[CLUB] - STADE DE REIMS

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putin Sekkat , il est vraiment fini celui la , depuis le temps que je le dis

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Abonnements : Dernier jour de vente !
Chers supporters
C'est aujourd'hui , lundi 30 juillet, le dernier jour pour s'abonner avant le premier match de la saison. Pour retirer votre précieux sésame, rendez-vous aux guichets du Stade Delaune (côté tribune Jonquet) de 14h à 18h.

Pour le retrait des cartes d'abonnement, vous pourrez les retirer à partir du 31 juillet à la boutique du club, également au Stade Delaune. Nous vous rappelons les horaires : Du mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h.

Stade de Reims-UNFP , le 1er août à 18h
Petit rappel agenda : Le Stade de Reims rencontrera, à Epernay, une sélection UNFP en match amical, ce mercredi 1er août à 18h00 (Stade Paul Chadon).

Reims-Marseille : Nouvelles infos billetterie
Concernant le match Stade de Reims – Olympique de Marseille, qui se jouera le dimanche 12 août à 21h00, les ventes ne seront finalement pas opérationnelles à partir du 31 juillet, dans les magasins du réseau Francebillet (magasins Carrefour et Fnac) et sur http://www.francebillet.com" onclick="window.open(this.href);return false;, comme initialement prévu. Elles le seront en revanche dans les magasins du réseau Ticketnet (magasins Leclerc, Cora) et sur http://www.ticketnet.com" onclick="window.open(this.href);return false; , où vous pourrez acheter vos places dès le 31 juillet 2012.

Les locations, concernant ce match Stade de Reims – Olympique de Marseille, se dérouleront aux guichets du stade du mardi 7 août au samedi 11 août de 14h à 18h et le dimanche 12 août de 14h à 21h45 (sous réserve des places disponibles)

Les ventes en ligne sur le site http://www.stadedereimsbillet.fr" onclick="window.open(this.href);return false; ne seront pas opérationnelles pour le 2 premiers matchs la saison. Un nouveau système devrait être mis en service pour le match Reims-Montpellier du 15 septembre.

Nous tenons également à informer nos supporters que l’accès E (Méano nord) sera fermé toute la saison sur demande de la préfecture.

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M. Tacalfred : Davantage d’exigence en Ligue 1
Quels enseignements tires-tu de ce premier véritable test contre Valenciennes ?
On a fait un bon match qui nous permet de nous situer un peu par rapport à une équipe qui joue le milieu de tableau de ligue 1. On a mené au score en faisant des choses intéressantes dans le jeu et on aurait pu avoir un avantage plus conséquent en étant plus réaliste. On se fait égaliser sur une erreur qu'on paye cash. C'est un bon nul même si on méritait mieux.

Y avait-il des consignes différentes par rapport à l'an dernier ?
Non. On fait ce que l'on sait faire c'est à dire produire du jeu. On insiste aussi dans l'engagement et l'agressivité dans le bon sens du terme. Si on n'est pas présent dans ces domaines, on se fait marcher dessus et on subi. Il faut que l'on gagne les duels puis que l'on s'appuie sur ce que l'on a su faire la saison dernière. On a une touche technique supplémentaire avec Antoine Devaux au milieu, mais il y aussi l'impact de Grzegorz qu'on connait et l'apport de Mohamed Fofana derrière.

As-tu trouvé le niveau différent par rapport à la saison dernière ?
Pas vraiment, non. C'était assez proche mais cela reste un match amical. Il faut voir ce que cela donnera en championnat. On a réussi à installer notre jeu et c'est ce que l'on voulait faire.

On joue trois matches en huit jours, sens-tu cette odeur de première journée ?
Oui, on commence à la sentir. Avant, on trouvait le temps un peu long mais là on est clairement dans le vif du sujet. C'est la dernière ligne droite. On a deux matches pour continuer à peaufiner les automatismes et pour engranger de la confiance.

Comment te sens-tu physiquement ?
Bien. J'ai bien encaissé la préparation. L'équipe aussi. On est bien en jambe et j'espère qu'on va continuer à monter en puissance.
Il y a eu ces discussions personnelles avec le coach, sans tout dire évidemment, quelles ont été les grandes lignes de ta discussion ?
On a fait un petit bilan de la préparation et de ses attentes nous concernant pour le championnat et la vie du groupe. Je sais que je dois être performant pour jouer car il y a de la concurrence et que ce qui s'est passé la saison dernière ne compte plus. On est en Ligue 1, il y a davantage d'exigence et il faut se préparer à tout cela. Il faudra faire plus, ce qui est normal.

