Paris, qui est toujours une affiche particulière. On ne remet pas en question notre philosophie de jeu. On va aller à Saint-Etienne avec l'envie de ramener quelque chose. On s'attend à un déplacement compliqué, car même s'ils ont la dernière défense à domicile, les Verts possèdent une grosse équipe. »

Létang: «il fallait éviter le piège»

On n’efface pas si facilement quinze années de sa vie. Après huit ans comme joueur, puis sept comme comptable, puis directeur général au service du Stade de Reims, Olivier Létang, désormais directeur sportif du Paris SG, porte toujours un regard affectueux sur son ancienne équipe.
Olivier, le PSG craignait-il ce retour en Champagne ?
« On débarquait dans la peau d’un outsider. Reims avait battu Lille (2-1), meilleure défense de L1. C’était aussi la dernière équipe qui nous a battus. Nous avons bien préparé ce déplacement en insistant sur la générosité de notre adversaire. Il fallait éviter le piège ».

Pourquoi Reims n’a-t-il pas été à la hauteur ?
« Ça m’embête un peu de le dire mais Reims a mis moins d’agressivité et a été moins compact dans son engagement. À sa décharge, il ne s’est pas présenté au meilleur de sa forme, avec des joueurs malades ou de retour de blessure comme Oniangué et Weber. Peut-être aussi de penser qu’il bat toujours les gros lui a mis une pression supplémentaire. Malgré la défaite, je dis bravo à Reims qui possède déjà 19 points à six journées de la trêve. Je ne pense pas que c’était sur ce match-là qu’il espérait prendre facilement 3 points ».

Le PSG semble de plus en plus impressionnant…
« 3-0, le résultat semble logique car les gens comparent les budgets, la notoriété des joueurs. Mais si Grzegorz (Krychowiak) marque son penalty, tout devenait possible. Il nous reste neuf matches à disputer d’ici le 22 décembre. Je sens le groupe confiant et mature. Tout le monde est impliqué dans le projet ».

Miss Stade de Reims : Découvrez les finalistes !
Le Stade De Reims et Rouge & Blanc, Magazine officiel du club, ont organisé ce mercredi au cinéma Gaumont Parc Millésime de Thillois la première phase de l’élection Miss Stade de Reims.

Trente candidates ont concouru lors de cette pré-sélection, effectuée par les joueurs professionnels et le staff technique du club. Chacune des jeunes femmes a effectué un premier passage en robe ponctué d’un discours, avant un second passage en bikini.

Dix finalistes ont ainsi été sélectionnées pour la finale qui se déroulera le samedi 7 décembre au Stade Delaune, après la rencontre Reims-Nice, dans les salons VIP. Les Partenaires du club éliront à cette occasion la première Miss Stade de Reims !

Charmante, dynamique et enthousiaste, Miss Stade de Reims portera fièrement les valeurs et les couleurs du club pour la saison 2013-2014. Elle sera le relais direct entre supporters et joueurs et sera présente au stade Delaune les soirs de match et pendant les événements extra-sportifs à dimension sociale, citoyenne, et caritative, impliquant les Rouge et Blanc.

De nombreux partenaires se joignent au club afin de participer à l’organisation ou offrir différents lots aux participantes de cette élection : Leclerc, le Multicolore, Gaumont Parc Millésime & Reims, Mag’ Info, France Bleu Champagne, Matt&Germain Events et Selectour Afat Voyages Geovisions Reims.

Dans quelques jours, le Stade de Reims sera le premier club de Ligue 1 à avoir son ambassadrice de charme. Saluons cette initiative novatrice et vive Miss Stade De Reims !