[CLUB] - STADE DE REIMS

[spoucknick00]

bah ça permetra de voir fofana , il n a pas ete mauvais sur ses dernieres sorties

[babar051]

Hubert Fournier : Une belle soirée
Il était important de gagner après deux défaites consécutives. C'est évidemment un bon résultat. Ce type de match, contre un concurrent direct, il faut parvenir à le gagner et c'est ce que l'on a fait ce soir. A ce moment de la saison c'est très intéressant.
On avait à coeur de faire notre match et pour avoir vécu la spirale de Sochaux l'an dernier on sait que c'est compliqué à vivre.
On est à la moitié du chemin ce soir et on est évidemment satisfait de ce résultat. C'est une belle soirée.

Jean-Pierre Caillot : On sait réagir
Les garçons ont répondu de la meilleure des façons après Saint-Etienne. La lourde défaite subit là-bas ne reflétait pas la physionomie du match.
Ce soir on a prouvé une fois de plus qu'on savait réagir, qu'on avait des qualités mentales et des vertus pour aller chercher un résultat positif. C'est forcément une très bonne opération puisqu'on gagne contre un concurrent direct.
On n'oublie pas qu'après 16 journées on est déjà allé 9 fois à l'extérieur et avoir 22 points dans ce cadre est intéressant. Cette victoire va faire du bien dans la tête et on se penche maintenant sur la réception de Nice samedi à Delaune.

Didier Perrin : Une victoire importante
C'est une victoire importante contre un concurrent direct. Elle fait du bien dans les têtes et au classement et nous donne douze points d'avance sur le premier relégable. Dans cette série de matches rapprochés, gagner ici était important et cela nous permet de préparer sereinement la rencontre de samedi.

[babar051]

Les regrets de Pereira
Quentin Pereira à l’école de la patience.

Mais où est passé Quentin ? Revenu de Sochaux en janvier 2012, dans sa « ville », dans son « club », Quentin Pereira Leite a disparu des écrans radars. À 21 ans, le meneur de jeu qui excelle dans le jeu court et rapide, n’aura joué que 6 matches de Ligue 2 en Rouge et Blanc, prenant chichement part à l’historique accession du Stade de Reims en Ligue 1.
Et puis, plus rien. « Le mois prochain ça fera deux ans que je suis revenu au Stade et, objectivement, on ne peut pas dire que mon bilan soit très brillant ». Serait-ce l’histoire d’un come-back raté ? « Ça avait plutôt bien commencé, avoue Quentin, mais quand j’ai vu tous ces joueurs qui débarquaient, je savais que ça allait être compliqué ».

« Je bosse en silence »

Toujours à fond à l’entraînement, Quentin Pereira se contente depuis de progresser au contact de ses coéquipiers. « J’ai sollicité un prêt cet été, mais cela ne s’est pas concrétisé. Je me suis fait une raison. Soit je passais mon temps à râler, à gamberger, soit je restais positif ». Alors, comme il dit, il s’est astreint à « bosser en silence ».
« Je reconnais que c’est difficile à vivre. Je m’entraîne toute la semaine avec les pros pour jouer le week-end avec les jeunes en CFA2. À ce niveau, t’es sans cesse montré du doigt. Si tu rates ton match, on te descend parce que t’es pro. Si tu réussis une belle prestation, on dit que c’est normal vu ton niveau ». Quentin y va à fond, sans calcul. « J’ai bien marqué quelques buts et adressé des passes décisives… »

Reste cette souffrance invisible qui le ronge au quotidien. Il rigole un peu quand on lui parle du « loft » stadiste au sein duquel il côtoie les Ghilas, Ouali et autres Peuget et Malherbe. « Nous faisons partie du groupe et respectons l’équipe. Personnellement je suis touché par le soutien de mes coéquipiers qui m’encourage à travailler. Parce qu’un jour, ça finira pas payer ». Le match de ce soir à Sochaux lui évoque de bons souvenirs : « Au moins 60 % de jeunes qui jouent sont de mon âge. Je les ai fréquentés au Lycée et au Centre de formation. Pour eux, ce match c’est à la vie à la mort. Ils sont dans le dur, ils vivent une saison galère ». Il s’attend à un match « serré, fermé. La première équipe qui marque l’emportera ».