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Quand Courtet brouille les cartes
L'heure des premiers choix approche, et le troisième match de préparation, le premier de deux confrontations avec un concurrent de L1, a permis à certains joueurs de marquer des points.
Ainsi, devant un Agassa rassurant, Glombard, Tacalfred et Signorino ont confirmé leur statut. Weber et Fofana se disputeront le deuxième poste dans l'axe.
Au milieu, le duo Krychowiak - Devaux, au potentiel athlétique et technique insoupçonné, semble avoir repoussé, pour l'heure, la concurrence de Ramaré, Ghisolfi, Ca, voire Peuget s'il redevient opérationnel
Un peu plus haut, dans un rôle d'animateur offensif, mais aussi de premier « harceleur-récupérateur », Courtet, également buteur prolifique contre Vannes, semble plus en jambes et donc plus influent dans le jeu que Ghilas et Pereira. Le Breton présente aussi l'avantage de pouvoir occuper un poste plus avancé.
Dans les couloirs, Fortes à droite et Ayité à gauche, partent titulaires. Le Cap-Verdien, toujours percutant en attaque et aussi précieux dans le repli défensif, pourrait, s'il le souhaite vraiment, être l'une des révélations de la saison de L1. Le Togolais, plutôt inspiré samedi, apporte cette touche de fantaisie et de folie, que ne devrait pas altérer l'indispensable travail de replacement défensif.
En pointe, Toudic et Fauvergue (qui se remet d'une tendinite au genou) au profil différent, sont toujours au coude à coude.

Reims sur de bonnes bases
A son avantage contre Vannes et Valenciennes, Gaëtan Courtet offre des perspectives très intéressantes.

FOOTBALL (Ligue 1). Développant un jeu plaisant et varié, le Stade a confirmé ses progrès face à Valenciennes, un rival direct pour le maintien. Mais ce n'est qu'une étape.

LES voyages forment la jeunesse, dit-on, et le court et amical déplacement des Rémois samedi dans la limite nord du Hainaut, chez leurs voisins valenciennois, a sans doute officialisé l'acte constitutif d'une saison de grands espoirs.
Car, indépendamment de ce nul (1-1) bien trop généreux pour les Nordistes - pensionnaires permanents de la Ligue 1 depuis 2006 -, ne reflétant aucunement la physionomie d'une partie déséquilibrée sur le terrain, c'est l'image laissée dans le bel écrin rouge du VAFC, qui compte. Et dans ce domaine-là, il n'y a pas eu photo.
Le public local, connu pour son amour de la combativité, de la générosité et l'esprit d'initiative, semblait plutôt surpris, voire agacé, de découvrir ces valeurs dans le camp d'en face. Un avis partagé par Daniel Sanchez, un entraîneur valenciennois agréablement surpris par la bonne tenue stadiste. « L'opposition était bien meilleure aujourd'hui, Reims est dans une bonne dynamique, ça joue énormément. Les Champenois ne semblent pas connaître le doute, c'est un élément important dans la conception du jeu ».
Ainsi, son 4-2-3-1 a été balayé par le tourbillon offensif adverse déployé après un travail de récupération sobre, rapide et efficace. « J'ai vu des comportements satisfaisants en terme de travail collectif et de pressing haut sur le porteur du ballon, avoua un Hubert Fournier rassuré après le brouillon de la 1re mi-temps face à Vannes. Cette fois, l'équipe a proposé plus d'homogénéité et de constance dans la durée ».
Olivier Guégan, toujours pointilleux sur les détails techniques, tactiques ou physiques, évoquait, lui, cette « cohérence » affichée, et ce « désir d'aller de l'avant ». « Notre pressing collectif a non seulement désorganisé le jeu adverse, mais nous a permis de déclencher très haut nos offensives ».

Guégan : « Savoir prendre sa chance »
Samedi, cette tâche éprouvante mais indispensable pour se rendre maître du ballon, s'est répartie autour d'un trio inédit composé de Krychowiak, Devaux et Courtet. Ce dernier, dans un rôle libre au sommet d'un losange bien en place, peut mettre à profit son enthousiasme et sa fraîcheur. « Il court, il presse, il saute, admet Guégan, il peut être bon dans ce rôle ».
Sans verser dans un optimisme béat, Hubert Fournier reconnaissait que l'intention stadiste était bien de ne pas subir : « Nous avons été plutôt actifs, conquérants. J'ai bien aimé notre gestion des temps forts et faibles. C'est un concept que nous avons beaucoup travaillé ».
Reste le point noir de la concrétisation des nombreuses occasions de but. Olivier Guégan regrettait ce petit manque de confiance qui incite à vouloir faire une passe supplémentaire plutôt que de prendre sa chance. « On doit déclencher le tir. A vingt mètres, certains doivent tenter leur chance ».
Le staff technique, qui avait annoncé ce match comme un test important, a été rassuré. « L'audace fait partie des gènes de cette équipe et on ne va pas changer notre philosophie de jeu. Le test a été probant, même si cela ne reste qu'un match de préparation. Il faut garder de la mesure. Mais gagner en confiance n'est jamais un luxe avant la reprise ».
Le face à face du 12 août avec les Marseillais d'Elie Baup, vainqueurs enfin en préparation samedi contre Evian (2-1), promet du spectacle.

