[CLUB] - STADE DE REIMS

[babar051]

L'ex-Rémois Benedick a signé dans un club alsacien de CFA
En début de semaine, Yann Benedick (23 ans) a signé à Sarre-Union, club avec lequel il s’était entraîné dès juillet. Cantonné à la réserve du Stade de Reims en Division d’Honneur ou en CFA2, l’attaquant ne s’est jamais imposé en Champagne. Sa grave blessure au genou, dès son arrivée en 2011, a conditionné la suite de son parcours. L’Alsacien, prêté à Strasbourg en 2012-2013 et 2013-2014, n’avait pas été conservé.

[VincenzOM]

PLACIDE le futur Agassa , il à été énorme

[spoucknick00]

bah , il est inconstant , c est ça son probleme , sinon oui il est tres bon par moment et des fois , il peut faire des boulettes , comme agassa quoi lol

[VincenzOM]

Alllllezzzz encore une victoire, même si vous avez souffert notamment en première mi-temps, vous continuez votre chemin, franchement pour moi, Reims c'est la très bonne surprise de ce début de championnat

[babar051]

SDR-LOSC : Reims remporte le combat
Dans une rencontre âprement disputée, au cours de laquelle les contacts ont été nombreux et appuyés, le Stade de Reims s’impose et poursuit sa série de quatre matchs sans défaite.

La rencontre débute par un incroyable coup de tonnerre à la deuxième. Sur un corner habilement adressé à l’entrée de la surface, Eric Bauthéac adresse un missile qui rebondit sur les deux poteaux. Junior seul au point de penalty ne convertit pas la situation chaude. Trois minutes plus tard, Sofiane Boufal entre en piste. Il passe trois adversaires en revue puis frappe. Placide, bien sur ses appuis, stoppe l’offensive. C’est l’orage en ce début de match, les Stadistes courbent sérieusement l’échine. Sans pour autant rompre.

Dix-neuvième minute, De Préville sème la zizanie dans la défense lilloise sur l’une des premières incursions du Stade de Reims. Sidibé va au contact et le déstabilise, pénalty ! David Ngog se charge de la sentence mais bute sur un Mike Maignan inspiré, bien parti sur sa droite. Quel scénario incroyable en ce début de match où Lillois et Rémois ont frôlé l’ouverture du score ! Le match baisse alors en intensité, et tend vers un duel musclé des deux milieux. Le duel Obbadi-Kankava bat son plein, sur le plan du football et du vocabulaire… Le match est également engagé avec six avertissements distribués dans ce premier acte qui s’achève timidement… Hormis une situation chaude, à l’actif des locaux, un lob de Ngog capté en deux temps par Maignan (37e), les débats se neutralisent.

La persévérance de David Ngog récompensée
La deuxième période débute sur un faux rythme. Les deux équipes se jaugent, s’observent. Le match est toujours musclé et pauvre en occasions. Jusqu’à la 56ème minute. Antoine Devaux, très précieux ce soir une nouvelle fois, lance Prince Oniangué qui s’arrache dans la surface. Son centre trouve la tête de David Ngog, qui décroise parfaitement (1-0). L’attaquant, malheureux sur le pénalty montre toute sa capacité à rester dans le match. 77e alerte sur le but du LOSC. Devaux bascule intelligemment vers Hamari Traoré à droite qui centre au second poteau. La défense est prise à revers, Frédéric Bulot est démarqué et hérite du cuir qu’il veut remettre vers Jordy Siebatcheu. La défense lilloise cafouille, se fait peur mais se dégage tant bien que mal. Fringuants en début de rencontre, les Nordistes sont moins incisifs et se créent une dernière occasion à la 80e. Guirassy a du champ sur la gauche et en profite : sa frappe trouve le petit filet de Placide (80e). Une dernière frappe de Frédéric Bulot (83e), percutant ce soir, puis la délivrance. Le Stade de Reims s’impose devant son public. Un public qui a fait raisonner Delaune ce soir et a joué à merveille son rôle de 12e homme pour permettre aux Rémois de remporter leur troisième victoire à domicile cette saison. L’invincibilité à domicile se poursuit !

Stade de Reims : 1-0 LOSC
Mi-temps : 0-0. Affluence : 11 696 spectateurs.
But : Ngog (56e).
Stade Auguste Delaune. Mi-temps : 0-0. Affluence : 11 696 spectateurs.
Cartons jaunes. SDR : Weber (12e), Bulot (15e), Kankava (31e). LOSC : Sidibé (19e), Bauthéac (32e), Mavuba (39e).
Arbitrage : Rudy Buquet.

Le onze de départ du Stade de Reims : Placide – Signorino, Weber, Tacalfred, Traoré – Kankava, Bulot (Mfulu, 90e), Devaux (70e), Oniangué, De Préville – Ngog (Siebatcheu 63e).