[babar051]

Les regrets de Pereira
Quentin Pereira à l’école de la patience.

Mais où est passé Quentin ? Revenu de Sochaux en janvier 2012, dans sa « ville », dans son « club », Quentin Pereira Leite a disparu des écrans radars. À 21 ans, le meneur de jeu qui excelle dans le jeu court et rapide, n’aura joué que 6 matches de Ligue 2 en Rouge et Blanc, prenant chichement part à l’historique accession du Stade de Reims en Ligue 1.
Et puis, plus rien. « Le mois prochain ça fera deux ans que je suis revenu au Stade et, objectivement, on ne peut pas dire que mon bilan soit très brillant ». Serait-ce l’histoire d’un come-back raté ? « Ça avait plutôt bien commencé, avoue Quentin, mais quand j’ai vu tous ces joueurs qui débarquaient, je savais que ça allait être compliqué ».

« Je bosse en silence »

Toujours à fond à l’entraînement, Quentin Pereira se contente depuis de progresser au contact de ses coéquipiers. « J’ai sollicité un prêt cet été, mais cela ne s’est pas concrétisé. Je me suis fait une raison. Soit je passais mon temps à râler, à gamberger, soit je restais positif ». Alors, comme il dit, il s’est astreint à « bosser en silence ».
« Je reconnais que c’est difficile à vivre. Je m’entraîne toute la semaine avec les pros pour jouer le week-end avec les jeunes en CFA2. À ce niveau, t’es sans cesse montré du doigt. Si tu rates ton match, on te descend parce que t’es pro. Si tu réussis une belle prestation, on dit que c’est normal vu ton niveau ». Quentin y va à fond, sans calcul. « J’ai bien marqué quelques buts et adressé des passes décisives… »

Reste cette souffrance invisible qui le ronge au quotidien. Il rigole un peu quand on lui parle du « loft » stadiste au sein duquel il côtoie les Ghilas, Ouali et autres Peuget et Malherbe. « Nous faisons partie du groupe et respectons l’équipe. Personnellement je suis touché par le soutien de mes coéquipiers qui m’encourage à travailler. Parce qu’un jour, ça finira pas payer ». Le match de ce soir à Sochaux lui évoque de bons souvenirs : « Au moins 60 % de jeunes qui jouent sont de mon âge. Je les ai fréquentés au Lycée et au Centre de formation. Pour eux, ce match c’est à la vie à la mort. Ils sont dans le dur, ils vivent une saison galère ». Il s’attend à un match « serré, fermé. La première équipe qui marque l’emportera ».

[babar051]

Reims en mode maintien
Malgré Emmanuel Mayuka, Mohamed Fofana et Reims solides et appliqués l’autre soir dans le Doubs.

L’ambiance était plutôt détendue mercredi soir à l’heure de regagner le bus pour le groupe stadiste, vainqueur de Sochaux (2-0) quelques minutes plus tôt. Comme ses joueurs, sans se montrer trop gourmand, Hubert Fournier mesurait les bienfaits d’un troisième succès à l’extérieur, mettant fin à une série de trois rencontres d’insuccès. « Il nous attendait sur les coups de pied arrêtés, on ne les a pas fuis, il fallait gommer nos erreurs », expliquait Mohamed Fofana, rentré en première mi-temps après la blessure de Mickaël Tacalfred, incertain samedi face à Nice.
Du coup, Reims, repassé dans la première moitié du classement (sauf si Lyon l’emporte ce soir devant Toulouse, ou l’inverse avec un score large pour le Téfécé), possède 12 longueurs d’aise sur le premier non relégable et peut envisager plus sereinement son avant-dernière réception de l’année 2013 à Delaune (samedi, 20 heures). Devant une équipe dont la dégringolade s’avère vertigineuse (six revers de rang), il y aura matière à faire quelque chose. A priori…

Reims se remet à l’endroit
En signant son troisième succès à l’extérieur hier à Sochaux, le Stade s’est remis en selle. Les Doubistes eux, restent au fond du trou.