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Stade de Reims / Les grands travaux à Delaune
Aux abords du stade, un parking pour les VIP sort de terre. Dans les tribunes, le travail continuera jusqu'à la reprise.

FOOTBALL (Ligue 1). Après 33 années de disette, le stade Delaune doit subir des aménagements avant de rentrer dans le grand bain.

LA charte imposée par la ligue professionnelle de football pour les clubs de Ligue 1 n'a pas grand-chose à voir avec les textes régissant la vie des professionnels de la Ligue 2. Et pour cause, si le stade Delaune pouvait accueillir sans la moindre difficulté les matches de Ligue 2 la saison passée, une cure de jouvence et des aménagements devront rapidement être opérés pour héberger les très grosses infrastructures inhérentes à l'élite du football hexagonal, y compris autour du terrain d'entraînement des Thiolettes. La mue commencera par un agrandissement conséquent des vestiaires sur ce lieu d'entraînement situé au cœur du quartier Europe, à deux pas de la piscine. Les responsables du stade devront donc pousser les murs pour se mettre aux normes. Sans autre choix que de se plier à la règle, sous peine de sanctions financières.

Pour la presse
Au niveau du stade Delaune, la copie sera également à revoir. À commencer par un déménagement et une refonte totale de la salle de presse et la salle permettant aux photographes de transmettre leurs clichés vers les rédactions et autres agences de France et de Navarre. Pas moins de 60 m2 devront être trouvés au rez-de-chaussée, à proximité immédiate de la pelouse, afin de faciliter le travail des journalistes.
Toujours côté presse, d'autres aménagements seront effectués. Beaucoup plus de médias sont, en effet, et c'est logique, attendus pour couvrir les rencontres de Ligue 1. La saison passée, une cinquantaine de pupitres étaient disponibles. Cette année, ce sont 80 nouvelles tablettes qui attendront les scribouillards, 48 pour la presse écrite, 17 pour la radio, 15 pour les télés.
Un grand chambardement qui aura forcément un coût. « En termes de structure et surtout d'organisation, le dernier match de l'équipe de France, qui a rencontré l'équipe de Serbie le 30 mai dernier, nous a énormément servi. Nous avons beaucoup de leçons à retenir de la machine très bien huilée que tout le monde avait pu observer en coulisses », confie un cadre du Stade de Reims.

Pour les VIP
Autre structure à mettre en place d'urgence, de préférence avant le 12 août prochain, date de la reprise du championnat des Rouge et Blanc contre l'Olympique de Marseille, un espace destiné aux VIP. Qui dit Ligue 1, dit forcément accueil de personnalités du monde du football certes, mais aussi de la politique, du spectacle, de l'économie ou des finances. Dans un souci de confort, 240 m2 environ seront aménagés entre la tribune Jonquet et la patinoire Bocquaine pour un accueil optimum. Et un parking dédié à ces VIP prend forme de l'autre côté de l'enceinte.
La grosse machine de la Ligue 1 se met en place petit à petit. Après 33 ans d'attente pour retrouver l'élite, tout le monde pourra patienter quelques semaines encore afin que tous ces aménagements soient effectifs.

La Ville devrait tenir une conférence de presse dans les jours à venir, afin d'effectuer un point complet sur ces aménagements ainsi que sur le stationnement les soirs de match.

[spoucknick00]

putain avec tout ces travaux sa fait bizarre au stade

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La déclaration du soir est celle de Lucas Deaux, ancien joueur du Stade de Reims qui a déclaré au journal "20 Minutes" à propos du club marnais : "Cela fait deux ans que je voulais partir. Je préfère m'épanouir dans un club de L2 qui me veut plutôt que de jouer dix minutes de temps en temps en Ligue 1"

enc***** de Deaux grosse tete de merde

[spoucknick00]

bah c est claire que c est pas comme ça qu il va progresser ... Courtet est l exemple parfait du moment ....