Le onze de départ du LOSC : Maignan – Basa, Civelli, Sunzu (Guirassy 70e) – Sidibé, Mavuba (c), Obbadi, Bauthéac – Benzia, Tallo (Nangis 45e), Boufal (Corchia 61e).

[babar051]

SDR-LOSC : les chiffres de la rencontre
Un match rugueux, musclé. Un scénario haletant. Une invincibilité préservée à Delaune. Retrouvez les chiffres marquants de cette rencontre inaugurale de la huitième journée de Ligue 1.

1. Prince Oniangué et David Ngog ouvrent leur compteur d’action décisive en Ligue 1 cette saison. Le premier nommé est passeur, le second buteur.

2. Dès la 2ème minute de jeu, Eric Bautheac a fait parler la poudre en décochant un missile qui a heurté…les 2 montants de Johny Placide. Un coup de billard !

5. Les Champenois poursuivent leur série ! Cinquième match sans défaite pour le Stade de Reims qui reste par ailleurs invaincu à domicile depuis le début du championnat.

20. 1-0 ne signifie pas absence de spectacle. Hier, les deux équipes ont défendu certes, mais ont beaucoup attaqué avec 20 tirs au compteur final (10 frappes de chaque côté).

27. Infatigable ratisseur, le roc Jaba Kankava a gagné 27 ballons hier, régnant en maître dans l’entrejeu. Hamari Traoré (19) et Renato Civelli (18) complètent le podium.

39. Quand deux blocs ne veulent rien lâcher, le match est âprement disputé. Tel pourrait être l’adage de SDR-LOSC avec 39 fautes sifflées. Vous avez dit engagé ?

186. Johny Placide a préservé sa cage inviolée hier soir. Cela fait 186 minutes (hors arrêts de jeu) que le portier rémois n’a pas encaissé de but.

[spoucknick00]

Alllllezzzz encore une victoire, même si vous avez souffert notamment en première mi-temps, vous continuez votre chemin, franchement pour moi, Reims c'est la très bonne surprise de ce début de championnat

non on a souffert 19 minutes en 1ere mi temps ...apres Lille , finito

[babar051]

Youth League: Reims, l'Europe 52 ans après
En recevant Middlesbrough, ce mercredi (19h00) en Youth League, les moins de 19 ans rémois vont faire renouer le club avec une compétition internationale.

Jordan Siebatcheu joue la Youth League avec Reims. (L'Equipe)
Ce mercredi soir, Reims recevra Middlesbrough dans le cadre de la Youth League (Championnat d’Europe des moins de 19 ans), dont la formule a évolué. Une place est ­désormais faite aux champions nationaux des moins de 19, qui évoluent dans une voie différente de la phase de groupes classique, calquée sur celle de la Ligue des champions, avec, donc, les jeunes Lyonnais et Parisiens.

Le champion de France 2015 ­accueillera ainsi le champion d’Angleterre à Auguste-Delaune à 19 heures, pour le premier match européen de Reims ­depuis... le 13 mars 1963 à Rot­terdam contre Feyenoord (quarts de finale de la C1, 0-1; 1-1). C’est le premier tour aller d’une phase à élimination directe à deux tours dont sortiront huit qualifiés pour les barrages. Les vainqueurs de ces barrages disputeront les huitièmes de finale de la compé­tition.
Ndom et Siebatcheu dans le groupe
Franck Chalençon, l’entraîneur des moins de 19 de Reims, a eu un aperçu de ce qui attend la jeunesse rémoise dans une vidéo d’un Liverpool - Middlesbrough (4-3) fin août: «On ne peut pas se rendre vraiment compte de l’intensité, mais leur projet de jeu est plus axé sur du jeu direct. Ils ont la volonté de se projeter vite et en nombre vers l’avant et de mettre la pression à la perte du ballon pour que ­celui-ci reste dans le camp ­adverse. Ils sont très généreux dans l’engagement, avec des ­attaquants pas forcément athlétiques mais qui ne lâchent rien, style Rooney.» Ndom et Siebatcheu (3 buts et une passe décisive en L1) font partie du groupe ­rémois, qui pourrait être suivi par environ 5000 spectateurs.

[spoucknick00]

en tout cas , bravo aux jeunes pousse , avec de la chance , je pourrais aller les voir quand je serais a reims

[babar051]

Middlesbrough FC : une tradition du haut niveau
Ce soir, la jeune garde du Stade de Reims a rendez-vous avec Delaune pour une rencontre continentale, face au Middlesbrough Football Club, champion d’Angleterre U18 en titre. Voici quelques éléments pour prendre la mesure du club et de la rencontre.

