[CLUB] - STADE DE REIMS

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Reims - Lyon : Plus que 1000 places !

Le Stade de Reims reçoit l'Olympique Lyonnais le dimanche 7 avril 2013 à 17h00 au stade Auguste Delaune à l'occasion de la 31ème journée de Ligue 1.

La totalité des places initialement disponible a été vendue dans les différents réseaux de vente. De nouvelles places à visibilité réduite sont désormais disponibles sur la billetterie en ligne du Stade de Reims et uniquement sur ce support de vente.

Une place est considérée par le Stade de Reims à visibilité réduite si une gêne partielle est observée à cette place (le plus souvent une barrière de sécurité).

Les ventes dans les réseaux Ticketnet (Cora, Leclerc) et FranceBillet (Carrefour, FNAC) sont donc interrompues.

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encore un stade plein c est cool ça malgré notre classement , les gens viennent en masse contre les gros ...sa serait cool qu il y est la meme chose contre des petits pour encourager les joueurs :siflotte:

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Olivier Guégan : Une grosse semaine d′entrainement
Olivier, comment gérez-vous cette semaine d'entraînement après la victoire contre Rennes ?
C'est une semaine sans compétition donc elle est composée de beaucoup de séances d'entrainement : deux mardi, mercredi et jeudi, et une ce vendredi. Deux étaient très intenses athlétiquement pour remettre un peu d'essence dans le moteur.
Comme il n'y a pas de match il y a forcément un peu de relâchement mais on est vigilant et on a bien bossé. Il y avait quelques petits bobos mais tout ira bien pour la rencontre à Evian. On aura quasiment tout le monde excepté flo Ghisolfi et Julien Toudic.

Tu parlais de relâchement, quel discours avez-vous eu cette semaine par rapport à ça ?
Ce relâchement est logique avec des compétiteurs quand il n'y a pas de compétition et cela fait du bien de décompresser un peu après ces matches au couteau. Mais comme je te le disais on est attentif car remettre la machine en route est toujours difficile.
On a travaillé sous d'autres formes mais on travaille tout autant au niveau du cardio. Demain on reprend le ballon puis les joueurs auront deux jours de repos avant de repartir plein pot dès lundi.

On va donc la semaine prochaine affronter un concurrent direct dans un match très important. Comment les embêter ?
Tous sont importants car il en reste neuf, dont quatre à la maison, qui sont Lyon, Valenciennes, Ajaccio et Lorient. Comme je le dis souvent, le maintien va se jouer à la maison. Mais on prend les matches un par un et on commence par aller à Evian.
On a du mal contre nos concurrents directs, à nous de faire mentir les statistiques, et on ira là-bas pour ramener des points.
Si on fait un bon résultat on sera bien calé dans ce championnat et on pourra accueillir lyon dans les meilleures conditions.
Pour les mettre en difficulté, il faudra qu'on ait une grosse rigueur tactiquement, que l'on soit mature, qu'on n'aille pas s'ouvrir. Ils seront chez eux et auront l'obligation du résultat. Il y aura forcément des opportunités de leur faire mal si on est costaud.

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Reims - Valenciennes, la programmation
Reims - Valenciennes se déroulera le dimanche 21 avril à 17h00.

Stade de Reims / Agassa, les raisons d'un cauchemar
FOOTBALL (L1). Redevenu lui-même contre Rennes, Kossi Agassa n'a pas oublié sa soirée cauchemardesque vécue à Troyes. Une première dans sa carrière dont il souhaite tirer les bons enseignements.

ET Dieu se transforma en diable, Zorro en zéro, Superman et Pied Nickelé. En l'espace d'une soirée, Kossi Agassa dilapida tout le crédit minutieusement amassé depuis le début de la saison en passant totalement à travers d'un derby champenois annoncé capital.

Et une, et deux, et trois cagades mémorables pour un portier d'habitude si sûr, si serein. Kossi, hors du coup, n'a fait qu'aggraver son cas au fil d'un match dont il n'a maîtrisé aucun aspect.
Très vite, son entraîneur vola à son secours : « On a pris quatre buts sur quatre cadeaux, mais je n'en rajouterai pas sur Kossi, lâcha Hubert Fournier à l'issue de cette défaite fort contrariante. Il nous a rapporté tellement de points. Ce soir, il est fautif, mais je préfère qu'il nous coûte trois buts dans le même match, qu'un but dans trois matches de suite ».
Même soutien public reçu de la part d'un Franck Signorino compatissant : « Avec la saison qu'il fait, on ne peut pas lui en vouloir ».