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Le cap des 5 900 abonnés est atteint

Le Stade de Reims à atteint le cap des 5 900 abonnés pour cette saison 2012/2013. Rendez-vous après le match contre l'Olympique de Marseille pour la suite de la campagne d'abonnement. On compte sur vous !

UNFP - Reims : 4-1
Les Stadistes ont été battus cet après-midi par les joueurs de l'UNFP qui ont mis les ingrédients nécessaires pour tranquillement gagner ce match.
Malgré leur domination dans l'utilisation du ballon, les partenaires de Johan Liébus encaissaient deux buts sur deux erreurs de défense en première période. Jérémy Malherbe allait à son tour chercher le ballon au fond des filets dès la reprise, sur une faute de relance dans l'axe. Les Champenois étaient même tout près de la déroute mais le nouveau portier Marnais maintenait le suspens.
En fin de rencontre Mandi réduisait bien le score mais Rénouard marquait un quatrième but peu après. Le résultat du match était lourd et sonnait comme un vrai avertissement pour les hommes d'Hubert Fournier.
Ultime répétition ce samedi à Delaune contre Nancy avant le choc face à Marseille. Avec on espère un peu plus de maitrise...

[spoucknick00]

defaite avec l UNFP quel honte et encore des buts encaissé . J avais dis que la defense serait nul , c est ce qui va nous faire defaut

pour les abonnements , je suis sur le cul . Bravo aux remois qui se sont abonné

[babar051]

Stade de Reims - UNFP : 1 - 4
Le Stade de Reims s’est incliné 4 buts à 1, ce mercredi à Epernay, face à une sélection UNFP emmenée par des joueurs tels que Vincent Fernandez, Jeremy Berthod, ou encore Guillaume Moullec. Les joueurs d’Hubert Fournier, malgré une possession de balle favorable en début de match, et la volonté de poser leur jeu, se font cueillir à froid à la 25e minute par Nabil Ouarguini qui reprend un ballon dans la surface et fusille Johan Liebus (1-0). Devant près de 1000 spectateurs, les joueurs de l’UNFP vont prendre le large quelques minutes plus tard, grâce au même Ouarguini, qui profite d’une erreur défensive pour reprendre la balle et lober Liebus (2-0, 32e).

En deuxième mi-temps, Hubert Fournier effectue quelques changements. Malherbe remplace Liebus dans les buts, Ghisolfi et Courtet entrent en lieu et place de Toudic et Ghilas. Mais rien n’y fait. C’est au contraire l’UNFP qui aggrave le score à peine une minute après le coup d’envoi par Merlin (3-0, 46e). Si Aissa Mandi réduira le score un peu plus tard (3-1, 72e), le score s’alourdira encore un peu plus, par l’intermédiaire de Sébastien Renouard, à la réception d’un centre en retrait, à deux minutes de la fin (88e, 4-1). Un résultat certes « décevant » comme l’a confié Hubert Fournier à la fin du match, mais qui doit servir d’avertissement avant l’ultime répétition, samedi soir à 19h00 au Stade Delaune, face à Nancy.

La composition du Stade de Reims : Liebus (Malherbe, 46e)- Mandi, Sekkat, Fofana, Weber – Ramare, Ca, Benedick, Pereira, Ghilas (Courtet, 60e), Toudic (Ghisolfi, 46e).

La réaction d’Hubert Fournier :
" Le score est logique. Face à une équipe qui a montré plus de détermination, d’envie. C’est embêtant, c’est énervant. C’est une question de conviction. Nous avions en face de nous des joueurs qui cherchent un boulot. Il est quand même triste que nous, à l’aube d’une saison de Ligue 1, nous n’y mettions pas tous les ingrédients nécessaires pour mettre à défaut cette équipe. C’est une déception, même s’il ne faut pas en tirer plus de conséquences que cela. Le gros enseignement, ce sera samedi contre Nancy. Il faudra, quoi qu’il arrive, montrer un autre visage ".

[spoucknick00]

tres bizarre cette compo ...c est pas les titulaire qui joue d hab

[babar051]

Reims - Marseille à guichets fermés !
Toutes les places ont été vendues et la rencontre se jouera donc à guichets fermés.

Bravo à tous et allez Reims !

[babar051]

Stade de Reims / La pelouse du RCE très prisée
Entretenue toute l'année, la pelouse du stade Paul-Chandon n'a fait l'objet d'aucune préparation particulière pour cette rencontre.

FOOTBALL (Ligue 1). Après Sedan le 7 juillet, c'était au tour de Reims, hier soir, de venir parfaire sa préparation sur la très appréciée pelouse du Racing club d'Epernay.