Pour son retour, Turan a bien géré le cas Contout.

Hervé Renard devra patienter pour connaître les délices de la victoire. Et ce n’est pas avec ce qu’ils ont montré hier soir que les lendemains s’annoncent de meilleur augure. Surtout à Paris samedi…
Reims, lui, s’est lavé la tête. Appliqué sur ses bases, le Stade a signé sans réellement trembler sa 5e victoire de la saison, sa 3e hors de Delaune où il accueillera Nice samedi.

LE CONTEXTE
Mobilisation générale dans le Doubs. Alors que le plus ancien des clubs en L1 se débat dans le fin fond du classement, surtout après sa raclée à Toulouse où Simon Pouplin a souffert, Hervé Renard a appelé à réagir devant l’urgence du tableau. Le successeur d’Éric Hély, qui a déjà connu « pareille situation dans sa carrière », faisait-il valoir chez nos confrères du pays Montbéliard, est au-devant d’un sacré défi (8 points après 15 journées).
En face, le Stade de Reims venait avec humilité, après ses déconvenues parisienne et stéphanoise, dans l’idée de redresser la barre. Et de montrer un visage autrement plus conquérant, avec Glombard balayant le front de l’attaque, Mandi reprenant son flanc droit, comme Turan le gauche, alors qu’Albaek était au soutien des attaquants. Comme à Marseille ou devant Bastia, contre lequel avaient été inscrites les dernières réalisations, il y a un mois.

LA PHYSIONOMIE
Une frappe aux 18 mètres de Prcic donnait le ton : Sochaux attaquait pied au plancher une partie capitale. Agassa ne pouvait que repousser l’essai du Bosniaque dans les pieds de Contout, qui goûta au gazon sur une intervention limite de Turan (5e).
L’envie était sochalienne, dans le sillage d’un Contout hyper remuant, fer de lance d’une attaque à trois pointes. En face, le Stade laissait l’initiative à De Préville, à la baguette et pas loin de trouver la mire sur une volée excentrée aux 18 mètres (14e). Deux minutes plus tard, Glombard la trouva avec le concours du portier du FCSM, tout à sa joie de son 2e but de l’exercice après celui inscrit face à Lille (2e journée).
Plus que jamais dans le rouge, les jaune et bleu repartaient quand même à l’assaut du but d’Agassa. Et le centre au cordeau de Camara trouvait même Bakambu à la finition (21e), mais, signalé hors jeu par son assesseur, M. Chapron invalidait logiquement l’égalisation.

Dans l’impasse, Hervé Renard lançait Frau le revenant sur le pré de Bonal pour déstabiliser un bloc rouge et blanc bien campé, en dépit de la sortie sur blessure de Tacalfred, suppléé par Fofana (26e).
Une demi-volée de Frau cadrée (57e) auquel répondait de Préville sur Pouplin (60e) : si Sochaux gardait l’emprise, Reims ne souffrait pas réellement, le déchet technique local expliquant aussi ceci.
Avant le dernier coup de tête rageur et gagnant de Prince Oniangué, sur une frappe repoussée de De Préville par Pouplin (87e). On en oublierait presque les deux ratés de Fortes (86e, 92e) et les poteaux de Charbonnier et De Préville dans le money-time… pour un succès hyper logique.