« J'ai zappé les images »

Un grand joueur sait se remettre en question. Agassa est de cette trempe. Et si le gardien des Eperviers s'est muré dans le silence durant les jours précédant la venue de Rennes, c'était pour se protéger. « Ma semaine a été difficile. Franchement, je ne pensais pas que ça allait être si dur psychologiquement. Mais, à un moment donné, on se dit qu'on n'a pas le choix, qu'il faut assumer ».
Sa thérapie passait-elle par le visionnage en boucle de ses bourdes troyennes ? « Revoir ces buts aurait été perturbant, j'ai donc essayé de zapper ces images ».

Le Togolais dit avoir apprécié, en interne, le soutien franc et massif de ses coéquipiers. « C'est la première fois de ma carrière que je rate totalement un match. Après le premier but, on se dit qu'on va tout faire pour réparer cette erreur, mais rien ne va dans le sens souhaité. Tout ce qui, habituellement, était d'une grande simplicité, devient compliqué ».

L'accueil que lui a réservé le public de Delaune, samedi dernier contre Rennes, a fini de le rassurer. « Je ne craignais pas ces retrouvailles, avoue Kossi. Je me suis dit que Troyes, c'était du passé, je devais me concentrer sur ce que j'avais à faire contre Rennes ».

Et, en portier expérimenté, Agassa a plutôt bien fait le boulot, permettant, grâce à des interventions tranchantes, à son équipe de s'assurer les trois points d'une victoire difficile. « La soirée a été belle, plaisantait-il. On gagne, on ne prend pas de but. Maintenant, il faudra profiter de cette mini-trêve pour bien se préparer. L'objectif sera de ramener au moins un point d'Annecy ». Avec un Agassa de nouveau décisif ?

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le public remois est tres exigeant , mais pas con (enfin si ils ont accepter fauvergue en debut de saison )

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Alexi Peuget : Un grand moment !
Je pense que tous ces mois sans jouer ont dû être difficiles ?
C'est vrai. J'ai enchainé les blessures et à chaque fois que je pensais revenir, il m'arrivait une nouvelle bétise. C'est long mais comme il me reste deux ans de contrat j'ai pu travailler sereinement. Je me suis attaché à bien me préparer, à bien revenir et j'espère que maintenant c'est vraiment parti.

Quel regard as-tu porté sur l'équipe ?
C'est un regard un peu extérieur car sans jouer c'est toujours difficile. On encourage comme on peut l'équipe en espérant que tout se passe bien.

Tu as pu enfin jouer ce premier match en Ligue 1, raconte ce que tu as vécu !
C'est un grand moment dans une carrière. J'étais super content, surtout après ce que j'ai vécu. J'avais hate d'y goûter ! Il y avait de l'émotion, une victoire, c'était beau.

Cela s'est vraiment bien passé dans le jeu !
Oui mais on ne réfléchit pas. On devait garder le score donc on a beaucoup défendu. J'ai essayé de ne pas perdre les ballons et j'ai donc joué simple. Avec les trois points c'est une entrée réussie, en plus face à une belle équipe de Ligue 1 !

Tu mesures le chemin parcouru depuis ton arrivée au club ? Cela va vite !
C'est vrai. J'ai gravi les échelons, National, Ligue 2 maintenant la Ligue 1. Je gravis les échelons petit à petit, c'est beau.

En fin de semaine, il y a ce rendez-vous important à Evian...
Tous les matches le sont. Ce n'est pas facile mais si on est bons ça va passer. Il restera huit matches après, tout ne va de toutes façons pas se jouer sur celui-là. On y va sans pression, avec nos forces, en sachant aussi qu'ils sont sur une bonne dynamique, mais on va s'attacher à ne pas perdre.

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Stade de Reims / Courtet, un minot chez les géants
« Me rendre utile fait aussi partie de mon jeu ».

FOOTBALL (L1). À 24 ans, pour sa première saison dans l'élite, le Rémois Gaëtan Courtet figure dans le Top 20 des serials buteurs. Une performance pour un attaquant qui ne compte que 33 matches de L2 et 22 de Ligue 1 à son actif. Interview.

La question, déjà posée, le met mal à l'aise. Qu'est-ce que ça fait d'être le meilleur buteur de la plus mauvaise attaque de Ligue 1 ? Gaëtan Courtet se perd dans ses dribbles. « Je ne pense pas à ça, explique-t-il. J'essaie toujours de donner le maximum pour l'équipe. Et si je ne devais plus marquer et que le Stade de Reims assure son maintien, ça m'irait très bien ».

À 24 ans, le Lorientais, pas épargné par les coups durs, se retrouve dans le Top 20 des buteurs de la saison. Avec un but de moins que les célèbres Féret (Rennes), Gignac (Marseille) ou Brandao (Saint-Etienne). Une sacrée performance réalisée dans un contexte pas toujours évident pour un promu.