ENTRE le Racing club d'Epernay (RCE) et le Stade de Reims, c'est une histoire d'amour qui dure depuis longtemps. Si plusieurs joueurs d'Épernay ont déjà porté les couleurs de Reims, à l'image de Franck Mazuel, Marc Guardiola ou Michel Sylvestre, le club a également la réputation d'accueillir les matches amicaux du Stade.
Plusieurs raisons à cela. « C'est le fruit d'un accord entre le président sparnacien, Arnaud Gobillard et son homologue rémois, Jean-Pierre Caillot », explique Pascal Soardy, le secrétaire du club d'Epernay. Autre raison, celle-ci plus technique : « La pelouse du stade Paul-Chandon est sans aucun doute l'une des meilleures au niveau Champagne-Ardenne. »
Une renommée qui n'est donc plus à faire, et une organisation parfaitement rodée du côté du RCE.

Pas de Reims-Lille…
Hier soir, pour son retour en Ligue 1, le Stade affrontait l'Union nationale des footballeurs professionnels (UNFP). On ne cachait pas, du côté du club, que l'affiche Reims-Lille initialement envisagée aurait eu un attrait supplémentaire. Trop coûteuse pour le modeste RCE. « C'est vrai qu'on aurait aimé une rencontre entre deux équipes de Ligue 1 », confie le secrétaire. De là à envisager un Reims-Marseille ou un Reims-PSG ? « Impossible, pour des raisons de sécurité ! »

… ni de Reims-Marseille
Attention, qu'on ne s'y trompe pas ! Le RCE se satisfait de cette affiche. Passé les frais d'arbitrage et de déplacement des deux équipes, « les bénéfices générés par cette rencontre mettront du beurre dans les épinards du club ».
Mais hier, c'était surtout l'occasion de voir évoluer le Stade et les joueurs de l'équipe adverse qui n'ont pas encore de clubs.
« Quelques jours avant la rencontre, les contacts avec les agents sportifs se sont multipliés », ne cache pas le secrétaire du RCE. Une fois de plus, le Racing club a prouvé, si besoin était, un dynamisme et une aura à l'image de la capitale du champagne.

[babar051]

Fauré : « Le bon choix »
Retour dans les Côtes d'Armor huit ans après pour le buteur rémois.

FOOTBALL (Ligue 1). Officiellement guingampais pour deux ans

A 33 ans, Cédric Fauré se veut philosophe : « On est toujours attendu quelque part, il suffit juste de savoir où ». Lâché par Reims, le voilà qui rebondit sur le sable guingampais, dans les Côtes-d'Armor. « Ça me plaît bien de revenir ici », avoue-t-il, persuadé qu'il retrouvera en Bretagne un terreau fertile à son épanouissement.

Cédric, pourquoi avoir choisi Guingamp ?
« Parce que c'est l'un des clubs avec lequel j'avais établi des contacts. J'ai senti qu'on me désirait et j'ai été convaincu à l'idée que je pouvais contribuer à le faire progresser. »

On a longtemps pensé que Bastia ou Lens tenaient la corde…
« Il y a eu des discussions avec ces clubs, avec Nantes aussi. Mais il fallait attendre qu'ils dégraissent leur effectif. Guingamp s'est montré le plus prompt à me trouver une place. Je ne regrette pas de me lancer dans une nouvelle aventure. »

Avec deux ans de contrat en prime…
« C'est ce que je souhaitais. En deux saisons, on peut montrer sa valeur. C'est un signe de confiance. Revenir à l'En Avant, c'est aussi le choix du cœur. Je vais gagner du temps sur le plan de l'adaptation. Ce matin (hier), j'ai passé la visite médicale et là, je viens de parapher mon contrat. »

« Le bord de mer a son charme »

Qu'attend de vous Jocelyn Gourvennec ?
« Le coach m'a fait comprendre qu'il attendait un buteur, un renard des surfaces, afin de convertir les actions offensives. Il attend aussi que j'apporte mon expérience aux plus jeunes, que je les aide à progresser. »

Au niveau du jeu, vous n'avez pas choisi la plus vilaine des équipes…
« Guingamp est une équipe qui joue bien au ballon, qui a le souci d'aller de l'avant. J'ai vu plusieurs de ses matches à la télé et j'ai toujours été séduit. Elle ressemble un peu à Reims, avec des joueurs qui jouent depuis longtemps ensemble. »

Reims et Guingamp sont deux villes bien différentes..
« Ici, c'est beaucoup plus petit, mais le bord de mer a son charme. C'est même assez sympathique. Je pense que ma famille s'y plaira. »