« L’opposition des géants, Middlesbrough contre le Stade de Reims, l’Angleterre contre la France, ce sont toujours des matchs qui mettent en appétit… » En ces quelques mots, lâchés au moment du tirage au sort, l’officiel de l’UEFA donnait le ton de l’opposition de ce soir. Si, sur le papier, le nom du club anglais n’apparaît pas aussi ronflant que ceux des grosses écuries qui sévissent en Premier League, ce Stade de Reims-Middlesbrough est bien l’affrontement qui respire le plus le football du premier tour de la Youth League.

Middlesbrough fait partie des villes historiques du football anglais. Depuis 1876, année de sa fondation, le club a passé 72 ans dans l’élite du football anglais et 46 dans son antichambre. Malgré une longévité au haut niveau, Boro ne s’est jamais forgé un palmarès conséquent dans l’un des championnats les plus relevés au monde, au sein duquel exister est déjà une grande performance en soi. Malgré une étagère à trophées moins garnie que d’autres clubs en Angleterre, Middlesbrough a vu passer quelques excellents joueurs, Bryan Robson, Southgate, Mendieta, Zenden ou plus récemment Downing…lui permettant de réaliser quelques faits d’armes. Les derniers en date, une League Cup en 2005 puis une finale de la coupe UEFA, perdue en 2006 face au FC Séville. Deux années fastes puis la redescente en Championship (deuxième division anglaise) à l’ombre de la Premier League qu’ils auraient pu retrouver cette saison, sans une défaite en finale de Play-off face à Norwich.

Les U18 et U21 de Middlesbrough champions d’Angleterre en titre
Une déception quelques peu atténuée par les performances de son centre de formation. Deux générations impressionnantes qui ont été capables de tenir en échec les grands clubs anglais… Le symbole d’une politique de formation qui, comme à Reims, commence à porter ses fruits. Les U18, collectif qualifié en Youth League et les U21 ont tous les deux décrochés le titre national en mai dernier. Une nouvelle preuve que l’opposition de ce soir sera palpitante au Stade Auguste Delaune. Dans le jeu, Middlesbrough est plutôt fidèle à la tradition britannique, comme l’évoque Franck Chalençon, l’entraîneur des U19 « Il y a de l’engagement sur le terrain chez cette équipe qu’on a observée à la vidéo. Quand elle joue les coups, elle le fait à fond et tous les joueurs se projettent très vite, les latéraux, les milieux de terrains… C’est un jeu box to box, à l’anglaise, moins porté sur la maîtrise collective et le jeu construit. Lorsqu’ils ont le ballon l’objectif est de le porter le plus rapidement possible dans le camp adverse. On devra être vigilants.»

Face à un autre football, les jeunes Rémois vont devoir s’adapter rapidement et jouer sur leurs qualités pour mettre à mal le collectif de Boro. Ils comptent sur l’appui du Stade Auguste Delaune pour les aider à y parvenir. D’autant plus que de l’autre côté de la Manche, au match retour, le public de Middlesbrough les attend, comme l’explique le responsable de la formation anglais, Dave Parnaby : « On espère recréer l’ambiance de certains soirs passés de coupe d’Europe au Riverside Stadium, ça serait exceptionnel ». Au public rémois de tenir la comparaison ce soir !

U19 : l’Europe qui pétille à Delaune (5-3) !
Pour son retour sur la scène continentale, le Stade de Reims s’est imposé 5-3 face au champion d’Angleterre, le FC Middlesbrough. Un feu d’artifice offensif dans un match à l’anglaise : box-to-box !

Messieurs les Anglais, tirez les premiers ! Fidèles au célèbre dicton, les joueurs de Boro sont les premiers à sortir du vestiaire. Non pas une minute, mais 15 avant le début du protocole… Une scène étrange qui laisserait présager une entame en fanfare ? Il n’en est rien… Le match débute par une salve rémoise, les visiteurs sont dépassés. Ils craquent dès la 3ème minute : Aouladzian se faufile dans la défense anglaise et est stoppé de manière illicite. Pénalty. Rémi Oudin transforme sereinement. Les Rémois sont déchaînés et insistent. Neuf minutes plus tard, Sylla anime son côté droit et adresse un superbe centre sur lequel Andrew Jung se jette avec hargne, Delaune jubile (2-0, 13ème). Quelle entame de match ! Face à un bloc apathique, les joueurs de Franck Chalençon déploient un beau jeu en mouvement qui fait merveille. Les Anglais sont muets, dépassés par les événements. Il faut attendre la demi-heure de jeu pour les voir entrer dans la partie. Pattison à la lutte avec Lenny Vallier prend le dessus sur le latéral international français mais Nicolas Lemaître remporte son face-à-face qui préserve l’avance rémoise de deux buts. Dès lors, Middlesbrough est plus tranchant, mordant quand le Stade de Reims, lui, s’est arrêté de jouer. Sur un faux rythme s’achève le premier acte marqué par un quart d’heure de folie.