Alors que le Stade de Reims est demeuré stérile lors de 13 de ses 29 matches déjà disputés, Courtet, 14 fois titulaire, pèse pour 31 % dans le rendement offensif de son équipe. Et n'aurait-il pas fait mieux s'il n'avait pas été stoppé cet automne par une blessure à la cheville ?

Toujours frais et dispo quand il faut parler football, l'attaquant breton s'est posé quelques minutes durant cette mini-trêve internationale. Quand certains, à sa place, auraient « pris le melon », Courtet, au talent désormais reconnu en Ligue 1, verse dans une rafraîchissante humilité.

Gaétan, les joueurs n'apprécient pas trop les coupures en pleine saison. Et vous ?
« Je ne sais pas si cette trêve est une bonne chose, même si elle permet de reposer les organismes. Nous étions sur une bonne dynamique de deux victoires consécutives à domicile. On peut toujours craindre qu'elle nous soit préjudiciable ».

Deux semaines sans match, ça change les habitudes…
« Personnellement, j'essaie justement de conserver mes habitudes, de fonctionner de la même façon. Je m'applique toujours à bien travailler à l'entraînement ».

Les victoires face au PSG et Rennes, ont soulevé un vent d'optimisme chez les supporters. Et au sein du groupe ?
« On avance, mais on constate aussi que nos concurrents n'abdiquent pas. Certains nous talonnent, d'autres nous précèdent. Nous savons que ça va être compliqué jusqu'au bout. À neuf matches de la fin, nous ne sommes pas relégables. Si on pouvait assurer cette position jusqu'à la fin, ce serait parfait ».

À cet égard, votre prochain match contre Evian, sera-t-il déterminant ?
« Ça peut être un tournant. Il sera important d'empêcher cette équipe de nous prendre trois points ».

« Je m'étais fixé un objectif de 10 buts »

Quel bilan dressez- vous de votre parcours jusqu'ici ?
« Déjà, cela fait quatre matches que je n'ai pas marqué, donc ça commence à faire beaucoup. Je m'étais fixé un objectif de 10 buts. Si je pouvais l'atteindre avec, pourquoi pas, un petit bonus, ce serait bien ».

Vous êtes le buteur de l'équipe. Comment gérez-vous cette pression ?
« Même si on tente de s'en dégager, la pression est là. Tout le monde attend que vous marquiez à tous les matches. Mais ce n'est pas toujours le cas. J'ai marqué 8 buts, mais j'ai aussi mal exploité beaucoup d'occasions. Pour quelqu'un qui découvre la L1, ce n'est pas si mal. J'avais envie d'être ambitieux, de prendre du plaisir. J'ai toujours préféré être sur le terrain et avoir à gérer cette attente, que de rester sur le banc ».

Les spécialistes vous reprochent de trop vous disperser. Ne gagnerez-vous pas à vous montrer plus économe dans vos efforts ?
« J'y travaille. Par rapport à la saison dernière, mon jeu est plus discipliné et j'arrive à me concentrer dans les zones où on m'attend. Mais me rendre utile fait aussi partie de mon jeu. J'ai besoin de courir, de proposer, de créer des espaces pour les autres. Je dois juste trouver le bon équilibre ».

Qu'en pense votre entraîneur ?
« Hubert Fournier a plutôt tendance à me freiner, à me demander de ne pas trop me disperser. Il me fait confiance : il sait que je vais toujours faire l'effort de me replacer, d'être le premier défenseur. Il me demande de privilégier mes courses vers le but. Cela fait partie de mes qualités et c'est aussi pour ça que je joue ».

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Centre de formation du SDR : le projet BA 112 enterré
REIMS. Le Stade de Reims annonce qu'il enterre son projet de centre de formation à la BA 112, une base militaire à l'abandon depuis quatre ans. Faute d'avoir trouvé un accord, après plusieurs mois de négociations, le club s'oriente désormais vers son "plan B", les terrains Blériot, sur la commune de Bétheny. Un projet qui coûtera sensiblement plus cher.

pfff c pas possible bande de con

[spoucknick00]

pffff degouter , betheny oO la gueule ... j espere que le loyer sera moins chere et l avantage , c est qu ils auront plus de place logiquement

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Reims-Lyon : dernières places en vente !

Avis aux supporters : il ne reste que 300 places en vente pour la rencontre Stade de Reims – Olympique Lyonnais, dimanche 7 avril à 17h00.

Les billets sont en vente uniquement sur la billetterie en ligne du club

Tous à Delaune pour supporter les Rouge et Blanc !