Avez-vous reconnu des anciens de la maison que vous aviez fréquentés lors de la saison 2004-2005 ?
« Quelques-uns dans l'intendance. Sinon, chez les joueurs, j'ai joué avec Christophe Mandanne à Reims, Thibault Giresse à Toulouse et Grégory Cerdan au Mans. »

Quand pensez-vous débuter sous vos nouvelles couleurs ?
« Mon premier entraînement est prévu demain (aujourd'hui). Le coach va décider, mais je ne pense pas faire partie du groupe vendredi (demain) contre Le Havre. Ensuite, il y a le match de Coupe de la Ligue mardi à Arles-Avignon, suivi d'un déplacement le vendredi à Angers. Le prochain match au Roudourou sera contre Monaco. »

mon faufau

[spoucknick00]

je suis content pour faufau qui sera pas chomeur , mais que sa me fasse chier qu il soit pas rester un an a Reims

[babar051]

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voila un résumé de 15min du match reims - UNFP

[spoucknick00]

pffff montré une debacle ...ou comment se faire ridiculisé en 15 minutes lol . J espere que samedi , ils joueront mieux

[babar051]

Les Rouge et Blanc version 2012-2013
REIMS (Marne) 33 ans après, le rêve est devenu réalité. Cette saison, le Stade de Reims retrouve l'élite du football français. L'occasion de présenter l'équipe à l'occasion du match contre l'AS Nancy-Lorraine qui débutera ce soir à 19 heures à Delaune. Le staff, dirigé par Hubert Fournier, n'a eu que quelques semaines pour créer de la cohésion et une unité au sein d'un groupe qui comporte pas mal de têtes nouvelles.

ON avait quitté les Rouge et Blanc tout sourire au soir de fêter, devant leur public, leur accession en Ligue 1. C'était contre Lens à Delaune. Cette année, le défi des joueurs est maintenant de tout donner pour rester dans l'élite du football français. Cette Ligue 1 tant attendue débarque enfin. Avec ses grands noms, des clubs mythiques… et ses pièges. Ne pas faire l'ascenseur, se rassurer dans les premières journées.

Du lourd pour débuter
Les joueurs d'Hubert Fournier, qui s'attend « à une saison palpitante et difficile », auront fort à faire mais ils ont prouvé la saison passée qu'ils avaient les reins solides, que la pression ne leur faisait pas peur et qu'ils étaient en capacité de tenir la distance.
Dimanche 12 août, à 21 heures, le Stade de Reims retrouvera l'Olympique de Marseille, sa stature, ses ultras. Une extraordinaire façon de retrouver le grand bain de la Ligue 1 en commençant par un des clubs les plus imposants de l'Hexagone, même si les résultats des dernières saisons ont pu laisser les fans de la Cannebière sur leur faim.
Dix-neuf matches à domicile en championnat, dix-neuf soirs où tout le monde voudrait voir le public et son équipe ne faire plus qu'un. Contre l'Olympique de Marseille et pour fêter la fin de 33 ans de disette, on jouera à Delaune à guichets fermés. Et tous les supporters rémois auront à cœur de s'habiller en rouge et blanc.

Encore un derby
Mais combien seront-ils lors du second match, le 25 août, contre Sochaux ? Car on le sait, une saison, c'est long, très long. Espérons que les supporters répondront présent pour les matches de cet hiver contre des équipes, certes moins prestigieuses, mais tout autant, sinon plus talentueuses que Marseille.
Cette année encore, les Rémois croiseront la route d'autres régionaux. Certes, les Ardennais de Sedan n'ont pas pu obtenir leur billet pour l'élite mais le voisin troyen, lui, sera bien sûr le chemin des Stadistes dès le 27 octobre dans le cadre de la dixième journée de championnat.

Debout les gars
Fort de près de 6 000 abonnés, le Stade de Reims sait qu'il va devoir se sortir les tripes pour se mettre le plus vite possible à l'abri. Kopa, le président d'honneur du club, a demandé aux joueurs de « se retrousser les manches ». On serait bien tenté de leur dire, dès ce soir contre l'AS Nancy-Lorraine : « Debout les gars, réveillez-vous, il va falloir… ». En effet, au vu des matches de préparation où ils n'ont pas particulièrement fait d'étincelles, les Rouge et Blanc doivent redescendre de leur nuage de l'accession. Car la ligue 1, c'est maintenant.