Trois minutes de folie !
Le second acte redémarre sur un rythme intermittent. Les joueurs de Craig Liddle ont le contrôle des opérations et sur un nouveau coup de boutoir inscrivent logiquement leur premier but par Curry (2-1, 57ème). La défense rouge et blanche n’est pas exempte de tout reproche sur cette action… Assommés les Rémois ? Pas du tout ! La réponse stadiste est immédiate. Il ne faut que 40 secondes à Rémi Oudin pour remettre le SDR en selle. L’attaquant conclut d’une belle volée une attaque placée des locaux. Dès lors, le match bascule dans un véritable élan de folie ! Les coéquipiers de Nicolas Lemaître sont survoltés. Oudin adresse un tir, dévié qui frôle le cadre (59ème). Sur le corner qui suit, Andréa Marques vient placer une tête puissante qui donne trois buts d’avance aux Champenois (4-1, 60ème). Une minute plus tard, c’est Sylla, qui effectue un numéro de funambule sur son aile droite avant d’adresser une frappe limpide qui trouve le chemin des filets. 5-1 (61ème) ! Incroyable scénario ! Les Anglais sont KO dans cette rencontre résolument offensive. Ils s’en remettent alors à leur leader technique, le meneur de jeu Callum Cooke. Tantôt nonchalant, tantôt brillant, le numéro 8 anglais lance un contre qui fait mouche en deux temps (5-2, 69ème), malgré un Nicolas Lemaître décisif sur la première frappe. Six minutes plus tard, sur une action anodine, l’arbitre belge du soir, accorde un pénalty plus que généreux aux champions d’Angleterre. Cooke ne se fait pas prier et convertit l’offrande. Son tir est malgré tout dévié par Nicolas Lemaître, malheureux sur ce coup (5-3, 75ème). Le score n’évoluera pas dans une rencontre à l’anglaise, box-to-box. Un festival de buts pour le retour du Stade de Reims sur la scène continentale. Et un avantage qu’il faudra préserver dans trois semaines lors du match retour en Angleterre.

Stade de Reims 5-3 Middlesbrough FC
Arbitre Bart Vertenten (Belgique)
Mi-temps : 2-0. Affluence : 3749 spectateurs
Buts : Stade de Reims : Oudin (3ème), Jung (13ème), Oudin (58ème), Marques (60ème), Sylla (61ème). Middlesbrough FC : Curry (56ème), Cooke (68ème, 75ème).

Le onze de départ du Stade de Reims : Lemaître – Rousseau, Favre, Marques, Vallier – Ndom, Navet – Oudin, Aouladzian, Sylla – Jung.

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Stade de Reims : Amadou Sylla retenu avec l'équipe de France U19
Sélectionné pour la première fois au début de ce mois de septembre, Amadou Sylla va retrouver l’équipe de France U19. Ludovic Batelli, le sélectionneur et ex-entraîneur d’Amiens et Troyes, a retenu l’attaquant de la réserve du Stade de Reims pour le tour préliminaire de l’Euro-2016.

Cette équipe de France U19 affrontera le Liechtenstein (7 octobre), à Gibraltar (9 octobre) et aux Pays-Bas (12 octobre) au cours d’un tournoi à quatre, organisé dans les Landes.

Le défenseur du Stade de Reims, Hamari Traoré, sélectionné avec le Mali
Hamari Traoré a été sélectionné par Alain Giresse pour le match amical du Mali face au Burkina Faso le 9 octobre à Troyes. D’autre part, Prince Oniangué a été retenu avec le Congo pour affronter le Bénin (13 octobre) à Brazzaville et Frédéric Bulot avec le Gabon pour rencontrer la Tunisie (9 octobre) et la RD Congo (13 octobre) à Bruxelles.

[babar051]

Guégan: «Des joueurs qui tiennent la route»
À deux jours d’affronter un OL en petite forme dans son antre de Gerland, Olivier Guégan et Frédéric Bulot se méfient de la bête blessée mais veulent faire un résultat.

Mandi out. Agassa, pareil. Conté ? Il vient juste d’être opéré et en a pour minimum quatre mois. Dramatique pour le Stade de Reims ? Pas vraiment. Olivier Guégan est rassuré sur les prestations de ses joueurs, titulaires en puissance comme remplaçants . Quelle que soit l’équipe alignée, il a « des joueurs qui tiennent la route ».

Le choc contre l’OL privée de Fekir ne lui fait pas peur même si l’OL a un réservoir de bons joueurs. Il faudra cependant garder cette constance dans les performances (1 seul match perdu depuis le début de la saison) et « faire un résultat à Lyon » estime le coach rémois pour espérer coller au haut de tableau.

Frédéric Bulot reste sur la défensive. Le tireur de corner attitré du SDR (12 corners tirés depuis le début de la saison) se méfie « de la bête blessée » et espère que son équipe rentrera un peu mieux dans le match que les sorties précédentes à l’extérieur .