LE FAIT
L’opportunisme de Christopher Glombard. En mettant la pression sur Pouplin, qui avait le temps cependant de dégager devant l’ex-Bordelais, ce dernier a justifié le choix tactique du coach. N’en déplaise aux attaquants de métier restés sur le banc…

[babar051]

Dix jours pour Tacalfred
Le Stade de Reims devra se passer de son capitaine Mickaël Tacalfred pour une dizaine de jours, ce qui le privera de la rencontre face à Nice samedi (20h00) et éventuellement de celle face à Evian-Thonon-Gaillard le 14 décembre à Annecy. L’ancien Dijonnais, sorti mercredi au bout de vingt-cinq minutes à Sochaux (2-0), souffre d’un décollement de l’aponévrose, comme l’ont révélé les examens effectués ce jeudi. Il sera probablement remplacé par Mohamed Fofana, auteur d’une rentrée intéressante face aux Lionceaux.

[babar051]

Le groupe des 18 contre Nice !
Stade de Reims : Agassa, Placide – Weber, Fofana, Mandi, Signorino, Turan – Krychowiak, Albaek, Ca, Oniangue, Devaux, Fortes, Ayite – Atar, De Preville, Courtet, Charbonnier

Soins : Diego (Genou), Glombard (Mollet), Tacalfred (Adducteurs), Malherbe (Genou)

[Sinrok23]

tiens Charbonnier Spouck sera content

[PSGdu11]

Spouckie doit assister à un bon vieux 0/0 entre Reims et Nice ...

[PSGdu11]

Spouckie doit assister à un bon vieux 0/0 entre Reims et Nice ...

Et bien non ... non seulement le SDR a gagné 1/0 , mais en plus, Charbonnier a marqué ... la réaction du pingouin doit valoir le déplacement ...

[JJacq]

Content et pas content à la fois.

[spoucknick00]

Spouckie doit assister à un bon vieux 0/0 entre Reims et Nice ...

Et bien non ... non seulement le SDR a gagné 1/0 , mais en plus, Charbonnier a marqué ... la réaction du pingouin doit valoir le déplacement ...

j ai pas arreté de le critiqué tout le match et meme il fut sifflet . Et ce con marque , j aurais preferer perdre tient

[PSGdu11]

Tu devrais venir + souvent à Delaune : Charbonnier marquerait + souvent ...

[PPDMdu29]

le syndrome spouck l'année dernière c'était avec fauvergue la avec charbonnier je suis plié

j'imagine spouck pendant tout le match il peste contre lui... et à la fin tout le monde applaudi sauf 2 en tribunes et je suis sur que spouck a du se dire ' ptin l'enculé ' et babar a du lui rep ' jallai justement te le dire '

[babar051]

Reims - Nice 1-0
Stade Auguste Delaune - 14 757 spectateurs

Ligue 1 – 17e journée

Stade de Reims : Agassa – Mandi, Fofana, Weber, Signorino – Oniangue, Krychowiak (Devaux 36e), Albaek – Ayite (Fortes 72e), Charbonnier, De Preville (Courtet 60e)

OGC Nice: Veronese – Puel, Pejcinovic, Bodmer, Genevois, Kolodziejczak – Digard, Mendy, Bruins (Bauthéac 72e) – Bruls (Eysseric 64e), Cvitanich (Bosetti 85e)

But pour Reims : Charbonnier (90+3e)
Avertissement pour Reims: Charbonnier (30e)
Avertissements pour Nice: Puel (26e), Kolodziejczak (41e)

Après son succès à Sochaux (0-2), le Stade de Reims avait l’occasion de confirmer ce soir à Delaune face à une bête blessée, Nice, qui reste sur une série de six défaites consécutives.

Au cours de la première période, les Rouge et Blanc ont la possession et se procurent quelques occasions. D’abord par Floyd Ayité qui s’essaie aux abords de la surface sans contrôle, mais c’est légèrement trop haut (18e). Puis par Antoine Devaux qui, de la tête, reprend un corner au second poteau (41e). Côté Niçois, Digard se crée la plus grosse occasion de ces 45 premières minutes. Le capitaine azuréen pénètre dans l’axe mais échoue devant Kossi Agassa (11e). A la pause, le score (0-0) reflète complètement la partie.