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Le Stade de Reims renonce à la BA 112
Sauf « rebondissement exceptionnel », la formation des jeunes footballeurs rémois se fera sur le futur site Blériot, à Bétheny.

REIMS (Marne). « Trop enlisé », le projet de centre de formation du Stade de Reims change de direction : de la BA 112, il met le cap sur Blériot.

Le centre de formation du Stade de Reims ne verra pas le jour sur le site de l'ancienne base aérienne 112. Didier Perrin, l'un des deux présidents du club (pour sa partie associative) nous l'a confirmé hier. « Pour, nous ce dossier est enterré, parce qu'il s'est trop enlisé. Or nous sommes contraints par l'urgence : si rien ne se passe dans le courant de l'année, l'agrément de notre centre de formation sera en danger. »

Or rappelons que la perte d'agrément serait fort préjudiciable pour le club : un des effets les plus négatifs serait en effet que ce centre pourrait être « pillé » par les autres clubs sans aucun recours possible.

Didier Perrin laisse malgré tout entrouverte une toute petite fenêtre à propos de cette base : « Nous y renonçons, sauf rebondissement exceptionnel », ne peut-il s'empêcher d'ajouter. Mais il ne semble plus guère croire à cette hypothèse.

« C'était bien notre plan A »

Du coup, le Stade travaille d'arrache-pied à son plan B, qui avait déjà été évoqué, et qui devient « la » solution pour ne pas perdre le fameux agrément : le site Blériot du côté de Bétheny, guère éloigné de la base 112 d'ailleurs. Didier Perrin a bon espoir d'y voir démarrer des travaux d'ici la fin de l'année au plus tard.

Pour M. Perrin, cette piste si l'on peut dire de l'ancienne base aérienne, constituait bien « notre plan A ». Des rumeurs laissaient entendre régulièrement que le club de foot rémois n'avait jamais vraiment désiré l'installation de sa formation à l'emplacement laissé vacant par les aviateurs.

Déjà, en juin dernier par exemple, les dirigeants avaient tenu une conférence de presse pour démentir cette vision des choses ; ils parlaient alors notamment - à propos de cette base- d'un « site exceptionnel ».

Hier, le président Perrin a à nouveau tordu le cou vigoureusement à ces rumeurs : « Cela fait plus de deux ans que je travaille sur ce projet à la base 112, nous a-t-il rappelé. Tous les plans étaient prêts, c'était notre plus grand espoir, je suis le plus malheureux des hommes de devoir renoncer à ce projet sur la base ! » Espérons qu'il ne rencontrera pas la même désillusion avec Blériot.

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L'avenir toujours incertain de l'ancienne BA 112
« Où en sommes-nous ? », s'est interrogé le centriste Jean-Marie Beaupuy au sujet de reconversion de la BA112. Adeline Hazan a répondu que le projet de Cité du patrimoine avançait mais sans rassurer personne sur comment l'investissement et le fonctionnement seront financés. La présidente a aussi fait comprendre que la reconversion de la base allait prendre des années et que si cela n'avançait pas plus vite, « c'est à cause des deux communes qui n'ont pas voulu rejoindre le syndicat mixte chargé de monter cette reconversion (Courcy et Brimont). Et le Stade de Reims qui devait installer son centre d'entraînement sur l'ancienne base ? La rumeur dit qu'il préfère s'installer ailleurs ? Confirmez-vous ? », a demandé Catherine Vautrin.
« Effectivement, il y a toujours deux choix de lieux pour le centre d'entraînement. Je dois voir le président du Stade de Reims cette semaine pour en discuter. » Et si le Stade lâche la BA112, a prévenu Adeline Hazan, ce sera encore de la faute de Courcy, « qui a refusé l'implantation sur son terrain ». Courcy, encore et toujours.

:siflotte: pour une fois c pas la maire de reims qui est en tord mais la commune de courcy (pffff meriterai qu'on raze sa commune tien )

[PPDMdu29]

et ho tu veut qu'on vous passe nos escargots aussi

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ouai mais reims a un plan B ...brest non

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Le groupe des 18 contre Evian TG !

Hubert Fournier a communiqué un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Evian Thonon Gaillard, samedi à 20h00 (30e journée de Ligue 1).


Stade de Reims : Agassa, Liebus – Glombard, Mandi, Tacalfred, Fofana, Weber, Signorino – Ca, Ramare, Devaux, Krychowiak, Ayité, Diego – Ghilas, De Préville, Courtet, Fauvergue


Absents :
Soins : Ghisolfi, Placide, Fortès
Suspendu Souaré

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Le Stade de Reims sans terrain fixe
Overdose de surface synthétique depuis quatre mois pour la troupe stadiste qui rêve de retrouver au plus vite l'herbe verte…

FOOTBALL (L1). Le Stade de Reims vit un hiver difficile. Ses installations inappropriées l'obligent à délocaliser ses entraînements. Pas la meilleure façon de préparer une fin de saison décisive.