Auteur d’un but somptueux contre Toulouse, le milieu de terrain partira ensuite en sélection. Pour Olivier Guégan, c’est toujours bon signe d’avoir des joueurs sélectionnés, même s’il craint la blessure…

[spoucknick00]

franchement , le stade de reims est en train de se refaire un nom ...vraiment tres fiere

[VincenzOM]

Tu peux l’être !!! C'est parfait vraiment bravo

[babar051]

OL-SDR : le groupe rémois
Découvrez le groupe retenu par Olivier Guégan pour la rencontre opposant le Stade de Reims à l’Olympique Lyonnais ce samedi 3 octobre (17h30) au stade de Gerland, à l’occasion de la 9ème journée de L1.

Le groupe
Gardiens : LEMAÎTRE Nicolas, PLACIDE Johny.

Défenseurs : FOFANA Mohamed, SIGNORINO Franck, TACALFRED Mickaël, TRAORE Hamari.

Milieux : BULOT Frédéric, DEVAUX Antoine, FORTES Odaïr, KANKAVA Jaba, MFULU Omenuke, ONIANGUE Prince, PEUGET Alexi, RIGONATO Diego.

Attaquants : DE PREVILLE Nicolas, KYEI Grejohn, NGOG David, SIEBATCHEU Jordan-Theoson.

Infirmerie
AGASSA Kossi (cuisse), CONTE Antoine (genou), MANDI Aïssa (genou), TURAN Atila (cheville), WEBER Anthony (adducteur).

Absents
BOURILLON Grégory (choix), CHARBONNIER Gaëtan (choix), KAMARA Hassane (choix), NDOM Aly (choix), RODRIGUEZ Hugo (choix).

Olympique Lyonnais-Stade de Reims
Ligue 1 – 9ème journée.
Stade de Gerland, samedi 3 octobre 2015 à 17h30.
Match retransmis en direct sur Canal +.

[VincenzOM]

Reims est capable de gagner à Lyon ou au moins un nul

[spoucknick00]

euh la defense est complement décimé , j ai un peu peur pour cette aprem pour le coup

[VincenzOM]

Ben ils viennent de s'en prendre 1 avec un tir détourné en tous cas

[spoucknick00]

faudra dire aux remois qu un match dure 90 minutes et non 45 bien fait pour eux la defaite

[VincenzOM]

C'est ballot hein

[babar051]

OL-SDR (0-1) : une défaite et des regrets
Après 5 matchs sans défaite, le Stade de Reims, valeureux en défense s’incline face à l’Olympique Lyonnais sur le score de 1-0. Généreux dans l’effort et très offensifs en seconde période, les Rouge et Blanc ne sont pas passés loin de ramener un point de Gerland.

Ce neuvième match de la saison débute sur un rythme soutenu. L’Olympique Lyonnais cherche immédiatement la solution Alexandre Lacazette, en profondeur, et est proche d’y parvenir dès les premières minutes mais Signorino (2e) puis Fofana (4e) couvrent bien. Placide doit également s’employer. Jallet se retrouve par deux fois en peu de temps (10e et 14e) en position de centre, qu’il effectue tendus. Le portier rémois détourne le premier et se jette courageusement dans les pieds de Darder sur le second. Les Gones sont plus à l’aise techniquement et s’installent dans le camp rouge et blanc sans trouver la faille. Les deux lignes stadistes sont très basses et contiennent parfaitement les assauts lyonnais. Après la demi-heure de jeu, les Champenois sortent enfin. Nicolas De Préville hérite d’un bon ballon en profondeur, sa frappe du gauche est stoppée en deux temps par Anthony Lopes qui réalise son premier arrêt du match (37e).

Une embellie de courte durée car les Lyonnais poussent de nouveau et obtiennent un penalty suite à une main involontaire mais bien réelle de Jaba Kankava (40e). Lacazette se présente face à Placide et frappe en force…sur la barre ! Les Rouge et Blanc peuvent souffler. Alors que l’on se dirige vers un score de parité, l’OL ouvre le score quelques instants avant la pause. Lacazette est à la conclusion d’un contre rapidement mené et frappe… Le tir est détourné, Johny Placide ne peut rien. Le but est à la fois difficile à encaisser tant les Rémois ont été appliqués et volontaires en défense mais logique au vu de l’emprise lyonnaise sur le match. Plus de 70% de possession de balle pour les locaux au bout des 45 premières minutes.