[babar051]

Les matches de Ligue 1 au stade Delaune
Dimanche 12 août : Stade de Reims/Olympique de Marseille.
Samedi 25 août : Stade de Reims/FC Sochaux.
Samedi 15 septembre : Stade de Reims/Montpellier Hérault SC.
Samedi 22 septembre : Stade de Reims/AS Nancy-Lorraine.
Samedi 6 octobre : Stade de Reims/OGC Nice.
Samedi 27 octobre : Stade de Reims/Estac.
Samedi 10 novembre : Stade de Reims/Evian TG FC.
Samedi 24 novembre : Stade de Reims/Stade Brestois 29.
Samedi 8 décembre : Stade de Reims/Girondins de Bordeaux.
Samedi 15 décembre : Stade de Reims/Losc Lille.
Samedi 12 janvier 2013 : Stade de Reims/SC Bastia.
Samedi 26 janvier : Stade de Reims/Toulouse FC.
Samedi 16 février : Stade de Reims/AS Saint-Etienne.
Samedi 2 mars : Stade de Reims/Paris Saint-Germain.
Samedi 16 mars : Stade de Reims/Stade Rennais FC.
Samedi 6 avril : Stade de Reims/Olympique Lyonnais.
Dimanche 21 avril : Stade de Reims/Valenciennes FC.
Samedi 4 mai : Stade de Reims/AC Ajaccio.
Samedi 18 mai : Stade de Reims/FC Lorient.

Les jours et horaires de matches ne sont pas tous disponibles et sont susceptibles de varier. Les données présentées sont issues du site internet de la Ligue professionnelle de football.

[spoucknick00]

babar , tu as les matchs a l exterieur du mois d octobre ? le psg c est quand et st etienne c est quand ??? je ferrais surement les deplacements ...enfin si je peux avec mes vacances :siflotte:

[babar051]

Stade de Reims - Nancy : 1 - 3
La Feuille de match :
Spectateurs : 4 118
Stade de Reims : Liébus – Signorino, Tacalfred (cap), Weber, Glombard (Mandi, 77e) – Devaux (Ghisolfi, 86e), Krychowiak, Fortes, Ayite – Ghilas (Toudic, 66e), Courtet.

Nancy : Ndy Assembe – Sami, Puygrenier, André Luiz, Haidara - Karaboue, Sane, Ayasse - Mollo, Moukandjo, Bakar.

Le Stade de Reims disputait ce soir au Stade Delaune, son dernier match de préparation face à l’AS Nancy Lorraine, trois jours après la rencontre perdue face à l’UNFP (4-1).

Les hommes d’Hubert Fournier entrent dans la rencontre avec une envie évidente d’aller de l’avant. Dès la 8e minute, Floyd Ayite, déborde sur le côté gauche et offre un bon centre en retrait qui longe la ligne de but sans trouver preneur. Quelques minutes plus tard, c’est Gaétan Courtet (15e), sur la gauche de la surface, qui décoche une belle frappe bien captée par le gardien adverse. Aucune occasion Nancéenne jusqu’à ce double coup de tonnerre. Nancy marque deux fois en trois minutes : Par Bakar, sur un tir d’environ 20 mètres, puis sur une incursion d’Haidara qui place une frappe croisée (0-2). Les Rouge et Blanc tente immédiatement de réagir, par l’intermédiaire de Kamel Ghilas, dont la frappe flirte avec le poteau adverse (18e). Le Stade de Reims parvient tout de même à réduire le score grâce à Gaétan Courtet. Ce dernier, plein axe, frappe sur le gardien qui repousse….sur Courtet qui en profite et pousse le cuir au fond des filets (1-1).

En deuxième mi-temps les choses ne s’arrangent malheureusement pas. Dès la 51e minute, Mollo prend à défaut la défense rémoise et vient une nouvelle fois tromper Liébus, pour Nancy, d’une frappe bien ajustée (1-3). Encore une fois, les Stadistes tentent de réagir. 57e minute : Bon débordement de Franck Signorino, Gaétan Courtet vient couper, mais le ballon n’est pas cadré. A la 71e, un nouveau centre rémois, de Christopher Glombard cette fois, passe droit devant le but sans trouver preneur. Une minute plus tard, une frappe de vingt mètres de Julien Toudic est difficilement repoussée par le gardien nancéen. Le public à beau pousser son équipe, rien n’y fait. A la 81e, sur un nouveau débordement, Floyd Ayite centre ras de terre pour Julien Toudic, qui reprend dans la course mais son ballon est détourné. Le score ne bougera plus et le Stade de Reims s’incline face à un adversaire plus réaliste (1-3).