Au Stade de Reims, l'actualité a l'habitude de se chevaucher. L'annonce en début de semaine de l'abandon programmé du projet de centre de formation et de centre de vie sur les installations de l'ancienne base aérienne tombe en plein débat sur les conditions d'entraînement dont dispose l'équipe professionnelle pour préparer sa stressante fin de saison. En visite hier aux Thiolettes, Jean-Pierre Caillot n'a pas esquivé le problème. Pour le président stadiste, il y a même péril en la demeure.

Jean-Pierre Caillot, on a l'impression que le club ne souhaite pas évoquer les difficultés rencontrées depuis plusieurs mois pour l'entraînement de son équipe professionnelle.

« Ce n'est pas un sujet tabou, mais une réalité. Personnellement, je vis ça très mal, parce qu'il faut faire en sorte que nos joueurs restent motivés à l'idée de travailler dans de telles conditions ».

Qu'en est-il justement ?
« Certes, les conditions atmosphériques hivernales ont été difficiles. Mais si l'on compare notre situation avec celle des autres équipes de Ligue 1, nous sommes de vrais SDF. Nous errons entre un terrain synthétique ancienne génération, qui donne aux joueurs l'impression de s'entraîner sur le parking d'une grande surface, et notre aire en herbe sur laquelle on a reconstitué une plage.
Il faut que nos entraîneurs soient persuasifs et fins psychologues pour expliquer aux joueurs que nous sommes des compétiteurs. Et qu'ils doivent tout mettre en œuvre pour être performants à l'entraînement et lors des rencontres du week-end ».

On perçoit comme une forme d'impuissance…
« J'essaie d'expliquer à tout le monde qu'il faut laisser du temps au temps. Que les choses se mettent en place progressivement. Certes, il y a toujours l'urgence du match à venir, mais il faut se rappeler, qu'il y a dix ans, nous ne disposions même pas d'un terrain d'entraînement à Reims. Aujourd'hui, nous avons une aire de jeu et un stade.
Tout ne dépend pas de nous. Notre mission est de tout mettre en œuvre pour que le club continue à grandir. Cela passe par la construction d'un véritable centre d'entraînement, digne d'un club pro ».

« Notre formation est en péril »

Pourquoi ça traîne ?
« Il y a des projets qui ont du mal à aboutir ou qui n'aboutiront jamais. Nous devons, très prochainement, nous rencontrer avec la municipalité, afin de débloquer la situation. Car la filière formation du club est en péril si les choses n'évoluent pas rapidement.
Concernant la section pro, certains prendront comme exemple Sedan, qui était monté en L1 dans exactement la même situation, avant de bénéficier de bonnes conditions de travail grâce à son centre d'entraînement ».

Le projet de la BA 112 est-il enterré ?
« Cela fait deux ans qu'il est enterré. Ce projet, mené au quotidien avec beaucoup de réunions, de communication, de lobbying, a généré énormément de frustration. Car très souvent, on nous a expliqué le contraire de ce qu'on nous avait dit précédemment. Au club, on a tout fait pour qu'il aboutisse. Je rappelle au passage qu'il ne coûtait pas un euro à la collectivité, car entièrement autofinancé. Face à la menace brandie par la DTN de la perte de l'agrément de notre centre de formation, nous devons vite trouver une autre solution ».

Qu'en est-il du site de Blériot ?
« C'est l'hypothèse la plus réaliste. Mais je ne peux pas me prononcer tant que je n'ai pas l'engagement de la ville de Reims ».

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Stade de Reims / Ayité : « Finir à fond »
Floyd Ayité : un atout dans le jeu stadiste.

FOOTBALL (L1). Avec Odair Fortes et Kossi Agassa, Floyd Ayité est le troisième joueur décisif de l'effectif des Rouge et Blanc. Dans un bon jour, l'international togolais est capable de gagner un match à lui seul. Percutant, imprévisible mais extraordinairement doué, le petit Epervier demeure un atout majeur de l'attaque rémoise.
S'il parvient à éviter les blessures, l'ancien Bordelais pourrait être un joueur clé de cette fin de saison à couteaux tirés.

Floyd, de cet Evian-Reims, peut-on parler de tournant décisif ?
« Il est vrai qu'il ne nous restera que huit matches à jouer après celui-ci, avec notamment quelques grosses cylindrées à défier. Il s'agit d'un match important. On se souvient qu'Evian était venu nous battre, ce serait bien qu'on lui rende la monnaie de sa pièce. Je pense que c'est aussi une occasion de s'offrir une fin de saison plus confortable ».