Égalisation toute proche en fin de match
Les coéquipiers de Mohamed Fofana sont les premiers sur la pelouse au retour des vestiaires, signe annonciateur d’une seconde période mieux maîtrisée comme souvent à l’extérieur depuis le début de la saison. Si le Stade de Reims a plus d’allant, Beauvue rappelle à tout le monde ses qualités de jeu de tête et fait trembler la barre de Placide. Avertissement sans frais. Entré en jeu juste avant l’occasion lyonnaise, Grejohn Kyei est trouvé dans la profondeur et élimine Anthony Lopes, venu à sa rencontre loin de sa ligne de but. L’international Espoirs centre fort au point de penalty mais la défense lyonnaise parvient à se dégager tant bien que mal par l’intermédiaire d’Umtiti (63e). Si Reims va mieux, Lyon reste dangereux : Alexandre Lacazette a retrouvé ses jambes et pense marquer deux minutes plus tard, l’arbitre siffle un hors-jeu qui ne semblait pas évident à la vidéo (65e). Le SDR s’en sort bien… Olivier Guégan fait alors entrer du sang neuf et lance Diego qui apporte sa qualité de passe au collectif champenois. Immédiatement dans le match, son centre trouve Grejohn Kyei qui reprend de la tête, l’attaquant seul au point de pénalty voit le cadre se dérober. Rageant !

Le rythme du match ne perd pas en intensité, les deux équipes se découvrent et laissent inévitablement des espaces dont Lacazette, encore lui, profite. Il s’emmène le ballon avant de placer une frappe puissante que Johny Placide détourne d’une belle claquette. Olivier Guégan décide alors de passer à l’offensive en faisant sortir Antoine Devaux, une nouvelle fois très précieux dans l’entrejeu rémois, et lance Jordy Siebatcheu (79e). Il ne manque que quelques centimètres au nouvel entrant pour reprendre le centre d’Hamari Traoré à la 86e. Les Rouge et Blanc, à deux pointes désormais, poussent et ont envie d’aller chercher l’égalisation. La 88e minute est haletante : Diego trouve parfaitement Mickaël Tacalfred monté sur coup-franc. La tête du capitaine est captée par Lopes, vigilant. Le gardien lyonnais sauve les Lyonnais deux minutes plus tard. Prince Oniangué, en position idéale fait parler sa technique. Une frappe en ciseau que l’international portugais va chercher d’une remarquable parade. Les Rouge et Blanc ont laissé passer leur chance et malgré 3 minutes de temps additionnel, Lyon ne plie pas et est heureux d’entendre retentir le coup de sifflet final au stade de Gerland. Cette fois, la poussée en seconde mi-temps n’aura pas suffi. Les Rémois ont désormais deux semaines pour se ressourcer et préparer leur match face à Caen, à Delaune.

Olympique Lyonnais 1-0 Stade de Reims
Affluence : 30 089 spectateurs. Mi-temps : 1-0.
Buts : Olympique Lyonnais : Lacazette (44’).
Arbitrage : Anthony Gautier
Cartons : Stade de Reims : Signorino (84’) Oniangué (85’). Olympique Lyonnais : Lacazette (56’) Guezzal (88’)

Le onze de départ rémois :
Placide – Signorino, Fofana, Tacalfred (c), Traoré – Kankava, Devaux (Siebatcheu 79’) – Bulot, Oniangué, De Préville (Diego 73’) – Ngog (Kyei 53’).

Le onze de départ lyonnais :
Lopes – Jallet, Bisevac (Ferri 7’), Umtiti, Morel – Gonalons, Darder (Malbranque 66’), Tolisso, Valbuena (Guezzal 80’) – Lacazette, Beauvue.

[babar051]

OL-SDR : les chiffres de la rencontre
Défaits à Gerland face à l’Olympique Lyonnais, le Stade de Reims a malgré tout signé une performance défensive de haut niveau et s’est employé à contenir les offensives rhodaniennes.

0. C’est la première fois en cinq matchs de Ligue 1 que Jaba Kankava ne récolte pas de carton jaune.

8. Les Stadistes devront attendre pour battre leur record de matchs consécutifs sans défaite depuis le retour en Ligue 1. C’était lors de la saison 2013-14, les Rémois étaient restés invaincus durant 8 rencontres. La série d’invincibilité est toujours en cours à domicile, prochaine échéance pour la maintenir, dans deux semaines face au Stade Malherbe de Caen.

9. C’est, avec le match contre le PSG, la prestation défensive la plus propre depuis le début du championnat. Seulement 9 fautes côté rémois, ce qui n’enlève rien à la performance défensive comme en atteste le nombre de duels gagnés (60).

29 puis 40. Si la possession, sur l’ensemble du match, reste lyonnaise, le Stade de Reims a su rééquilibrer les débats en seconde période. Un ballon mieux maîtrisé, synonyme d’une animation offensive plus efficace et d’occasions qui auraient pu trouver le chemin des filets.

44. La minute de l’ouverture du score d’Alexandre Lacazette. Cruel pour des Rémois qui s’étaient montrés vaillants en défense et avaient su contenir les assauts lyonnais.

