Re: Equipe de France
Posté : 24 juin 2012 01:08
bon ben je vois que j ai rieb raté 

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Blanc évasif sur son avenir
Interrogé au sujet de son avenir après l'élimination en quarts de finale face à l'Espagne, samedi, Laurent Blanc, le sélectionneur des Bleus, n'a rien laissé filtré. «On vient d'être sorti de la compétition, la déception est palpable au niveau du staff et des joueurs mais il faudra faire le point de cet Euro, l'analyse de cet Euro, a-t-il lâché. On va le faire dans les jours qui arrivent. Il y aura des satisfactions et des déceptions et vous verrez ce qui se passera par la suite.»
En fin de contrat à la fin du mois de juin, Laurent Blanc doit rencontrer dans les jours à venir le président de la Fédération française, Noël Le Graët, pour évoquer son avenir. Les deux hommes se sont opposés avant l'Euro, Blanc souhaitant une prolongation avant le début du tournoi alors que le patron de la FFF a conditionné la poursuite de la mission du sélectionneur à une qualification pour les quarts de finale. (Avec AFP)
F.F
J'en serais le premier heureux, toutes ces pseudo stars qui en n'ont rien à foutre de notre équipe de France, et qui salisse notre sport préféré, moi qui habite dans une région de rugby je sais de quoi je parle, et l'exemple qu'ils donnent aux mômes, c'est une honte, et à la fin ils osent nous dire qu'ils ont fait un bon Euro et qu'ils peuvent partir en vacances, les supporters qui ont dépenser une fortune n'ont même pas étaient calculés, sauf peut-être par notre valeureux capitaine, donc pour moi c'est un gros échec sportif et niveau image.Tobb a écrit : Je pense que certains ne vont pas revoir l' EDF avant longtemps...
Ménez : Une rentrée transparente, sauf pour prendre un carton jaune (sévère, d'ailleurs).
Koscielny tire son épingle du jeu
Malgré la prestation décevante de l'équipe de France, samedi soir face à l'Espagne (0-2) en quarts de finale de l'Euro, Laurent Koscielny a su répondre présent. Titularisé à la place de Mexès, le défenseur d'Arsenal a été l'un des rares joueurs à la hauteur.
Pour son premier match de l'Euro, Laurent Koscielny a été une des rares satisfactions françaises. L'ancien lorientais a démontré qu'il pouvait se poser en concurrent crédible à la doublette Mexès-Rami. «Je pense qu'il a les qualités pour remplacer n'importe qui dans la défense centrale. Il aura une bonne carte à jouer», déclarait à son sujet Laurent Blanc en conférence de presse d'avant match. «J'ai dit que je me tenais prêt à jouer. A moi de faire ce qu'il faut sur le terrain pour prouver que j'ai ma place dans cette équipe» répondait sobrement le défenseur central. Sobriété et humilité dans les propos, sobriété et humilité sur le terrain.
Associé à Adil Rami, avec qui il n'a évolué que cent huit minutes (contre les États-Unis 1-0, et la Serbie 2-0 en préparation) en raison de la suspension de Philippe Mexès, jamais le joueur d'Arsenal n'a donné l'impression de vivre samedi soir son tout premier match dans une compétition internationale. Si l'équipe d'Espagne a buté dans l'axe avant de trouver son salut sur les côtés, la prestation du natif de Tulle n'y est pas étrangère.
Une copie propre et des regrets
Toujours bien placé, peu sollicité dans les airs, l'Espagne privilégiant le jeu au sol, Koscielny a fait preuve d'une bonne lecture du jeu, intervenant avec à-propos devant Andres Iniesta (38e) ou Fernando Torres (68e). Dans une triste équipe de France, le protégé d'Arsène Wenger a rendu une copie propre. Les statistiques : 92% de passes réussies, trois tacles sur trois réussis, zéro faute et cinq interceptions réalisées, plaident en sa faveur. En dépit d'une bonne prestation individuelle, c'est sur la performance collective des Bleus que l'ancien lorientais a préféré s'arrêter.
«On n'a pas su faire la dernière passe, c'est dommage. On aurait pu prendre plus de risques. Quand tu joues contre l'Espagne, tu cours beaucoup et tu perds aussi en lucidité et physiquement, tu laisses beaucoup de forces», regrettait le Gunner au micro de TF1 après le match. Des regrets qui ne devraient pas empêcher le bleu des Bleus de revenir en équipe de France. Et ce, quel que soit le sélectionneur.
Olivier Escarmena
EdF : stop ou encore pour Laurent Blanc ?
Voilà, c’est fini... L’aventure de l’équipe de France à l’Euro est terminée. L’élimination en quart de finale contre l’Espagne hier soir (2-0) pourrait bien marquer la fin de l’ère Laurent Blanc à la tête des Bleus, dont le contrat prend fin prochainement. Aujourd’hui, il est impossible de dire si le Président sera toujours là le 15 août pour le match de rentrée contre l’Uruguay. « Ce n’est ni le moment ni l’endroit. Nous en discuterons avec le président dans les dix jours et nous prendrons une décision », a-t-il confié au micro de Téléfoot ce matin sur TF1.
Les joueurs, pour la majeure partie, semblent eux avoir fait leur choix. « Laurent a fait du bon boulot, après, la décision ne me revient pas. Ce serait logique qu’il reste, mais ça ne dépend pas que de moi ou des joueurs. Si on doit avoir une continuité, il faut le prolonger. Le coach a une bonne philosophie de jeu et les Bleus ont montré un beau visage, ils sont en progression. C’est aux décideurs de trancher », a confié Alou Diarra dans les colonnes du Parisien. D’autres observateurs avisés de la planète football abondent dans le sens du milieu de terrain. À commencer par Jean-Michel Aulas.
« Quand on a fixé un objectif à quelqu’un et qu’il l’atteint, il faut se tenir à ce qu’on a dit. On lui avait demandé de se qualifier pour les quarts de finale, il l’a fait », a-t-il lâché au Journal du Dimanche. Même son de cloche pour Guy Roux, lui aussi interrogé par le JDD. « Je trouverais dommage que Blanc ne continue pas, puisqu’on est content de lui », a indiqué l’ancien coach de l’AJ Auxerre aujourd’hui consultant sur Canal +. Pour autant, même s’il semble faire l’unanimité, Blanc n’est pas sûr de rester en place.
D’une part, le JDD croit savoir que le président de la Fédération Française de Football Noël Le Graët pourrait lui proposer un contrat « sous conditions » (staff réduit hors phases finales, salaire revu à la baisse, éloignement avec son agent Jean-Pierre Bernès). Des conditions que le coach n’acceptera peut-être pas. En attendant, l’homme fort de la FFF a avoué qu’il n’entretenait de contacts avec aucun autre candidat potentiel.
D’autre part, sur le plan sportif, son coaching, souvent tardif en cours de match (on a regretté le trop faible temps de jeu d’Olivier Giroud et de Laurent Koscielny, pourtant tranchants dans les matches de préparation), ainsi que certaines de ses compositions de départ (Mathieu Debuchy milieu droit contre l’Espagne) ont parfois fait débat. Alors, Laurent Blanc est-il toujours le mieux placé pour rester à la tête de l’équipe de France ?
Ha bon...je pensais qu' ils voulaient Vilas Boasspoucknick00 a écrit :lol totenham