Vous semblez beaucoup moins à l'aise face aux équipes du bas de tableau…
« Disons que nous obtenons de meilleurs résultats face aux équipes de tête. C'est paradoxal, mais c'est comme ça. Ceci dit, ce n'est plus le moment de choisir ses matches. Si près de la fin de la saison, on se doit d'afficher les mêmes ambitions, de montrer la même détermination face aux neuf adversaires que nous allons rencontrer ».

À quel genre de match vous attendez-vous à Annecy ?
« Si l'on en croit le coach haut-savoyard (Pascal Dupraz) , il s'agit pour Evian du match à ne pas rater. Nous allons nous mettre dans le même état d'esprit. Il va falloir être costauds, déterminés, et, pourquoi pas, jouer notre va-tout en contre-attaque. Si nous marquons, je pense qu'on va l'emporter ».

La référence, c'est le match de Nancy où vous aviez brillé ?
« Comme Nancy, Evian est un concurrent direct. On a l'occasion de le laisser derrière nous. On peut essayer de refaire le coup de Nancy, mais en gommant la première mi-temps où on n'avait pas été bons. Là, il faudra être concentrés dès la première minute, parce qu'Evian voudra afficher d'entrée ses ambitions avec un gros pressing ».

Peut-on considérer ce match comme une finale ?
« Reims et Evian ont quasiment les mêmes stats. Ce face à face est donc décisif. Une finale ? Peut-être… Mais cela signifie qu'il en reste neuf à disputer. Il s'agit plutôt d'un match de coupe et le vainqueur prendra une belle option dans la perspective du maintien ».

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le groupe est logique , dommage que souaré est encore suspendu , il aurait fait du bien dans son couloir ...esperont que que notre vieux papy fasse un gros match

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Evian - Reims : 2-2
Ligue 1 – 30e journée

Arbitre : M.Turpin

Stade de Reims : Agassa - Glombard - Weber - Fofana - Signorino - Ramaré (Ca 57ème)- Krychowiak - Devaux (Mandi 80ème) - Ayité - Rigonato (De Préville 75ème) - Courtet.

But pour Reims : Ayité (12e), Courtet (67ème)
But pour ETG : Sagbo (68ème), Nsikulu (92ème)

Avertissements pour Reims : Glombard (33ème), Ca (76ème), De Préville (90ème)
Expulsion : Ayité (15ème)

Le Stade de Reims est allé chercher le point du match nul ce soir à Evian après avoir joué 75 minutes à dix suite à l'expulsion d'Ayité, pourtant buteur dès la 12 ème minute de jeu, puis 5 minutes à neuf, suite à la blessure de De Préville.

Les Stadistes sont passés tout près de la victoire puisqu'ils menaient 2-0, contre le cours de jeu car franchement dominés, suite à un deuxième but de Courtet après un centre limpide de Glombard (67ème).

Malheureusement sur l'action suivante Sagbo réduisait la marque (68ème) et les Savoyards égalisaient - logiquement il faut le dire - à la 92 ème alors que les hommes d'Hubert Fournier étaient à 9.

La lutte pour le maintien continue. Rendez-vous la semaine prochaine à Delaune contre Lyon.

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Hubert Fournier : De la frustration
Se faire reprendre dans les dernières minutes c'est toujours frustrant. La décision de Mr Turpin a gâché le spectacle mais aussi notre jeu. On a de ce fait beaucoup trop subi. La réduction du score est le tournant du match car si on avait tenu un peu, Evian aurait été touché moralement.
Ensuite, on n'est pas à l'abri d'un long ballon et c'est ce qui s'est passé sur la fin. Il y a donc de la déception et de la frustration ce soir. Je n'ai rien à reprocher aux joueurs qui ont fait front et qui se sont battus malgré les difficultés du match.

Franck Signorino : De quoi être frustré
On prend trop vite le premier but après avoir doublé la mise. Je pense qu'Evian mérite une expulsion pour une faute identique mais l'arbitre ne met qu'un jaune. C'est limite.
On a subi c'est vrai mais il ya de quoi être frustré ce soir vu le scénario du match.

Jean-Pierre Caillot : Pas illogique
Prendre un point à Evian est plutôt un bon résultat car ils ne s'échappent pas. C'était l'objectif de ce déplacement et évidemment on ne se serait pas privé de le bonifier si on avait pu. Alors certes, on menait 2-0, mais l'expulsion de Floyd a quand même modifié la donne et vu la physionomie du match, ce point n'est au final pas illogique. On continue d'avancer et on a toujours notre destin entre nos mains.