60. Les Rouge et Blanc ont gagné 60 duels au cours de la rencontre, contre 45 pour Lyon. Un match de costaud comme l’espérait leur coach. Dommage que ça n’ait pas payé…

66 + 70. Ce sont les latéraux qui ont touché le plus de ballons hier soir face à l’OL. Hamari Traoré (66) et Franck Signorino (70) étaient au four et au moulin, alternant retour autoritaires en défense et percées offensives.

Formation, féminines : les résultats du week-end
Week-end prolifique en buts pour les équipes du Stade de Reims marqué notamment par le rebond immédiat de la D2 Féminines et des U19 Nationaux, victorieux à domicile. C’est aussi le choc remporté par les U17 Nationaux (qui font 6 sur 6) face au dauphin troyen lors du derby sans oublier la 1ère place conservée par la CFA2 et les U17 DH.

Féminines :
Stade de Reims (D2) 2-1 Val d’Orge
U19 Stade de Reims 0-6 Arras
U17/15 Stade de Reims 13-0 Lusigny/Dienville

Groupe Elite :
Pagny sur Moselle 2-2 Stade de Reims (CFA2)
U19 Stade de Reims 5-0 Pontarlier

Groupe Formation :
Troyes 0-1 Stade de Reims U17 Nationaux
Stade de Reims U17 DH 4-1 La Chapelle

Pré-formation :
U15 (DH) Stade de Reims 9-0 La Chapelle
Asptt Chalons 2-0 U15 (PH) Stade de Reims
Epernay 5-3 U13 (Excellence) Stade de Reims
U13 (Honneur) Stade de Reims 13-0 Muizon

Les analyses des coachs et les noms des buteurs à venir lundi dans l’onglet Formation du site officiel…

[spoucknick00]

putain les U19 , ils vont encore tout rafler

[babar051]

Equipe de France espoirs : Grejohn Kyei appelé en renfort
L’attaquant du Stade de Reims va retrouver les Bleuets, après un premier passage en septembre.

Kyei (à droite) avait découvert les Bleuets avec son coéquipier rémois Antoine Conté.
Christian Lantenois
Kyei (à droite) avait découvert les Bleuets avec son coéquipier rémois Antoine Conté.
À peine revenu de blessure, et déjà re-convoqué en équipe de France. Grejohn Kyei, qui a retrouvé le chemin des terrains le week-end dernier à Lyon après une blessure à la cuisse, a été appelé ce lundi en équipe de France espoirs pour les rencontres contre l’Écosse et l’Ukraine en éliminatoires de l’Euro-2017.

Absent de la liste initiale, il doit son retour chez les Bleuets au forfait du Lillois Yassine Benzia. En septembre, Kyei avait découvert la sélection, en signant sa première entrée par un but lors de la défaite contre l’Islande (2-3).

[babar051]

Olivier Guégan : « Une période charnière… »
Il avait donné rendez-vous à la trêve pour faire un premier bilan. Fidèle à ses engagements, c’est un coach rémois détendu et affable qui a pris le temps de revenir sur le début de saison de son équipe…

Olivier, restons tout d’abord dans l’actualité, quel regard portez-vous sur le match à Lyon ?
« On sort frustrés de ce match parce qu’on pouvait ramener un résultat de Gerland. Pour cela, il aurait fallu être constant sur les deux mi-temps et ça n’a pas été le cas. En première, on a été très rigoureux sur l’aspect défensif mais on s’est oublié en attaque. On a rectifié le tir en deuxième et l’apport de certains entrants a bonifié l’équipe. Je pense d’ailleurs qu’on mérite de recoller au score… Perdre à Lyon, comme j’ai pu le dire, ce n’est pas infamant mais après des matchs comme celui-là, l’ambition prend toujours le dessus et c’est regrettable de ne pas prendre de points lorsque c’est possible de le faire. »

De manière plus générale, après 9 journées, quel bilan faites-vous de cette entame de championnat ?
« Au début de saison, sans dire que l’on s’était fixé des objectifs précis, on avait la volonté de prendre des points rapidement pour se caler dans une partie haute ou médiane du classement. Quand je regarde où on est aujourd’hui, je me dis qu’on est dans le vrai. Se retrouver au quart du championnat avec 15 points engrangés, c’est forcément positif et c’est surtout le résultat d’une préparation très pointue et poussée. On est dans la continuité de ce travail réalisé en amont. Si on prend en compte les matchs d’avant-saison, on a joué 16 matchs depuis notre reprise et on n’en a perdu que trois : Séville, Nantes et Lyon. Tous les autres, ce sont des résultats positifs. On est vraiment dans une bonne dynamique qu’il faut faire perdurer. Maintenant, on est concentré sur les dix prochaines rencontres qui nous attendent avant la trêve hivernale. Six à la maison, quatre à l’extérieur et 30 points en jeu… Ces dix matchs, c’est l’étape suivante, si on arrive à bien la négocier, on pourra se projeter un peu plus sur la fin de saison. »