La réaction d'Hubert Fournier :
C’est à travers ce type de match que l’on apprend beaucoup. On apprend ce qu’est l’efficacité de la Ligue 1, face à une équipe bien regroupée et qui joue le contre. Et quand tu es mené, cela devient compliqué car c’est une équipe avec des attaquants très rapides, qui peuvent à tout moment te mettre en difficulté. Quand on analyse avec un peu plus de recul, il y a des choses intéressantes au niveau du jeu, mais il faudra, dans les semaines qui viennent, gommer les fautes de concentration, les erreurs techniques : Deux buts sur trois sont consécutifs à une perte balle à l’approche de notre but. Et cela en Ligue 1 : Ca ne pardonne pas.

[babar051]

alors les match a l'exterieure du stade sont :

St-Etienne - Reims le 29 octobre
PSG - Reims le samedi 20 octobre

[spoucknick00]

ouai et avant ???

[babar051]

Stade de Reims / Apprenti trop distrait
Fortes, coincé ici entre Bakar et Puygrenier, a lui aussi manqué d'inspiration en attaque.

REIMS (Marne) Reims poursuit maladroitement son apprentissage dans l'élite. Battu par Nancy hier, il a encore des progrès à faire dans tous les domaines.

S'ILS avaient eu le choix, les Stadistes auraient évidemment préféré une une défaite hier soir face à Nancy si elle leur garantissait un succès dimanche prochain face à Marseille. Mais le foot est si capricieux qu'il ne vous offre pas la possibilité de hiérarchiser vos envies. Mal embarqué dans une opposition athlétique avec son voisin nancéien, Reims est tombé non sans panache, ce qui, à dire vrai, n'est pas plus rassurant.

Fernandez dépité
Mais, ô paradoxe, à l'issue de cet ultime affrontement d'avant-saison, Jean Fernandez, le coach visiteur, vieux routier du championnat, se montrait beaucoup plus sévère que son jeune homologue rémois, à l'heure de l'analyse d'un match à l'intensité alternative.
« On ne va pas se gargariser, expliqua « Jeannot » un brin dépité, nous n'avons pas fait un bon match ». Pour Hubert Fournier, la seule inquiétude vient du résultat car, en dépit des difficultés rencontrées, il estime que son équipe n'a pas à rougir de cette défaite, la deuxième consécutive en quatre jours.
Dans un Delaune à demi clos, le Stade, dans ses petits souliers après sa déconvenue sparnacienne face à l'UNFP, espérait beaucoup de ce test face à l'une des organisations les plus hermétiques de la L1.
Avec Agassa et Fofana dans les tribunes, Toudic sur le banc et Courtet seul en pointe, Reims allait, une mi-temps durant, subir la puissance athlétique et collective de Lorrains très appliqués et vigilants autour d'un robuste triangle composé de Puygrenier, Andre Luiz et Sané.


Costaud derrière, mobile devant, Nancy contenait sans trembler les velléités locales, se résumant essentiellement à des appels en profondeur, variés mais épuisants de Courtet.
C'est logiquement que le Breton parvenait à réduire la marque suite à un contre favorable sur Ndy Assembe.
Auparavant, Liébus avait récupéré deux ballons dans ses filets. D'abord sur un tir à ras de terre de Bakar, puis sur une reprise croisée du latéral gauche Haïdara.
Vraiment pas à la fête et incapables de résoudre l'équation à plusieurs inconnues proposée par des Lorrains au jeu plus mature, les Champenois attendaient la reprise pour dynamiser leurs intentions offensives. Les fautes d'attention du début de match moins nombreuses, le Stade allait se créer, sans les concrétiser, une kyrielle d'occasions franches, ce qui eu le don de franchement agacer Jean Fernandez.


« Il y a encore du boulot »
En reprenant la possession du ballon, Reims s'assurait une deuxième période plus sereine. Mais il fallait bien plus que quelques coups d'éclats d'Ayité pour refaire un handicap creusé encore par un but en contre de Mollo, se jouant trop facilement de Tacalfred et Liébus, après un ballon bêtement perdu par Krychowiak.
« Nous n'avons concédé trop d'occasions, reconnaissait Hubert Fournier, mais le résultat nous est défavorable ». L'entraîneur rouge et blanc estimait certes « qu'il y avait encore du boulot », mais souhaitait fermement que certains de ses joueurs se décident à hausser le niveau de leur jeu.
Car, pour l'heure, le Stade de Reims pâtit de quelques insuffisances criantes, qu'il pourrait regretter durant ce mois d'août qui le verra affronter successivement Marseille, Bastia et Sochaux. Des clients au moins aussi redoutables que Nancy.