Didier Perrin : Rageant
On joue à 10 pendant 75 minutes et il y a de quoi être déçu de prendre ce but sur la fin. On a bien géré le match en infériorité numérique et on prend cette égalisation qui nous fait perdre deux points. C'est rageant mais on ramène quelque chose quand même. On aurait signé pour ce résultat avant le match alors on s'en contentera.

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Stade de Reims / Un goût d'inachevé
Plus haut que tout le monde, Agassa s'élève dans le ciel d'Annecy pour enlever un ballon brûlant que convoitait Betao.

FOOTBALL (L1). Ultra-dominé mais d'un courage sans faille, Reims a lutté à 10 pendant 75 minutes pour ramener un point précieux.

Anthony Weber peut être un capitaine fier de ses hommes. Les supporters peuvent être fiers de leurs couleurs. Hier, le Stade a fait tout ce qu'il pouvait - et même plus - pour ramener les 3 points d'Annecy.

Un temps additionnel à rallonge lui a été fatal. C'est le remake frustrant de Lorient juste avant Noël mais c'est aussi un bon point au regard des qualités mentales affichées. C'est le premier nul en match officiel dans une opposition entre Marnais et Savoyards.

x Le contexte
Invaincus toutes compétitions confondues depuis le 23 février, les Evianais ont repris du poil de la bête. Avec la réception de Reims, Sorlin et les siens voulaient enchaîner un 3e succès de rang en championnat. Chose qui ne leur est plus arrivée depuis février 2012 et des succès sur Nancy, à Saint-Etienne et contre Marseille (2-0 à chaque fois).
Côté stadiste, l'équipe avait à cœur d'effacer deux derniers déplacements frustrants, à Nice (0-2) et Troyes (2-4). « On cherche notre match référence à l'extérieur », avait dit Franck Signorino dans la semaine.

x La tactique
Partis pour évoluer dans un 4-1-4-1 se transformant en un 4-3-3 dès la perte de balle avec les jaillissements de Diego et Ayité, le Stade a rapidement changé son fusil d'épaule. Sous la contrainte d'une infériorité numérique précoce.
Laissant Courtet seul devant, les Stadistes ont dressé deux lignes de quatre devant Agassa. Le schéma a tenu grâce aux efforts collectifs de placement et replacement. Jusqu'à la 92e… En face, l'ETGFC a été renforcée dans son 4-3-3 comprenant la titularisation surprise de Youssef Adnane (sa 2e seulement en 2013).

x La physionomie
Rapidement portés à l'avant-poste par Ayité, les Rouge et Blanc avaient fait l'essentiel en contraignant l'ETGFC à prendre le jeu à son compte. Habitués à user des longs ballons, les Savoyards ne sont pas à l'aise en attaques placées, eux qui ont le taux de perte de balles dans le camp adverse le plus élevé des cinq grands championnats européens.
Le Stade a toutefois dû composer avec une donne imprévue, l'infériorité numérique rapide. Il a passé 75 minutes à défendre comme un mort de faim.
Souvent sur la corde raide et archi-dominé (21 centres à 1 au repos), Weber et ses copains ont donné raison à Mohamed Fofana. Le défenseur a affirmé que le Stade avait retrouvé ses valeurs du début de saison. Confirmé hier ! Sauf qu'il lui a manqué deux minutes. Celles du temps additionnel mais aussi celles qui ont suivi le 2e but de Courtet. Si l'ETG n'était pas revenu à 2-1 aussi vite…

x Le fait
À la 15e, par inattention plus que par difficulté, Ayité laisse échapper un ballon. Son geste désespéré pour le reprendre le fait heurter violemment et pied décollé la jambe de Ninkovic. Trois minutes après son but, l'international togolais voit rouge. Clin d'œil de l'histoire : à Rennes, Clément Turpin avait déjà exclu un Stadiste : c'était Pape Souaré et c'était déjà à la 15e.

x Le chiffre : 3

Hier, le Stade a concédé son 3e but dans le temps additionnel de la saison. Il le prive d'un enchaînement deux victoires de suite plus revu depuis six mois (Montpellier et Nancy, 5e et 6e journées). Le Stade se serait hissé au 15e rang provisoire. Ce qui aurait constitué son meilleur classement en 2013.

[spoucknick00]

faut pas se decourager , faudra tout donnée la semaine prochaine

[babar051]

H.Fournier : Lyon est habitué à la pression
Hubert Fournier s’est exprimé au point presse organisé ce mardi au centre d’entraînement des Thiolettes. Extraits :

La victoire de Sochaux face à l’OL
Je ne suis pas surpris par le résultat de Sochaux. Face aux grosses cylindrées du championnat, cette équipe a toujours répondu présent. Ils sont dans la continuité de ce qu’ils ont fait contre Paris ou Marseille. La surprise est plutôt venue de Lyon. On pensait qu’à domicile, suite à sa défaite à Bastia, l’OL allait réagir. Ce ne fut pas le cas. Après, Sochaux a eu de la réussite. Mais pour gagner ces matches-là, il faut en avoir.

Les dernières minutes face à Evian TG
On peut toujours discuter de l’égalisation. Mais nous sommes tout de même à 9 sur le terrain à ce moment de la partie. C’est quand même très dommageable à ce niveau. Avec une certaine lucidité, ce résultat nul n’est pas illogique par rapport à ce qu’a produit cette équipe d’Evian Thonon Gaillard. Ils ont eu des occasions. De notre côté nous n’avons pas grand-chose à nous reprocher. Nous marquons 2 buts à l’extérieur. Nous sommes pratiquement 80 minutes en infériorité numérique. Cela ressemble à la mésaventure que nous avions vécu à Bastia, mais cette fois nous prenons un point. J’ai aimé la réaction des joueurs qui ont bien défendu ensemble, avec beaucoup de générosité, de solidarité. Ce sont des attitudes qui doivent nous permettre de nous sauver en fin de saison.

La réussite devant le but
Ces deux buts à l’extérieur ne sont évidemment pas anodins. Il s’agit de deux beaux buts, bien construits. Nous sentions avant l’expulsion que nous étions bien entrés dans le match. Nous avions une ascendance technique sur cette équipe d’Evian. Nous affichions de belles attitudes en ce début de rencontre, d’où la frustration encore plus grande de subir ce contrecoup avec cette expulsion.

L’Olympique Lyonnais
Cela fait quelques semaines, effectivement, qu’ils connaissent une crise de résultats et de jeu. Mais il ne faut pas oublier qu’une grande partie de cet effectif à une expérience internationale, dans un club qui est habitué à vivre avec la pression du résultat. Ils ont également des jeunes très talentueux, comme Grenier, Lacazette, Umtiti. Et quand, devant, tu as Gomis ou Lisandro, cela pèse. Cet effectif doit leur permettre de postuler aux toutes premières places. Et ils sont d’ailleurs toujours proches de leur objectif.

[spoucknick00]

belle interview et realiste . c est claire que marquer deux buts a l exterieur c est bien et pas des buts degueulasse . Sa laisse reveur pour la suite

[babar051]

Le Stade de Reims est dans « un bel état d'esprit »
Bocundji Ca ne craint pas Lyon.

FOOTBALL (L1). Bocundji Ca, milieu défensif, reste optimiste et estime que le club est en bonne voie pour le maintien.

Bocundji Ca véhicule son optimisme sans calcul. Le natif de Biambo (Guinée-Bissau), porteur du n° 4 en sélection nationale, pèse tout de même 89 matches en Ligue 1 dont 19 titularisations cette saison.
A l'entendre, le Stade n'a pas à rougir du point arraché face à Evian.

Bocundji, il doit être rageant de lâcher deux points dans les dernières minutes…
« C'est dommage, en effet. Mais ce n'était pas évident. On s'est battu pendant plus d'une heure en infériorité numérique et, au bout du compte, on se dit qu'un point ce n'est pas si mal. »

« On ne se retourne pas »

C'est le même scénario qu'à Lorient (2-2) ?
« Il ne nous a pas manqué grand-chose. Sur le terrain, on était bien en place. On a subi mais c'était normal. Evian évoluait à domicile et était mené au score. Avec quatre minutes de temps additionnel, on se doutait bien qu'ils allaient encore pousser. On encaisse ce but mais le plus important demeure l'état d'esprit affiché par les joueurs. Ceux qui étaient sur le terrain et ceux qui étaient sur le banc. »

La situation ne se décante pas en bas du classement…
« Nous, on ne se retourne pas. Avec trois équipes à 31 points, on se concentre sur les matches à venir. On va jouer Lyon, Brest et Valenciennes, des matches que l'on doit gagner. »

Défait par Sochaux, Lyon voudra se racheter…
« C'est possible mais nous, on ne craint pas Lyon. On a prouvé qu'on savait hausser notre niveau face aux grands comme Paris ou Saint-Etienne. Nous avons les armes pour l'emporter. »

Après Fortes, ce sont Ayité et De Préville qui seront absents. Cela ne vous inquiète pas ?
« C'est toujours préjudiciable de perdre des joueurs importants comme Odair ou Floyd dans le sprint final. Mais il y a des remplaçants qui sauront les faire oublier. »