« On veut un investissement total parce que c’est la clé de la réussite »
Êtes-vous satisfait de l’investissement des joueurs ?
« Oui complètement. L’investissement, c’est le cheval de bataille de tout le staff. Au quotidien on attend beaucoup des joueurs, on veut un investissement total parce que c’est la clé de la réussite. Sans intensité pendant les séances, on ne peut pas espérer en voir dans un match, c’est impossible ! On est exigeant, on demande de l’engagement, du dynamisme et les joueurs répondent présent. Si certains jours sont un peu moins productifs, le bilan global de l’investissement est très bon et ce qui est le plus important, c’est qu’on arrive à valider notre travail quand arrive le week-end… »

Vous avez également intégré de nouveaux outil pour vos séances comme la vidéo ou le GPS…
« Ce sont des outils indispensables. Sur une séance, en tant qu’entraîneur et technicien, on a toujours l’œil, on ressent les choses… Ce que la vidéo et les balises GPS nous apportent en plus, c’est du recul. On peut par exemple travailler plus précisément sur l’animation offensive et défensive de l’équipe et on arrive à mieux individualiser le travail avec la vidéo. Le GPS est un vrai atout pour le travail athlétique. Il produit des données indispensables au haut niveau qui nous permettent de réguler les temps forts et les temps faibles et d’adapter ce que l’on peut demander aux joueurs. On observe d’ailleurs qu’il y a beaucoup moins de casse musculaire que les années précédentes. Mais bien entendu, ces technologies ne font pas tout, loin de là… Il faut aussi des bons joueurs, un engagement total et de ce côté, c’est plutôt pas mal. »

« De l’intransigeance il en faut mais je suis capable de lâcher des choses »
Si vous deviez citer un ou deux aspects qui font la force de votre équipe, quels seraient-ils ?
« L’état d’esprit ! C’était ma priorité lorsque j’ai pris mes fonctions, le talent doit être au service de l’équipe et les individualités doivent passer au second plan. Les joueurs le savent, adhèrent à cette philosophie et c’est ce qui nous permet de nous comporter justement comme une équipe. Le bloc est capable de défendre ensemble et d’attaquer ensemble. Ce n’était pas le cas l’année dernière et c’est ce qui explique sans doute le nombre de buts encaissés. Cette saison, on a réussi à équilibrer tout ça et on fait partie des meilleures attaques (la 9ème de L1 ndlr) mais aussi des meilleures défenses (la 5ème de L1 ndlr) grâce à notre rigueur. C’est bien mais il y a encore une belle marge de progression. »

Vous avez dit que vous serez intransigeant, est-ce toujours l’adjectif qui qualifierait votre méthode de travail ?
« Il n’y a pas que cet aspect, il faut aussi être à l’écoute par exemple. S’il suffisait de taper pour avancer, tout le monde le ferait ! A Reims il y a d’abord un projet, une ligne directrice mise en place qui se traduit à l’entraînement. Oui, de l’intransigeance il en faut mais je suis capable de lâcher des choses. Il faut être juste et récompenser un joueur quand c’est mérité. Un autre aspect auquel je pense, c’est celui des relais. J’en avais ciblé six qui sont des leaders naturels et je m’appuie sur ces joueurs-là pour faire passer des messages. »

« Les jeunes n’ont rien volé. Le temps de jeu, ils sont allés le chercher »
Que pensez-vous du comportement des jeunes pousses rémoises, auxquelles vous offrez du temps de jeu ?
« Les jeunes ont trouvé leur place parce que je dispose d’un groupe sain qui les a très bien accueillis. Ces gamins-là, ce sont aussi des garçons structurés, intelligents et qui ont faim . Comme ils ont de la qualité, ça c’est fait naturellement. Ils n’ont rien volé, c’est ce que je leur ai dit. Le temps de jeu, ils sont allés le chercher. Ils nous ont fait gagner des points pour certains en nous faisant revenir dans le match ou en le faisant basculer, ils ont tenu un résultat pour d’autres. Ce qui leur arrive est mérité, c’est une récompense de leur travail. Mais de manière générale, c’est tout un groupe qui vit bien, les plus jeunes, les nouveaux et les plus anciens sont vraiment en osmose. J’en suis le garant avec mon staff : travailler dans ces conditions, c’est agréable et valorisant. »

Enfin, êtes-vous parfois agacé que l’on parle de surprise pour qualifier le début de saison de votre équipe ?
« Ça peut se comprendre si on se réfère à la saison compliquée qu’on a pu vivre l’année dernière. Mais c’est une nouvelle saison, un nouveau championnat… L’entame est passée, on arrive maintenant dans une période charnière. On a réussi à instaurer quelque chose, à être performant, à nous de prouver que ce n’est pas que le tube de l’été mais qu’on peut être un tube de l’année ! Les matchs qui nous attendent vous nous permettre de savoir où on se situe dans le championnat. La réalité viendra du terrain ! »