Le début de la seconde est sans rythme, les Rouge et Blanc ont les meilleures intentions mais se heurtent à un bloc niçois dont l’ambition est clairement de ramener un point de ce déplacement. Afin d’y remédier, Hubert Fournier procède à deux changements offensifs. Courtet et Fortes remplacent respectivement De Preville et Ayite. Mais l’envie d’apporter le surnombre au sein de la défense adverse est à double tranchant. A la 74e minute, les Rémois s’exposent à un contre lancé par Bautheac. Le numéro 11 niçois met à contribution Kossi Agassa qui répond présent et repousse le ballon en corner. A la 89e minute, Eysseric sème la panique en récupérant le cuir à l’entrée de la surface mais sa tentative est contrée en corner. L’arbitre indique trois minutes de temps additionnel. Alors que l’on se dirige vers un match nul sans reflet, Antoine Devaux effectue un dernier centre. Le gardien Veronese détourne la tête de Prince Oniangue mais Odair Fortes récupère et transmet le ballon à Gaëtan Charbonnier qui délivre Delaune d’un plat du pied ajusté !!! (1-0, 90+3e). Les 14 757 spectateurs exultent et l’arbitre siffle la fin du match sur la remise en jeu.

Les Rouge et Blanc réalisent une excellente opération en allant chercher la victoire au bout du temps additionnel ! C'est donc une très bonne semaine pour les Stadistes qui réalisent un sans faute.

Au terme de ce match, le Stade de Reims comptabilise 25 points et se classe à la 6e place du classement de Ligue 1. Prochain rendez-vous dès samedi prochain avec un déplacement à Annecy pour y affronter Evian-Thonon-Gaillard.

[spoucknick00]

le syndrome spouck l'année dernière c'était avec fauvergue la avec charbonnier je suis plié

j'imagine spouck pendant tout le match il peste contre lui... et à la fin tout le monde applaudi sauf 2 en tribunes et je suis sur que spouck a du se dire ' ptin l'enculé ' et babar a du lui rep ' jallai justement te le dire '

a details , voir deux ... j etais le seul a pas applaudir et scander son nom ... (bande de footix)

[PPDMdu29]

d'un coté pour loupé le but qui met faut y allé , même toi avec une entorse voir même fortes l'aurait mis ( quoique )

[spoucknick00]

figure toi que je ne l ai meme pas vu ... il etait de l autre coté du stade . Mais je me doutais que c etait juste a pousser le ballon au fond . Tu me diras ,il aurait pu tirer au dessus

[PPDMdu29]

[PSGdu11]

Je n'ose imaginer si le duo Fauvergue / Charbonnier est l'attaque du SDR , la saison prochaine ...

[PPDMdu29]

ils ne marqueron pas un but de la saison sauf quand spouck ira les voir

[spoucknick00]

bah je m installerais a reims alors et j irais a quasi tout les deplacements , je demanderais une place dans le but du stade

[babar051]

CdL : 300 places gratuites pour Lyon - Reims

A l’occasion du 8e de finale de Coupe de la Ligue, Olympique Lyonnais – Stade de Reims (mercredi 18 décembre, 17h00), le Stade de Reims offre 300 places gratuites aux supporters souhaitant effectuer le déplacement pour soutenir les Rouge et Blanc. Les personnes intéressées ont la possibilité de venir retirer leurs places (munies d’une pièce d’identité) aux guichets du Stade Delaune du mercredi 11 au vendredi 13 décembre, de 14h00 à 18h00 et à la boutique officielle du club située au stade Delaune, le samedi 14 décembre, de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00.

Dans la limite des places disponibles, il sera également possible de retirer des places à la boutique officielle le mardi 17 décembre 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 18h00.

Vous aussi, venez aider les Rouge et Blanc à réaliser l'exploit !

[Sinrok23]

Hé ben OM - Reims pour les 32eme de Coupe de France.

[PPDMdu29]

et brest -PSG youpiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii